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vendredi 23 mars 2012

Tué dans la dignité ?




L'Euthanasie,une pomme empoisonnée ,par un païenne Politichienne.  
Le Québec devrait légaliser l'euthanasie, à condition hahahahaaaaaaaaa,qu'elle s'exerce dans des circonstances exceptionnelles Hahahahaaaaaaaaaaaaaa, et bien balisées Hahahahahaaaaaaaaaaa mémé nowelle. Voilà l'une des principales recommandations de la commission spéciale «Mourir dans la dignité».Qui vivra verra!

Les membres de cette commission parlementaire, issus de tous les partis politiques,  ont dévoilé le fruit attendu de leurs travaux, jeudi, à l'Assemblée nationale, après deux ans de labeur, de réflexion commune et une tournée provinciale de consultation.
Ils y vont de 24 recommandations unanimes, incluant la modification des lois pertinentes (Loi sur les services de santé et les services sociaux et le Code civil du Québec), afin de permettre l'euthanasie, rebaptisée «aide médicale à mourir» par les parlementaires. «C'est la même chose», a convenu la présidente de la Commission, Maryse Gaudreault, insistant toutefois sur la notion d'encadrement médical.
Même si code criminel canadien interdit formellement l'euthanasie, la Commission s'appuie sur le Barreau du Québec et soutient que ce n'est pas un obstacle pour aller de l'avant.  La députée péquiste Véronique Hivon croit que le Procureur général pourrait émettre une directive au Directeur des poursuites criminelles et pénales afin de s'assurer qu'un médecin, qui se conforme aux lois québécoises, ne puisse faire l'objet de poursuites.
Critères essentiels
Seul un médecin pourrait injecter une dose mortelle afin d'abréger les souffrances d'une personne malade. Le patient, majeur, devrait exprimer lui-même ce souhait. La Commission a prévu d'autres critères essentiels : la personne devrait être atteinte d'une maladie grave et incurable. Ses souffrances «physiques ou psychologiques constantes, insupportables, ne pourraient être apaisées» et sa condition ne devrait présenter «aucune perspective d'amélioration».
«Nous sommes convaincus que la société québécoise souhaite ce changement. Une nouvelle option est en effet nécessaire dans le continuum de soins de fin de vie, car les soins palliatifs ne peuvent soulager toutes les souffrances physiques et psychologiques des personnes malades», peut-on lire dans le rapport.
La Commision s'est aussi inspirée des expériences à l'étranger, notamment la Belgique et les Pays-Bas. Ainsi, ils disent avoir l'assurance, étude à l'appui, que «l'aide médicale à mourir ne portera pas préjudice aux personnes les plus vulnérables, puisqu'il est possible de bien la circonscrire et la baliser afin d'éviter tout risque d'abus».
Soins palliatifs
La Commission recommande aussi de développer les soins palliatifs à domicile au Québe et de de dispenser une formation en soins palliatifs à tous les intervenants du réseau de la santé. Elle espère le dépôt d'un projet de loi d'ici juin 2013.
Le ministre de la Santé et des Services sociaux, Yves Bolduc, a réitéré son «ouverture» mais a déclaré qu'il préférait étudier le rapport avant de le commenter.

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