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samedi 14 avril 2012

Intimidation

À travers les États-Unis, des millions d'enfants sont victimes d'intimidation chaque jour à l'école. Alex, un jeune garçon qui a de la difficulté à se faire des amis, est victime d'intimidation dans l'autobus et à l'intérieur de son école, mais la direction semble impuissante. Kelby, une jeune homosexuelle assumée, doit supporter les railleries et les méchancetés des habitants de son petit village. Ja'Maya est présentement détenue dans un centre jeunesse pour avoir apporté un pistolet dans l'autobus scolaire afin de faire cesser la violence à son endroit. Pour les parents de Tyler Long et de Ty Smalley, qui se sont suicidés, la situation est tout simplement inacceptable.


REF.:

mercredi 11 avril 2012

Le Glouton d'or, cuvée 2008, ça s'entait le caca foncé !

2e édition des prix Glouton

 
Trois ex-dirigeants de l'UQÀM et Henri-Paul Rousseau « honorés » 
Candiac, le 22 février 2009 La Ligue des contribuables du Québec décerne aujourd'hui ses prix Glouton dans le but d'honorer ceux qui ont été particulièrement voraces avec l'argent des contribuables en 2008! Chaque année, la Ligue remet un Glouton d'or, d'argent et de bronze à des élus, fonctionnaires ou organismes qui se sont distingués en dilapidant l'argent des citoyens.
Glouton d'or
Le Glouton d'or 2008 est attribué aux trois ex-dirigeants de l'UQÀM qui ont géré deux projets immobiliers avec tant d'insouciance et de négligence qu'ils ont mené l'institution au bord de la faillite. Leur incompétence aura coûté 380 millions de dollars aux contribuables. En effet, on apprenait en octobre dernier que le gouvernement du Québec épongeait la dette de l'UQÀM relative aux deux projets immobiliers, soit le Complexe des sciences et le chantier avorté de l'Îlot Voyageur.
« C'est tellement facile de jouer au Monopoly avec l'argent des autres, en l'occurrence avec l'argent des contribuables, s'indigne Claire Joly, directrice générale de la Ligue. Et voilà que nous devons éponger une dette de 380 millions $ ! Pendant ce temps, deux des trois responsables du désastre ont pu quitter tranquillement leur poste avec les compensations financières prévues à leurs contrats. C'est scandaleux ».
Les trois dirigeants de l'UQÀM qui ont été blâmés par le Vérificateur général sont Roch Denis (recteur), Mauro Malservisi (vice-recteur aux ressources humaines) et Nicolas Buono (directeur des investissements).
Glouton d'argent
Le Glouton d'argent est décerné à Henri-Paul Rousseau, ex-pdg de la Caisse de dépôt, pour avoir accepté une prime de départ de 380 000 $ même s'il a démissionné pour accepter un emploi chez Power Corporation.
« Le public a été outré d'apprendre que M. Rousseau avait reçu une indemnité pour avoir abandonné le navire alors qu'il prend l'eau. Le gouvernement ne devrait jamais accorder de primes en cas de départ volontaires, c'est une aberration. Malheureusement, elles sont de plus en plus courantes dans le secteur public et parapublic. Même les députés et les élus municipaux y ont droit !, explique Mme Joly. L'abolition de ces clauses « bonbon » est une des priorités d'action de la Ligue cette année ».
Dans la même catégorie, la Ligue accorde une mention honorable à Claude Mailhot, anciennement sous-ministre au ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport, qui a empoché une prime de 137 000 $ pour renouer ensuite avec le journalisme sportif. M. Mailhot a eu l'élégance de démissionner 24 heures après que son contrat eût été modifié pour lui accorder une allocation en cas de départ volontaire.
Glouton de bronze
Le Glouton de bronze est remis à l'Agence spatiale canadienne, qui a dépensé 240 000 $ pour étudier la possibilité de se lancer dans l'exploitation minière…de la lune!
Plus précisément, l'Agence spatiale a lancé des appels d'offres pour deux études de préfaisabilité. La première devait se pencher sur la construction d'habitations ainsi que des infrastructures minières comme telles. La seconde concernait le développement d'un réseau de transport à la surface de notre satellite.
« Le gouvernement fédéral devrait garder les pieds sur terre. Inutile de dire que l'exploitation minière de la lune n'est pas une priorité pour les contribuables en ce moment », constate Mme Joly.
***
La Ligue des contribuables décernait aujourd'hui ses prix Glouton pour la 2e année consécutive. L'an dernier, la Ligue avait remis son tout premier Glouton d'or à Lise Thibault, ancienne lieutenant-gouverneur du Québec.
La Ligue des contribuables du Québec est un organisme non partisan et sans but lucratif qui s'est donné comme mission de défendre l'intérêt des contribuables de la province. La Ligue dénonce le gaspillage de fonds publics et demande un allègement du fardeau fiscal.

REF.:

5e édition des prix Glouton


 
Candiac, le 26 février 2012 – La Ligue des contribuables du Québec décerne aujourd'hui ses prix Glouton pour l'année 2011! Tous les ans, la Ligue remet un Glouton d'or, d'argent et de bronze à ceux qui ont dilapidé l'argent des citoyens avec brio, ou encore qui ont contribué à l'alourdissement de notre fardeau fiscal.
Pour la première fois cette année, la Ligue décernera aussi un prix « Portefeuille d'or ». Cet honneur soulignera le travail de ceux qui ont contribué, à leur manière, à la saine gestion de l'argent des contribuables.
Glouton d'or : au Dossier santé du Québec
Le Glouton d’or est attribué au ministère de la Santé pour sa gestion du
projet d’informatisation des dossiers médicaux et cliniques de tous les
Québécois. Le coût du projet devrait atteindre 1,6 milliards de dollars, soit 1 milliard $ de plus que prévu en 2006! Cet important projet accuse aussi un retard de 10 ans et ne sera pas terminé avant 2021.
« On parle beaucoup des dépassements de coûts dans le domaine de la construction, mais de très nombreux projets informatiques ont dérapé ces dernières années, fait remarquer Claire Joly, directrice générale de la Ligue. Des journalistes ont même rapporté qu'il y aurait des cas de collusion dans l'attribution de contrats. Le gouvernement a annoncé des mesures pour corriger la situation, mais seul l'avenir nous dira si elles seront efficaces. Il faudra être vigilants. »
Glouton d'argent : à la ministre Michelle Courchesne
Le Glouton d'argent est décerné à Michelle Courchesne, à l'époque ministre de la Famille, pour la manière incohérente et subjective dont s'est déroulée l'attribution de 18 000 places subventionnées en garderie. Le vérificateur général du Québec a révélé en décembre que 3/4 des projets retenus en 2008 ne correspondaient pas aux critères de qualité établis par son ministère. De plus, 29% des projets se trouvaient dans des municipalités où il y avait un surplus de places! Résultat : environ 40% des places promises ne se sont pas concrétisées à l'échéance prévue du 30 septembre 2010.
« Ce cafouillage est un autre chapitre dans la saga des garderies subventionnées, qui coûtent plus de 2 milliards $ par année aux contribuables québécois, rappelle Mme Joly. Manque chronique de places et listes d'attentes vertigineuses, conflits de travail à répétition, services ne répondant pas aux contraintes d'horaire des parents... Le programme des garderies montre bien comment une bonne intention peut devenir un cauchemar bureaucratique quand les politiciens s'en mêlent. »
Glouton de bronze : à l'Université Concordia
Le Glouton de bronze est remis à l'université Concordia et à son ancienne rectrice Judith Woodsworth, à qui l'on a versé une indemnité de départ de 703 000 $ deux ans et demi après son entrée en fonction... et qui vient d'être réembauchée comme professeure! Son prédécesseur Claude Lajeunesse avait lui-même reçu une indemnité de départ s'élevant à 1,3 million $ après deux ans seulement à la tête de l'institution. Les circonstances entourant le départ des deux recteurs restent nébuleuses.
« Les frais de scolarité doivent augmenter, ce qui n'est pas déraisonnable en soi, affirme Mme Joly. Mais le moins que les universités puissent faire dans ce contexte est de réviser leurs pratiques de gestion et la rémunération de leurs dirigeants. Plusieurs d'entre eux reçoivent notamment de généreuses indemnités lors de leur départ à la retraite. Ce genre de petit cadeau est injustifiable. »  
Le Portefeuille d'or
La Ligue décerne son Portefeuille d'or aux employés municipaux qui ont volontairement renégocié les conditions de leurs régimes de retraite, régimes parfois si généreux qu'ils menacent aujourd'hui la santé financière de nombreuses villes. C'est ce qu'ont fait les employés de municipalités comme Granby ou Rivière-du-Loup. Ils épargnent ainsi aux contribuables des hausses salées de taxes.
« Il faut souligner l'ouverture d'esprit des employés qui ont accepté de faire des concessions, car ce ne doit pas être facile, admet Mme Joly. Espérons que les employés du secteur public à qui l'on demandera des compromis sur les retraites choisiront aussi la collaboration plutôt que la confrontation ».
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La Ligue des contribuables décernait aujourd'hui ses prix Glouton pour la 5e année consécutive. En 2008, la Ligue avait remis son tout premier Glouton d'or à Lise Thibault, ancienne lieutenante-gouverneure du Québec.
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La Ligue des contribuables du Québec est un organisme non partisan et sans but lucratif, qui s'est donné comme une mission de veiller à l'intérêt général des contribuables de la province. La Ligue dénonce le gaspillage de fonds publics et demande un allègement du fardeau fiscal.
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Renseignements :
Claire Joly, directrice générale
REF.: Ligue des contribuables du Québec

Intrusion de vie privée pour taxation maximale ou L’état-espion ?


Souriez, on vous regarde !

Les magiciens excellent dans l’art de détourner notre attention pour exécuter des manœuvres discrètes et réaliser leurs tours. Ils savent que si notre cerveau se concentre sur les gestes de la main droite, il ne voit pas ceux de la main gauche. Dans une certaine mesure, les autorités publiques emploient la même technique que les magiciens.
Aujourd’hui, la santé de l’économie mondiale, les crises d’endettement et les mesures annoncées dans les récents budgets retiennent toute notre attention. Ces préoccupations sont certes légitimes, mais elles peuvent nous faire oublier certains changements profonds qui s’opèrent dans la société.
L’un de ces changements vise l’utilisation des technologies de l’information à des fins de surveillance de la population.
J’ai déjà traité du projet de loi fédéral C-30 qui donnerait le droit aux forces policières d’obliger les entreprises de télécommunications à fournir des renseignements sur leurs clients ainsi que le contenu de leurs communications sans obtenir l’autorisation des tribunaux.
Vie privée
Toutefois, les tentatives d’intrusion dans notre vie privée vont plus loin. Pensons aux compteurs intelligents qui suscitent la polémique dans plusieurs pays notamment parce que cette technologie permet à l’État de surveiller l’occupation des lieux, les habitudes de consommation et même d’identifier lesquels de vos appareils électriques sont en fonction. Big Brother pourrait donc savoir à quelle heure nous nous levons, quand nous partons pour le travail, prenons une douche, lavons nos vêtements ou regardons la télé.
Pensons également à la nouvelle technologie « Intellistreets » qui est déployée notamment au Michigan. Celle-ci consiste à remplacer les lampadaires qui éclairent les rues par des lampadaires intelligents qui présentent certes des vertus en matière d’économie d’énergie, mais qui sont aussi munis de dispositifs de surveillance ultrasophistiqués. Entre autres, le système peut être programmé pour détecter les piétons, les prendre en photo et même enregistrer leurs conversations.
L’état-espion
Ce n’est pas tout. Le gouvernement américain s’affaire à terminer la construction du plus important centre d’espionnage et de stockage de données au monde. Ce complexe de deux milliards de dollars, situé dans l’Utah, pourra non seulement capter, filtrer et enregistrer toutes les communications de la planète, y compris les achats en ligne, les communications téléphoniques, les SMS, les recherches sur Internet, etc., mais il pourra aussi décrypter les données et accéder à un large éventail d’informations confidentielles.
Pour couronner le tout, David Petraeus, directeur de la Central Intelligence Agency (CIA) a récemment déclaré que plusieurs appareils technologiques permettront bientôt aux autorités de surveiller en permanence presque n’importe quel lieu.
Pendant que nous dénonçons l’État-providence, nous ne remarquons ni la montée de l’État-espion ni l’érosion de notre vie privée. En fait, la plupart des gens se moquent royalement d’être surveillés si on affirme que c’est pour leur sécurité.
Benjamin Franklin disait : « Ceux qui sont prêts à sacrifier une liberté fondamentale pour obtenir temporairement un peu de sécurité ne méritent ni la liberté ni la sécurité ». J’ignore où les nouvelles technologies nous mèneront. Peut-être que les autorités abandonneront leur obsession pour la surveillance. Ou encore peut-être que le monde entier prendra bientôt l’allure d’une prison. La suite des choses dépendra de nous.


REF.:

Nathalie Elgrably-Lévy

lundi 9 avril 2012

Park toué a 15 pieds du coin ,la Loi c'est la Loi !

contraventions
Photo Le Journal de Montréal, Valérie Gonthier
Lucie Robert, Marcel Jérôme, Simon Wong et 43 autres citoyens du quartier Saint-Michel ont reçu une contravention de 52 $.

zèle policier ?

Des contraventions pour le moins surprenantes

Les voitures se trouvaient à moins de 5 mètres d’une intersection

Près d’une cinquantaine de résidents du quartier Saint-Michel ont trouvé une contravention sur leur pare-brise récemment, en matinée. La raison ? Leur voiture était garée à moins de cinq mètres d’une intersection. Du « zèle » de la part des policiers, croient certains citoyens rappelés à l’ordre.
« Ça fait 40 ans que je reste ici. C’est la première fois que je reçois une contravention pour cette infraction », lance Lucie Robert.
Le 30 mars au matin, lorsqu’elle est sortie de chez elle, Mme Robert a eu une bien mauvaise surprise : une contravention de 52 $.
En regardant autour d’elle, la dame a vite réalisé qu’elle n’était pas la seule dans cette situation. Au total, en l’espace de quelques heures, 46 contraventions ont été remises aux citoyens mal stationnés.
Pompiers frustrés
À l’arrondissement, on indique que c’est à la suite d’un problème rencontré par les pompiers de Montréal que ces contraventions ont été données.
« C’est à la demande du service d’incendie. Ils ont agi pour des raisons de sécurité. Mais à l’arrondissement, nous n’avions pas été mis au courant », explique Anie Samson, maire de l’arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension.
Au Service d’incendie, on dit n’avoir jamais « demandé » de mettre des contraventions.
Mais après avoir eu un problème d’accessibilité à une rue dans ce secteur, des pompiers ont décidé d’agir.
« Certains ont pris l’initiative d’aller voir les policiers au poste de quartier. C’est à la suite de ça que les policiers sont allés mettre des contraventions », expose Mélanie Drouin, chargée de communication au Service des incendies.
Intervention du maire
Lorsqu’elle a été mise au courant de cette tournée de contraventions, Mme Anie Samson est intervenue.
« Mais j’ai demandé au commandant du poste de quartier d’arrêter de donner des tickets, lance-t-elle. Même si on donne une contravention, le camion ne peut pas plus passer dans la rue. Il faut qu’on mette en place des installations », dit-elle.
Mme Drouin reconnaît que ce n’est pas le rôle des pompiers d’aller voir les policiers concernant ce type de problèmes.
« Nous avons un comité de circulation. Les pompiers auraient dû adresser leur requête à nos gens à l’interne », dit-elle.
Deux places perdues
Anie Samson ajoute que même si l’interdiction de stationner à moins de cinq mètres d’un coin de rue est en vigueur, « on ne l’applique pas ».
« Notre objectif, ce n’est pas de donner des tickets pour donner des tickets. Personne ne veut ça », ajoute-t-elle.
Pour Lucie Robert, l’infraction en soi ne mérite pas une contravention.
« C’est du zèle de la part des policiers, indique-t-elle. Déjà que c’est difficile de trouver du stationnement dans les rues… »
Un argument qui est corroboré par Mme Samson.
« Le stationnement est très dense dans le secteur. En enlevant les cinq mètres, on perd deux places de stationnement par coin de rue. Ce n’est pas vrai qu’on va enlever des places », lance-t-elle.
Dans les prochaines semaines, des pancartes interdisant le stationnement à certains endroits devraient être installées.


REF.:

L'intimidation voyez-y !



L'intimidation a la même effet psychologique qu'un enfant serait battu !
Pourquoi on peut pas dire osti de neigue et qu'osti de fife ,on le peut ?
https://www.facebook.com/pages/OSTI-DE-FIF-Jasmin-Roy/100382306672202

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