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samedi 3 décembre 2011

Gouvernement: Un plan de 6 millions $ par année échou !


Suicide de Marjorie Raymond - La classe politique sous le choc
«J'ai lu ça ce matin, ça tire les larmes», a commenté la chef du PQ, Pauline Marois. 
© TVA Nouvelles / Agence QMI


QUÉBEC — Le suicide de Marjorie Raymond, victime d'intimidation permanente à l'école École Gabriel-Le Courtois à Sainte-Anne-des-Monts, en Gaspésie, a suscité l'indignation des élus à l'Assemblée nationale, mercredi.
La chef de l'opposition officielle, Pauline Marois, a parlé de l'échec du plan d'action pour prévenir la violence dans les écoles. Ce plan qui avait vu le jour en 2008 a été reconduit jusqu'en 2011 à raison de 6 millions $ par année, mais ce programme, selon le Parti québécois, ne répond pas à la demande.
«J'ai lu ça ce matin (mercredi), ça tire les larmes. Il faut absolument qu'une action se mène pour coordonner les interventions. Comme dans le cas des Shafia, les signalements avaient été faits, mais on n'est pas intervenu. Il y a un programme, mais quand il ne donne pas de résultats, il faut réviser nos façons de faire», a dit la chef du PQ.
«C'est un drame inqualifiable pour la famille, qui fait suite à des mois, des années d'intimidation continue, a dit Sylvain Gaudreault, le porte-parole péquiste en matière d’éducation. C'est un triste événement qui s'ajoute à d'autres alors que ça devrait être tolérance zéro, dans le cas de l'intimidation à l'école.»
La ministre de l'Éducation, Line Beauchamp, a pour sa part expliqué qu'il était important de s'intéresser aux victimes, mais également aux agresseurs. «Je veux que l'accent soit mis sur comment on intervient encore mieux avec les bonnes conséquences auprès de l'agresseur et comment on implique la famille.»
Le premier ministre Jean Charest se demande ce qui a pu pousser cette jeune fille à s'enlever la vie. «Comme société, il faut s'interroger sur ces problèmes qui se posent pour plusieurs jeunes filles ou garçons qui malheureusement se sentent persécutés à un point tel qu'ils ne trouvent pas d'autres issues que de s'enlever la vie.»
Soixante-neuf commissions scolaires ont accès au plan pour prévenir la violence dans les écoles. Mais ce sont les directions qui choisissent les moyens qu'ils souhaitent mettre de l'avant dans leur établissement.
L'école que fréquentait Marjorie Raymond était pourvue de ce plan d'action.


REF.:

Gros party chez les "Gothiques" en fin de semaine !


Québec - Des os volés au cimetière
Une pierre tombale a été déterrée au cimetière Saint-Charles à Québec et des ossements ont été volés. 
© Jean-Claude TRemblay/Agence QMI

Des os volés au cimetière

«Je veux retrouver ce qu'on nous a pris. S'ils ont volé un bras, c'est le bras avec lequel il nous serrait contre lui.»
C'est la réaction spontanée de la veuve et de la fille de Michel (prénom fictif), qui ont été plongées, bien malgré elles, dans une histoire particulièrement sordide.
Entre le 6 et le 9 novembre, un ou plusieurs malfrats ont creusé la pierre tombale de leur proche, qui reposait au cimetière Saint-Charles, depuis le milieu des années 1990, à la suite d'un infarctus. Ils ont déterré les ossements du défunt avant de les emporter avec eux. Hier, la police de Québec a émis un communiqué de presse demandant l'aide de la population en vue d'obtenir de plus amples informations.
«C'est de rouvrir une plaie qui était cicatrisée puis qui est rouverte à la chair vive, a décrit la veuve de Michel, au cours d'une entre-vue fort émouvante avec le Journal. C'est comme revivre un deuxième deuil, mais différemment. On ne s'attend pas à vivre deux fois le même deuil d'une même personne dans sa vie.»
Dignes dans la douleur, les deux femmes ont assuré qu'elles n'étaient pas animées par un désir de vengeance contre les auteurs de cet acte odieux. «C'est probablement un hasard que ce soit tombé sur cette tombe», croit la veuve. «Je ne veux pas fesser sur la personne qui a fait ça. Je veux juste qu'elle me rende ce qui m'appartient», a enchaîné sa fille.
Les enquêteurs ne semblent pas croire que la tombe de Michel était particulièrement visée. «C'était un homme sans histoires, a mentionné Sandra Dion, de la police de Québec. Il arrive qu'il y ait une profanation de pierres tombales, mais c'est la première fois que je vois un cas d'outrage à un cadavre.»
Même si elle est située à quelques mètres du chemin, la tombe profanée se trouve dans un endroit plutôt isolé du cimetière, a constaté le Journal.
Incinération
L'événement ignominieux a bouleversé le rapport qu'entretient la veuve de Michel avec la vie et la mort. «On a saccagé l'endroit où je vais moi-même reposer plus tard, a-t-elle rapporté. Je n'ai jamais voulu être incinérée, mais ça a tout remis en question. J'ai dit à ma fille que je voulais être incinérée. Pourtant, je ne voulais rien savoir de l'idée d'être brûlée.»
Désireuses de protéger la petite-fille de Michel, les deux femmes ont tenu à conserver l'anonymat. «On n'explique pas ça à un enfant. Même un adulte ne comprend pas vraiment», a lâché la fille de Michel avec beaucoup d'émotion.
Si vous disposez de renseignements concernant ce méfait, vous pouvez contacter la police de Québec au 418 -641-2447 en indiquant ce numéro de dossier: QUE111109-080.
* * *
Ce qu'ils ont dit...
«C'est le personnel fossoyeur qui est passé pour signaler une ouverture qu'il n'avait pas eue dans ses commandes. C'est toujours une réaction de surprise et de stupéfaction de voir que quelqu'un a osé creuser une fosse (...) Je n'ai jamais vu ça.»
-- Rénald Julien, directeur général du cimetière Saint-Charles depuis 1977
«On s'en reparle tous les jours. C'est redevenu notre sujet de conversation comme quand il est décédé la première fois.»
-- La veuve de Michel
«On est bien peinées de ça. Ça ne me tente pas d'en parler et de pleurer de nouveau. Ma famille me comprendra, mais pas mes collègues de travail. Personne ne peut vraiment nous comprendre tant qu'il n'a pas vécu ça.»
-- La fille de Michel
«Tout nous traverse l'esprit, mais on n'a aucune idée de qui a pu faire ça et ce qui le motivait. C'est comme un vol ou un viol. Ça fait peur, ça fait faire des cauchemars. Dire que tu ne peux pas reposer en paix. C'est un traumatisme.»
-- La veuve de Michel
«Si jamais ces ossements-là ne sont pas retrouvés, elle ne pourra jamais tout à fait reposer à côté de son conjoint.»
-- La fille de Michel, en parlant de sa mère
CINQ ANS MAXIMUM
(TM) L'article 182(B) du Code criminel stipule «qu'est coupable d'un acte criminel et passible d'un emprisonnement maximal de cinq ans quiconque (...) commet tout outrage, indécence ou indignité envers un cadavre humain ou des restes humains, inhumés ou non».


vendredi 2 décembre 2011

Vous souvenez-vous du Climategate ?


En novembre 2009, il avait fallu patienter plusieurs semaines avant que nos médias locaux ne daignent rapporter le séisme qui secouait la science du climat et qui occupait sans relâche la presse internationale.
On apprenait alors qu'une source anonyme avait rendu publics plus d'un millier de courriels échangés entre des chercheurs particulièrement influents auprès du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC).
COURRIELS
Ces courriels révélaient que les données qui avaient servi à la rédaction de rapports alarmistes, lesquels continuent d'orienter les politiques publiques, avaient été délibérément manipulées afin d'occulter le fait qu'aucun réchauffement climatique n'avait été enregistré depuis presque 15 ans.
Nous sommes le 1er décembre 2011 et l'histoire se répète. La même source anonyme vient de dévoiler plus de 5000 nouveaux courriels incriminant encore et toujours les chercheurs dans le giron du GIEC, dont Michael E. Mann, de l'Université Penn State, et Phil Jones, de l'Université d'East Anglia.
Or, encore une fois, nous avons droit à l'omertà médiatique. Alors qu'on nous rapporte des faits divers souvent sans intérêt, personne ne souffle mot de la nouvelle bombe qui ébranle la science climatique officielle. Il faut croire qu'un vol d'essence dans une station-service est plus important que les pratiques douteuses des scientifiques du GIEC!
Revenons aux courriels. Comme en 2009, ils jettent un éclairage peu flatteur sur les scientifiques qui les ont rédigés. On y apprend entre autres que ces chercheurs:
1) doutent de la qualité de certaines de leurs propres études et admettent entre eux la pertinence des critiques des sceptiques;
2) complotent pour entretenir la théorie du réchauffement anthropique, notamment en manipulant les données et les modèles;
3) emploient des méthodes d'intimidation contre les scientifiques «dissidents» dont les travaux sont susceptibles de nuire à leur cause;
4) considèrent que la question climatique est avant tout une cause politique. La recherche de l'exactitude scientifique semble secondaire;
5) redoublent d'efforts pour se soustraire à la loi sur l'accès à l'information en cachant leurs données.
RÉVÉLATIONS GRAVES
Ces révélations sont graves, parce que de nombreux gouvernements se basent sur les études du GIEC pour élaborer de coûteuses politiques environnementales. L'Australie, par exemple, vient d'imposer une taxe sur le carbone qui fera augmenter les prix de tous les biens et qui nuira assurément à la création d'emplois.
Le contenu des courriels est également inquiétant, car s'il y a vraiment supercherie, cela signifie que les grands de ce monde qui sont actuellement à Durban, dans le cadre des négociations sur le climat, discutent de mesures à prendre pour contrer un réchauffement anthropique qui ne repose pas sur des bases scientifiques solides.
Nombreux sont ceux qui minimisent l'importance de ces courriels et accusent les sceptiques de négationnisme. C'est une erreur: d'abord, parce que le doute est à la base de la démarche scientifique; ensuite, parce que fermer les yeux sur le contenu des courriels, c'est s'exposer au canular le plus coûteux de l'histoire de l'humanité.



REF.: Nathalie Elgrably-Levy est économiste senior à l'institut économique de Montréal
elgrably_commentaire@journalmtl.com

Le problême c'est pas les élèves ,.....c'est les ???

 


Faut-il aller jusqu'en Finlande pour trouver le professeur idéal? C'est ce qu'a fait Chantal Lavigne. La Finlande a développé un système d'éducation dont les résultats font l'envie de bien des pays... et sans commissions scolaires.


REF.:

Ça commence bien le mois !



 



Un agent de la police municipale de Bromont est mort en service au cours des dernières minutes après avoir été heurté par un camion cube chauffer par une femme distraite.
L'accident s'est passé sur la route 139 alors que le policier venait tout juste d'intercepter un véhicule pour une infraction au Code de la sécurité routière. Alors qu'il retournait vers son autopatrouille pour faire les vérifications d'usage, le policier a été heurté par le miroir droit d'un camion cube.
Selon Louis-Philippe Ruel, porte-parole de la Sûreté du Québec (SQ), la victime est morte sur le coup sur la place ,par la force de l'impact.
On s'explique encore bien mal ce qui a pu arriver puisqu'il semble que le camion aurait dévié sur l'accotement dans un tronçon en ligne droite avant de heurter la voiture de police, puis l'agent. Il semble que ni la vitesse ni l'alcool ne soient en cause.
L'ex-policier de la GRC, Vincent Roy de 37 ans ne comptait que quelques mois(4mois) d'expérience dans la police de Bromont,il semblait être pas assez familier avec le secteur . 

 Commentaires:
Le policier aurait dû se stationner a l'avant du véhicule intercepté et non a l'arrière comme il l'a fait ,pour mieux évaluer la situation et le traffic routier!


REF.: