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mercredi 10 novembre 2010

depuis que les USA veulent s'émisser dans les comptes de paradis fiscaux de la Suisse,rien ne va plus

WikiLeaks - D'autres documents confidentiels seraient publiés
Le fondateur du site WikiLeaks Julian Assange.
© AFP

GENEVE - Le fondateur du site WikiLeaks Julian Assange a assuré jeudi à Genève qu'il comptait poursuivre dans les prochains mois la publication de documents confidentiels «sur plusieurs pays dont les États-Unis».

À la suite de la diffusion sur son site de documents confidentiels sur la guerre en Irak présentés comme la «fuite la plus importante de documents militaires confidentiels de l'Histoire», il a estimé qu'il était temps pour les États-Unis de «s'ouvrir» plutôt que de chercher à «dissimuler».

«Les États-Unis sont en danger de faillir à leur tradition» a-t-il ajouté, faisant référence à la «fière» liberté d'expression dans ce pays.

«La loi n'a aucun sens si elle n'est pas respectée par le gouvernement» a ajouté M. Assange lors d'une conférence de presse entourée de mesures de sécurité exceptionnelles.

Le fondateur de WikiLeaks, qui se déplace avec des gardes du corps, a été invité à Genève par une organisation non-gouvernementale à la veille d'une réunion du Conseil des droits de l'Homme de l'ONU qui passera en revue la situation des droits de l'Homme aux États-Unis, dans le cadre de l'Examen Périodique Universel.

Le site d'informations WikiLeaks a publié le mois dernier quelque 400 000 rapports d'incidents, écrits de janvier 2004 à fin 2009 par des soldats américains, qui montrent notamment que l'armée américaine n'aurait «rien fait» pour empêcher des tortures commises par les forces irakiennes.

Julian Assange a indiqué que malgré «les demandes d'organisations de défense des droits de l'Homme et de l'ONU», le gouvernement des États-Unis n'a pas encore ouvert d'enquête sur ces révélations, contrairement à d'autres pays dont la Grande-Bretagne et le Danemark.

«Au contraire, a-t-il dit, je me trouve avec mon organisation dans la situation plutôt inhabituelle d'être à la fois un expert des violations des droits de l'Homme commis par le gouvernement des États-Unis et à la fois victime de certains de ces abus».

Il a ajouté que son équipe et des personnes «affiliées à son organisation» ont été soumises à des pressions et «se sentaient menacées» par le Pentagone.

Par ailleurs, M. Assange a indiqué que les abus dénoncés en Irak, de 2004 à 2009, ne datent pas tous de l'administration de George W. Bush.

«L'administration Obama a aussi violé la loi en transférant des prisonniers à des groupes connus pour pratiquer la torture» a-t-il dit.

Julian Assange a indiqué que le financement de son site relève «seulement de donateurs défenseurs des droits de l'Homme» dont les deux tiers paient en ligne par carte de crédit et ne provenait d'aucun «financement institutionnel».

Il a ajouté que près de 70% des ressources collectées pour le fonctionnement de son site sont désormais consacrées à en assurer la sécurité, de même que celle de ses membres ainsi que sa défense sur le plan juridique.

L'Islande et la Suède, où il bénéficie de soutiens et de législations favorables, sont des escales privilégiées du voyage permanent d'Assange autour du globe.

Mais la Suède lui ayant refusé en octobre un permis de résidence, l'Australien a indiqué jeudi dans une interview à la télévision suisse qu'il envisageait de demander l'asile politique en Suisse et d'y créer une fondation.

«C'est une possibilité que nous envisageons sérieusement», déclare-t-il, estimant que la Suisse est un des très rares pays où Wikileaks serait en sécurité.

«Il semblerait qu'il n'y a que trois pays au monde dans lesquels nous serions vraiment en sécurité: la Suisse, peut-être l'Islande et éventuellement Cuba, tant que nous ne publions rien sur Cuba», a-t-il indiqué.

P.S. La Suisse se defend a coup de documents ,avec Wikileaks !

REF.:

C'est tu une mode d'envoyer un vieux en prison ,si seul Dieu peut nous juger ?

Un présumé prêtre pédophile de retour en cour


QUÉBEC - Un prêtre qui fait face à de multiples accusations pour des crimes sexuels sera de retour en cour lundi matin au palais de justice de Québec.

Raymond-Marie Lavoie, un père rédemptoriste âgé de 70 ans, doit répondre à 18 chefs d'accusation pour des crimes sexuels commis sur 11 jeunes garçons, tous des anciens étudiants du Séminaire Saint-Alphonse, de Saint-Tite-des-Caps, qui a fermé ses portes au début des années 2000.

Une école secondaire privée mixte, le Collège Saint-Alphonse, occupe maintenant les lieux.

Les crimes auraient été commis entre 1973 et 1985.

Le prêtre a été arrêté en décembre 2009. D'autres présumées victimes se sont manifestées par la suite.

L'accusé pourrait plaider coupable. Son avocat a déjà déclaré qu'il ne voulait pas aller inutilement en procès.

REF.:

La Pédophilie,c'est une maladie ,faut l'envoyer a l'hôpital LOL !!!

Pis le pardon ,...............c'est pour les poules avec des dents ;-)

La Cour suprême s’immisce dans la chambre à coucher

Pratiques sexuelles inusitées - Quand la Cour suprême s’immisce dans la chambre à coucher


OTTAWA — Une personne peut-elle consentir à l’avance à une activité sexuelle durant laquelle elle sera inconsciente? Si la question peut sembler farfelue, la Cour suprême a néanmoins dû en discuter, lundi.

Le débat a été amené par un couple d’Ottawa — identifié uniquement par les initiales J.A. et K.D. en raison d’une ordonnance de non-publication —, dont les pratiques sexuelles débridées ont mal tourné, à un point tel qu’un des deux partenaires a décidé de porter l’affaire devant les tribunaux.

Selon des documents judiciaires, K.D. avait convenu avec J.A. que celui-ci l’attache, l’étrangle jusqu’à ce qu’elle tombe inconsciente et lui insère un godemiché dans l’anus.

K. D. a admis au procès qu’elle avait consenti à ce scénario. Elle a également précisé qu’elle avait porté plainte contre son ex-partenaire environ six semaines après les événements en raison d’une dispute avec celui-ci.

Dans un premier temps, un tribunal de l’Ontario avait jugé qu’une personne inconsciente ne pouvait consentir à l’avance à une telle activité sexuelle et avait condamné J.A.

La Cour d’appel de l’Ontario a toutefois infirmé cette décision et a statué que K.D. pouvait consentir à l’avance à une activité sexuelle durant laquelle elle serait inconsciente.

La Cour suprême doit maintenant déterminer quand et comment les adultes peuvent souscrire à une activité sexuelle qui se produit alors qu’ils sont inconscients.


OK,et "la semaine prochaine,quand la personne dort" ;-)

dimanche 7 novembre 2010

Voulez-vous faire de l'internet et avoir du sexe ? Travailler pour le Gouvernement Fédéral


Enquête - Relations non professionnelles

Relations non professionnelles

Deux fonctionnaires fédéraux qui entretenaient une relation extraconjugale et qui mentaient à leurs patrons pour pouvoir se rencontrer lors de faux meetings, se sont fait pincer, trahis par les traces qu'ils ont laissées sur leurs ordinateurs.

À LIRE:

L'employeur a tous les droits

L'histoire abracadabrante de ces deux collègues du Centre de Service Canada figure parmi les nombreux cas d'enquêtes réalisées par le gouvernement pour surveiller le comportement de ses employés sur Internet. Comme dans bien d'autres cas, ces employés qui se croyaient à l'abri des regards ont vu leur vie privée, et même sexuelle, oscultée par leur employeur.

Pendant deux ans et demi, les deux fonctionnaires, qui travaillaient dans deux villes différentes, ont entretenu une relation amoureuse. Leur idylle les a poussés à mentir à leurs patrons pour se fixer des rendez-vous et à solliciter des congés de maladie sous de faux prétextes. L'un des deux tourtereaux a même consulté des banques de données gouvernementales confidentielles pour en apprendre plus sur le mari de sa nouvelle flamme.

La double-vie de ces deux fonctionnaires a été révélée au grand jour, lorsqu'un gestionnaire a constaté que l'un de ses employés passait beaucoup de temps à écrire des messages personnels sur ses heures de travail.

Un temps «considérable»

Le rapport d'enquête, qui fait plusieurs centaines de pages, montre que les deux fonctionnaires passaient «un temps considérable» dans leurs journées de travail à s'écrire de longs courriels amoureux, à parler au téléphone en utilisant des lignes téléphoniques du gouvernement.

Selon les enquêteurs, ils auraient passé un total de 140 heures de travail au téléphone à se parler. Tous ces appels interurbains avaient une valeur de plus de 3 700 $, même s'ils n'ont coûté que 235 $ à Service Canada, en raison de tarifs préférentiels gouvernementaux.

Le couple a poussé l'audace jusqu'à organiser un rendez-vous au sous-sol d'un édifice fédéral où l'un d'entre eux travail-lait afin d'y avoir des relations sexuelles.

«Le 9 mars 2007, alors que XXXX [...était] en congé de maladie, [...] ils sont allés au sous-sol de l'immeuble afin de pouvoir se rapprocher. Cette visite était planifiée. Nous comprenons que des échanges sexuels ont eu lieu», écrit l'enquêteur Benoît Guérard, qui a rédigé le rapport.

Stratagèmes

L'analyse des quelque 1 786 éléments de courriel échangés entre les collègues a permis de comprendre tous les stratagèmes qu'ils avaient montés à l'insu de leurs conjoints et de leurs patrons.

«Certains courriels faisaient référence à des congés que les deux employés voulaient demander à la gestion afin de pouvoir se rencontrer pendant la journée afin de ne pas susciter de doute auprès de leurs conjoints respectifs.»

Les deux amoureux ont même tenté de convaincre leurs patrons de les envoyer en formation à Régina, sous de faux prétextes, afin de pouvoir profiter d'une semaine ensemble.

Au terme de l'enquête, l'un des deux employés a été suspendu sans solde pour une durée indéterminée. Il a admis ses torts et promis de se faire soigner pour des problèmes de «comportement compulsif ».

* En avril dernier, Le Journal avait révélé que des fonctionnaires de Santé Canada avaient perdu jusqu'à trois semaines par mois à consulter des vidéos, effectuer des recherches personnelles, jouer à des jeux vidéos ou s'adonner à d'autres activités inappropriées en «travaillant ».

* * *

Trois autres cas

Des rendez-vous avec des transsexuels

Un employé de Service Canada passait une heure et demie par jour à fureter sur des sites de rencontres sexuelles et des sites pornographiques. Il utilisait son adresse de courriel du gouvernement pour fixer des rendez-vous avec des transsexuels (she-males).

Extrait d'un courriel envoyé par le fonctionnaire à un correspondant avec qui il échangeait des photos à caractère sexuel: «Bon, regarde, je suis très discret dans mes démarches, tu sais, je suis marié et à mon travail, je suis très prudent: j'ai des mots de passe et pas de problème.»

Il a été suspendu sans solde.

La douanière se fait livrer du valium

Pendant au moins deux ans, une employée de l'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) s'est commandé illégalement du Valium. Elle tentait de se le faire livrer directement dans les bureaux de l'agence responsable de garder nos douanes.

Le rapport des enquêteurs internes de l'AFSC indique même qu'elle communiquait à l'aide de son compte courriel professionnel - indiquant clairement qu'elle travaille pour cette agence - afin de mettre de la pression sur ses exportateurs.

À quatre reprises, les commandes ont été saisies au moment où elles arrivaient en sol canadien.

Il gère son entreprise du bureau

Un employé de Revenu Canada, qui disposait d'un bureau fermé et d'un ordinateur portable, croyait pouvoir gérer son entreprise privée de vente de matériel de piratage d'ondes satellites. L'employé, identifié comme un fonctionnaire modèle par ses collègues, passait des heures sur Internet à vendre et acheter du matériel en plus de gérer ses comptes bancaires personnels.

-Avec la collaboration de Jonatan Larochelle.

REF.: Journal de Mtl.Mathieu Turbide