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vendredi 16 mars 2012

Chiens a guerre ?

Nom de code: poilus d'Alaska

UNE HEURE SUR TERRE présente ce vendredi l'histoire d'une incroyable odyssée de la première guerre mondiale ; celle de deux officiers de l'Armée française chargés d'amener sur le front des Vosges en Alsace 450 chiens de traîneaux et leurs attelages depuis l'Alaska et le Québec. L'objectif de leur mission secrète: sauver le front de l'Est face à l'invasion allemande de 1915. Les aventuriers devront traverser un continent et un océan avec une meute de 450 chiens pour venir en aide aux soldats français, les Poilus de la Première Guerre.

La vie de milliers de soldats français est alors en jeu dans les forêts enneigées des Vosges où les déplacements sont pratiquement impossibles en hiver. Le Capitaine Louis Moufflet et le Lieutenant René Haas, aidés par le légendaire conducteur d'attelage, Scotty Allan, ont 120 jours devant eux pour parcourir 10,000 kilomètres sous la menace allemande.

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jeudi 15 mars 2012

L’État ne paie rien , les citoyens payent même la totalité de la facture


Lettre au ministre Bachand


Monsieur le Ministre des Finances, vous avez déclenché l’hilarité en 2010 en déclarant que « La finalité, c'est d'être heureux comme peuple ». En revanche, vos récents propos sont loin d’être amusants. Ils sont carrément révoltants.
Vous affirmez qu’un contribuable qui veut obtenir un service public doit accepter de payer de sa poche une partie de la facture. Insinueriez-vous que nous ne payons rien actuellement ? Que les services fournis sont un « cadeau » de l’État ?
Permettez-moi de souligner trois faits que vous ne pouvez ignorer.
1. Non seulement nous payons une « partie » de la facture, mais nous en payons même la totalité. L’État ne paie rien ! Les services dont vous vous enorgueillissez, c’est nous, et nous seuls, qui en assumons les coûts avec ce que nous versons en taxes et impôts.
2. Non seulement nous assumons la totalité de la facture, mais celle-ci est la plus élevée au Canada. Au titre de l’impôt sur le revenu uniquement, nos taux varient de 16 à 24 %. En Ontario, par exemple, ils atteignent de 5 à 11 %. Mais nous payons aussi la TVQ, les taxes sur l’essence, l’alcool, le tabac, les divertissements, les primes d’assurances, l’hébergement, les pneus, etc. Sans compter les frais d’immatriculation et de permis, les taxes municipales, scolaires, etc. Tous impôts confondus, nous travaillons près d’un jour sur deux pour l’État. N’est-ce pas suffisant ?
3. Non seulement nous payons plus que partout ailleurs au pays, mais nous devons parfois payer en double, car la qualité souvent douteuse des services publics et, dans certains cas, les difficultés à obtenir les services nous poussent à chercher une solution de rechange dans le secteur privé.
La « juste part »
Vous déclarez également que « chaque citoyen, quand il demande quelque chose à l’État, il se demande c’est quoi la juste part, comme moi je dois faire ». Passons sur la syntaxe lamentable de votre phrase et arrêtons-nous sur votre notion de « juste part ».
Dans votre budget de 2010, l’effort pour retrouver l’équilibre budgétaire devait être assumé à 60 % par l’État grâce à un contrôle serré des dépenses, et à 40 % par les contribuables par l'entremise d'une hausse des impôts, des taxes et des tarifs. Nous avons répondu à vos attentes, mais vous avez failli à votre promesse alors que l’État québécois a systématiquement dépensé plus que prévu.
Culture du gaspillage
N’oublions pas non plus la culture de gaspillage, une des caractéristiques de votre gouvernement : le dossier santé qui coûtera 1 milliard de dollars de plus que prévu ; les nombreuses dépenses superflues comme la subvention récente de 27 millions de dollars pour la construction d’un autobus électrique. Et vous osez nous sermonner sur notre « juste part » !
Vous dites être partisan d’une « révolution culturelle » (une expression plutôt choquante pour quiconque connaît l’Histoire). Les propos que vous tenez nous incitent effectivement à la révolution… mais elle ne sera probablement pas d’ordre culturel.
Sachez que ce n’est pas tant l’incompétence de la classe politique qui enrage les contribuables que sa manie de ne jamais se remettre en question, comme si elle était l’unique dépositaire de la sagesse. Cette arrogance est-elle vraiment indispensable ?


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CA_NathalieElgrablyLevyNathalie Elgrably-Lévy

mercredi 14 mars 2012

Application iPhone: La Saison des nids-de-poule


Agence marketing Taxi - Une application iPhone pour repérer les nids-de-poule
Une application au secours des automobilistes. 
© Shutterstock

MONTRÉAL – Avec la disparition de la neige, la saison des nids-de-poule est officiellement commencée à Montréal. Cette année, le lancement d'un tout nouvel outil de repérage des nids-de-poule pourrait faciliter la vie aux automobilistes.
Le site internet et l'application iPhone La Saison des nids-de-poule, créés par l'agence marketing Taxi, ont pour but d'aider les automobilistes à circuler dans la métropole, et de se lancer «à la chasse» aux trous dans la chaussée.
Installée sur un iPhone, l'application permet notamment de géolocaliser les nids-de-poule et de les répertorier sur une carte interactive. À ce jour, plus d'une centaine de ces cratères ont été répertoriés dans la grande région de Montréal.
Qui plus est, sur la route, l'application iPhone prévient le conducteur à l'approche d'un nid-de-poule et enregistre automatiquement ceux qu'il frappe.
Lorsque l'automobiliste arrive à destination, il peut signaler les nids-de-poule enregistrés lors de son trajet.
La fonction de géolocalisation de l'application est efficace dans la région de Montréal. Toutefois, il est possible pour les gens de partout au Québec de signaler les nids-de-poule.
De plus, le concept permet aux automobilistes de signaler l'emplacement exact des nids-de-poule aux autorités municipales.


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On va taxer encore le peuple de colonisé : une parodie à saveur politique


Après la main de Dieu de Ryan,le Doigt de Dieu de Charest  !

Yannick Goyer se permet aussi d’imiter le premier ministre Jean Charest, le présentant comme un voleur qui cherche constamment à « les taxer encore ». 
© Youtube

http://youtu.be/nilNaC3E_QU





MONTRÉAL – L'humoriste et comédien Yannick Goyer a mis en ligne sur YouTube une vidéo où il critique la situation politique québécoise sur l'air de la chanson On va s'aimer encore de Vincent Vallières.
La vidéo, partagée rapidement sur les réseaux sociaux, fait l'objet de nombreux commentaires élogieux.

Le jeune humoriste y dénonce le taux élevé d'imposition au Québec, en faisant plusieurs clins d'œil à différents dossiers récents : le pont Champlain, la corruption, le monde de la construction, la montée du prix de l'essence, la pénurie de médecins, les dépenses abusives de la part des politiciens... Toutes ces situations sont dénoncées sur un ton caustique.
Yannick Goyer se permet aussi d'imiter le premier ministre Jean Charest, le présentant comme un voleur qui cherche constamment à « les taxer encore ».

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Ben Laden: victime d'un complot d'Al-Qaïda ou de Musharraf ?

Complot d'Al-Qaïda - Ben Laden trahi par une de ses femmes jalouse?
 
© KARIN ZEITVOGEL / AFP
Complot d'Al-Qaïda

Ben Laden trahi par une de ses femmes jalouse?


RAWALPINDI - Oussama ben Laden, sénile et lâché par Al-Qaïda, a-t-il été donné aux Américains par l'une de ses premières femmes, jalouse de la plus jeune dans le huis clos d'Abbottabad? C'est la thèse avancée par un ancien général pakistanais au terme d'une longue enquête. Dix mois après, les dessous du raid américain qui a tué le chef d'Al-Qaïda dans son paisible refuge d'Abbottabad, dans le nord du Pakistan, restent mystérieux, nourrissant de multiples théories, dont celle de la trahison.
Shaukat Qadir, un général de brigade à la retraite, a enquêté pendant huit mois. Fort de ses relations au plus haut niveau de l'armée, il a pu visiter la maison, avant qu'elle en soit détruite en février, et parler aux agents qui ont interrogé les femmes de ben Laden, arrêtées après l'opération américaine.
Il en a tiré une théorie iconoclaste: ben Laden, marginalisé et amoindri, aurait été victime d'un complot d'Al-Qaïda, qui a utilisé une de ses femmes pour mettre les Américains sur sa trace.Et sans oublier la collaboration du Président Perez Musharrafdu Pakistan !
Comme tout ce qui concerne la fin du chef d'Al-Qaïda, elle souffre de l'absence de preuves. Et d'un doute sur son impartialité, l'ancien général disculpant quasiment l'armée pakistanaise, accusée d'avoir fermé les yeux pendant des années sur sa présence à Abbottabad.
Selon lui, ben Laden «a commencé dès 2001 à souffrir de déficience mentale», qui a progressivement conduit son bras droit, l'Égyptien Ayman Al-Zawahiri, à vouloir l'éliminer. «Il en avait marre des lubies fantasmatiques de ben Laden», qui voulait par exemple «s'emparer d'une centrale nucléaire» au Pakistan, explique-t-il à l'AFP.
Après plusieurs années de cavale dans le nord-ouest pakistanais, Al-Qaïda décide de le cacher à Abbottabad, où elle fait bâtir une grande maison.
Ben Laden s'y installe en 2005 avec deux de ses femmes et plusieurs de leurs enfants, dont un fils adulte, Khalid. Ce dernier, comme les deux protecteurs pakistanais du chef d'Al-Qaïda, y vient également avec femmes et enfants. Au total, 27 personnes vivaient dans la maison et sa dépendance à la veille du raid fatal du 2 mai, selon le général Qadir.
Ben Laden s'installe au dernier étage avec sa dernière femme, la Yéménite Amal Abdulfattah, 29 ans, qu'il a épousée en 1999 et qui l'a suivi depuis. Ils auront cinq enfants, dont deux nés à Abbottabad.
Selon le général Qadir, tout le monde vit en bonne harmonie, y compris Amal et l'autre femme de ben Laden, la Saoudienne Seehan, la mère de Khalid, dans cette maison entourée d'un grand jardin et quasi autosuffisante.

Khairia
Mais les choses changent au printemps 2011, lorsque débarque une autre femme de ben Laden, elle aussi saoudienne, Khairia, qu'il avait épousée dans les années 1980 et n'avait pas revue depuis la fin 2001. Réfugiée et mise en résidence surveillée en Iran jusqu'à la fin 2010, elle a ensuite passé selon Shaukaut Qadir plusieurs mois dans un camp d'Al-Qaïda en Afghanistan avant de rejoindre Abbottabad en mars 2011. Moins de deux mois avant le raid. L'ancien général en est persuadé: Khairia est celle qui l'a trahi. «Et c'est également ce que pense Amal», qui l'a dit aux enquêteurs, ajoute-t-il.
À son arrivée dans la maison, Khairia, réputée pour sa jalousie maladive, s'installe au premier étage. Elle éveille vite les soupçons, notamment chez Khalid. Citant Amal, le général Qadir raconte que «Khalid n'arrêtait pas de lui demander pourquoi elle était venue et ce qu'elle voulait d'Oussama. Et elle lui a juste répondu: «Je dois faire une dernière chose pour mon mari». Inquiet, Khalid a fait part à son père de ses craintes de trahison. Mais ben Laden, fataliste, a juste dit: «Que ce qui doit arriver arrive»».
Le chef d'Al-Qaïda sentait-il venir la mort? Selon Amal, «il a alors tenté de persuader ses deux autres femmes de fuir, mais elles ont voulu rester avec lui», ajoute le général Qadir.
Pour ce dernier, Al-Qaïda, Al-Zawahiri en tête, a téléguidé Khairia pour orienter les Américains vers la maison d'Abbottabad et précipiter la fin de ben Laden. Et l'interception par les Américains d'une communication téléphonique de Khairia contribuera à les persuader que ben Laden se trouvait bien là.
Washington a de son côté écarté tout complot, assurant avoir repéré ben Laden par ses propres moyens. L'armée pakistanaise a elle toujours affirmé ignorer sa présence à Abbottabad. Selon Shaukat Qadir, elle l'a découvert, mais tard, à la toute fin avril, et a été pris de court par le raid américain.
Dans tous les cas, les preuves manquent. Les aura-t-on un jour? L'ancien général sourit: «C'est comme pour l'affaire JFK.»


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lundi 12 mars 2012

Animaux Honorés ? Trois chiens héroïques ? NON !

Trois chiens héroïques,c'est le monde a l'envers ! .............Quant ce sont les propriétaires et chefs de meute qui auraient dû avoir la mention d'honneur !

Le meilleur ami de l’homme a lui aussi son jour de gloire,mais le crédit reviens a son maître ou son musher !

Le comportement de vos chiens sera le reflet du vôtre ! Et vos enfants ? Pareille !!!!!!!!!!!!

  Message a "Mélanie Colleu" de Canoe:

Les chiens n'ont pas de monde,ils n'ont qu'une psychologie canine,c'est tout ! Le Monde n'est que pour l'Homme qui le cré et qui en exclus de demon de ce monde !

 

 




Ils s’appellent Pollux, Twister et Ginger. Leur histoire, leur habileté et leur incroyable ingéniosité ont marqué les esprits et leur valent aujourd’hui un billet d’entrée bien mérité au Panthéon québécois des animaux.
Il n’y a pas que les grands personnages qui marquent l’histoire d’un pays. Les animaux aussi, estime le Dr  Michel Pépin, directeur général de l’Association des médecins vétérinaires du Québec, à l’origine de cette distinction.
Grâce à leur parcours hors du commun, trois nouveaux compagnons canins ont rejoint les 33 chiens, 5 chats et 2 chevaux précédemment intronisés au Panthéon québécois des animaux.
« Eux aussi, ils ont leur place. Ils nous protègent et nous aident tous les jours », confie le Dr  Pépin.
À la recherche de stupéfiants
En retraite depuis trois ans, Twister a travaillé aux côtés de son maître-chien, l’inspecteur des douanes Steve Foisy, pendant 12 longues années. Ensemble, ils ont mis la main sur des milliers de dollars de stupéfiants et plusieurs armes à feu.
Capable de sentir la présence de drogues même à l’intérieur d’un conteneur fermé débarqué d’un cargo, ce labrador est pour son maître un chien bien particulier. « Je l’ai su dès le début. C’est son infatigable désir de travailler qui l’a rendu meilleur, pense-t-il. Aujourd’hui, il fait du sofa et c’est bien mérité ! »
Perdue depuis un an
Le 1er juillet dernier, Pollux avait fait la une des journaux lors de son arrivée à l’aéroport de Montréal : après avoir disparu pendant un an, la chienne de la famille Robitaille a été localisée en Colombie-Britannique, à 4 500 km de Montréal, où ses maîtres résident.
Ils avaient perdu tout espoir de la revoir, mais grâce à la puce électronique que Pollux avait dans la nuque, la SPCA est remontée jusqu’à eux.
« On n’y croyait plus et ce qui est encore plus incroyable, c’est qu’en arrivant à la maison, elle se souvenait non seulement de tous ses commandements, mais aussi des fauteuils sur lesquels elle n’avait pas le droit de monter », raconte Isabelle Robitaille, la mère de famille.
L’épopée que cette femelle labrador croisée lévrier a connue durant sa longue année d’errance, elle, restera secrète. « On se dit parfois qu’on aimerait bien parler le chien pour savoir ce qu’elle a bien pu vivre », plaisante Mme Robitaille.
Héroïne des flammes
La troisième couronne revient enfin à Ginger, une femelle rottweiler qui aurait deux ans et demi si elle n’avait pas été accidentellement heurtée par une voiture il y a un mois. L’Association des médecins vétérinaires du Québec a tenu à l’introniser à titre posthume, du fait de l’instinct héroïque dont elle a fait preuve l’an dernier.
Alors que le feu commençait à se propager en pleine nuit dans la résidence d’Alexandra St-Germain, de son compagnon et de leurs deux enfants, Ginger a jappé et gratté le plancher jusqu’à réveiller les deux adultes. La famille a eu le temps de réagir et de sortir avant que les flammes n’envahissent toute la maison.
Selon les pompiers, il n’aurait suffi que de deux minutes de plus pour que les quatre personnes restent prisonnières du feu à l’intérieur. « Elle nous a sauvé la vie, s’écrie Mme St-Germain, les larmes aux yeux. Je suis fière qu’elle soit honorée aujourd’hui, je sais qu’elle aurait été une bonne chienne. »
A contrario, deux autres chiens, Ketchup et Charlie, ont été secourus l’année dernière par une femme, Johane Cloutier, qui n’a pas hésité à s’aventurer dans les eaux du Richelieu en robe de chambre et bottes de pêche pour les sauver de la noyade. Son courage a également été récom­pensé.

 



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