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mercredi 12 mai 2021

Mc Donald : Prise de commande et facturation douteuse ?

 

 Attention si vous achetez le trio Big Mac avec le coupon 12,20 $ pour 2 trio, j’ai demander de remplacer les frites en poutines en remplacement des frites, mais sur ma facture y mon chargé 8,00$ de plus et ça sans enlever le prix des frites ? on vous charge le prix des frites même si elle sont pas dans le sac, tant qu’à ça j’aime mieux payer 8,00 $ de plus pour avoir les 2 frites du trio et deux poutines d’extra !!! Pensez’y 😎Merci à la gérante de m’avoir remboursé lol Attention la cote est à 3,1 dur 5 , l’erreur viens-tu de l’employé de la première caisse, le gars qui donne pas de copie de facture 🧾? Et que la deuxième caisse ou guichet sait rien de ta commande et sûrement courre après le coupon de caisse ;-)

 


 

 Il y a un gros problême ! Aucune inscription du spéçial a 12,20 $ ???? dans la facture !



REF.: T30


mardi 17 décembre 2019

Déprogrammer l'obsolescence, un grille-pain à la fois



Déprogrammer l'obsolescence, un grille-pain à la fois

Le droit à la réparation est le remède à l’obsolescence programmée des appareils électroniques et des électroménagers. Mais l'industrie est-elle prête à revoir son modèle d’affaires?



Libellés
obsolescence programmée, achat, consommation, prix, réparation,
 
 
 
Mélissa Pelletier
De plus en plus de personnes réclament des biens plus faciles à réparer. Mais ce virage passe par un changement de mentalité de la part de l’industrie et des consommateurs, toujours tentés par la nouveauté.
En France, une entreprise fait oeuvre de pionnière dans le domaine, mais au Canada, nous sommes encore loin du compte, malgré plusieurs initiatives mises sur pied.
L’équipe de La Facture a vérifié s'il était possible de faire réparer certains appareils à prix raisonnable avec l’aide de plusieurs personnes qui ont répondu à notre appel, lancé au printemps dernier.

Des consommateurs désabusés et coincés

Denise Maurice de Granby a reçu en cadeau un grille-pain T-fal de la compagnie française Seb.
Après seulement un an et demi d’utilisation, il ne grille le pain que d’un côté.
Elle est allée chez un réparateur. Il estime que cela coûtera environ 70 $.
C’est beaucoup trop cher pour Denise Maurice, puisque la valeur du grille-pain est de 80 $. Elle aurait été prête à payer 20 $.
Je me dis que c'est 25 % à peu près du prix initial... [...] Mais au-delà de ça, non! dit-elle.
Mme Maurice a décidé de reprendre son vieux grille-pain.
Je n’embarque pas dans ce jeu-là de payer quasiment le prix du grille-pain au complet pour le faire réparer ni d'en acheter un autre. C'est un non-sens.
Denise Maurice de Granby
Guy Boisvert de Québec a un problème avec son climatiseur de marque LG. Il a payé l’appareil 500 $ en 2012. Cinq ans plus tard, l’évaporateur est défectueux, et pour le faire réparer, il en coûterait 400 $.
LG nous a répondu que le produit a été fabriqué en 2011, et donc que la pièce n’est plus disponible.
Abusif, totalement abusif! On ne peut pas concevoir non plus qu'un bien que l'on répare coûte sensiblement le même prix qu'un bien neuf qu'on achète. C'est totalement illogique, dénonce Guy Boisvert de Québec
Lui aussi aurait été prêt à payer pour le faire réparer, mais pas à n’importe quel prix.
On propose à Guy Boisvert de réparer son climatiseur pour 400 $ alors que l'appareil vaut 500 $.
Photo : Radio-Canada / La Facture
Je serais prêt à investir là-dedans. Moyennant le fait que j'ai la garantie que ça va durer encore un autre cinq ans. Oui, pourquoi pas.
Guy Boisvert de Québec
Bruno Gagnon de Québec, lui, a un iPod qui a arrêté de fonctionner après 13 mois d’utilisation.
« Chez Apple, on ne m’a même pas offert de le réparer. On me donne 50 $ pour que j’en rachète un autre! » déplore Bruno Gagnon.
Il a rejeté l’offre.
J'ai refusé parce que ça me paraît étrange qu'il faille s'en départir sans qu'il y ait possibilité de le réparer. Ça m'horripile vraiment.
Bruno Gagnon de Québec
Nous avons contacté Apple à ce sujet, et nous n’avons pas eu de réponse au moment de la publication.

L’heure est grave

Selon le rapport d’Équiterre Obsolescence des appareils électroménagers et électroniques : quel rôle pour le consommateur?, lors des deux dernières années, les gens ont acquis en moyenne plus d’appareils électroménagers que d’appareils électroniques.
Ce sont les petits électroménagers qui sont les plus populaires à 68,4 %, selon les données recueillies auprès de répondants. Les plus acquis : aspirateur, cafetière/machine à expresso, grille-pain, micro-onde, et mélangeur.
Selon un rapport de l’ONU, les petits électroménagers et les appareils électroniques génèrent plus de 44 millions de tonnes de déchets par année sur la planète.
C’est l’équivalent de 4500 tours Eiffel. Et seulement 20 % de ces appareils seraient correctement recyclés.
Or, à défaut d’être recyclés, une grande partie de ces appareils pourraient être réparés.
Les dernières données disponibles sur le taux de récupération et de recyclage des appareils électroniques et des électroménagers au Québec datent de 2015.
Il a été impossible pour Radio-Canada de les obtenir pour 2019, et ce, même si des écofrais sont exigés pour les appareils électroniques. Ils servent à la collecte, au transport et au recyclage.
D’autre part, aucun programme semblable n’existe pour les petits électroménagers comme les cafetières.
Nous pouvons penser que la majeure partie de ces appareils finit dans les sites d’enfouissement.
Alain Pautrot, vice-président, satisfaction du consommateur et service après-vente, Seb
Photo : Radio-Canada

L’entreprise qui est prête aux changements

L’entreprise française Seb, qui détient notamment les marques T-fal, Moulinex, Krups, All-Clad et Lagostina, a un modèle d’affaires hors de l’ordinaire.
Seb s’engage à ce que ses produits soient réparables pendant 10 ans dans toute l’Europe.
Les produits sont en conséquence conçus pour être plus facilement réparables, démontables et remontables, afin d'être réparés à moindre coût.
Aussi, Seb promet de conserver en stock toutes les pièces de la quasi-totalité de ses produits pendant près de 10 ans après l’achat.
Alain Pautrot, vice-président satisfaction du consommateur et service après-vente de Seb, explique la philosophie de l’entreprise qui a pour but de fidéliser les clients.
Et cette fidélité rapporte : c’est qu’au lieu de faire des profits sur la réparation, les profits sont faits autrement.
Il ne faut pas oublier que si un réparateur accepte de ne gagner quasiment rien en réparant un grille-pain, il est probable qu'il vendra en même temps des filtres pour la cafetière, un balai pour l'aspirateur, fait valoir M. Pautrot. Tout ce complément va ramener les consommateurs à aller chez le réparateur.
Depuis qu'on répare nos grille-pain, à peu près à 85 % des grille-pain en Europe sont réparés. On a énormément amélioré la qualité des grille-pain parce qu'on les connaît.
Alain Pautrot, vice-président, satisfaction du consommateur et service après-vente, Seb

Une lutte qui prend de l’ampleur

La France est le premier pays, en 2015, à avoir légiféré contre la diminution volontaire de la durée de vie des produits électroniques.
L’obsolescence programmée est un délit pénal passible d’une peine d’emprisonnement de 2 ans et d’une amende qui peut atteindre 300 000 euros.
Des plaintes ont été déposées contre Apple et Epson par l’Association HOP/ Halte à l’Obsolescence programmée, ce qui a mené à l’ouverture d’une enquête par le Procureur de la République.
Cette enquête est toujours en cours.
En Italie, en octobre 2018, l’autorité de la concurrence italienne a infligé une amende de 10 millions d’euros à Apple et de 5 millions d’euros à Samsung pour obsolescence programmée.
Les deux entreprises contestent cette pénalité devant les tribunaux italiens.
En 2016, le gouvernement suédois a réduit sa taxe de 25 % à 12 % sur la réparation des vêtements, des vélos, des réfrigérateurs et des machines à laver. Cette mesure vise notamment à inciter les consommateurs à modifier leur comportement.
Aux États-Unis, des projets de loi ont été déposés dans 20 États américains.
Des projets de loi qui incluent par exemple l’accès au plan d’appareils électroniques aux consommateurs et aux réparateurs indépendants.
La députée libérale Lise Thériault est notamment porte-parole de l’opposition officielle pour la protection des consommateurs.
Photo : Radio-Canada / La Facture

Québec s'apprête à réglementer

Au Québec, le projet de loi 197 a été déposé le 9 avril dernier après qu’une pétition eut été déposée à l’Assemblée nationale.
C’est une initiative singulière, puisque la pétition a reçu plus de 45 000 signatures. Il s’agit de la deuxième pétition en importance dans l’histoire du Parlement.
Piloté entre autres par la députée libérale Lise Thériault, le projet de loi veut obliger les manufacturiers à offrir des pièces à prix raisonnables.
La notion de droit à la réparation, c'est comme le droit de mourir dans la dignité, ce sont des droits qui, avec le temps, les gens vont réclamer.
Lise Thériault
Jade Racine, une des étudiantes en droit de l’Université de Sherbrooke à l’origine du projet de loi, explique la problématique actuelle.
C'est souvent les compagnies qui ont le monopole de la réparation, donc des grandes compagnies, qui créent des pièces qui ne sont pas accessibles, qui créent des outils spéciaux pour remplacer les pièces défectueuses, alors c'est souvent un problème pour les gens, dénonce-t-elle, mais aussi pour les réparateurs aussi qui doivent trouver d'autres moyens de faire leur travail.
D’autre part, le gouvernement du Québec a annoncé début novembre un nouveau programme pour récupérer les gros électroménagers ainsi que les climatiseurs sur roulettes.
Le nouveau règlement obligera les manufacturiers à récupérer leurs produits à leur fin de vie utile à compter du 5 décembre 2020.
Il en coûtera 90 millions au gouvernement pour aider l’industrie.
En France, la loi sur l’environnement oblige les distributeurs à récupérer les gros et les petits électroménagers depuis 2014.
L’équipe de « La facture » a demandé à l’électromécanicien Martin Barbeau de tenter de réparer le grille-pain de Mme Maurice. Une tâche pas si simple, malgré les apparences.
Photo : Radio-Canada / La Facture

Le test du grille-pain

Nous avons vérifié comment pourrait se faire la réparation du grille-pain de Mme Maurice.
L’équipe de La Facture a demandé à l’électromécanicien Martin Barbeau d’y jeter un coup d’oeil. Il collabore au projet Les Affûtés, un espace collaboratif où l’on peut apprendre à réparer ses appareils défectueux.
Enthousiaste, Mme Maurice se rend aux Affûtés. M. Barbeau tente d’ouvrir le grille-pain par le dessous. Il y a beaucoup de vis, et elles sont très difficiles à dévisser.
C’est le grille-pain le plus difficile que j’aie eu à ouvrir. Il bat des records.
Martin Barbeau
Il a tenté alors de l’ouvrir à l’aide d’un outil d’une forme particulière, les composantes étant de forme hexagonale, ce qui est inhabituel.
Après une demi-heure de travail, impossible de l’ouvrir par le dessous. Pourtant, c’est la seule façon d’avoir accès au mécanisme.
Mme Maurice et M. Barbeau persévèrent, ils se mettent à deux.
C’est un travail délicat, puisqu’il faut être capable de le remonter par la suite, il ne faut donc pas le casser. Curieusement, les vis tournent dans le vide. Ils découvrent qu’elles semblent être des rivets.
Après plusieurs manipulations, ils se rendent compte que ce sera très difficile de l’ouvrir sans le démolir. Et qu’il sera alors impossible de le remonter. Verdict : il est irréparable.
Étonnamment, le grille-pain T-fal est une marque du Groupe Seb.
Nous avons demandé des explications à Alain Pautrot de Seb. Il nous a répondu que les produits au Canada et aux États-Unis sont des gammes spécifiques pour lesquelles la politique de réparabilité est arrivée beaucoup plus tard. Elle commence seulement aujourd'hui à être mise en place, donc on ne peut pas assurer que des produits qui ont 5 ou 6 ans ont déjà bénéficié de cette politique.
Le défi du grille-pain
L’animateur et journaliste François Sanche en compagnie Sylvain Plouffe, de l’ École de design de la Faculté de l’aménagement de l’UdeM et de Daniel Spooner du département de génie mécanique de Polytechnique Montréal.
Photo : Radio-Canada

Constats

Plusieurs mythes courent sur l'obsolescence. Le principal étant l’agissement des entreprises.
On croit à tort qu’elles fabriquent des produits qui ont une durée de vie prédéterminée.
Pour certains produits, c’est vrai, mais il y a des nuances.
L’expert Sylvain Plouffe, professeur à la Faculté de l'aménagement de l’École de design de l'UdeM, précise que « L'obsolescence est inévitable. Un produit, un service, ou techniquement ça ne fonctionne plus à cause de l'usure, ou à cause des nouvelles technologies, ou parce que c'est carrément usé ».
Il y a aussi chez les usagers ce qu'on appelle l’obsolescence psychologique. Ça ne satisfait pas notre besoin maintenant, on n'est pas à la mode, on n'est pas valorisé, esthétiquement ça convient plus. Et on se débarrasse du produit pour ces raisons-là.
Sylvain Plouffe, professeur à la Faculté de l'aménagement de l’École de design de l’UdeM
Daniel Spooner, maître d'enseignement au Département de génie mécanique de Polytechnique Montréal, définit l’obsolescence comme une perte d'efficacité dans le service rendu. L'offre de service est moins disponible ou plus disponible du tout par le produit duquel on s'attendait.
Les 3 types d’obsolescence identifiés :
• Fonctionnelle et technologique – par défaut fonctionnel, par incompatibilité, par notification
• Économique – réparabilité, rapport qualité/prix, baisse de prix, service après-vente
• Psychologique – esthétique, écologique, tendance
Source  : Rapport « Obsolescence des appareils électroménagers et électroniques : quel rôle pour le consommateur? », Équiterre

Réponse de l’industrie

Malgré les nombreuses initiatives un peu partout dans le monde, les manufacturiers s’opposent sur le droit à la réparation. Ils invoquent la propriété intellectuelle et la sécurité.
L'Association des fabricants d'appareils électroménagers (AHAM) nous a répondu que « les fournisseurs de services autorisés sont tenus de réparer avec les pièces et l’équipement testés qui répondent aux exigences de sécurité et de fiabilité spécifiées par les fabricants ».
Pour ce qui est du projet de loi québécois, l’AHAM nous répond : « Pas un seul État américain n’a adopté de loi sur le droit à la réparation. Plusieurs l’ont considéré et, chaque fois, ils ont conclu que ces propositions sont bien intentionnées, mais qu’elles ne sont pas dans l'intérêt du consommateur. »
Un reportage de l’animateur et journaliste François Sanche, de la journaliste à la recherche Melissa Pelletier et de la réalisatrice Stéphanie Desforges. Le reportage sera diffusé à l’émission La facture mardi à 19 h 30. 


mercredi 18 avril 2018

Service a Clientèle ,....connaît pas !





Si jamais vous avez a contacter le service a clientèle de n'importe quel organisme,privée,publique,para-publique,municipale,gouverne mentale,.....Vidéotron et plusieurs autres ont trouvés la solution.
C'est le service : Et ça s'appel Satisfaction a Clientèle !

Service clientèle 101 ,pour les nuls:

Donc,si durant votre appel pour une facturation,le préposé (souvent a commission: un menteur voleur)qui marche au livre (un cartésien écarté),vous prend pour un numéro et va au même accès informatique de votre dossier en ligne que vous (si vous n'êtes pas déja inscrit)et que la faute revient souvent a l'ordinateur et que le gars te dit "c'est dans le système"....................,a ce moment utilisez donc le système-D !

Exemple : Erreur de facturation cell (on se rappel tous les nombreux recours et dédommagements du passé), vous appelez et durant les inter minables nomemclatures de vos numéros, de-ci ,de ça ,aller a la ligne 222,votre ancienne adresse,le nom de gars votre grand-mère, si votre chien a les oreillions et j'en passe,....................passez donc a l'étape suivante.

Si le préposé(en arabe ça veut dire illettré Ha !!!) ne comprend pas ,.........demander: (on est pas rendu encore a l'Ombudsman ,mais pas loin)donc le chef d'équipe ,ou dites-donc : Je veut parler a ton patron ,.....pas a un autre préposé,....a ton patron,  Merci !!! Pis la ,tu dit je vais fermer mon compte chez vous,car ça fait 25 ans mimnimum ,..........Hi-Ha tremblay !!! que je fais affaire avec vous .
Je prend le droit de fermer mon compte , car la compétition ,et votre "con current" a de meilleur prix que vous ! Sinon ,jouer au kangourou et changer aux an,votre abonnement pour avoir de meilleur prix lol(mais ça revient au même de négocier avant de changer votre abonnement,si tout vos services sont inclus) !!! Et rembourser le client,veut pas dire le rendre fidèle,attention a la méthode Walmartienne ! Et qu'allez-vous faire lorsque que le puissant bulldozer Amazon (vous savez la flèche souriante) va arriver,et que déja plusieurs utilse le DarkNet (c'est un paradis webcale anonyme,mettons !!!)comme un Toys "R" Us , ou tout est permis,je le sais j'y suis allé ???

Et je vous jure que le préposé qui vous répond et qui est a sa deuxième journée d'entraînement ,va aller fumer sa cigarette au break ou va demander de l'aide psychologique tout en apprenant a respecter la clientèle,...........et elle est variée(car ce sont les différents qui feront la différence et non le troupeau qui bêle dans son champ de factures).

C'est a ce moment que la cie ,vous transfert au service Satisfaction a Clientèle !!!
Alors fini les forfaits pour nouveaux clients,place a ceux qui vous font vivre ,les clients fidèles,la fidélité en affaire ,...............c'est ce qui évitera la faillite de votre entreprise ou la casse des citoyens !

De plus en plus de cie utilise cette méthode!
Sinon ils perderont des clients,de l'argent,leurs réputations, et fermeront les portes , ou auront des représailles des citoyens de la rue,qui ne feront surement pas du lèche vitrine ! Le miroir de notre société sera publier dans les réseau sociaux,pour beaucoup de service ou on retrouve de l'insatisfaction,alors surveillez-vous !

Verrons-nous un jour,le Service Satisfaction au Citoyen ?
Satisfaction Québec,Satisfaction Hydro,Satisfaction Cellulaire,Satisfaction impôt,Satisfaction ........cout'donc,y sont tu satisfaits de leur travail ou de leur paye eux autres ?
On n'a pas inventé la roue ,mais ça fait longtemps qu'on roule ,on vole ,on se téléportera bientôt,alors défender vos droits ! Et exprimer ses commentaires,c'est un ,mais surtout exprimer des commentaires explicatifs ,c'est mieux !
Et tout commentaire effacé restera toujours dans : La waybackmachine d’Archives.org, 
(avec 327 billions de pages web actuellement)qui peut être pratique si vous voulez voir votre passé disparu ou prouvez votre point de vue qu,une entreprise a deleté , a cause que vous aviez peur de leurs avocats ;-) Le add-on est dans firefox ,Cool !(Je le sais ,j'ai republié ma référence wikipedia ,dans un blogue alors qu'il avait enlevé ma référence,trop drôle ,ce cher web 2.0 wikipedia)

REF.: T30

mercredi 25 septembre 2013

Prix: iPhone 5s = coûte 216$ avant la quote du distributeur Rogers , mettons .

IHS révèle les couts de production des iPhone 5S et 5C


Nous connaissions les prix de vente des nouveaux iPhone, nous savons désormais ce qu’il coûte à Apple pour les fabriquer. A partir de 199 dollars pour le 5S et de 173 dollars pour le 5C ,environ.


L’information n’est jamais donnée et pour cause. C’est donc IHS qui, comme il l’a déjà fait, démonté les nouveaux iPhone pièce par pièce pour déterminer ce qu’ils coûtent à produire.
AllThingsD a obtenu le rapport d’IHS qui sera publié demain. Il dévoile qu’un iPhone 5C représente un coût entre 173 et 183 dollars pour un tarif de vente de 549 à 649 dollars. Et la surprise vient de l’iPhone 5S qui, apparemment ne coûte pas beaucoup plus à produire. Selon IHS, son cout de production irait de 199 à 218 dollars. L’assemblage est évalué entre 7 et 8 dollars.
En fait, les deux modèles ne présentent pas d’écart très important en terme de coût. Pour les modèles 16 Go, la différence est de 26 dollars et de 35 dollars pour les 64 Go.
Apparemment, Apple arrive à maintenir les tarifs de ses sous-traitants puisque, toujours selon IHS, l’iPhone 5 de 2012 représentait un coût de production de 205 dollars.
Au vu de ces informations, on est d’abord surpris de la si faible différence entre les 5S et 5C. Les innovations techniques qui équipent le 5S (Touch ID, puces A7 64 bits, coprocesseur M7 …) ne représentent pas grand-chose.
En rognant sur ces marges, Apple aurait pu faire de l’iPhone 5C, un véritable appareil d’entrée de gamme et faire une réelle différence avec son frère et concurrent, le 5S. À moins que la firme de Cupertino ait volontairement monté le prix de vente du 5C pour attirer plus de monde sur le 5S.
Donc,l'iPhone 5S vaut 36 % de sa valeur de vente et le Apple Store fait du 64% de profit ou 433$ par iPhone 5S ,sans oublier que Apple fait de l'argent avec son iTune en mp3,et films ,sans compter vos jeux et application a prix dollarama !

Et qu'un fournisseur de cell comme Rogers doit payer sa bande passante et son investissement au LTE avec ce même profit de 433$ qui diminuera des ses frais en bande passante du réseau LTE de Rogers a payer au gouvernmement Canadien,et récupéré dans votre contrat de 2 ans ,sinon vous payerez ce m^me 433$ au prorata,,,,,,,,,,,,,,,,, gagne de tataaaaaaaa!

REF.:

jeudi 30 mai 2013

Moins de vente et de mise en chantier de maison,meilleur seront ........

Maison à vendre(archives)
La baisse d'activités dans le secteur de l'immobilier s'observera dans toutes les régions du Québec cette année, selon Desjardins, alors que la diminution des ventes conduit à une baisse des mises en chantier.Meilleure seront ............... les prix des logements dans un an  ?

Desjardins confirme la baisse du secteur de l'immobilier:


Le nombre de résidences vendues par l'entremise d'un courtier immobilier a chuté de 7 % en avril comparativement à la même période l'an dernier. Le marché des copropriétés est le plus touché, avec 11 % de diminution, alors qu'une baisse de 6 % des ventes est notée pour les maisons unifamiliales.
Alors que la demande s'affaiblit, le nombre de copropriétés à vendre a augmenté d'environ 25 % depuis le début de 2013 dans la province. Desjardins estime que la situation pourrait mener à un recul des prix à Québec et à Montréal pour ce type de propriété, notamment dans les gammes supérieures. Selon l'institution financière, une diminution d'environ 5 % des prix est possible d'ici un an.
Toutefois, une baisse généralisée des prix n'est toutefois pas à prévoir, puisque le marché des maisons unifamiliales demeure à l'avantage des vendeurs. On observe cependant que la diminution de la demande contribue à stabiliser les prix, qui étaient en continuelle hausse depuis quelques années. La progression générale des prix devrait être de 2,2 % au Québec cette année, comparativement à 3,9 % en 2012.
Les copropriétés accaparent environ 25 % des ventes de résidences à Québec, 30 % à Montréal et 20 % dans la province.
La construction
Par ailleurs, la baisse de régime de la construction résidentielle se poursuit. Le bilan cumulatif des quatre premiers mois de 2013 affiche un recul d'environ 20 %.
Les mises en chantier de copropriétés sont en revanche toujours élevées, bien que Desjardins estime que les mises en chantier de ce type d'habitation au Québec devraient fléchir d'environ 15 % cette année et de 10 % l'an prochain.
Nouvelles règles hypothécaires, baisse de la demande
Desjardins remarque que les nouvelles règles hypothécaires adoptées par le gouvernement fédéral ont limité les possibilités des futurs acheteurs, engageant une tendance à la baisse, particulièrement sur la vente des copropriétés.
L'institution explique la situation par le fait que plusieurs jeunes ménages qui misaient sur l'achat d'une copropriété en raison du coût nettement plus abordable que celui d'une maison unifamiliale ont dû reporter leur projet.
En juillet dernier, le gouvernement fédéral a entre autres fait passer de 30 à 25 ans la durée d'un prêt hypothécaire et a fixé le remboursement maximal brut du total des prêts hypothécaires des emprunteurs à un maximum de 39 % de leurs revenus.


mercredi 27 mars 2013

Jujubes gratiche dans tout mauvais dépanneurs ?


3720 $ d’amende pour une erreur de 30 ¢

Un produit étiqueté 2,59 $ mais vendu 2,89 $ coûte très cher à un entrepreneur

PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, STÉPHAN DUSSAULT
Un employé d’une station-service a refusé de donner un sac de jujubes à un client qui lui a mentionné un écart entre le prix affiché et le prix à la caisse. Ce qui a conduit l’OPC à imposer une amende de 3720 $ au propriétaire de la station.









Le propriétaire d’une station-service de Montréal vient d’apprendre qu’on ne badine pas avec la politique d’exactitude des prix.
Plus de trois ans après la bourde d’un de ses employés qui lui a coûté très cher, Léon Méthot ne décolère pas. Au point qu’il a fallu lui tirer l’oreille pour qu’il raconte sa mésaventure au Journal.
L’histoire commence bêtement en octobre 2009 dans sa station-service Esso du boulevard de Maisonneuve, à Montréal.
Un client achète un sac de jujubes. Le prix affiché sur le contenant est de 2,59 $. Une fois à la caisse, le lecteur optique affiche 2,89 $.
Un écart de seulement 30 ¢, mais le consommateur connaît ses droits. Il sait qu’en cas d’écart de prix, le commerçant doit lui donner les jujubes, étant donné que les sacs ne sont pas étiquetés individuellement.
Cher le jujube
Or, la bourde la plus importante a été commise par l’employé, qui a refusé de lui donner le sac de jujubes.
Le client n’a fait ni une ni deux, il a porté plainte à l’Office de la protection du consommateur (OPC).
L’enquêteur de l’OPC a constaté l’erreur, et un très long processus judiciaire a commencé, pour se terminer le 20 mars dernier lorsque le détaillant a été condamné à verser une amende totale de 3720 $, soit 2510 $ pour la station-service Esso et 1210 $ pour le dirigeant de la station-service, Léon Méthot.
Sévère
«C’est une amende très sévère, peste M. Méthot. Mais bon, j’ai payé et je veux passer à autre chose.»
«C’est un privilège que nous accordons aux entreprises, de ne pas étiqueter les produits. Cette mesure désavantage le consommateur», rappelle Réal Coallier, directeur régional à l’OPC.
«C’est pourquoi il faut que ce privilège soit bien utilisé, poursuit-il. Des amendes dissuasives vont les inciter à être vigilants et à bien informer leurs employés sur les mesures à adopter en cas d’erreur.»
Léon Méthot dit qu’il explique bien les choses à ses employés. «Et celui qui a refusé de donner le sac de jujubes au client a été congédié», assure-t-il.
Cette politique de prix est appliquée de façon inégale, même 12 ans après sa mise en vigueur. Si les erreurs de prix sont toujours fréquentes, les excuses invoquées pour ne pas donner le produit sont encore nombreuses, a récemment constaté le Journal.
Une fois, on nous a dit qu’un employé était en train d’ajuster les prix au moment de l’erreur. À un autre moment, on a prétendu que l’erreur pouvait être corrigée sans frais tant que le montant n’avait pas été payé par le consommateur. Des explications qui ne tiennent pas la route.

• Dans de très rares cas, le prix à la caisse est plus bas que celui indiqué sur la tablette. C’est alors le plus bas des deux prix qui prévaut, dit la loi.


vendredi 3 février 2012

SoftKinetic Une petite révolution se prépare du côté des publicités

SoftKinetic - Une petite révolution se prépare du côté des publicités
 
© Courtoisie SoftKinetik

Vous ne verrez bientôt plus la publicité de la même façon! Plutôt que de bombarder le public avec des images et des slogans parfois aussi ennuyeux que déplaisants, la nouvelle vague de publicités impliquera directement le consommateur. Ce dernier devra s'approcher des écrans publicitaires… et interagir avec les marques, une possibilité devenue réalité grâce à la première solution 3D développée par la Bruxelloise SoftKinetic pour le marché des écrans publicitaires interactifs.

À LIRE ÉGALEMENT:
SoftKinetic, encore plus prometteuse que la Kinect
«Les consommateurs pourront s'attendre à retrouver de plus en plus souvent des publicités intelligentes, qui leur ressemblent, sur la rue. Elles ne seront bientôt plus l'exclusivité du web», indique Virgile Delporte, le vice-président marketing & développement d'affaires de SoftKinetic.
Une petite révolution possible grâce au partenariat entre SoftKinetic et Intel
L'entreprise de Bruxelles a présenté cette semaine son nouveau système réservé aux écrans publicitaires. Il consiste en sa caméra 3D DepthSense et son logiciel d'analyse d'images 3D et de reconnaissance gestuelle, iisu. Ces deux éléments technologiques permettront aux passants dans la rue (ou aux gens attendant leur autobus ou leur vol à l'aéroport, etc.) d'interagir avec les publicités. Précisons que ces dernières ne pourront pas être perçues en trois dimensions, les individus ne pourront qu'interagir en temps réel avec elles. Voici une vidéo montrant un exemple de publicité interactive.

Pour sa part, Intel s'occupe de fournir sa technologie d'analyse statistique d'audience. Il ne faut pas croire pour autant que la nouvelle vague de publicités fera office de «Big Brother» dans les rues: la technologie d'analyse d'Intel est anonyme et n'identifie donc pas les gens. «Elle ne tiendra compte que du groupe d'âge, le sexe et le temps passé devant l'écran», précise M. Delporte. Notons que le logiciel de statistique a été développé par l'entreprise canadienne CognoVision, acquise par Intel en septembre 2010.
L'ensemble de ces développements permettra aux publicitaires de mieux cibler leurs annonces, dévoilées au public par le biais des écrans interactifs installés en ville, comme c'est déjà le cas sur internet.
«Par conséquent, poursuit M. Delporte, ce ne seront pas les mêmes publicités qui s'afficheront pour tous. Elles seront adaptées grâce à la disponibilité de plusieurs types de contenus. Par exemple, les jeunes femmes verront des publicités de modes dans des couleurs chaudes, tandis que si notre système reconnaît un homme, il pourrait plutôt lui offrir une publicité d'accessoires de golf dans des teintes froides. Tout dépendra de l'usage que feront les publicitaires de notre système d'écran interactif».
Néanmoins, ils devront aussi faire preuve d'originalité et de créativité pour capter l'attention du public et surtout «repenser le contenu qui autrefois était linéaire, du moins dans les médias traditionnels», plaide l'employé de SoftKinetic.
«En offrant des publicités personnalisées, les publicitaires espèrent pouvoir s'imprégner davantage dans l'esprit des consommateurs, afin qu'ils soient marqués par un produit ou une marque en particulier», explique M. Delporte.
À quoi ressemblera la gestuelle d'interaction?
«Les utilisateurs pourront pratiquement tout faire, de la main traquée servant à commander des actions, à des mouvements plus généraux nécessitant la participation de toutes les parties du corps. Les gens passant devant un commerce pourraient, par exemple, avoir à faire une séquence de gestes pour télécharger des bons de réduction sur leur téléphone ou accéder à des spéciaux exclusifs à cette plateforme interactive», soutient M. Delporte.
La technologie intégrée à la caméra 3D de SoftKinetic permet à une personne, contrairement à la Kinect de Microsoft requérant une distance de 50 cm avec le joueur, de se rapprocher jusqu'à 15 cm de l'écran.


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vendredi 9 septembre 2011

Ça coûte 20% de moins d'acheter aux États-Unies,.......allez s'y


 Le ministre des Finances Jim Flaherty dit partager «l’irritation» des Canadiens concernant l’écart des prix qui existe sur certains biens vendus aux États-Unis et au Canada. Il a demandé au Comité sénatorial des finances de se pencher sur la question.
Maintenant que le huard se transige au pair avec le dollar américain, le ministre Flaherty a demandé mardi par écrit au président et au vice-président du comité de trouver des explications concernant l’écart des prix qui persistent toujours sur différents biens.
«Un dollar plus fort devrait profiter aux consommateurs canadiens, a écrit M. Flaherty dans une lettre obtenue par l'Agence QMI. Les Canadiens travaillent fort pour subvenir à leurs besoins et à ceux de leur famille. Lorsqu’ils dépensent leur argent durement gagné, ils méritent de payer un prix qui reflète la force de notre dollar.»
«Les Canadiens sont, à juste titre, irrités lorsqu’ils voient de grandes différences de prix sur les mêmes produits vendus des deux côtés de la frontière, ajoute-t-il dans sa lettre. Je partage leur irritation.»
La Banque de Montréal (BMO) a rapporté en avril que les consommateurs canadiens paient environ 20 % de plus que les Américains pour une grande variété de produits. En 2009, cet écart de prix était d'environ 7 %.
Selon BMO, les Canadiens paient en moyenne 20 % de plus pour les magazines, 28 % de plus pour un disque Blu-Ray et 48 % de plus pour certaines chaussures. Un couteau de cuisine de marque Mezzaluna coûte environ 34 % plus cher au Canada, un pantalon court cargo de marque Gap coûte 15 % plus cher et les balles de golf 11 % de plus au Canada qu’aux États-Unis.
À l’approche du magasinage de Noël, M. Flaherty souhaite que le comité entende cet automne des groupes de consommateurs, des économistes, des organisations de vente au détail, des petites entreprises, des distributeurs, des importateurs, des analystes du commerce de détail «et le plus important, des Canadiens ordinaires».
«Je crois fermement que les consommateurs canadiens salueront une telle étude et ses conclusions», a écrit le ministre.
Même si le Sénat recommande de poser un geste, le ministre Flaherty pourrait être lent à répondre.
Il avait demandé au Comité sénatorial des finances d'étudier l'avenir de la pièce de 1 cent au printemps 2010. L'automne dernier, les sénateurs ont recommandé au gouvernement de s’en débarrasser, car elle coûte 1,5 cent à produire et qu’elle a perdu 95 % de sa valeur depuis son apparition sur le marché en 1908.
M. Flaherty n’a toujours posé aucun geste en ce sens et les fonctionnaires à son bureau continuent de dire qu’il examine le rapport.


jeudi 28 juillet 2011

Comment acheter une auto usager,sans se faire Four..... ?



Non,.................sans se fatiguer !
D'abord faut être marginal,et acheter ce que personne veut,mais..............faut connaître la mécanique ou avoir des beaux-frères mécaniciens!

Faut choisir le secteur des autos usager,c'est St-Léonard,Mtl-Nord qui a la palme,pour les pièces c'est la banlieu Mtl pour les cours de scrap.Les annonces internet comme, Lespacs.com ou les puces.com sont interessant surtout si vous trouvez un vendeur qui a un numéro 1-800 ou 1-888- car ce sont des dealers qui vendent des autos tel quels,et souvant les breaks(freins) et mufflers(silencieux) sont A1 ,car ils sont obligés de faire le minimum nécessaire selon la loi, pour la remise sur la route d'une vieil auto ! C'est mieux qu'un vieux grincheux qui vend sa minoune pour les pièces ou qui veut vous passer un sapin !

Chosissez-vous un remorqueur qui ramassera votre ancienne minounne,un service 7/24 hrs qui vous donnera facilement 250$(vla 12 ans c'était 50$ ayoye,.......)Et assurez-vous que la SAAQ a mit au rancard votre auto,vaut mieux garder sa plaque d'immatriculation pour la remettre a la SAAQ qui vous en donnera une nouvelle pour le prochain char a plaquer.

Comment vérifier une auto volée ?
Par sa plaque ou son numéro de série !............................... ICI !
Facile avec votre iPhone ,sinon vous pourrez aussi vérifier si la voiture a un créancier ? aller téléphonner au numéros :
1-800-465-4949 , ou au 514-864-4949      !$!

Maintenant comment choisir la meilleure minoune a 500$ et plus ?
Et assurez-vous que l'acheteur de l'auto qui êtes vous ou votre blonde d'être hors MTL,comme l'île Perrot pour ne pas payer la taxe 45$ du transport en commun a la SAAQ !

on en retrouve a 750$ assez souvant actuellement ! Faut toujours payer cash,et que dans votre contrat de d'achat même si le gars vous charge pas de taxe ,comme garagiste il est soumis a la loi,et ne peut inscrire une vente a 1$,le minimum c'est environ 400$ et vous payerez seulement 34$ de taxe lorsque vous irez a la SAAQ !$! et non la taxe sur le 750$ de la vente réel ! (1$ c'est l'achat de l'auto de votre beau-frère !!! metton !!!)Assurez-vous que le vieux char n'est pas remiser (surtout pas au rancart)pour plus de 1 ans,sinon vous devrez payer pour une inspection ,exiger par la SAAQ !


Choississez celui avec les 4 tires d'hiver,sinon barguinner les a la fin de la transaction ! Souvant les vendeurs de vieux char vendent des pneus second main très bon !
Pourquoi 4 pneus d'hiver ,C'est a cause de la loi ;-)
Et vous les laisserez dessus pour l'année,......alors pas question des enlever pendant l'été !
Regarder si le moteur coule pas,si le plancher n'est pas percer,embrayer-le et regarder si la transmission cogne ! Les 2 seul  choses a surveiller , sont le moteur et la transmission et bien sûr le kilométrage,mais je n'y crois pas .

Mais surtout choisisser un modèle 4 cylindres a injection et non a bougie (plus facile a partir l'hiver et économique),regarder pour une auto que les cours de scrap ont en stock et qui s'est beaucoup vendu pour avoir des pièces facilement des scrapeurs qui les auront en stock !

Un exemple:
une Sunfire,un Cavalier ,ce sont des modèles qui roulent facilement 400,000Km et plus sans tracas !
Leurs faiblesses sont la rouille dans les portes ,et la rouille n'est vraiment pas un critère pour un acheteur averti comme vous ! ......................Sauf pour la plupart des crétins qui ont des paiements de 600-700$/mois,vous allez réparer le minimum sur votre minounne et ça équivaudra a 2 paiement de char neuf pas plus avant dans acheter un autre ;-) Pour un total de 1900$ (prix d'achat et réparation au total),sur 4 a 5 ans de promenade avec votre minoune,vous économiserez plus que le crétin avec sont char pas payer qui brisera pendant ses paiement salés ! Tout ceux qui ont vendu leurs Sunfire ne savaient pas que c'était une bonne voiture,et l'opération minoune du gouvernement qui lui remet 500$ sur un achat de char neuf a 30,000$ ,..............ça vaut pas la peine,donc l'ancien proprio du Sunfire a testé le véhicule pendant 5 ans sinon 8 ans ,avant de le vendre a perte pour que vous le récupérier a prix modique ! Vous êtes alors assuré que cette minoune est plus durable que n'importe quel FORD etc,.....................et citron de ce monde !

Bonne achat !$!

lundi 27 juin 2011

Mauricie | Pyrrhotite Québec propose son aide


Mauricie | Pyrrhotite - Québec propose son aide
Le 30 avril dernier, à Trois-Rivière, plus de 1000 manifestants ont participé à une marche visant à réclamer 15 millions $ au gouvernement fédéral pour les victimes de problèmes de pyrrhotite. C'est finalement Québec qui répond positivement, jeudi. 
© Stephan Desrochers / Agence QMI / Archives


TROIS-RIVIÈRES – Le gouvernement du Québec a annoncé jeudi à Trois-Rivières la mise en œuvre d'un programme d'aide pour les propriétaires de résidences endommagées par la pyrrhotite, qui sévit particulièrement en Mauricie.
La pyrrhotite est un minéral qui peut se retrouver dans le béton. Contenant du sulfure de fer, il s’oxyde au contact de l’air et de l’humidité et s’attaque au béton. Avec le temps, la pyrrhotite gonfle et le ciment se fissure.
Ce programme d’aide, administré par la Société d'habitation du Québec (SHQ) et conçu en collaboration avec la Régie du bâtiment du Québec, bénéficiera au cours des 10 prochaines années d'une enveloppe budgétaire de 15 millions $.
Les propriétaires touchés par la pyrrhotite seront indemnisés à hauteur de 75 % du coût des travaux admissibles. Pour les résidences qui ne sont pas couvertes par le Plan de garantie des bâtiments résidentiels neufs ou dont la couverture est expirée, l'aide maximale qui pourra être accordée sera de 75 000 $.
« Notre gouvernement est sensible à la situation que vivent les propriétaires de résidences touchées par une concentration élevée de pyrrhotite. C'est pourquoi nous avons décidé d'intervenir en leur offrant un soutien financier », a déclaré à Trois-Rivières la ministre du Travail Lise Thériault.
Ce programme pourra s'appliquer sur le territoire de toute municipalité où des mesures auront été mises en place pour éviter les risques associés à la présence de pyrrhotite dans les fondations des bâtiments résidentiels.
Selon les dernières estimations, quelque 650 bâtiments résidentiels seraient affectés par la présence de pyrrhotite dans l'agrégat ayant servi à la confection du béton utilisé pour les fondations.


mercredi 8 juin 2011

voila ce qui arrive si vous vous adaptez pas au changement et que vos employés veulent de grosse pensions :


Grève des syndiqués - La fin de la poste ?
La dernière grève des syndiqués de Postes Canada remonte à l'automne 1997. Elle avait duré deux semaines, avant qu'une loi spéciale du gouvernement fédéral n'oblige un retour au travail. 
© Pierre-Paul Poulin/Agence QMI


Postes Canada pourrait bien ne jamais se remettre d'une grève prolongée de ses syndiqués, qui ont commencé un débrayage rotatif cette semaine, croit un expert en marketing et en nouvelles technologies.
Jean-François Ouellet, professeur agréé en marketing aux HEC Montréal, estime qu'une grève ne fera qu'accélérer la fin du service de distribution des lettres, «d'ici 5 à 10 ans».
«La poste va vraiment se tirer dans le pied avec cette grève. Elle risque de perdre sa clientèle plus rapidement, même si c'était déjà un mouvement inévitable», estime-t-il, en entrevue au Journal de Montréal.
«Si un conflit devait perdurer, les gens se rendraient compte qu'il y a d'autres alternatives, comme les factures électroniques, et ils les adopteraient», justifie le spécialiste.
Changement radical
Selon l'expert, la grande majorité des Canadiens est maintenant prête à délaisser la poste traditionnelle, car deux conditions essentielles, qui n'existaient pas lors du dernier débrayage des syndiqués en 1997, sont maintenant remplies.
D'abord, le fait que l'immense majorité des grandes entreprises, comme les banques et les commerces, proposent des services par internet accroît la confiance des consommateurs envers la sécurité des transactions.
Ensuite, d'après Jean-François Ouellet, la vitesse des connexions internet s'est beaucoup améliorée, et «n'est maintenant plus une entrave aux communications électroniques».
«Il n'y a plus de raison pour que 80 % du courrier ne soit pas acheminé de façon électronique. 85 % de la population est assez branchée pour ça», dit-il.
«Il n'y aura bientôt qu'une seule catégorie de gens ou d'entreprises qui vont se rabattre sur la poste traditionnelle. Ce seront ceux qui sont technologiquement très en retard», croit le professeur.
En retard
Au pays, Postes Canada détient le privilège exclusif pour traiter toutes les lettres de 500 grammes et moins. Au-delà de ce poids, le marché est ouvert à la concurrence et compte de nombreux joueurs parmi des entreprises privées comme UPS et FedEx.
Jean-François Ouellet croit que dans son domaine d'activités, Postes Canada n'a pas su s'adapter au changement technologique.
«Leur modèle d'affaires actuel, c'est quelque chose qui n'est pas seulement passé date, mais aussi qui ne fait pas de sens au niveau organisationnel.
«Par exemple, je lisais récemment que dans un pays scandinave, les gens ont maintenant le choix de recevoir leur courrier de manière traditionnelle, dans des enveloppes, ou de le recevoir scanné, en format électronique», explique l'expert.
«Ça permet de recevoir le courrier au moment où vous voulez le recevoir, et de la façon dont vous voulez le recevoir. On n'est pas rendu là, ici. La poste canadienne n'est pas équipée pour ça», juge-t-il.
La dernière grève des syndiqués de Postes Canada remonte à l'automne 1997. Elle avait duré deux semaines, avant qu'une loi spéciale du gouvernement fédéral n'oblige un retour au travail.

mercredi 27 avril 2011

Jouer a qui dit mieux ? $ 1,43/Litre ,..............faîtes vos offre$ !

Montréal - Nouvelle hausse du prix de l’essence
 
© Archives/Agence QMI
Ou jouer a qui dit pire ? ...................jusqu'ou ça va aller ;-)
MONTRÉAL – Le prix de l’essence a connu une nouvelle hausse dans la région de Montréal au courant de la nuit de lundi à mardi.
De nombreuses stations-service affichaient le litre d'essence ordinaire à 1,43. 9 $/Litre, mardi matin, une augmentation d’environ dix cents le litre.



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mardi 19 avril 2011

Le Québec devra devenir des végétarien$


Faillite

400 fermes porcines pourraient disparaître

SANS INDICATIF - Quelque 400 fermes porcines risquent d’être acculées à la faillite d’ici deux ans si les gouvernements ne les épaulent pas davantage financièrement. Des centaines de producteurs ne seront pas en mesure d’amorcer, en mars 2012, le remboursement d’avances de fonds qu’ils ont obtenu d’un programme fédéral pour redorer leur bilan.
Ils sont près de 900 producteurs québécois à s’être partagé 130 millions $ provenant du Programme de paiement anticipé (PPA) d’Ottawa.
La Fédération des producteurs de porcs du Québec indique que la presque totalité de ces agriculteurs ne seraient pas en mesure de rembourser ces prêts si les paiements devaient s’amorcer dès aujourd’hui.
En coulisse, des acteurs du monde agricole affirment que jusqu’à 400 fermes risquent de devoir lancer la serviette en 2012 lorsqu’ils devront commencer à rembourser ces dettes. C’est une ferme sur cinq qui risque d’écoper ou 22 % des 1800 que compte le Québec.
Des fermes fragiles
« Les producteurs ne font pas leurs frais parce que le coût des intrants (NDLR : grain, médicaments) est très élevé et que leur situation est précaire depuis plusieurs années », a expliqué Jean-Guy Vincent, président de la Fédération des producteurs de porcs du Québec.
Après avoir été frappée par la chute des prix du porc, la vigueur du dollar canadien et la grippe AH1N1, voilà que l’industrie porcine est victime de la restructuration de la Financière agricole du Québec.
L’institution a réduit les compensations versées aux éleveurs de porcs l’an dernier afin de résorber le déficit de son Fonds d'assurance stabilisation des revenus agricoles (ASRA).
Ce Fonds dédommage les agriculteurs lorsqu’ils vendent leurs produits à perte en raison d’un écart entre leurs coûts de production et les prix en vigueur sur le marché. Au 31 mars 2010, le déficit de l’ASRA s’élevait à près de 760 millions $.
Le bilan 2010-2011 de la Financière ne sera publié que dans quelques mois, mais le milieu agricole estime qu’un surplus d’une centaine de millions devrait permettre à l’institution de résorber une part du déficit de l’ASRA. Effort collectif
« On s’est amélioré. On a réduit nos coûts de production, mais ce n’est pas uniquement à nous de soutenir la présence de l’agriculture dans l’économie. Nos gouvernements doivent se commettre », a lancé Jean-Guy Vincent.
La Fédération veut que la Financière agricole réduise de 10 $ à 7 $ la prime d’assurance payée par ses membres pour financer le Fonds ASRA.
« Il faut que la prime d’assurance soit alignée aux compensations. On a versé des compensations très importantes depuis quelques années. On a donné 1,8 milliard $ entre 2006 et 2010 aux producteurs de porcs alors qu’ils ont payé 440 millions $ en primes », a précisé Mélanie Fiset, porte-parole de la Financière agricole.
La Fédération des producteurs de porcs souhaite aussi que Québec bonifie le programme d’adaptation qu’elle a lancé l’automne dernier pour aider les producteurs à redresser leur entreprise.
« Il y a 135 millions $ dans cette stratégie là. Il est certain qu’on va sauver des producteurs, mais on ne va pas arriver à tous les sauver », a affirmé Hélène Doddridge, directrice au ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec.
L’industrie porcine entraîne des retombées de 1,5 milliard $ par année au Québec en plus de générer 24 000 emplois. Plus de 50 % des porcs produits dans la province sont exportés.

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