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mercredi 21 septembre 2011

Dunkin' Donuts aurait fait des offres a : Mario Plante et Jean-François Pelletier





Purge à la police de Montréal - Deux officiers supérieurs se font indiquer la sortie
 


Deux assistants directeurs, proches de l’ancien chef de police Yvan Delorme, se sont fait montrer la porte la semaine dernière, a appris le Journal. Lors du récent départ à la retraite d’un collègue, Mario Plante et Jean-François Pelletier auraient tenu des propos jugés déloyaux qui ont été la « goutte qui a fait déborder le vase» pour le directeur, Marc Parent.
Selon nos informations, les deux hommes ont encensé Jean-Guy Gagnon lors d’une cérémonie soulignant son départ à la retraite, le 6 septembre, au quartier général du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), tellement que cela a été perçu comme un manque de loyauté.
La semaine dernière, le directeur adjoint, Pierre Brochet, a fait venir les deux hommes dans son bureau, en présence du directeur du capital humain de la Ville de Montréal, Jean-Yves Hinse, avant de les inviter à partir, nous a-t-on dit.
Le chef Marc Parent devait rencontrer tous ses cadres le jour même, mais la rencontre a été annulée et reportée à jeudi.
Officiellement, les deux hommes sont toujours au service du SPVM, mais «leur affectation est à redéfinir», nous a confié une source.
Dans les faits, il serait surprenant que les deux officiers réintègrent leurs fonctions. On croit plutôt qu’ils vont quitter le service à la suite de négociations.
À la direction du SPVM, on a refusé de commenter ce que l’on qualifie de «régie interne».
Situation intolérable
Mario Plante et Jean-François Pelletier étaient membres du comité de direction.
Or, des sources nous ont dit que les membres du comité étaient constamment à couteaux tirés et que les réunions étaient infernales. « Les propos tenus lors de la cérémonie ont été la goutte qui a fait déborder le vase », nous a-t-on indiqué.
Mario Plante avait appuyé Jean-Guy Gagnon dans la course à la direction du SPVM, remportée par Marc Parent en 2010.
Jean-François Pelletier, pour sa part, est l’ancien bras droit de M. Gagnon à la Direction des opérations. MM. Plante et Pelletier sont également proches de l’ancien chef de la police, Yvan Delorme.
À la suite de son arrivée à la tête du SPVM, il y a un an, Marc Parent avait  «éloigné» MM. Plante et Pelletier du quartier général en les mutant respectivement à la tête des régions nord et ouest.
Un ménage?
Jean-Guy Gagnon, également proche d’Yvan Delorme, a quitté le SPVM il y a quelques semaines pour devenir conseiller spécial aux enquêtes à la Commission de la construction du Québec.
Le directeur Marc Parent vient de nommer à la tête des enquêtes spécialisées, à la Place Versailles, un ami et ex-chef de la police de Longueuil, Marc Saint-Laurent.
Ce dernier avait quitté le SPVM et pris sa retraite après avoir été battu par Yvan Delorme lors de la course à la direction de 2005. Il occupe le poste de directeur adjoint et a signé un contrat avec le SPVM.
Il a remplacé l’assistant directeur Jacques Robinette, muté au quartier général du SPVM.
Au cours de la dernière année et demie, au moins trois commandants des enquêtes spécialisées ont été affectés à d’autres tâches en raison d’enquêtes dont ils font l’objet.


une nouvelle chaîne de bonté est initiée ,.......Donnez au suivant



Malak
mercredi 21 septembre
Une jeune étudiante du secondaire, atteinte de la maladie de Hodgkin, subit des traitements de chimiothérapie qui lui font perdre ses cheveux. Cette situation l’amène à refuser d’assister à son bal de finissants. Les étudiants de son école décident de se mobiliser pour amasser de l'argent afin qu'elle puisse s'acheter une prothèse capillaire. L’équipe de Donnez au suivant a voulu mettre en lumière ce geste de solidarité des étudiants de l'école Calixa-Lavallée, à Montréal-Nord, parce qu’elle est souvent victime d'une mauvaise presse. Aussi, l'équipe a fait en sorte que ce bal de finissants soit magique pour tout le monde.
 
 
 
Synopsis de l’émission
UNE ÉMISSION QUI FAIT DU BIEN!

Le Réseau TVA est fier de diffuser, à compter de l’automne prochain, quatre émissions de la sérieDonnez au suivant. Chantal Lacroix, sensible et passionnée animent ces émissions remplies d’émotions.

Concept télévisuel unique et innovateur, Donnez au suivant est une série de quatre émissions au cours desquelles Chantal Lacroix tente, lors de rencontres marquantes, de démarrer des chaînes de bonté à travers le Québec afin d’améliorer le monde dans lequel nous vivons. De quelle façon? En venant en aide à des personnes que l’animatrice aura choisies et qui devront par la suite tendre la main à d’autres.

Chaque émission est complète et unique parce que chaque fois, une nouvelle chaîne de bonté est initiée et nous permet de découvrir l’univers de deux Québécois. Ensemble, nous partageons leur quotidien, nous écoutons leur histoire, pour mieux comprendre les raisons qui ont amené Chantal à les choisir, à leur donner un coup de main!

À l’émission Donnez au suivant, on espère améliorer la qualité de vie des Québécois, embellir le monde dans lequel nous vivons. L’objectif vise aussi à nous faire découvrir que des gens d’ici ont un vécu qui mérite d’être raconté, écouté et partagé. Jusqu’où peut aller la générosité des Québécois les uns envers les autres? C’est ce que nous allons découvrir au cours des quatre émissions de Donnez au suivant l’automne prochain.


mardi 20 septembre 2011

80 % des prêtres et religieuses ont eu des écarts de conduite par rapport à leur voeu de chasteté.


Religion - La chasteté est un mythe
«Ce livre peut choquer, mais il n’a pas été écrit dans ce but. Il a été mis en œuvre pour démontrer l’inacceptable», affirme la religieuse et sexologue Marie-Paul Ross. 
© Jean-CLaude Tremblay / Agence QMI


QUÉBEC | Le mouton noir des soeurs Missionnaires de l'Immaculée-Conception, la religieuse et sexologue Marie-Paul Ross, y va de révélations-chocs dans son livre à paraître le 22 septembre prochain. Selon elle, plus de 80 % des prêtres et religieuses ont eu des écarts de conduite par rapport à leur voeu de chasteté.
À lire:
Quand le «Faites attention» ne suffit plus
Dans le livre Je voudrais vous parler d'amour... et de sexe, l'auteur Marie-Paul Ross s'attaque à des tabous comme la sexualité des prêtres.
"À force de pratiquer la politique de l'autruche, certains chefs ecclésiastiques vacillent sur leur piédestal. Un grand nombre de leurs membres naviguent entre leur engagement et leur difficulté à orienter adéquatement leurs pulsions sexuelles", écrit-elle dans l'ouvrage à paraître jeudi aux éditions Michel Lafon.
En entrevue au Journal, la religieuse de 64 ans affirme que ce constat est le reflet d'observations faites sur le terrain au cours de ses nombreuses années de clinicienne.
"Tout est caché. C'est ça le problème!" dit-elle.
La religieuse est reconnue pour ne pas avoir la langue dans sa poche. Dans une société en perte de valeurs, on pourrait penser que l'Église échappe aux pratiques d'une société d'hyperconsommation sexuelle, ce qui est totalement faux, selon elle.
Prêtres pédophiles
Dans son ouvrage, Marie-Paul Ross condamne les prêtres pédophiles et invite les victimes à les dénoncer.
"Le plus insupportable est de voir que l'autorité ecclésiale, au lieu de porter secours aux victimes de ces prêtres et à ces derniers, se contente de présenter de simples excuses", exprime-t-elle.
Beaucoup de prêtres souffrent parce qu'ils sont incapables de vivre leur célibat, ajoute la soeur.
"Il serait avantageux de faire le ménage dans sa propre maison avant de s'ingérer dans celle du voisin."
Contrairement à ce que plusieurs laïcs pensent, permettre le mariage des prêtres n'est pas la solution.
"Un prêtre pédophile fera un mauvais mari et un piètre père de famille. Pour une raison simple: il est un malade dangereux que l'on doit soigner!"
Des religieuses violées
L'auteur relate également des épisodes où elle a été témoin d'échanges de baisers et de caresses entre des religieuses et des prêtres. Pendant une retraite fermée, elle affirme avoir vu des soeurs sortir du bureau du prédicateur en vêtement de nuit à 6 heures du matin.
Pis encore, Mme Ross a recueilli les confidences de religieuses, à Québec, violées par des prêtres au cours de rituels sectaires où elles étaient placées nues sur un autel avant d'être livrées toute une soirée au bon plaisir de l'assistance masculine.
Si l'auteur lève le voile sur ces pratiques scandaleuses, c'est dans l'unique but de faire rayonner la vérité. Pour ne pas l'oublier, le silence est l'arme privilégiée du crime sexuel.
* * *
Extraits du livre Je voudrais vous parler d'amour... et de sexe
"Quant au directeur de conscience, il a le beau rôle. Comme il n'a pas la formation professionnelle du psy pour entendre des aveux aussi personnels, la confession le transforme en voyeur, ce qui a pour conséquence de l'exciter sexuellement"
"Dans une institution religieuse, personne n'est à l'abri: il s'en est fallu de peu pour que je tombe, pour ma part, dans le piège d'un exégète pervers..."







REF.:

Enfin ;-)


Menaces envers Jean Charest


QUÉBEC - Un individu de 50 ans a été arrêté mardi pour avoir proféré des propos menaçants à l'endroit du premier ministre Jean Charest.
Les menaces ont été recueillies et enregistrées par un journaliste du FM93, une station de radio de Québec. La Sûreté du Québec a mené l'enquête et l'homme a été arrêté à son domicile de Richelieu, près de Chambly. Il a été transporté en direction de Québec pour sa comparution prévue mercredi.
Des événements semblables se sont produits à quelques reprises au cours des dernières années.
En 2009, un homme de 64 ans originaire de la région de Montréal, Peter Hall, a comparu au palais de justice de Québec afin d'être accusé d'avoir proféré des menaces de mort ou de causer des lésions corporelles au premier ministre du Québec.
Jean Charest aurait aussi été victime de menaces de mort lors de la campagne électorale de 2007. Un ancien agent de la GRC, Normand Sauvé, 57 ans, aurait proféré des menaces à l'endroit du premier ministre à Trois-Rivières. Normand Sauvé a reçu une peine de 12 mois d'emprisonnement ferme.
En décembre 2003, André Lampron, 42 ans, a été arrêté après avoir menacé le premier ministre et une des réceptionnistes de son cabinet au téléphone. L'homme de Victoriaville a bénéficié d'un sursis.
En octobre 2003, Yves Gauthier, un résidant de Saint-Ulric, près de Matane, se faisait imposer une peine de neuf mois dans la collectivité pour avoir proféré des menaces de mort à M. Charest dans un courriel.


Ça prit 142 ans avant de comprendre ?

Tradition ,tradition,.....................Heinz a prit environ 142 ans ,avant de savoir que le bec verseur plus gros pour la relish était bien mieux que l'ancien trop petit !
Tout le monde s'enrageaient a donner des coups sur le goulot ,tout comme ceux qui varge sur la bouteille de  ketshup ;-) Bravo Heinz !

REF.: Google,

lundi 19 septembre 2011

1,2 milliard $ en fumée !

1,2 milliard $ perdu - Desjardins visé par un autre recours collectif
 
© Le Journal des Pays-d'en-Haut La Vallée / Archives

QUÉBEC – Le Mouvement Desjardins est visé par un nouveau recours collectif. Des milliers de petits investisseurs auraient perdu près de 1,2 milliard $ en capital et intérêts avec des produits vendus dans le réseau des caisses au Québec. Après une première demande, déposée en juin dernier, Desjardins est une nouvelle fois menacé par une seconde requête soumise, lundi, devant le tribunal à Québec.
Cette fois-ci, la démarche concerne les produits d'épargne Placement garanti Perspectives Plus et Placement garanti Gestion Active, qui étaient vendus dans les caisses Desjardins à travers toutes les régions du Québec depuis 1998.
«Nous estimons qu'au moins 5 milliards $ ont été investis dans ces dépôts à terme par de nombreux Québécois et qu'une bonne partie, soit près de 1,2 milliard $, a été perdue en capital et en absence de rendement», a expliqué Me Guy Paquette, procureur mandaté pour obtenir ce recours collectif.
Épargnants
Cette demande de recours collectif soutient que les placements en question étaient offerts comme étant très sécuritaires et à faible risque de la part des représentants de Desjardins.
Pourtant, les stratégies d'investissement utilisées par l'entreprise ont eu pour effet, à l'automne 2008, de liquider une partie des sommes des épargnants qui étaient dédiées à produire du rendement sur ces placements.
Des sommes auraient notamment disparu dans la crise des papiers commerciaux, selon l'avocat.
«Les investisseurs n'ont donc reçu aucun rendement sur leurs placements depuis l'automne 2008 et n'en recevront aucun d'ici l'échéance de ces placements en plus des pertes en capital», précisé Me Paquette.
Ce dernier représente Ronald Asselin, un investisseur de l'Estrie, mais il évalue que plusieurs milliers d'épargnants comme lui sont dans le même pétrin.
Cette requête pour obtenir l'autorisation d'exercer un recours collectif vise trois entités de l'institution financière québécoise, soit Fiducie Desjardins, Desjardins Cabinet de Services Financiers et Desjardins Gestion d'Actifs.
La première demande concerne Desjardins Sécurité Financière, la division d'assurances du mouvement qui vendait des dépôts à terme nommés Placement Indices Plus Stratégiques et Indices Plus Tactique.
Les procureurs précisent que tous les détenteurs des produits Placements PP et GA en date du 31 décembre 2008 sont admissibles à cette demande de recours collectif qui pourrait s'élever à 1,2 milliard $, en plus des dommages qui pourraient être versés.
Malheureusement, il n'a pas été possible de s'entretenir avec un membre de la direction de Desjardins pour connaître la position de l'entreprise sur ce sujet.


REF.:

On le savaient: "Charest de protéger la mafia et le crime organisé"

Collusion - Pauline Marois accuse Charest de protéger la mafia et le crime organisé
La chef du Parti québécois, Pauline Marois.  
© Philippe-Olivier Contant / Agence QMI

MONTRÉAL - La chef du Parti québécois n'a pas mâché ses mots à l'égard du premier ministre Jean Charest, vendredi, alors qu'elle l'accuse de protéger le crime organisé par son refus obstiné de déclencher une enquête publique sur la construction.
«On va arrêter de se faire des cachettes. Il protège le Parti libéral. Et en protégeant le Parti libéral, M. Charest protège la mafia et protège le crime organisé. Je suis profondément dégoûtée de l'attitude du premier ministre du Québec», a déclaré Pauline Marois d'entrée de jeu en conférence de presse, sommant du même coup le premier ministre à démissionner.
La chef péquiste réagissait à la déclaration de Jean Charest qui, flanqué de ses ministres des Transports et de la Sécurité publique - MM. Pierre Moreau et Robert Dutil - vendredi en fin d'avant-midi, avait tenté d'éteindre les feux à la suite du dévoilement plus tôt cette semaine d'un rapport secret de l'Unité anticollusion du Québec faisant état de trafic d'influence dans le secteur de la construction et de financement occulte des partis politiques.
Mme Marois a d'ailleurs indiqué que si, à l'instar des États-Unis, une loi dans le système québécois permettait la destitution du premier ministre, elle entamerait de telles procédures contre Jean Charest.
Marois promet de talonner Charest
Dès le premier jour de la session parlementaire à l'Assemblée nationale, lundi prochain, Pauline Marois se donne le mandat d'augmenter la pression sur le gouvernement du Québec afin qu'il déclenche rapidement une commission d'enquête publique sur l'industrie de la construction.
C'est ce qu'a promis la chef du Parti québécois dans le cadre de l'émission Mongrain, diffusée sur les ondes de LCN, vendredi après-midi.
«C'est sûr que tous les jours, on reviendra [avec des questions]. Ce sera peut-être lancinant pour M. Charest, mais il le mérite bien», a lancé Mme Marois, qui classe ce dossier en tête de liste de ses priorités en vue de la prochaine session parlementaire.
«L'intégrité, ça reste pour moi le fondement même de nos institutions. Je trouve ça triste, parce que M. Charest nous tire tous vers le bas, et je ne crois pas que la classe politique mérite ça», a-t-elle plaidé.
Également, questionnée à savoir si les allégations de collusion et de corruption qui éclaboussent l'industrie de la construction traduisent un problème systémique, Mme Marois réplique qu'elle n'y croit pas.
«J'ai occupé plusieurs ministères, dont les Finances et le Conseil du Trésor, et je n'ai pas été en contact avec de tels phénomènes», a-t-elle rétorqué, tout en réaffirmant que si son parti était porté au pouvoir dans les prochaines élections, une commission d'enquête sur la construction serait aussitôt instaurée.
«Le jour où nous instituons cette commission d'enquête, on couvrira également la période qui concerne le gouvernement du Parti québécois. Je n'ai aucune crainte, et je crois qu'il faut le faire pour donner aussi de la crédibilité au travail qui sera fait par cette commission d'enquête», a également insisté Mme Marois, ajoutant que «si jamais il y avait des gens [du Parti québécois] qui avaient posé des gestes incorrects ou malhonnêtes, ils seront sanctionnés».
Vives réactions des autres partis d’opposition
Le leader de l’ADQ, Gérard Deltell, a invité les députés libéraux à raisonner leur chef Jean Charest, un premier ministre «décevant» qui agit «avec désinvolture», selon lui, en refusant de déclencher une enquête publique sur l'industrie de la construction.
«Là, j'en appelle vraiment à mes collègues députés qui se disent: hey là, chef, ça suffit! Que les députés libéraux aillent voir leur chef et lui disent : “Assez, c'est assez M. Charest!”» a déclaré M. Deltell, à Québec, rappelant que son parti avait été le premier à exiger une commission d'enquête il y a 30 mois.
Le chef adéquiste était consterné devant l'aveu de Jean Charest qui a admis ne pas avoir lu le rapport de 72 pages de l'Unité anticollusion alors qu'il s'agit du «sujet de discussion de tous les Québécois».
Selon lui, M. Charest ferme les yeux sur les constats de Jacques Duchesneau. «Ce ne sont plus des allégations comme le répète le premier ministre : ce sont des preuves, a-t-il fait valoir. Qu'est-ce que ça lui prend de plus?»
Québec solidaire
Françoise David, présidente et porte-parole de Québec solidaire, a estimé que ce nouveau refus d'une enquête publique était «une insulte à l'intelligence» des Québécois.
«Il n'y a pas de gouvernement dans l'histoire récente qui a autant nourri la corruption que ce gouvernement», a-t-elle accusé, à Montréal.

Le MTQ avait le rapport depuis deux semaines




REF.:

Wall Street est le Ground Zero de la corruption des patrons


New York | États-Unis - Des centaines de manifestants tentent d'occuper Wall Street
 
https://occupywallst.org/

Plusieurs centaines de manifestants se sont rassemblés samedi non loin de Wall Street, à New York, avec l'intention «d'occuper» la rue symbole de la finance mondiale pour protester contre la cupidité, la corruption et les coupes dans les budgets sociaux américains, a constaté l'AFP. Les manifestants, la plupart jeunes, avaient prévu de camper dans la rue qui abrite le New York Stock Exchange, la Bourse de New York, tant que leur colère à l'encontre d'un système financier qui selon eux favorise les riches et les puissants, n'aurait pas été entendue.
Mais la police a bloqué toutes les voies d'accès à Wall Street et aux rues avoisinantes où les plus grandes banques américaines ont leur siège, bien avant l'arrivée des jeunes gens qui avaient été appelés à manifester par plusieurs groupes anarchistes et le magazine en ligne Adbusters.
«La seule chose que nous avons en commun, c'est que nous sommes les 99% de la population qui ne tolèrent plus la cupidité et la corruption des 1% restant», indiquait un communiqué sur le site «Occuper Wall Street» (#occupywallstreet).
Les organisateurs espéraient transformer Wall Street en une «Place Tahrir américaine», en référence à l'esplanade du Caire où s'étaient rassemblés les manifestants ayant fait tomber le régime du président égyptien Hosni Moubarak en février.
À la mi-journée, quelque 700 personnes, dont beaucoup équipées de sacs de couchages, cherchaient une place où camper à environ un kilomètre de la Bourse de New York. C'est beaucoup moins que ce qu'espéraient les organisateurs, qui tablaient sur 20.000 personnes.
«Ceci est une manifestation contre la cupidité des patrons, et nous venons à Wall Street parce que Wall Street est le Ground Zero de la corruption des patrons», a expliqué Julia River Hitt, une étudiante en philosophie de 22 ans.
«Nous sommes là pour dire tout simplement que nous en avons assez, que nous n'allons plus supporter ça», a-t-elle ajouté.
Les manifestants brandissaient des banderoles sur lesquelles on pouvait lire: «La corruption, ça suffit», «Assez de coupes budgétaires», «New York dit non à la cupidité de Wall Street».
Les États-Unis, qui peinent à se relever de la crise financière de 2008 et ploient sous une dette vertigineuse, ont dû procéder à d'importantes coupes budgétaire pour réduire leur énorme déficit, alors que le taux de chômage reste bloqué aux alentours de 9%.


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