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samedi 19 mai 2012

450 000$ de fraude pour 21 mois en d'dans ;-)


Fraudeur informatique - Condamné à 21 mois de prison
Sébastien Massicotte-Lalumière 
© Courtoisie

LAVAL – Sébastien Massicotte-Lalumière, ce fraudeur informatique qui a mis la main sur plus de 450 000$ en fraudant des clients de différentes institutions financières du Québec, a écopé, jeudi , de 21 mois moins un jour d'emprisonnement.
Le fraudeur avait réussi à dérober d'importantes sommes d'argent à plusieurs Québécois en procédant à l'envoi de courriels qui imitaient les sites internet d'institutions financières. Il a effectué des changements d'adresse postale au nom de ses victimes pour ensuite s'y faire livrer de nouvelles cartes de crédit.
Lors du procès, la poursuite avait suggéré une peine de trois ans de prison. De son côté, l'avocat de la défense, Clemente Monterosso, avait fait valoir qu'une peine de 18 mois à laquelle il faudrait soustraire la détention préventive serait suffisante.
Selon la défense, l'année en prison doit compter pour une année et demie en raison des difficultés vécues par l'accusé en détention. Il était la risée des autres prisonniers et a dû être placé en isolation pour les mêmes raisons. «Je crois sincèrement que mon client a compris sa leçon. Il a de profonds regrets», a ajouté Me Monterosso. En raison d'un manque de preuves, la juge Lise Gaboury n'a pas pu prendre en considération les difficultés qu'il a connues en détention.
Témoignage saisissant
Avant que la sentence soit prononcée, Sébastien Massicotte-Lalumière s'est adressé à la juge. «Aujourd'hui, cela fait exactement un an jour pour jour que je suis en prison. Ce que je souhaite de tout mon cœur, c'est de reprendre une vie normale et de retourner aux études faire un cours de 1800 heures en informatique», s'est exprimé l'accusé.
La juge a affirmé que son arme à lui, c'était un ordinateur. « Ce serait donc une drôle de décision de lui permettre de se spécialiser encore plus dans le domaine qui lui a valu son crime », a commenté Mme Gaboury.
Sébastien Massicotte-Lalumière a finalement écopé d'une peine initiale de trois ans de détention. Étant donné qu'il a déjà passé une année en prison, il lui en reste deux à purger. L'accusé a aussi écopé de trois ans de probation à sa sortie de prison. Il lui sera interdit de se servir d'un ordinateur. À sa sortie de la salle d'audience, il s'est exclamé en riant : «C'est absolument n'importe quoi tout ça!».
Sébastien Massicotte-Lalumière a déjà eu de nombreux démêlés avec la justice en raison notamment d'accusations pour alcool au volant, vol et possession de stupéfiants.


REF.:

Le Fédéral gaspille votre argent ? Des Édifices à moitié vide Coût: 11,5 millions $

Édifices à moitié vide - Coût: 11,5 millions $
L’analyste du marché Barry Nabatian. 
©Tony Caldwell / Archives / Agence QMI

OTTAWA – Des immeubles fédéraux à moitié vides coûtent 11,5 millions $ par année aux contribuables, selon des documents obtenus par l’Agence QMI en vertu de la Loi sur l’accès à l’information.
Il y a près d’un million de pieds carrés de bureaux fédéraux vides à Ottawa. Selon les documents, il y a 18 édifices de Travaux publics et Services gouvernementaux qui ont un taux d’inoccupation de plus de 50 % dans la région d'Ottawa-Gatineau, et plusieurs d'entre eux sont vacants depuis des années et mêmes des décennies, ce qui coûte aux contribuables des millions $ pour le chauffage, l’eau et l’éclairage, la sécurité ou les taxes foncières.
En raison de la mise à pied de 4 800 employés fédéraux d’ici 2015, l’espace vacant devrait doubler. En outre, quatre nouveaux édifices fédéraux présentement en construction à Gatineau accueilleront des fonctionnaires fédéraux en 2013.
«Je pense que toute personne raisonnable pourrait se demander pourquoi le gouvernement jette par la fenêtre des millions $ pour l’entretien de bâtiments vacants», a déclaré le directeur pour l’Ontario de la Fédération canadienne des contribuables, Gregory Thomas. «Je pense que Travaux publics doit une explication aux contribuables.»
Selon l’analyste du marché Barry Nabatian, qui travaille pour Shore-Tanner and Associates, il existe un réel problème de gestion.
«Ils n’administrent cela vraiment pas correctement. Aucune société immobilière, aucune entreprise de gestion du secteur privé ne permettrait que cela se produise».
«Des espaces vacants pendant quelques mois, cela est parfois inévitable, mais année après année, c’est incroyable», a ajouté M. Nabatian.
Selon lui, la seule solution viable consiste en un partenariat public-privé pour louer les espaces gouvernementaux vacants.
Il fait valoir que le gouvernement fédéral devrait accueillir de petites firmes de consultation et des entreprises de haute technologie en démarrage, afin de louer l'espace vacant avec des contrats à court terme, qui pourraient prendre fin lorsque le gouvernement aurait besoin à nouveau de cet espace.
«Dans l'intervalle, les bâtiments seraient occupés, le gouvernement obtiendrait des recettes et augmenterait aussi la sécurité», a déclaré M. Nabatian.
Le porte-parole à Travaux publics et Services gouvernementaux, Sébastien Bois, a toutefois fait valoir que les édifices fédéraux, y compris l'espace inutilisé, ont contribué à l'économie locale, avec le versement de 74,63 millions $ en taxes versés directement dans les coffres de la ville d’Ottawa en 2011.




REF.:

Prêts et bourses ? l'argent est utilisé à d’autres fins ?

Québec a reçu depuis un an un pactole de 550 millions de dollars du gouvernement fédéral pour financer les bourses aux étudiants des cégeps et des universités. L’argent est utilisé à d’autres fins.
Un premier chèque de 275 millions de dollars est entré en janvier 2011, puis un deuxième du même montant a été versé en janvier dernier, a confirmé Ressources humaines et développement des compétences Canada (RHDCC). L’argent est versé en vertu du Programmes canadien de prêts aux étudiants. Même s’il ne participe pas à ce programme, le Québec a droit à « des montants compensatoires qui visent à appuyer ses propres programmes d’aide financière aux étudiants », a expliqué RHDCC par voie de courriel.
Les contributions du fédéral couvrent les années 2009-2010 et 2010-2011. RHDCC n’a pas confirmé si le versement du transfert sera reconduit pour l’année 2011-2012. Au lieu d’utiliser cet argent pour financer le programme de prêts et bourses aux étudiants, Québec l’injecte dans le fonds consolidé du revenu, de sorte qu’il sert au financement de différentes missions de l’État, a déjà confirmé le ministère des Finances.
Étudiants défavorisés
Les associations étudiantes des cégeps et des universités demandent au gouvernement Charest d’utiliser au moins une partie de l’argent provenant du fédéral pour bonifier le régime de prêts et bourses.
« Ça fait partie de nos revendications depuis plusieurs années. On s’est rendu compte l’an dernier qu’il y avait eu une bonification de 70 millions du transfert fédéral. Et on a encore eu les 70 millions de plus cette année. C’est de l’argent qui devrait aller aux étudiants. On doit bonifier le système de prêts et bourses. Les étudiants défavorisés en ont besoin », demande Martine Desjardins, présidente de la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ).
Le régime d’aide financière aux étudiants des cégeps et des universités est doté cette année d’une enveloppe de 568,7 millions de dollars, en hausse de 62,6 millions par rapport à l’année 2011-2012.


Pologne: IBM et HP impliqués dans une affaire de corruption

Pologne - IBM et HP impliqués dans une affaire de corruption
 
© AFP / Jean-Pierre Clatot

VARSOVIE - Les groupes informatiques IBM et Hewlett-Packard seraient impliqués dans une affaire de corruption concernant l'informatisation des administrations en Pologne, croit savoir jeudi le quotidien polonais Rzeczpospolita.
Le porte-parole de la police anti-corruption (CBA) Jacek Dobrzynski a refusé de confirmer ou de démentir les informations du journal.
Ces informations font suite à l'annonce mercredi par CBA de l'interpellation d'un haut fonctionnaire au sein de la direction de la police nationale et de deux dirigeants d'une société informatique polonaise, NetLine selon Rzeczpospolita, mis en examen tous les trois pour pots-de-vin.
«Les présidents de la société NetLine interpellés hier coopéraient étroitement avec les géants informatiques IBM et HP», a affirmé le journal.
Au début de l'année, CBA avait arrêté plusieurs hauts fonctionnaires et deux anciens directeurs de sociétés informatiques, mis en examen pour corruption dans les appels d'offres, a rappelé M. Dobrzynski.
Les porte-parole d'IBM et de HP en Pologne ont implicitement confirmé jeudi l'implication dans l'affaire de leurs anciens employés.
«Hewlett-Packard Polska coopère pleinement avec les autorités polonaises dans le cadre de l'enquête et ne commente pas son déroulement», a déclaré à l'AFP sa porte-parole Anna Marciniak, tout en soulignant que l'un des hommes inculpés, Tomasz Z., «n'était plus employé de HP Polska depuis février 2010».
De son côté, IBM «prend note des informations de presse au sujet d'un ancien employé d'IBM», a déclare son porte-parole en Pologne Tomasz Stachera.
«Nous prenons cette affaire très au sérieux et coopérons avec toutes les institutions chargées de l'enquête. Nous n'en commentons pas les détails à ce stade», a-t-il précisé.


REF.:

Les Riches vivent a Singapour

Oui, les riches sont imposés à 20% au lieu de 35% !

Voici l'histoire d' Eduardo Saverin : (un riche au pays de pauvres ! )

Loin de l'agitation de Wall Street où Facebook s'apprête à entrer en Bourse, un cofondateur du géant des réseaux sociaux, Eduardo Saverin, mène une vie tranquille à Singapour où il investit sa fortune dans des start-ups technologiques.

Le Brésilien, qui avait créé Facebook avec Mark Zuckerberg et deux autres amis à Harvard en 2004, a abandonné sa nationalité américaine et veut s'installer définitivement à Singapour, la ville-État prospère du sud-est asiatique.
Comme le raconte le film «The social network», Saverin, âgé maintenant de 30 ans, avait mis son sens des affaires au service de l'entreprise, portée par le génie informatique de Zuckerberg, lorsqu'ils ont créé ensemble le site internet le plus populaire au monde.
Les deux amis se sont violemment disputés lorsque la part de Saverin dans le capital a été fortement diluée, mais il devrait largement bénéficier de la mise en Bourse de Facebook, prévue vendredi.
Les critiques affirment que Saverin a renoncé à sa nationalité américaine pour éviter de payer l'impôt sur la plus-value sur sa fortune, estimée à 3,4 milliards de dollars US par le site internet «À qui appartient Facebook?».
Selon ce site, le jeune Brésilien détient 4% du capital.
Si ce chiffre est confirmé, Eduardo Saverin sera un des résidents de Singapour les plus riches.
Fuyant les médias, il bénéficie dans ce centre technologique et financier de l'Asie d'un anonymat qui lui échapperait aux États-Unis.
Tom Goodman, le porte-parole de Saverin à New York, a refusé de préciser la part de son client dans le capital de Facebook et affirme que la question des impôts n'a pas joué dans la décision de s'exiler.
C'est simplement que «Saverin a trouvé plus pratique de devenir un résident de Singapour» pour le long terme.
«Il estime que Singapour est au centre de la zone où il faut être pour la croissance, notamment dans tout ce qui touche à la technologie grand public, avec un marché internet et de portables qui s'accroît vite et va devenir dominant au niveau mondial», a déclaré Tom Goodman.
«Il prévoit d'investir dans des groupes brésiliens et internationaux qui sont très intéressés par l'entrée sur les marchés asiatiques», a-t-il ajouté.
L'impôt sur la plus-value n'existe pas à Singapour.
Les habitants les plus riches sont imposés à 20%, un taux moins élevé que les 35% de taux marginal pour les plus riches aux États-Unis.
Eduardo Saverin, dont l'argent et les conseils sont très recherchés par les acteurs du secteur de la technologie à Singapour, refuse les entretiens avec la presse et limite ses apparitions publiques.
Ceux qui le connaissent assurent qu'il est sans prétention et qu'il protège sa vie privée, mais qu'il reste accessible.
Il est apparu à quelques reprises dans la presse au bras de jeunes beautés, dont Rachel Kum, Miss Singapour 2009.
Perx, une start-up du web de Singapour, est une des entreprises dans laquelle Saverin a investi.
Selon le cofondateur de l'entreprise, Andrew Roth, Saverin a mis la main à la poche en 2011 et fournit ses conseils sur le développement de son application pour l'iPhone, une carte virtuelle de fidélité qui récompense les clients de restaurants, boutiques et autres établissements. Elle compte 40 000 clients.
«Il s'investit de plus en plus côté produits (...) et nous a donné des conseils très pertinents sur la façon de s'améliorer», a indiqué Roth.
Anideo, autre société technologique singapourienne connue pour son application de streaming vidéo sur mobile, Denso, a également reçu des fonds de Saverin.
Pour Tom Goodman, la présence de cette star des nouvelles technologies attire des entreprises «de première classe» à Singapour et dynamise le secteur des start-ups.


mardi 15 mai 2012

Comment faire annuler un ticket

Comment faire annuler un ticket

Voici quatre méthodes éprouvées pour avoir gain de cause en Cour

Il est possible de contester des contraventions comme celle reçue par une cinquantaine de citoyens du quartier St-Michel à Montréal, qui ont été mis à l’amende pour s’être stationnés à moins de cinq mètres d’une intersection.
Il est possible de faire annuler une contravention, même quand la loi est du côté du policier.
Il y a quelques semaines, une cinquantaine d’automobilistes du quartier montréalais Saint-Michel se sont réveillés avec une contravention de 52 $ sur leur pare-brise. La raison : avoir stationné leur véhicule à moins de cinq mètres d’une intersection. Plusieurs pourraient contester leur billet d’infraction.
Exiger la preuve
« À la rigidité de certains policiers, il faut opposer des questions de méthodologie », philosophe Alfredo Munoz, ancien policier et fondateur de SOS Ticket, l’une des entreprises qui aident les consommateurs à contester une contravention.
Assurez-vous que la preuve du policier est en béton. « A-t-il mesuré la distance ? Avait-il un ruban à mesurer ? D’où a-t-il pris la mesure ? Ce genre de question permet de contester avec succès toutes les contraventions », dit M. Munoz.
Cette preuve ne se trouve pas sur le constat. Pour l’obtenir, il suffit d’écrire sur le formulaire de réponse de la contravention « Je veux qu’on me divulgue la   preuve ».
Sur le billet d’infraction, on vous invite à expliquer pourquoi vous contestez. L’organisme Éducaloi vous implore de ne pas le faire. « En pratique, l’information que vous y indiquez est souvent utilisée contre vous et a rarement l’effet escompté (par exemple, l’annulation de l’amende) », écrit l’organisme sur son site Web.
Se préparer
Les utilisateurs de cellulaires traînent avec eux un appareil photo. Il faut s’en servir pour étoffer sa cause. Par exemple pour photographier la glace qui empêche de stationner l’auto à moins de 15 cm du trottoir. Un juge pourrait être sensible à un cliché qui démontre qu’il était difficile de se stationner plus près et que l’infraction n’empêchait pas les gros véhicules de déneigement ou les camions de pompier de circuler.
« Photographier un banc de neige qui vous empêchait de voir l’arrêt obligatoire peut aussi être très utile », ajoute Nadia Fortin, avocate pour Solution Ticket.
Argumenter
Plaider qu’on n’a pas vu le panneau d’interdiction de stationnement, qu’il neigeait ou qu’on ignorait le règlement risque de se retourner contre vous. En contrepartie, arriver avec des informations précises, comme des distances calculées au centimètre près, ou mettre en évidence les imprécisions du policier peut être payant.
Avant de passer devant le juge, plusieurs vont négocier avec le procureur. Une journée chargée et il pourrait se montrer conciliant pour éviter un débat. Ce qui peut permettre par exemple de faire passer la vitesse enregistrée par le policier de 120 à 119 km/h. Dans une zone de 70 km/h, ce petit km/h de moins permet d’économiser environ 500 $ et de faire passer la perte de points d’inaptitude de 10 à 5.

  • Les entreprises comme SOS Ticket et Solution Ticket vous demanderont entre 160 $ à 600 $, selon le nombre de points d’inaptitude en jeu. Le service ne s’adresse pas aux clients qui contestent des billets de stationnement, où on ne perd aucun point.

REF.:

Politicaillerie: Pourquoi Line Beauchamp démissionne ?

Line Beauchamp en prenant le flambeau pour la règlementation des hausses de frais de scolarité,a agit avec un poignard dans le Dos que tenaient, Jean Charest et la Ministre Courchesne.Ceux-ci avaient une protection ,en faisant agir la Ministre Line Beauchamp avec tant de maladresse,donc mal coaché et ayant agit avec un trop gros Égo, assaisonné de "Mère Thérésa".C'est ça la Politicaillerie,...............en faisant accroire a Line Beauchamp qu'elle serait la prochaine première Minustre du Kébec ,tout comme l'ex-MinUstre Nathalie Normandeau,Jean Charest sait attirer les femmes de tête,pour leurs faire perdre la face !Lui,il perdra ses bas !


Démission de Line Beauchamp - Forte réaction sur les réseaux sociaux
Line Beauchamp 
© Agence QMI / Archives

MONTRÉAL – La démission de la ministre de l'Éducation, Line Beauchamp, a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux, tout particulièrement sur Twitter.
Près de 10 minutes après avoir annoncé sa démission, le nom de Line Beauchamp est passé à la première position des tendances Twitter au Canada et à la 10e position dans le monde entier, selon Twitter.com.
La très grande majorité des commentaires exprimés sont positifs. Plusieurs utilisateurs ont souligné un possible passage au privé pour l'ex-ministre.
D'autres ont mentionné que cette démission ne règlerait pas de sitôt le conflit et ont utilisé l'ironie en faisant un lien avec les accusations de corruption qui affectent le gouvernement depuis un moment.
Voici quelques réactions:
— Elle ne démissionne pas, c'est un congé pour se faire refaire les dents. 10 ans de travaux et le contrat a été refilé à SNC-Lavalin. #ggi — @kimlizotte
— RT @JulieMaudeB : Bon ben Charest vient de perdre sa 2e Vice-Première ministre en 1 an! #assnat #GGI #Polqc — @DanBigras
— Charest perd une autre ministre : Line Beauchamp démissionne. Elle retourne aux études, sans doute! — @fabienmajor
— J'espère que la twittosphère fera preuve de retenu et de respect à l'endroit de Line. Elle démissionne avec beaucoup de dignité. — @DenisCoderre
— Ce n'est pas la démission de Line Beauchamp que veulent les étudiants en grève, c'est l'annulation de la hausse. #modesolution #ggi — @jeanhughesroy
— La démission de Line Beauchamp me laisse toute pantoite. #ggi — @embruns
— Line Beauchamp démissionne. Ce n'est pas la première fois qu'on sacrifie le goaler! #ggi — @PatrickHuard — Menute là. Line Beauchamp pense VRAIMENT être en train de se «sacrifier au nom de la démocratie»? Eh boy... — @emilegirard
— Pour quelle entreprise privée ira travailler Line #Beauchamp maintenant? — @thibodeau
— C'est le plus beau jour de ma vie!

REF.: René Lévesque.com,Alain jeanbon surnommé le Gros,Google,

Volte-face Christie appui, La Classe ,la FEUQ et la FECQ

Après la démission de la vice-premier ministre Line Beauchamp,Christie appui le mouvement contre la hausse des frais scolaires et la baisse du sel dans ses biscuits de manière rétro-active !


REF.: Bozo le clown,Google,

lundi 14 mai 2012

Pour un pays nordique ,faut jamais négocier l'Été ?

Sinon,vous cultivrez  des mouvements de contestation a des émeutes !
Lisez ceci !
 

Big Brothers sur Google ?

Google et les services secrets

Google et les services secrets - Leur relation restera confidentielleLeur relation restera confidentielle


WASHINGTON - L'agence de renseignement ultra-secrète américaine NSA n'a pas l'obligation de révéler la nature de ses liens avec Google, conclus pour protéger la firme californienne de cyberattaques, a confirmé vendredi la justice américaine.Tout ça pour lutter contre les pirates Russes et Chinois !
La cour d'appel de Washington a jugé que les statuts spéciaux de l'Agence de sécurité nationale (NSA) lui permettaient de garder secret tout arrangement avec le géant de l'internet.
«Toute information se rapportant à la relation entre Google et la NSA révèlerait des informations protégées sur la NSA», a tranché la juge Janice Rogers Brown.
Cette décision répond à une requête d'une association qui défend la confidentialité des données privées sur internet. Le Centre d'information sur les données privées électroniques (EPIC) souhaitait que les accords entre Google et la NSA soient rendus publics, au nom du droit des citoyens de savoir s'ils sont surveillés.
Cette requête faisait suite à une série d'attaques informatiques dirigées contre des militants des droits de l'homme en Chine en janvier 2010. Ces militants avaient subi des attaques contre leur compte Gmail, la fonction courrier électronique de Google.
Le géant de Mountain View, pour protéger ses usagers, avait alors eu recours aux services de la NSA, selon le Washington Post et le Wall Street Journal. L'alliance des deux entités a pour but de repérer les faiblesses de Google face aux pirates et d'évaluer leur degré de sophistication, pour déterminer si les défenses mises en place sont adéquates.
Mais les défenseurs du respect de la vie privée craignent que cette union secrète expose les internautes à des violations de leurs données personnelles.


REF.:

dimanche 13 mai 2012

Le terrorisme économique ? Al Quaida fut le premier a l'utiliser !$!





Après Al Qaida et le scandale des 2 tours du world trade center visant l'économie Américaine,on l'a vu aussi dans la guerre du Golf ou Saddam met le feu a 1164 puits de pétrole,nous avons les jeunes du printemps Arabe,et la génération C de l'internet qui prend le flambeau d'occupons Wall Street qui déferla sur les pays du monde,qui eux s'en serve pour démontrer que le peuple a besoin d'un toit sur la tête et une job pour la survie de leurs famille.Et ça sa ce fera sans les Banques !

voici le poul du monde; ICI !
 « Contrairement à la "guerre économique", qui est menée par des États contre d'autres États, le "terrorisme économique" serait mené par des entités transnationales ou non-gouvernementales. Elle supposerait des actions variées, coordonnées et sophistiquées, ou des actes massifs de déstabilisation pour désorganiser la stabilité économique et financière d'un État, d'un groupe d'États ou d'une société (telle une société occidentale à l'économie de marché) pour des motifs idéologiques ou religieux. Ces actions, si menées, pourraient être violentes ou non. Elles pourraient avoir des effets immédiats ou infliger des effets psychologiques qui à leur tour peuvent avoir des conséquences économiques. »1

Le pire ennemi du Capitalisme ? un riche escroc ? ou un Banquier ! 

REF.: 

Ce qu'il y a derrière les contestations Occupons Mtl,occupons wall Street,Printemps Arabe,contestation Prêts et Bourses ?

Derrière,.......................ça,c'est pas le chomage,.....................c'est plutot la répartition des richesses et les fraudes et escrocris financières dans des Paradis fiscaux !$!
La Faute ?,............................Les Banques et la Bourse a prêts toxiques avec le piège du crédit facile et surtout avec l'implantation des cartes de crédits ,que plusieurs ne veulent plus !  La France vient de devenir Socialiste et c'est tant mieux !

Les C ont tous compris et vous remplacerons bientôt , Messieurs !
Les quatre jeunes arrêtés relativement aux bombes fumigènes qui ont paralysé le métro de Montréal, jeudi, sont accusés de complot, méfaits et « incitation à craindre des activités terroristes », un chef d’accusation rare.
Ils ont brièvement comparu, hier midi, par vidéoconférence au palais de justice de Montréal.
À la télévision d’une petite salle de comparution, Roxanne Belisle, 23 ans, Geneviève Vaillancourt, 25 ans, Vanessa L’Écuyer, 22 ans, et François Vivier-Gagnon, 22 ans, se tenaient côte à côte, l’air plutôt calme.
Ce dernier fait aussi face à une accusation de possession d’une arme prohibée, soit un couteau papillon.
L’avocat de la Couronne, Me Steeve Larivière, s’est opposé à leur libération conditionnelle en raison de la gravité des accusations qui pèsent contre eux, notamment celle reliée au terrorisme. Les quatre jeunes doivent revenir dans le box des accusés, lundi, pour savoir s’ils seront libres pour la suite des procédures judiciaires.
Après avoir vu leur photo faire le tour des médias, les quatre étudiants ont plié sous la pression et se sont livrés aux policiers, vendredi après-midi.
Perquisition
Ils ont été arrêtés en lien avec les bombes fumigènes lancées sur les rails à la station de métro Lionel-Groulx.
D’autres suspects sont toujours recherchés concernant les méfaits commis dans d’autres stations de métro en pleine heure de pointe, jeudi matin.
Lors du passage du Journal, hier après-midi, des policiers de l’identification judiciaire effectuaient une perquisition à l’appartement de Roxanne Belisle, dans l’arrondissement Verdun.
Aucun locataire n’était sur place, s’est contenté de dire un enquêteur.
Selon Daniel Lacoursière, porte-parole au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), deux autres appartements et un véhicule étaient toujours fouillés, en fin de journée.
Vendredi matin, les policiers avaient également visité le logement de Vanessa L’Écuyer et François Vivier-Gagnon, dans Hochelaga-Maisonneuve. Les policiers ont emporté quelques boîtes ainsi qu’un sac.
Une mère dévastée
Contactée par téléphone, hier, la mère de Vanessa L’Écuyer s’est dite complètement dévastée. « Ça ne va pas bien, a-t-elle dit. Ça fait deux jours que je ne dors pas. »
Les grands-parents de l’étudiante étaient également soufflés par cette nouvelle. « Je ne pensais pas qu’elle était allée jusque-là, lance la grand-mère de Vanessa. Elle a été influencée. »
Avec la collaboration de l’Agence QMI

REF.:

C'est la génération C (internet) qui conteste les prêts et Bourses

Les quatre jeunes arrêtés relativement aux bombes fumigènes qui ont paralysé le métro de Montréal, jeudi, sont accusés de complot, méfaits et « incitation à craindre des activités terroristes », un chef d’accusation rare.
Ils ont brièvement comparu, hier midi, par vidéoconférence au palais de justice de Montréal.
À la télévision d’une petite salle de comparution, Roxanne Belisle, 23 ans, Geneviève Vaillancourt, 25 ans, Vanessa L’Écuyer, 22 ans, et François Vivier-Gagnon, 22 ans, se tenaient côte à côte, l’air plutôt calme.
Ce dernier fait aussi face à une accusation de possession d’une arme prohibée, soit un couteau papillon.
L’avocat de la Couronne, Me Steeve Larivière, s’est opposé à leur libération conditionnelle en raison de la gravité des accusations qui pèsent contre eux, notamment celle reliée au terrorisme. Les quatre jeunes doivent revenir dans le box des accusés, lundi, pour savoir s’ils seront libres pour la suite des procédures judiciaires.
Après avoir vu leur photo faire le tour des médias, les quatre étudiants ont plié sous la pression et se sont livrés aux policiers, vendredi après-midi.
Perquisition
Ils ont été arrêtés en lien avec les bombes fumigènes lancées sur les rails à la station de métro Lionel-Groulx.(les photos viennent du public ,car les photos des cacaméras du métro de Mtl étaient trop flou)
D’autres suspects sont toujours recherchés concernant les méfaits commis dans d’autres stations de métro en pleine heure de pointe, jeudi matin.
Lors du passage du Journal, hier après-midi, des policiers de l’identification judiciaire effectuaient une perquisition à l’appartement de Roxanne Belisle, dans l’arrondissement Verdun.
Aucun locataire n’était sur place, s’est contenté de dire un enquêteur.
Selon Daniel Lacoursière, porte-parole au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), deux autres appartements et un véhicule étaient toujours fouillés, en fin de journée.
Vendredi matin, les policiers avaient également visité le logement de Vanessa L’Écuyer et François Vivier-Gagnon, dans Hochelaga-Maisonneuve. Les policiers ont emporté quelques boîtes ainsi qu’un sac.
Une mère dévastée
Contactée par téléphone, hier, la mère de Vanessa L’Écuyer s’est dite complètement dévastée. « Ça ne va pas bien, a-t-elle dit. Ça fait deux jours que je ne dors pas. »
Les grands-parents de l’étudiante étaient également soufflés par cette nouvelle. « Je ne pensais pas qu’elle était allée jusque-là, lance la grand-mère de Vanessa. Elle a été influencée. »
Avec la collaboration de l’Agence QMI


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Le pire ennemi du Capitalisme ? un riche escroc !

Montréal - Les indignés de retour
Les indignés du mouvement «Occupons Montréal» s’installent à nouveau au square Victoria. 
©ELIZABETH LAPLANTE/AGENCE QMI
Après occupons wall street ,........................................

Les indignés de retour


L'Espagne reviens après 1 an,avec sont mouvement de contestation du chômage et de la crise économique.80 villes d'Espagne y participe !

MONTRÉAL – Les indignés du mouvement « Occupons Montréal » étaient de retour au square Victoria, samedi, à Montréal. Dès 9 h, ils se sont à nouveau installés à l'endroit même où ils s'étaient réunis pendant plusieurs semaines, l'automne dernier, pour dénoncer les injustices du système capitaliste.
En milieu d'après-midi, ils étaient près de 150 personnes à avoir répondu à l'appel. Au programme : quatre jours de mobilisation intensive, du 12 au 15 mai.

À LIRE ÉGALEMENT:
Journée mondiale d'action
«On vit une mobilisation sans précédent et ce qu'on veut, c'est élargir la cause étudiante aux autres luttes sociales», a expliqué Carminda Mac Lorin, du collectif Journées d'actions populaires pour un printemps érable et global (JAPPEL). Selon Mme Mac Lorin, qui a participé à chaque journée de mobilisation d'Occupons Montréal à l'automne dernier, il n'est pas impossible que le mouvement s'étale sur plus de quatre jours. « Les gens qui sont ici sont indignés et assez créatifs […] Je ne peux pas vous dire ce qui va se passer, mais que ce soit ici ou d'autres façons, il y aura de la mobilisation », a-t-elle affirmé.
«On l'espère», ont pour leur part indiqué Alain Mignault et Francine Nadal, qui après avoir participé à Occupons Montréal à l'automne, souhaitent que cette nouvelle mobilisation s'étirera durant plusieurs jours.
Outre des tables, des réserves de nourriture et plusieurs affiches installées un peu partout, aucun campement n'était encore apparent, vers 16 h 30, au square Victoria. Sur les réseaux sociaux, les organisateurs sollicitaient l'aide de la population pour se doter de tables, chaises, sacs de couchage et matériel pour prodiguer des premiers soins, entre autres choses.
D'ailleurs, parmi les gens rassemblés en matinée, Sylvie était responsable des premiers soins. Secouriste de formation, il s'agit de sa première expérience à Occupons Montréal. La dernière fois, «je l'avais suivi à distance. Là, j'ai décidé de sortir de derrière mon clavier», a-t-elle dit.
En novembre dernier, la Ville de Montréal avait exigé le démantèlement des abris permanents qui avaient été construits sur le site. Les contestataires avaient peu à peu quitté le square Victoria pour l'hiver, se promettant de revenir au printemps.
Questionnée au sujet du lien établi jusqu'à présent avec la Ville de Montréal et les policiers, Mme Mac Lorin a indiqué qu'elle avait reçu un appel très courtois de la Ville en début de semaine, afin de savoir ce qui se préparait.
Quant à la police, la jeune femme a indiqué que «la dernière fois, ça c'était bien passé avec la police. Là, la conjoncture est différente donc on verra bien.»
Nouvelle réglementation
Le 27 janvier dernier, soit peu de temps après le démantèlement du campement au square Victoria, une nouvelle règlementation a été adoptée par la Ville de Montréal.
Ce règlement sur la prévention des incendies prévoit que les tentes doivent être homologuées selon le Laboratoire des Assureurs du Canada (UCL) et les appareils de cuisson de même.
Rejoint par téléphone, le Service de sécurité incendie de Montréal (SIM) a indiqué que des agents se sont rendus au square Victoria samedi afin de vérifier les installations du mouvement Occupons Montréal.
«Pour l'instant, il n'y a pas de tentes ou d'appareils de chauffage donc on va suivre le déroulement durant la fin de semaine et on va se prononcer plus officiellement lundi», a souligné Julie Gascon, chargée de communication au SIM.


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CIBC: Chute d'au moins 10% du marché immobilier d'ici 2013

L’immobilier inquiète ?


Benjamin Tal est catégorique sur le marché immobilier. « Il n’y a pas de débat sur le fait que le marché immobilier surchauffe en ce moment. La seule question est : de quelle nature sera l’ajustement? Nous sommes à un tournant dans le marché immobilier [...] La CIBC continue à prévoir un ralentissement graduel du marché, avec une chute potentielle des prix de 10 % d’ici un ou deux ans. » Les gens réalisent de plus en plus, illustre Tal, que le marché immobilier est « en neuvième manche ».
Mettez tout ça ensemble, et ça commence à être difficile de ne pas s’attendre à un ralentissement économique dans les années qui viennent. Du moins si on voit toujours le consommateur comme moteur de la croissance. Avec le crédit à la consommation qui ralentit, le marché immobilier qui se stabilise et qui pourrait perdre de la valeur, les consommateurs canadiens perdent les deux piliers principaux qui ont soutenu leur économie pendant la crise, écrit Tal.
Je demeure convaincu que les implications de ce « serrage de ceinture » collectif, bien que nécessaire, sont plus grandes que l’on pense. Et que nos politiciens, qui misent grandement sur la croissance économique pour équilibrer leurs budgets, n’en sont pas tout à fait conscients.


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Le Canada,premier pays a abandonner la carte de crédit ?

Êtes-vous en burnout du crédit?

 par: - 10 mai 2012 Commençons-nous à « slaquer » sur la carte de crédit? Votre voisin a-t-il abandonné l’idée de s’acheter un château avec garage double, pour se rabattre sur un joli cottage, plus abordable?
Avons-nous enfin écouté les avertissements de Mark Carney, gouverneur de la Banque du Canada, qui nous répète depuis des mois dans les médias qu’il faut cesser de s’endetter comme si demain n’existait pas?
Si c’est le cas, applaudissons notre retour sur terre.
Benjamin Tal, lui, pense que oui. L’économiste de la CIBC a publié un rapport dans lequel il explique qu’une « fatigue du crédit » commence à s’abattre sur le Canada.
Le crédit à la consommation a augmenté de seulement 2,3 % depuis un an. Il a même diminué en mars par rapport au mois précédent. C’est le rythme le plus faible depuis les années 1990. Tout ça, rappelons-le, avec des taux d’intérêt qui demeurent historiquement bas.
Le marché hypothécaire aussi ralentit. Le solde des prêts hypothécaires a augmenté de 6,3 % annuellement. Oui, ça demeure élevé. Mais c’est un rythme plus faible que la moyenne des deux dernières années (7,3 %). Et par rapport au mois dernier, l’augmentation est de 0,5 %. La plus faible depuis 2001, souligne Tal, qui n’hésite pas à donner une part du crédit à Mark Carney et à la Banque du Canada pour avoir martelé leur message de prudence.
Il était temps
Un passage de l’étude m’a fait sursauter. Imaginez : pour la première fois depuis 2002, le crédit à la consommation au Canada augmente plus lentement qu’aux États-Unis.
Attendez… la première fois depuis 2002? Nous, Canadiens, avons été encore plus accrocs au crédit que nos voisins Américains depuis tout ce temps?
Oui. Contrairement à la perception populaire, nous dit l’économiste, le crédit à la consommation au Canada a augmenté deux fois plus vite qu’aux États-Unis durant la dernière décennie. Suite à la crise, alors que ce recours au crédit ralentissait aux États-Unis et sombrait même en territoire négatif, il continuait d’augmenter au Canada. Et même à accélérer! Aujourd’hui, les rôles s’inversent. La consommation à crédit augmente chez nos voisins du sud, et ralentit au Canada.
L’immobilier inquiète
Benjamin Tal est catégorique sur le marché immobilier. « Il n’y a pas de débat sur le fait que le marché immobilier surchauffe en ce moment. La seule question est : de quelle nature sera l’ajustement? Nous sommes à un tournant dans le marché immobilier [...] La CIBC continue à prévoir un ralentissement graduel du marché, avec une chute potentielle des prix de 10 % d’ici un ou deux ans. » Les gens réalisent de plus en plus, illustre Tal, que le marché immobilier est « en neuvième manche ».
Mettez tout ça ensemble, et ça commence à être difficile de ne pas s’attendre à un ralentissement économique dans les années qui viennent. Du moins si on voit toujours le consommateur comme moteur de la croissance. Avec le crédit à la consommation qui ralentit, le marché immobilier qui se stabilise et qui pourrait perdre de la valeur, les consommateurs canadiens perdent les deux piliers principaux qui ont soutenu leur économie pendant la crise, écrit Tal.
Je demeure convaincu que les implications de ce « serrage de ceinture » collectif, bien que nécessaire, sont plus grandes que l’on pense. Et que nos politiciens, qui misent grandement sur la croissance économique pour équilibrer leurs budgets, n’en sont pas tout à fait conscients.

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