Rechercher sur ce blogue

jeudi 21 juin 2012

Payer pour dormir ?

L’heure de la sieste
Photo courtoisie
Un citoyen a pris une photographie de deux policiers profondément endormis dans leur véhicule de service, mardi dans le quartier Côtes-des-Neiges à Montréal. Il était environ 11 h, en fin d’avant-midi quand la scène a été croquée.

Un Montréalais a pris en flagrant délit deux policiers qui roupillaient confortablement installés dans leur véhicule de service.
« Ils dorment sur l’argent des contribuables. C’est très frustrant », déplore Alan, qui a capté le tout grâce à son appareil photo.
« On devrait exiger plus que ça des policiers », lance-t-il, hors de lui.
C’est en se rendant au boulot mardi vers 11 h que ce Montréalais a été témoin de cette scène qui l’a choqué.
Pause dîner
Les deux agents du Service de police de Montréal (SPVM) qu’on peut apercevoir sur la photo prise par Alan auraient alors profité de leur pause dîner pour piquer un petit somme dans leur autopatrouille.
Ils l’avaient stationné à l’intersection du boulevard Décarie et de la rue de la Savane, dans le quartier Côte-des-Neiges.
Depuis le matin, ils étaient chargés de diriger la circulation automobile dans ce coin.
Une fois assis dans l’autopatrouille et leurs repas avalés, les deux hommes se seraient tout simplement assoupis.
Quelques instants plus tard, Alan est passé par là. Ce qu’il a aperçu dans l’autopatrouille l’a poussé à arrêter sa route.
Il s’est alors approché à proximité du véhicule, sans que les deux hommes s’éveillent pour autant. C’est qu’ils étaient « profondément » endormis, assure le passant.
C’est alors qu’Alan a sorti son appareil photo pour immortaliser le moment.
Toc, toc
Il a ensuite frappé à la vitre, ce qui a eu pour effet de réveiller les deux policiers.
« Toc, toc. C’est l’heure de la sieste les gars ? », leur a-t-il demandé.
L’un deux, toujours somnolent, a haussé les épaules, puis acquiescé d’un hochement de la tête, se souvient Alan.
Les agents n’ont rien ajouté à cela après, relate-t-il. Ils n’avaient d’ailleurs pas l’air de gens qui viennent d’être pris en défaut, note-t-il.
« Si je ne me crois pas capable de faire mon travail parce que je manque de sommeil, je n’irai pas travailler », laisse-t-il tomber, soulignant que ces deux policiers auraient dû faire de même.
Du côté du SPVM, on assure que la situation est prise très au sérieux.
« Il n’y a aucune tolérance pour ce genre de chose », assure le commandant Ian Lafrenière.
Que ce soit pendant l’heure du dîner ou non, il n’est pas question de permettre aux policiers de dormir dans leur autopatrouille, ajoute-t-il fermement.
« Ce n’est pas juste une question d’image du SPVM, poursuit-il. C’est aussi une question de sécurité. Et les citoyens paient pour le service. »
Sanctions à venir
Les personnes concernées ont pris les choses en mains aussitôt que le cas a été porté à leur attention, indique-t-il.
Il explique que « le commandant de cette unité a rapidement réagi. Une rencontre avec les deux policiers doit se faire au cours des prochaines heures (hier). »
Les policiers fautifs feront face à des sanctions qui seront déterminées au cours des jours à venir.


REF.:

mardi 19 juin 2012

Une fois ct'un Con ?






















REF.: Con.com,

Le politique et le web ?

La liberté d'expression est remise en cause,dans Google !


Google - Messages politiques: visés par les demandes de suppression
 
Photo AFP / Karen Bleier
Google

Messages politiques: visés par les demandes de suppression

SAN FRANCISCO - Les messages politiques constituent l'essentiel des contenus que des gouvernements demandent à Google de supprimer de ses pages, a révélé dimanche soir le groupe internet.
«Comme chaque fois, on nous a demandé de retirer des messages politiques», a indiqué une analyste de Google, Dorothy Chou, à l'occasion du cinquième rapport semestriel de Google sur la transparence.
«C'est inquiétant non seulement parce que la liberté d'expression est remise en cause, mais parce que certaines de ces demandes émanent de pays qu'on ne soupçonnerait pas - des démocraties occidentales qu'on n'a pas l'habitude d'associer à la censure», a ajouté Mme Chou.
Le nombre de demandes a doublé au deuxième semestre 2011 selon cette liste, où l'Ukraine, la Jordanie et la Bolivie sont mentionnées pour la première fois.
Au total entre juillet et décembre, Google a accédé à environ 65 % des plus de 467 demandes judiciaires de suppressions de contenus, notamment sur les pages de son moteur de recherche ou de son site YouTube, et à 46 % des 561 demandes non appuyées par une autorité judiciaire.
«Nous avons remarqué que des organismes gouvernementaux de divers pays nous demandaient quelquefois de retirer des messages politiques mis en ligne par nos utilisateurs», a noté Mme Chou.
Par exemple les autorités espagnoles ont demandé à Google de retirer 270 résultats de recherche renvoyant sur des blogues ou articles qui mentionnaient certaines personnalités publiques, comme des maires ou des procureurs.
En Pologne, une institution publique a demandé à Google de supprimer un lien vers un site qui la critiquait.
Selon Mme Chou, Google ne s'est pas plié à ces demandes des autorités espagnoles et polonaises.
Mais au Brésil, une cour électorale a conduit Google à supprimer quatre profils d'utilisateurs de son réseau social Orkut en raison de leur contenus politiques.
Dans ce pays, la législation sur la diffamation permet d'obtenir le retrait d'informations même si elles sont vérifiées, selon Google. Il est en outre interdit de montrer des parodies de candidats en période électorale, ce qui conduit à supprimer des extraits de spectacles comiques, par exemple.
Au Canada, Google s'est refusé à supprimer de YouTube une vidéo où un citoyen canadien urinait sur son passeport avant de le faire disparaître dans les toilettes, comme le demandaient des responsables canadiens.
En France, les autorités ont mis en cause 58 liens, messages ou vidéos. Google a accédé à leur demande pour 67 % des demandes appuyées d'une demande de la justice, 47 % des autres.
En Inde, les demandes ont bondi de 49 % entre le premier et le deuxième semestre.
Au Pakistan, le ministère de l'information a demandé le retrait de six vidéo se moquant des militaires et des responsables politiques, mais Google n'a pas obéi.
En revanche le groupe internet a fermé cinq comptes YouTube à la demande de l'association britannique des officiers de police, qui estimaient qu'on y trouvait l'apologie du terrorisme.
En Thaïlande le ministère de l'information, des communications et des technologies a demandé le retrait de 149 vidéos considérées insultantes pour la monarchie. Google a restreint le visionnage de 70 % de ces vidéos en Thaïlande.
Les demandes officielles de la Turquie concernaient essentiellement des vidéos sur Mustafa Kemal Atatürk, et Google a rendu certains clips mis en cause inaccessibles dans le pays.
«Nous nous rendons compte que les chiffres que nous communiquons ne fournissent qu'un petit éclairage sur ce qui se passe dans le web en général», a déclaré Mme Chou, «mais nous espérons qu'en cultivant la transparence sur ces données, nous pouvons contribuer au débat public sur la façon dont le comportement des gouvernements façonne internet».

REF.:

lundi 18 juin 2012

Internet haute vitesse: la facture montera encore ? tout ça est faux !

Canada - Internet haute vitesse: la facture montera encore
 
Photo Shutterstock
Car la tehnologie actuel peut compresser le signal HD ,comme on le fait pour le son en mp3,ou le Divx pour la video.La bande passante est chère seulement pour les opérateurs qui veulent tous ensemble recouvrir leurs frais d'investissement du 4G qui lui est dispendieux ! Le reste c'est de la désinfo !$!



MONTRÉAL – Le Canadien moyen qui mise sur internet haute vitesse afin de se divertir devra se résigner à payer une facture mensuelle plus élevée, contrairement à un Américain.
Il s'agit d'une prévision faite par le cabinet de consultants d'affaires PwC dans l'étude «Global entertainment and media outlook», publiée récemment.
Selon PwC, la facture moyenne de 38,43 $ pour la haute vitesse au Canada en 2011 touchera 45 $ cinq ans plus tard. Aux États-Unis, la concurrence devrait limiter le solde à 37,75 $ en 2016, une hausse de 75 cents.
L'accès à internet équivalait à 6,6 milliards $ de dépenses au Canada en 2011, un chiffre qui devrait grimper de 54 % d'ici 2016. Pendant la période, la disponibilité de la haute vitesse montera de 12 points pour englober 92 % des foyers.
L'étude prédit que les fournisseurs ne renonceront pas aux forfaits plus chers pour les grands consommateurs. Rogers et Bell les imposent déjà.
Comme les fournisseurs n'ont pas une aussi grande concentration de clients qu'aux États-Unis, ils ne peuvent pas offrir des forfaits de données aussi avantageux, a indiqué Carmi Levy, analyste indépendant en télécoms.
«Le marché canadien est moins concurrentiel et les entreprises n'ont aucun incitatif à réduire les prix, a ajouté M. Levy. Elles n'ont pas peur de perdre les clients aux mains des concurrents. Nous avons vu cela pendant longtemps en téléphonie sans fil ».
Il faut connaître ses habitudes afin d'éviter les dépassements de coûts, a recommandé le porte-parole de l'Association canadienne des télécommunications sans fil, Marc Choma. « Si vous consommez beaucoup de bande passante, un forfait sera adapté pour vous, a-t-il dit. Sinon, prenez un forfait avec lequel vous ne paierez pas pour une quantité énorme. »
Les clients paient-ils trop cher parce que le transfert de données ne coûte que quelques cents par gigaoctets? «Vous ne payez pas seulement pour cela, a souligné M. Choma. Ce sont aussi le téléphone, le service à la clientèle et l'accès au réseau.»
Un danger pour les PME
Par contre, a ajouté M. Levy, les tarifs plus élevés mettent en danger les petites et moyennes entreprises: «Si vous faites de la vidéoconférence afin d'effectuer le lien avec vos équipes et que votre branchement à Internet coûte vraiment trop cher, ça heurte votre capacité de livrer concurrence.»
PwC a fait aussi savoir qu'en 2011, environ 28 % du divertissement a été consommé en format numérique. Cela se fait au détriment de la qualité, selon l'analyste. « Un film en haute définition peut gruger rapidement votre limite de données, a-t-il affirmé. Les consommateurs doivent se demander ce qu'ils sont prêts à débourser pour la qualité. Ils ne pourront tout avoir.»
Risque de congestion
D'autre part, PwC a indiqué que dans le sans-fil, les réseaux sont sous pression. Les téléphones intelligents dévorent jusqu'à 50 fois plus de données que les autres. Sans oublier les tablettes et clés USB.
«Ces appareils consomment une quantité énorme de bande passante, incluant à la maison, a ajouté Marc Choma. Les fournisseurs de service doivent acheter du spectre sans fil et des tours pour que tous leurs clients aient accès au réseau en même temps.»


REF.:

Ça va prendre des colombos sur la 4e avenue !

Aller les colombos,surprener les résidents B.S. qui sont en sevrage de pilules,pour les empêcher d'appeler la police que votre auto est stationnée plus que 24 hrs sur la rue !!! Aller Facebook,et caméra photos,bienvenue Anonymous ;)-




Liser cette histoire d'horreur:
Des citoyens du quartier Vieux-Rosemont ont reçu une contravention pour avoir stationné leur véhicule plus de 24 heures au même endroit. Certains en ont même eu deux. Une surprise qui a du mal à passer.
Ce règlement, inconnu de ces citoyens, n’est habituellement mis en application que s’il y a une plainte d’un citoyen.
La méfiance s’est donc installée depuis le 23 mai, jour de la première vague de contraventions. S’il y a une plainte contre un seul véhicule, l’agent de stationnement doit sévir sur l’ensemble du tronçon de rue.
Une agente, qui « était toute mal », raconte une citoyenne, a dû passer beaucoup de temps à noter les plaques et la position de chaque véhicule entre la promenade Masson et le boulevard Laurier, sur la 4e avenue. Ce manège s’est fait le 22 mai, et elle a dû revenir donner des constats d’infraction le lendemain, en vérifiant si les véhicules avaient bougé ou non. Huit contraventions avaient été placées sous les essuie-glaces.
Une autre plainte a été déposée à la fin mai, si bien que d’autres citoyens – environ 12 – ont eu à nouveau cette surprise, le 1er juin.
« C’est quoi la joke ? », se demande avec stupéfaction Hélène Caron, résidente du secteur. Des retraités, des gens malades et des travailleurs autonomes restent sur la 4e avenue et ne prennent pas toujours leur voiture, soulève-t-elle.
Pour sa part, le retraité Armand O’Connor a eu droit à deux contraventions, les 23 mai et 1er juin. Il ne veut pas avoir à changer sa voiture de place s’il n’a pas à la prendre. « Pour moi, c’est ridicule. »
La fille de Lise Brisebois, Sylvie, est aussi frustrée de la situation. Infirmière de nuit, elle a retrouvé le bout de papier blanc et rouge dans son pare-brise un soir avant de partir au travail. Elle ne pourrait toutefois contester. « Elle était en colère. Elle ne veut pas perdre une journée de travail », explique Mme Brisebois.
Transports en commun
Parallèlement, la Ville incite les citoyens à utiliser davantage le transport en commun.
« Ça écoeure ! s’exclame Lise Brisebois. On est à Montréal. Ils disent de ne pas prendre notre voiture. »
C’est ce qui choque encore plus les citoyens de cette rue. Avec les campagnes publicitaires de la Société de transport de Montréal (STM), la taxe de 45 $ pour les propriétaires de voitures afin de financer le transport en commun, sans oublier la taxe sur l’essence dans la région métropolitaine également pour le transport en commun, ils ne comprennent pas pourquoi ils sont pénalisés d’avoir pris l’autobus ou le métro.
« Vingt-quatre heures, c’est long et, habituellement, quand on a une voiture, on a l’opportunité de la déplacer », répond la porte-parole de Projet Montréal. Catherine Maurice ne voit d’ailleurs pas de lien avec la frustration des citoyens.
Abus
Pour la Ville, il est question d’éviter les abus, surtout ceux d’entreprises.
« On ne veut pas intervenir sur ce genre d’affaires-là parce que ce règlement a sa raison d’être, soutient Mme Maurice, porte-parole du maire d’arrondissement François William Croteau. L’occupation de l’espace public doit être balisée pour qu’il n’y ait pas d’abus. [Le maire] n’a pas l’intention de faire quoi que ce soit de plus. »


REF.:

Apocalypse,jour Québécois de Révélation ?

Point de vérité, pas de salut,.................pas de jugement Christique, pas de conscience SupraMentale,pas de jugement terrestre,pas de jugement des Hommes,vous êtes déja jugé,allez servir la colombe,elle vous adombera de ses ailes,et vous serez élu,pour conscientiser le présent,le reste n'existe pas,le reste n'existe plus ! Vous serez tous skizophrène,faut juste reconnaître la bonne voie(x),elle sera prétemporelle,instantanée,si votre corps la suporte ,c'est que vous êtes choisi,par le Néan,.......allez fénéants regardez-vous et agisser sans pensé,votre ajusteur de pensé est la,vous Êtes                                               ,simplement.
Vous avez rien vu,tout est invisible ;-) enlevez vous lunettes fumées,en été pas besoin ,l'hiver supramentale est la!

REF.: j'te le dis pas point comme Moi,

Salons funéraires ? Gare à vos arrangements ?

Dans le film Bumrush, la mafia élimine les indésirables directement dans les incinérateurs ? Ça c'est un arrangement funéraire ?


Gare à vos arrangements
Photo le journal de montréal, Pierre-Paul Poulin
Patrick Fortin, dirigeant des salons de la bannière Complexe funéraire Fortin, a coupé les liens avec le salon de la rue Wellington mis à l’amende ce mois-ci, question de conserver son image de marque.
Le tiers des directeurs de funérailles au Québec gèrent mal les comptes où est déposé l’argent récolté auprès de leurs clients, pour des préarrangements funéraires.
Fiction ou réalité ?$?


C’est la conclusion à laquelle est arrivé l’Office de la protection du consommateur après une enquête de deux ans, qui a aussi permis de décerner 250 000 $ d’amendes aux contrevenants.
Le quart des Québécois qui décèdent ont opté pour un préarrangement funéraire. Cercueil, service d’incinération, exposition, pierre tombale, la facture s’élève souvent à plus de 10 000 $. Un montant réglé à l’avance pour épargner cette corvée aux proches, mais un cadeau qui peut s’avérer empoisonné si l’argent versé au salon n’est plus là dans 30 ans, au moment du décès.
Une faillite et une enquête
C’est ce qui est arrivé en 2008 lors de la faillite du Centre funéraire Ville-Marie, rue Ontario. On a découvert un compte en banque vide, mais 48 préarrangements signés et payés. Pourtant, la loi impose aux salons de conserver ces montants dans un compte en fiducie. Par un coup de chance, le Salon funéraire Côte-des-Neiges a décidé de récupérer et d’honorer les contrats. Sinon, les clients auraient peut-être dû payer leur préarrangement une seconde fois.
C’est cette situation explosive qui a incité l’OPC à visiter les 277 directeurs de funérailles de la province en 2009 et 2010 pour vérifier si on respectait la loi. Ils ont découvert que près d’une centaine d’entre eux omettaient de déposer au moins 90 % de la somme perçue dans un compte dans les 45 jours suivant sa réception, comme l’impose la loi.
Récidivistes
Bon joueur, l’Office a donné le temps aux directeurs de funérailles de modifier leurs pratiques. Mais lorsque l’organisme est passé à nouveau quelques mois plus tard, 43 d’entre eux étaient toujours délinquants. C’est à eux que l’OPC a distribué généreusement les amendes : 113 000 $ à 14 salons funéraires en 2010; 35 000 $ à huit salons en 2011 et 102 700 $ à sept salons depuis le début de l’année. D’autres amendes sont à venir, promet l’OPC.
Le montant des amendes varie de 1 500 $ à plus de 30 000 $, selon la taille des entreprises. « On ne veut pas les saigner, mais on veut qu’elles retiennent le message », explique Jean-Jacques Préaux, porte-parole à l’OPC.
Le dernier directeur de funérailles mis à l’amende, Alexandre Roy, du Complexe funéraire Fortin, division sud-ouest, situé sur la rue Wellington, à Montréal, a même été condamné pour avoir entravé le travail des enquêteurs de l’OPC. « Il a nié avoir fait signer des contrats d’arrangement préalables alors qu’on avait reçu des plaintes contre lui », explique M. Préaux.
Nous avons contacté Patrick Fortin, qui dirige les salons de la bannière Complexe funéraire Fortin. Il nous a assuré avoir coupé les liens avec ce salon afin de conserver son image de marque. Selon le Registraire des entreprises, le salon porte le nom de Complexe funéraire Roy depuis le 30 mars 2011.


REF.:

dimanche 17 juin 2012

Des Popos du SPVM 10 ans en concupinage avec la mafia ?

ET ça ,sans que le SPVM allume ? alloooooooooo 0 ici Pole Poirier,......10 a 4 pour la mafia ;-)

Deux policiers de Longueuil et deux autres de la police de Montréal ont été arrêtés ces derniers jours en raison de leurs relations avec des individus liés au crime organisé, a appris le Journal.
Deux des quatre policiers, un de Longueuil et un de Montréal, ont été appréhendés dans la lignée des événements qui ont mené au passage à tabac d’un enquêteur du SPVM dans une boîte de nuit de Playa Del Carmen au Mexique en janvier 2011.
Les deux policiers n’auraient cependant pas été du groupe qui a séquestré et battu sévèrement l’enquêteur.
Des détails sur les relations entre ces deux policiers et les motards ont été exposés lors de l’enquête sur remise en liberté de deux individus accusés de menaces dans cette affaire, Marc-André Lachance et Shane Kenneth Maloney.
Une ordonnance de non-publication nous empêche de rapporter les témoignages entendus lors de cette enquête tenue en novembre 2011.
Arrêtés au travail
Les actes reprochés aux deux policiers longueuillois ne se sont pas produits dans l’exercice de leurs fonctions.
Ces policiers, qui cumulent entre 5 et 10 ans d’expérience, ont été arrêtés au travail mercredi matin, sur le territoire de la police de Longueuil. Les deux policiers du SPVM ont été appréhendés jeudi. On ignore toutefois dans quelle circonstance.
LE SPVM a confirmé leur arrestation mais n’a donné aucun détail sur la nature de leur travail et leur ancienneté.
Les quatre policiers arrêtés dans cette affaire ont été interrogés par des enquêteurs de la Division du crime organisé de la police de Montréal puis relâchés. Ils pourraient être accusés.
Suspendus
Immédiatement après leur arrestation, les deux policiers longueuillois ont été suspendus avec solde et renvoyés à la maison. On ne sait pas si c’est le cas pour les deux policiers montréalais.
« Notre code prévoit qu’ils doivent être suspendus avec solde étant donné qu’ils n’ont pas été accusés. Cette situation pourrait toutefois changer si des accusations sont portées, dépendamment de la nature de celles-ci », explique la capitaine Nancy Conagiacomo de la police de Longueuil.


REF.:

Le premier juge accusé de meurtre ?

Meurtre de sa femme - Jacques Delisle reconnu coupable
Jacques Delisle  
Photo Agence QMI / Archives
Une affaire de fesses et de piastres ! La dignité de mourrir dans la paix a été exclus !



QUÉBEC – Après deux jours et demi de délibérations, l'ex-juge Jacques Delisle a été reconnu coupable jeudi d'avoir tué sa femme de manière préméditée, devenant ainsi le premier magistrat à être condamné pour une accusation de meurtre au premier degré, au Canada.
Les huit hommes et quatre femmes ont prononcé ce verdict unanime vers 15 heures, jeudi, après que le juge Claude Gagnon eut demandé à l'accusé de se lever. À l'annonce de cette décision, Jacques Delisle – qui avait été très droit jusqu'ici – a frappé la table de son poing en lançant un «calique!», avant de se prendre la tête à deux mains.
L'ancien juge de la Cour d'appel du Québec est donc automatiquement condamné à une peine d'emprisonnement à perpétuité, avec un minimum de 25 ans à purger avant d'obtenir une libération sous condition.
La nouvelle a provoqué un véritable raz-de-marée émotionnel chez la famille du désormais meurtrier, ses enfants – Jean et Élaine – ne pouvant retenir leurs larmes. Désemparé, le fils de Jacques Delisle a marché vers son père, quelques instants après que la cour eut été suspendue, suppliant les gardiens de le laisser lui faire un dernier «câlin».
«Je veux faire un câlin à mon père! Je veux faire un câlin à mon père! C'est du gros bon sens, ici, dans cte cour-là, esti», a-t-il laissé tomber, en larmes.
Faisant fi des directives des constables, qui lui demandaient de respecter la procédure et de quitter la salle, Jean Delisle a enlevé son veston et détaché sa ceinture, visiblement déboussolé.
«Je peux pas croire qu'en notre société on est rendu la», a-t-il ajouté, avant de lancer son veston dans la salle du tribunal.
Attaque aux journalistes
Calmé par ses proches et l'avocat de son père, Me Jacques Larochelle, Jean Delisle a ensuite injurié un journaliste qui se trouvait dans la salle, sous les yeux de plusieurs témoins. L'homme de 48 ans s'en est ensuite pris aux autres reporters, s'insurgeant du fait que certains d'entre eux ont utilisé Twitter durant le procès pour meurtre de son père.
«Ça n'a pas de bon sens, il y a quelque chose de fucké, ça ne marche pas! Twitter, ça n'a pas de bon sens», a-t-il lancé, juste avant de quitter la cour.
Avec un certain trémolo dans la voix, le juge Claude Gagnon a remercié le jury. «Votre verdict mérite notre respect et nous y donnerons suite», a-t-il mentionné, avant de le dissoudre.
Jacques Delisle a donc pris le chemin des cellules.
Pas à l'abri de la Justice
Au sortir de l'audience le procureur de la Couronne, Me Steve Magnan, s'est évidemment dit satisfait du verdict.
«Il faut respecter le travail qu'a fait le jury, a dit le procureur. Durant six semaines, ils ont écouté la preuve, ils ont délibéré durant deux jours et demi. Je ne suis pas surpris. La preuve était présentée et c'est correct.»
«Personne n'est au-dessus de la loi, a ajouté Me Magnan. Peu importe le titre, peu importe la profession, peu importe ce que la personne fait dans la société, lorsqu'il y a une preuve qu'un crime est commis, lorsqu'une preuve est présentée et qu'un dossier est enquêté, c'est notre devoir de présenter le dossier, peu importe à qui on a affaire ou peu importe qui a commis le crime.»
Quant à l'avocat de Jacques Delisle, Me Jacques Larochelle, il a refusé de répondre aux questions des journalistes. On s'attend cependant à ce qu'il porte le verdict en appel.


Tuée d'une balle à la tête Le 12 novembre 2009, Jacques Delisle appelait le 911 pour expliquer que son épouse s'était suicidée. Mais un technicien en scènes de crimes aura rapidement des doutes en constatant que la main de Marie-Nicole Rainville portait des traces de noir de fumée et de poudre, ce qui ne collait pas avec l'hypothèse du suicide, dans les circonstances.
Une longue enquête policière s'est donc déclenchée et on connaît la suite : le juge à la retraite a été accusé du meurtre prémédité de son épouse et, ce matin, les 12 jurés - huit hommes et quatre femmes - se sont rangés aux arguments de la poursuite.
Dans sa plaidoirie finale, Me Steve Magnan avait fait valoir que le magistrat, qui a officié à la Cour d'appel du Québec de 1992 à 2009 avant son retrait de la vie active, avait prémédité son crime en maquillant le meurtre de sa femme de 71 ans en suicide.
Le procureur de la Couronne a soutenu que l'ex-juge Delisle avait deux motifs pour tuer son épouse qui nécessitait des soins constants depuis son retour à la maison quelques semaines avant sa mort. Mme Rainville était paralysée du côté droit depuis qu'elle avait été frappée par un AVC en 2007. Puis en juillet 2009, une fracture de la hanche l'avait encore diminuée physiquement.
D'abord selon Me Magnan, Jacques Delisle voulait refaire sa vie avec sa maîtresse de longue date qui a été sa secrétaire durant plus de 25 ans. Cette dernière devait d'ailleurs emménager avec son ancien patron, mais le 15 juin 2010, deux jours après avoir annoncé à son mari qu'elle le quittait pour faire vie commune avec son amant, Jacques Delisle était arrêté par la police.
Ensuite, toujours selon la thèse de la poursuite, un autre mobile, financier celui-là, aurait motivé l'ex-magistrat à éliminer sa femme, puisqu'en la quittant, le septuagénaire aurait eu à subir un divorce coûteux qui l'aurait privé de 1,4 million $.
Ramassis d'histoires
Me Magnan a appelé 22 témoins à la barre - experts en balistique, projection de sang, pathologiste, ergothérapeute, notaire, policiers - durant la vingtaine de jours du procès, qui a commencé le 7 mai, afin de démontrer que Marie-Nicole Rainville avait été victime d'un homicide, qu'elle était triste de son état, elle qui avait toujours été une femme active, mais qu'elle n'était pas suicidaire.
Le procureur de la Couronne s'est attaqué à la crédibilité du seul expert en balistique de la défense. Selon lui, la trace de poudre «suspecte» dans la main gauche de la victime prouve que cette dernière a tenté de se protéger lorsque son mari aurait tiré.
Et contrairement à ce qu'a dit le spécialiste français, si la femme avait tenu l'arme avec sa seule main valide des traces de poudre provenant du canon de pistolet ne s'y seraient pas retrouvées de cette façon, a avancé l'avocat.
En clôture de sa plaidoirie, Me Steve Magnan a demandé au jury de se servir de leur «gros bon sens». Il a souligné que la preuve de la défense n'était «qu'un ramassis de cinq bouts d'histoires» raconté par des membres de la famille et des proches afin de corroborer la thèse du suicide de Marie-Nicole Rainville.
Il a ajouté que Jean, l'un des deux enfants de Jacques Delisle, et sa petite-fille avaient livré à la barre des témoignages très similaires comme s'ils en avaient discuté, que c'en était presque du «copier-coller».
L'avocat de la poursuite a finalement demandé aux jurés de prendre en compte les faits pour rendre un verdict de culpabilité.
«Très suicidaire»
De son côté, l'avocat de l'accusé de 77 ans, Jacques Larochelle, a notamment appuyé son argumentaire sur l'état physique, mais surtout psychologique de l'épouse de l'accusé qui d'après ses prétentions était dépressive et «très suicidaire» depuis son AVC. Voilà ce qui explique son passage à l'acte le matin du 12 novembre dans le condo du couple à Sillery.
À la suite d'une querelle et pendant que son mari s'était absenté pour faire des courses, Marie-Nicole Rainville se serait donné la mort en se tirant une balle à la tempe gauche avec un pistolet de calibre .22. L'ex-juge conservait l'arme chargée chez lui sur une petite table. «J'arrive à la maison. Ma conjointe s'est enlevé la vie», avait dit Jacques Delisle, lors de son appel au 911. L'ex-juge n'a pas témoigné pour sa défense, au procès.
Le réputé plaideur de Québec a fait appel à un expert en balistique qui a expliqué que la tache de poudre noire dans la paume gauche de la victime, qui a rapidement éveillé les soupçons des enquêteurs, s'y trouvait parce que Mme Rainville avait tenu le pistolet à l'envers par le canon, qu'elle s'était bien donné la mort tout comme l'a aussi démontré la trajectoire de la balle, contrairement aux dires de la poursuite.
Sept témoins ont été appelés à la barre durant le procès de Jacques Delisle dont son fils Jean, sa petite-fille et des amis du couple, qui ont pour leur part témoigné de l'état dépressif de la victime tout en ayant de bons mots pour l'accusé.
Jacques Larochelle a réfuté dans sa plaidoirie finale la thèse du meurtre prémédité avancée par la Couronne et le «drôle de plan» que l'accusé aurait manigancé pour déguiser son acte en suicide tout en rappelant la «faiblesse» de la preuve de la poursuite.
L'avocat a invoqué le «doute raisonnable» et demandé au jury de rendre le «seul verdict qui s'impose» soit d'acquitter Jacques Delisle.
Le juge Claude C. Gagnon de la Cour supérieure du Québec avait ouvert trois possibilités de verdicts: meurtre prémédité, meurtre non prémédité et acquittement.
Le procès de Jacques Delisle est une première dans les annales judiciaires au Canada. Jamais un juge n'avait été accusé de meurtre.


REF.:

Aide a mourrir ou économie des frais médicaux ?

Quand la morphine ne joue plus sont rôle appaisant et qu'ont veut sauver de l' $$$ on coupe et cré un programme de fin de vie ?

Euthanasie - Québec fait appel à des experts du droit
Yves Bolduc et Jean-Marc Fournier 
allez vous faire tatouer un 666 dans le front !

QUÉBEC – Le gouvernement Charest annonce la création d'un comité de juristes experts afin d'établir le cadre juridique pour légaliser l'euthanasie balisée, rebaptisée l'«aide médicale à mourir» par la Commission «Mourir dans la dignité».
Les ministres Jean-Marc Fournier et Yves Bolduc veulent ainsi donner suite aux recommandations de la Commission spéciale qui a dévoilé son rapport très attendu il y a près de deux mois, au terme de consultations menées dans plusieurs villes du Québec.
Les membres de la commission (des élus de tous les partis politiques) avaient alors unanimement recommandé de s'inspirer du modèle belge en légalisant l'euthanasie dans des circonstances bien précises. Seule une personne souffrant d'une maladie grave et incurable et dont la condition ne présente «aucune perspective d'amélioration» pourrait demander qu'un médecin mette fin à ses jours dans un environnement contrôlé.
Le comité d'experts sera présidé par Me Jean-Pierre Ménard, un avocat spécialisé en droit médical. Deux autres juristes externes, dont le criminaliste Jean-Claude Hébert, participeront aux travaux du comité qui devra soumettre son rapport au plus tard en octobre 2012. Des juristes du ministère de la Justice appuieront également le comité.
«Les recommandations de la Commission Mourir dans la dignité nécessitent un éclairage plus approfondi, notamment par rapport aux dispositions du Code criminel, de compétence fédérale, qui prohibent l'aide au suicide, ainsi que sur l'étendue et la portée du pouvoir d'orientation du Procureur général au Directeur des poursuites criminelles et pénales», a déclaré le ministre de la Justice Jean-Marc Fournier.
Les membres de la Commission spéciale ont dit souhaiter qu'un projet de loi soit présenté à l'Assemblée nationale au plus tard en juin 2013.
«Nous sommes convaincus que la société québécoise souhaite ce changement. Nous avons conclu qu'il faut acquiescer aux demandes d'aide à mourir dans des circonstances bien précises. Une nouvelle option est en effet nécessaire dans le continuum de soins de fin de vie, car les soins palliatifs ne peuvent soulager toutes les souffrances physiques et psychologiques des personnes malades», pouvait-on lire dans le rapport qui a été rendu public le 22 mars dernier.
«Ce changement s'impose puisqu'il permettra des morts plus douces et des fins de vie plus sereines, y compris pour les personnes qui n'auront jamais recours à l'aide médicale à mourir, mais qui sauront que cette option existe, si jamais leurs souffrances deviennent intolérables», avait également plaidé la Commission.


REF.: