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mardi 13 août 2019

Une attaque de ransomware laisse des habitants de Johannesburg sans électricité



Une attaque de ransomware laisse des habitants de Johannesburg sans électricité


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Sécurité : Certains résidents de la plus grande ville d'Afrique du Sud ont été privés d'électricité après qu’un ransomware a frappé leur fournisseur d'électricité.

Une infection de ransomware chez un fournisseur d’électricité à Johannesburg, la plus grande ville et capitale financière d’Afrique du Sud, a laissé certains de ses habitants sans électricité.
L’infection par le ransomware a touché City Power - un fournisseur local d’énergie électrique prépayée destinée aux habitants de Johannesburg et aux entreprises.
Le logiciel malveillant a chiffré la base de données de l'entreprise, son réseau interne, ses applications Web et son site Web officiel.
City Power a admis avoir été infecté dans une série de tweets publiés par la société sur son compte Twitter officiel.
L’infection, qui s’est propagée hier, empêche désormais les clients d’acheter des unités électriques ou d’alimenter (vendre) le réseau en électricité. Certains résidents produisent de l’électricité à partir de panneaux solaires.
Business Insider South Africa rapporte qu’hier, le 25 juillet, est aussi un jour de paie commun pour de nombreux Sud-Africains, et c’est généralement le jour où beaucoup utilisent leur salaire pour payer de nouveaux paquets d’électricité pour le mois à venir.
Sur Twitter, de nombreux clients de Power City se sont plaints au cours des 12 dernières heures au sujet de pannes de courant survenues chez eux et dans toute la ville et sur l'impossibilité d'acheter de nouveaux crédits d’électricité.
City Power appartient à la ville de Johannesburg. La société a également déclaré que les ransomwares rendaient le rétablissement des systèmes plus difficile, en raison du blocage des applications internes.
La société a déclaré qu’elle augmentait le nombre d’équipes de support disponibles en cas d’urgence.
City Power n'a pas révélé le nom du logiciel de ransomware ayant affecté ses systèmes.

Les villes de plus en plus ciblées par les gangs de ransomware

La ville de Johannesburg n'est pas la première municipalité à avoir son réseau infecté par des ransomwares, bien qu'elle soit l'une des plus chanceuses. Certaines villes ont payé d'énormes demandes de rançon pour récupérer les fichiers qu'elles n'avaient pas sécurisé via des sauvegardes. On peut ainsi citer Riviera Beach City, Floride (600 000 $); Lake City en Floride (500 000 dollars); et le comté de Jackson, Géorgie (400 000 dollars).
Les villes d'Atlanta et de Baltimore ont été victimes d'infections par des ransomware à grande échelle qui ont paralysé un large éventail de services municipaux. La ville a fini par payer des dizaines de millions de dollars US lors de la remise en marche de ses réseaux informatiques.
Johannesburg peut s’estimer chanceuse : les pirates ne se sont pas attaqués à son système informatique central. Les réseaux de villes, ou les services connectés tels que City Power, ont été de plus en plus ciblés par les gangs de ransomwares au cours des derniers mois.
Source : Ransomware incident leaves some Johannesburg residents without electricity 

REF.:

 

jeudi 26 décembre 2013

L'Agrément avant l'Environnement ?

Les déchets d'équipements électriques et électroniques (DEEE, D3E ou PEEFV - produits électriques et électroniques en fin de vie - en anglais Waste Electronic and Electrical Equipment WEEE) sont une catégorie de déchets constituée des équipements en fin de vie, fonctionnant à l'électricité ou via des champs électromagnétiques, ainsi que les équipements de production, de transfert et de mesure de ces courants et champs (ce sont surtout des ordinateurs, imprimantes, téléphones portables, appareils photos numériques, réfrigérateurs, jeux électroniques ou télévisions).
En Europe, une directive1 visant un meilleur recyclage des produits électriques et électroniques limite cette catégorie aux matériels fonctionnant avec des tensions inférieures à 1 000 V en courant alternatif et 1 500 V en courant continu. Au-delà, ils sont considérés comme des déchets industriels.
Diverses lois et taxes sont mises en place dans les années 2000 pour gérer ces déchets et limiter l'utilisation des substances dangereuses (RoHS et DEEE en Europe, en Californie, China RoHS en Chine).

Ces déchets ont une empreinte écologique très élevée en raison des importantes quantités de ressources en eau, métaux, et énergies mobilisées par la conception, la fabrication, le transport, l'utilisation et le recyclage des composants et objets électriques et électroniques.
Les DEEE contiennent des métaux précieux (argentorpalladiumcuivre et indium en particulier), source potentielle d'emplois, mais d'emplois dangereux s'ils ne sont pas associés à des législations et pratiques prenant en compte que certains composants des DEE sont aussi des déchets toxiques ou dangereux (cf teneur en aluminiumcuivreplombzincmétaux du groupe du platineargent, et des polluants persistants tels qu'arsenicmercurecadmiumlithium…)), ainsi que du verre, du plastique et de la céramique. Ils doivent théoriquement être traités conformément aux conventions internationales et réglementations nationales ou régionales, mais de nombreux pays envoient leurs déchets dans des pays pauvres où ils sont retraités sans précautions, et parfois par des enfants.
En électronique, de nombreux produits, sans danger lors d'une utilisation normale, sont utilisés dans un ordinateur personnel. Cependant lorsque ces produits sont abandonnés, les substances composant un ordinateur peuvent devenir toxique par le manque de stabilité. Ainsi, un moniteur à tube cathodique est constitué de verre plombé et de PVC produisant des toxines toxiques lors de son incinération. Chaque moniteur contient jusqu'à 4 kg de plomb au niveau de l'entonnoir et dans ses composants électroniques. Un moniteur contient également du baryum et du phosphore des éléments toxiques pour l'environnement et la santé humaine. L'unité centrale est également composée de produits comme le béryllium, leplomb et le chrome hexavalent2. le matériel électrique et informatique contient aussi des Agents ignifuges bromés dont certains sont en laboratoire des perturbateurs endocriniens avérés, qui affectent l'environnement, mais auxquels les personnes qui démontent ou cassent du matériel électronique sont particulièrement exposées (Une étude suédoise a mesuré les taux de PBDE dans l'organisme de différentes catégories de travailleurs, montrant que les recycleurs de déchets électriques et électronique étaient particulièrement touchés3).
En France, par « composants dangereux provenant d'équipements électriques et électroniques », on entend les composants électroniques eux-mêmes mais aussi « des piles et accumulateurs visés (...) considérés comme dangereux, descommutateurs au mercure, du verre (plombé et traité avec des terres rares) provenant de tubes cathodiques et autres verres activés, etc. »
Terra nova parle de « mine urbaine » et met en place en 2010 un procédé nouveau de recyclage des cartes électroniques (extraction mécanique du fer et de l'aluminium, pyrolyse de la résine époxy, et envoi en fonderie de l'agglomérat résiduel de cuivre et métaux précieux. Le gisement européen serait de 200 000 tonnes de cartes électroniques par an dont 130 000 tonnes pourraient être traitées par les fonderies4.

Les DEEE devraient d'abord être réutilisés avant d'être recyclés : C'est une logique de "priorité de traitement" Voir: http://www2.ademe.fr/servlet/KBaseShow?catid=14688&cid=96&m=3&sort=-1 La remise en état et la réutilisation d'un EEE est bien plus efficace pour protéger l'environnement car elle allonge la durée d'utilisation. Paradoxalement, en France, la filière de retraitement des DEEE est financée par les particuliers (via la contribution visible nommée aussi éco-contribution ou éco participation), mais ce sont les fabricants de matériels qui pilotent les 4 éco-organismes agréés. Les fabricants n'ont pas intérêt à privilégier le reconditionnement car les produits d'occasions font concurrence aux produits neufs qu'ils vendent.

Recyclage en Europe : L'ensemble des pays de l'Union Européenne a récolté en 2005-2006 en moyenne 5,1 kg/hab/an8.
La Norvège, la Suède, la Suisse, le Royaume-Uni sont les pays européens qui ont collecté le plus de déchets par habitant(>= 10 kg/hab/an).

Aux États-Unis, les déchets électroniques sont pour la plupart stockés dans des décharges, une infime quantité est incinérée et une petite quantité est recyclée. Ainsi, l’Agence de protection de l'environnement (APE) estime que 70 % des ordinateurs et des écrans et 80 % des téléviseurs sont déposés dans des décharges. Et seulement, 20 % des déchets électroniques sont recyclés9

Il est plus rentable d'envoyer à l'étranger ses déchets électroniques que de les faire traiter sur le territoire des États-Unis. Pour l'instant, l'Agence de protection de l'environnement n'impose pas aux fabricants et aux exportateurs de respecter des normes de traitement. Mais, elle étudie plusieurs solutions à mettre en œuvre11.

La Chine était l'un des premiers pays à récupérer les déchets électroniques pour en récupérer les métaux. Malgré l'interdiction par la Chine d'importation de déchets électroniques, le commerce n'a pas baissé. De nombreux villages sont des décharges de déchets électroniques12, par exemple la décharge de Guiyu13.






Conscient que les déchets électroniques sont une source de pollution et de danger pour l'Homme, le recyclage s'organise peu à peu dans de nombreux pays afin de récupérer notamment les métaux précieux contenus dans ces déchets. Aux États-Unis ou en France, le recyclage devient obligatoire et les déchets doivent être pris en charge par des filières et entreprises spéciales. Une règlementation internationale, la convention de Bâle, impose aux pays exportateurs de déchets dangereux à signaler au destinataire la nature des déchets. L'union européenne impose aux fabricants de produits électroniques de prendre en charge le traitement de leurs propres déchets14.
Malgré cela, de nombreux déchets électroniques quittent les pays développés vers les pays en sous-développement où toute une filière s'est mise en place comme à Accra au Ghana. Dans les années 2000, une partie des déchets exportés le sont plus facilement en étant présenté comme matériel d'occasion réutilisable, mais en réalité souvent inutilisable (dans les 3/4 des cas selon le BAN15. De nombreux enfants démontent, trient et brulent des déchets électroniques afin de récupérer les métaux comme le cuivre. Les autres débris non valorisés sont rejetés dans l'environnement ou brulés dégageant de nombreux produits dans l'air, l'eau et le sol, toxiques pour l'environnement et l'homme16. La Chine est également devenue depuis les années 1980 un cimetière pour les déchets électroniques.



Les tablettes électroniques :

Les Amis de la Terre parlent d’un « effroyable gaspillage de matières premières » et soulignent que cet appareil est loin d’être sans danger pour l’environnement.
Le premier sujet critiqué par les écologistes est l’extraction des métaux et de minerais nécessaires à la fabrication de l’objet. Ceux-ci sont contenus à 95 % dans ce que l’on appelle les terres rares, extraites des mines chinoises. Seulement, les terres rares se présentent dans un état brut, mélangé à d’autres minerais. Inutiles, ceux-ci sont rejetés et dégagent de nombreux déchets toxiques autour des usines. L’impact environnemental et social de tels procédés est colossal. Les Amis de la Terre ont également pointé l’iPad du doigt à cause de son caractère éphémère. Le dysfonctionnement de la batterie soudée à l’appareil, marque en effet la fin de vie de cette tablette high-tech.

Faut-il totalement rejeter l’iPad ? .....Non,juste la politique environnementale internationnale !


Voyons l’intérieur de l’iPad à la loupe pour en évaluer le degré d’écologie. Le verre utilisé ne contient pas d’arsenic, un élément chimique toxique. L’écran LED ne contient pas de mercure et consomme moins d’énergie. L’ensemble de l’appareil est dépourvu de BFR et de PVC, des composants ennemis de l’environnement. La coque est en aluminium et la surface de l’écran en verre. L’extérieur de l’iPad est de ce fait entièrement recyclable. L’iPad séduit aussi parce qu’il permet la lecture de livres électroniques, réduisant ainsi l’utilisation de papiers. Bref, les avis divergent et ils sont fondés.




Le problême est que : 
Ces Produits toxiques doivent théoriquement être traités conformément aux conventions internationales et réglementations nationales ou régionales, mais de nombreux pays riches envoient leurs déchets dans des pays pauvres où ils sont retraités sans précautions, et parfois par des enfants.C'est souvent l'irresponsabilité du pays sous-développés  ,surexploités par les grosses cie qui ne font rien pour les guider dans le chemin de la protection environnementale et de la santé humaine.

Les conséquences environnementales:

Les trois régions présentent des caractéristiques au niveau de la pollution environnementale. Le stockage des déchets pollue les sols, les sous-sols, l’air et l’eau (nappe phréatique, cours d’eau) et rend impropre à la consommation les aliments issus de la chaine alimentaire (lait, produits issus de l’agriculture,…). L’atteinte à l’environnement40 s’avère nocif lors des phases de démantèlement, de récupération et d’élimination finale des matériaux dangereux car les substances toxiques sont directement déchargées dans les sols. Le brûlage des fils électriques contribue à polluer l’air ambiant et à former des amas de cendres polluants. Les combustibles (pneus, mousse isolante) toxiques polluent les sites d’incinération par le rejet de substances qui appauvrissent la couche d’ozone et qui contribuent à produire des gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Les matériaux qui ne sont pas utiles sont enfuient sous terre ou abandonnés ce qui contribue à polluer l’environnement A Guiyu (Chine) a pour particularité d’avoir des niveaux particulièrement élevés de dioxines et furanes atmosphériques. Cette pollution de l’air entraine a posteriori des impacts sur l’écosystème local, principale source de vivres des autochtones41. Les méthodes de recyclage qui y sont pratiquées s’avèrent extrêmement polluantes pour le sol, et donc entrainent sa contamination et donc, celle des nappes phréatiques33. La pHmétrie nous renseigne sur l’acidité du sol (pH = 6,4 environ) et donc de la présence de certains métaux. C’est grâce à la spectrométrie de masse que ceux-ci seront identifiés (Cd, Co, Cu, Ni, Pb, V, Zn) avec les concentrations suivantes : « 4.09 ± 3.92, 15.5 ± 5.40, 1070 ± 1210, 181 ± 156, 230 ± 169, 54.3 ± 5.92 and 324 ± 143 mg/kg ». La certitude est au millième près42. C’est ainsi que la population se voit obligée d’obtenir de l’eau potable par camions.
En 2010, une étude sur les effets des substances toxiques libérées par les DEEE lors du recyclage en Chine et en Inde a été menée par des scientifiques. Il en ressort que les biens faits du recyclage des DEEE sont annulés par la pollution causée par les méthodes de recyclage. Ces méthodes de recyclage émettent des fumées toxiques directement libérées dans la nature, qui polluent ainsi l’eau, l’air, la biosphère 43.

Les conséquences humaines:

La santé44 de la population est mise à rude épreuve. Les travailleurs ne disposent pas de protection adéquate lorsqu’ils sont en contact direct avec les produits chimiques. Ils inhalent de la poussière ce qui porte atteinte à leur système respiratoire (toux, infection, suffocation, asthme) et ils souffrent d’irritation des yeux. Leur peau est fortement endommagée. Ils sont exposés à des métaux lourds45 qui sont cancérigènes (plomb, mercure, cadmium, PVC) et qui endommagent le système nerveux, sanguin, reproductif, respiratoire, les reins et les os. Ils peuvent recevoir des chocs électriques lors du démantèlement des objets. Les enfants et les femmes enceintes sont une catégorie particulièrement vulnérable parmi laquelle on constate un taux de mortalité élevé et des anomalies au niveau du système reproducteur. Beaucoup d’enfants sont recrutés pour collecter, démanteler et brûler les matériaux. Face à un travail non adapté ils sont victimes d’accidents de travail et travaillent dans de mauvaises conditions, ils sont stigmatisés, harcelés et exploités par les employeurs.

En février 2010 l'ONU alertait51,52 sur l’explosion prévisible de la quantité de déchets électroniques de 2010 à 2020 dans les pays émergents, qui pourrait avoir de graves impacts environnementaux, en particulier en IndeBrésil, au Mexique et surtout en Chine (second producteur de déchets électroniques après les Etats-Unis). Dans ces pays, l'incinération ou le traitement sommaire de grandes quantités de déchets électroniques et électriques 2,3 millions de t/an rien qu'en Chine) par le secteur de l'économie informelle entraîne déjà une pollution (toxique, grave et diffuse)51.
  • En Afrique du Sud et en Chine, le rapport prévoit une augmentation des déchets d'ordinateurs de 200 à 400 % d'ici à 2020.
  • En Inde, l'ONU prévoit une augmentation de 500 %51.
  • Les déchets issus de la téléphonie mobile devraient être multipliés par sept entre 2007 et 2020 rien qu'en Chine, et l'ONU prévoit une augmentation dix-huit fois plus importante en Inde entre 2007 et 202051
  • Le taux de téléviseurs en fin de vie devrait doubler dans ces deux pays entre 2007 et 202051
  • le nombre des réfrigérateurs à traiter devrait tripler en Inde entre 2007 et 202051

vendredi 25 janvier 2013

Hydro Québec: Les Québécois ont utilisé 39 120 mégawatts (MV) en 4 hrs


Froidure et consommation d'électricité - Le pire est passé selon Hydro-Québec
Le réseau d’Hydro-Québec risque d’être moins sollicité au cours des prochaines heures et des prochains jours, après le record de consommation établi mercredi soir, alors que les Québécois ont utilisé 39 120 mégawatts (MV) entre 16 h et 20 h. 
Photo: Agence QMI


MONTRÉAL - Le réseau d'Hydro-Québec risque d'être moins sollicité au cours des prochains jours, après le record de consommation établi mercredi soir, alors que les Québécois ont utilisé 39 120 mégawatts (MV) entre 16h et 20h.
Jeudi matin, la consommation avait sensiblement diminué, atteignant 38 930 MV. La légère remontée des températures laisse entrevoir une situation moins critique pour l'alimentation en électricité des ménages québécois.

Les équipes d'Hydro-Québec ont poursuivi leur travail afin de redonner le courant aux abonnés. En matinée, on comptait 4700 foyers privés de courant, dont 1800 dans les Laurentides. «En milieu de soirée, il ne restait plus qu'une vingtaine de clients à réalimenter dans les Laurentides et environ 900 dans la région métropolitaine», a indiqué le porte-parole d'Hydro-Québec, Louis-Olivier Batty.

La Ville de Pointe-Claire a connu une panne qui a affecté environ 570 de ses citoyens. Des services d'hébergement étaient disponibles pour dépanner les citoyens privés de chauffage, mais ont été peu utilisés.
«Seuls quelques aînés se sont présentés, a indiqué la responsable des communications de la Ville, Ginette Brisebois. Et vers 20h, tous les clients résidentiels d'Hydro-Québec étaient rebranchés, les commerces devaient l'être dans les heures suivantes.»

La société d'État a remercié tous ses clients par voie de communiqué, jeudi après-midi, pour leurs efforts afin de réduire la consommation d'électricité durant les périodes de froid intense, mercredi et jeudi matin.

«Les efforts de la clientèle [...] ont permis de réduire la consommation d'électricité aux heures de pointe du matin d'environ 600 MW, soit l'équivalent de la consommation de 120 000 ménages», peut-on lire dans le communiqué.

Même si le pire est sans doute passé, Hydro-Québec rappelle qu'il est important de réduire la consommation des appareils énergivores (sécheuse, lave-vaisselle, notamment) pendant les heures de pointe pour éviter des achats supplémentaires d'électricité sur les marchés extérieurs.

Vague de froid

Cette vague de froid n'est pas commune au Québec. «C'est un phénomène qui survient environ tous les 25 ans, a déclaré André Cantin à TVA Nouvelles, météorologue à Environnement Canada.

«Ce genre de température est habituellement réservé au nord du pays, comme les Territoires du Nord-Ouest, a-t-il affirmé. C'est très rare au Québec. Il faut remonter en 1996 où nous avions atteint une moyenne de moins 23 degrés d'une durée de six jours.»

Au Québec, les régions de l'Abitibi-Témiscamingue, du Lac-Saint-Jean, et la Réserve faunique des Laurentides sont les plus touchées par le froid, a fait savoir le ministère du Développement durable, de l'Environnement, de la Faune et des Parcs, qui administre le Programme de surveillance du climat.

Aussi sur Canoe.ca:
En vidéo: le bilan des pannes
Ainsi, la station météorologique de La Morandière, en Abitibi-Témiscamingue, a enregistré une température de moins 47,6 degrés Celsius, mercredi. Le record absolu mesuré à cette station remonte à 1981 avec une température de moins 48 degrés Celsius.

Parmi les 352 stations météo du Programme de surveillance du climat, 31 d'entre elles, toutes situées dans les régions mentionnées précédemment, ont rapporté mercredi des températures sous les moins 40 degrés.

Besoin de s'évader

Dans les agences de voyage, le téléphone sonne beaucoup. Les conseillers affirment prendre deux fois plus de réservations que les mois de janvier réguliers, et ce, depuis vendredi dernier.
«Les gens prévoient s'évader du froid, surtout après une semaine avec ce genre de température, a précisé Luis Sanchez, conseiller en voyage. Janvier restera toujours un mois occupé, mais cette semaine la différence est là.»

Le retour à la normale est prévu au début de la semaine prochaine.


REF.:

mercredi 26 décembre 2012

Hydro Québec n'entretient pas ses lignes dans le nord de Mtl



Encore 110 000 foyers depuis vendredi le 21 Décembre 2012 sans courrant électrique,il en reste 3,000 a rebrancher et ça fait quand même 6 jrs sans électricité avec des froid de moins 21 degré Celcius.
Non ,mais faut tu être con,si le problême du déboisement des lignes électriques du nord de Montreal fait encore des victimes en 3 ans !

Non mais avec les augmentations de la facture d'électricité et des taxes ,on nous doit ça ! 
Du serviceeeeeee,pas après la neige et les branches d'arbres non coupées,mais avant qu'elle envahisse les tours d'hydro !

Pourquoi Hydro Québec met pas la même argent qu'elle met actuellement a temps double a ses employés et en jour férié de noel 2012 (wow du 21 au 26 Dec 2012 ,alloooo ohhhh)en prévention des pannes de l'hiver ,comme que l'ont a actuellement ? La même argent mit en déboisement durant l'automne 2012 aurait servit a prevenir ce gâchi qui revient depuis 3 ans dans la couronne nord de montreal !

out le monde coupe leurs arbres et arbuste a la fin de l'été,...........sauf les grosses cies qui ne font rien ,malgré les avertissements répétées.Quoi,,..............Hydro-Québec a tu attrapé le WTC syndrôme ?
Ah,................OK ? Le Bush-WTC Syndrôme ??? C'est que lorsque le FBI ,le MI6 ont averti le président Bush des attaques du WTC (World Trade Center),il a rien fait ! Hydro fait tout a fait la même chose avec les arbres qui tombe sur leurs lignes ;o)

Non ,mais il y a tu quelqu'un qui se donne de la job !$! 

Et personne a l'assemblé national pour représenter la population non plus parle !


Pannes - Plus de 3000 clients toujours sans électricité
 
Photo Michel Desbiens / Agence QMI

Environ 3000 résidents des Laurentides, de l'Outaouais et de Lanaudière étaient toujours privés d'électricité, mercredi en fin d'après-midi, après avoir passé Noël dans le noir. Malgré les efforts de ses centaines de travailleurs, Hydro-Québec n'avait pas réussi à rebrancher tous les abonnés touchés par cette panne majeure, qui a touché plus de 110 000 foyers depuis vendredi dernier, principalement situés dans la région des Laurentides.


«C'est une très grosse bordée de neige, plus de 60 cm en certains endroits, donc ça complexifie le travail des gens sur le terrain. On parle de motoneiges, de raquettes, donc les gens continuent d'être dans ces situations-là», a affirmé la porte-parole d'Hydro-Québec, Geneviève Chouinard, pour expliquer les difficultés rencontrées pour rétablir le courant.
Hydro-Québec a rétabli le service de plus de 97 % de ses clients touchés. Certains foyers étaient sans électricité depuis vendredi et d'autres étaient privés d'eau courante et de téléphone.

REF.:

dimanche 1 avril 2012

2,50 $ pour un plein

Bornes publiques de recharge - L'hydroélectricité au lieu de l'essence
Le ministre Clément Gignac, rêve de voir le Québec réduire sa dépendance au pétrole importé. 
© Didier Debusschere / Agence QMI

Bornes publiques de recharge

L'hydroélectricité au lieu de l'essence

QUÉBEC - Hydro-Québec commence à déployer son réseau de bornes publiques de recharge pour véhicules électriques. La société d'État vient d'ouvrir ses 34 premières bornes situées dans les régions de Québec et de Montréal. Le ministre des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF), Clément Gignac, rêvait hier à voix haute de voir le Québec réduire sa dépendance au pétrole importé.
« Les deux tiers de notre déficit commercial sont dus à l'achat de pétrole qui nous coûte 11 milliards de dollars par année. Faire le plein d'énergie sur un véhicule électrique coûte beaucoup moins cher (2,50 $ pour un plein) et l'argent reste au Québec », a dit M. Gignac.
Aux 34 bornes à 240 volts inaugurées hier dans des terrains de stationnement de chaînes commerciales RONA, Rôtisseries Saint-Hubert et Metro, « au moins » 86 autres viendront s'ajouter l'été prochain, toujours en périphérie de Montréal et de Québec.
Il s'agit du premier réseau de bornes de recharge électriques au Canada, ont fait valoir le ministre Gignac et Hydro-Québec. Le rythme de déploiement du réseau s'ajustera par la suite à l'arrivée de véhicules électriques sur le réseau routier.
Inconvénients
Il faudra encore du temps avant que l'automobile électrique ne supplante le véhicule aux hydrocarbures.
Il existe encore d'importants inconvénients à l'utilisation d'un véhicule électrique. Recharger au complet une batterie peut prendre entre six et huit heures et l'autonomie de ces véhicules varie entre 50 et 150 kilomètres, selon la température, la saison et le type de conduite (« sportive » ou modérée), selon ce qu'on a pu entendre hier.
Le grand froid hivernal réduit l'autonomie des véhicules électriques, a convenu Pierre-Luc Desgagnés, directeur de la planification stratégique à Hydro-Québec.
« Les véhicules tout électriques répondent aux besoins urbains et péri-urbains. Pour les plus longues distances, on suggère les véhicules hybrides rechargeables (plus chers à l'achat) », a dit M. Desgagnés.
Quant à la recharge, celle-ci se fait principalement à domicile, plaide Pierre-Luc Desgagné. En quittant le domicile, le matin, le véhicule est rempli. Les bornes publiques servent de recharge d'appoint, ajoute-t-il.
Hydro-Québec prévoit installer, dès l'an prochain, des bornes publiques de recharge rapide à 400 volts. Le temps de recharge pourra alors être réduit à une trentaine de minutes. De telles bornes pourront être installées en bordure des autoroutes, entrevoit Hydro-Québec.


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