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jeudi 26 mars 2015

Anonymous vous fait peur ?



Si Anonymous vous fait peur,et qu'il est corrompu par la NSA,cette page Facebook "Anonymous Around The World"​ vous montrera le vrai voisage de l'Humanité en détresse,que les décideurs vous cache !

Le profit a détruit l'entraide,l'égalité des peuples n'est pas pour demain,mais devra s'instaurer pour notre survie.
 La seul arme que vous pouvez utiliser pour remettre ce monde a l'endroit ,est de montrer les horreurs et de démontrer le mensonge (des Banques,de l'impérialisme,de $,du Mal,666,du système,la Matrice ,la Liberté,...)qui entretient l'élite en haut de la pyramide,mais elle est inversée,car vous êtes la solution !


REF.:Anon

dimanche 19 octobre 2014

Scandale : l'application Whisper suit ses utilisateurs «anonymes» à la trace


Parti pour créer un partenariat avec l'appli de messagerie anonyme, The Guardian a découvert que les équipes de Whisper traçaient les smartphones de ses utilisateurs et conservaient des messages sur de longues périodes.



Whisper est un réseau social qui permet de publier des messages anonymement. Depuis deux ans, elle a attiré des millions de personnes. Fort bien. Sauf que cette appli collecte de nombreuses informations sur ses utilisateurs, en particulier leur géolocalisation, révèle le quotidien britannique The Guardian.
Whisper a développé une technologie maison pour filtrer et récupérer des données GPS permettant de localiser le point depuis lequel un message a été envoyé dans un rayon de 500 m. Et ce, même si l’utilisateur a désactivé la fonction de géolocalisation de l’appli, en se servant de son adresse IP. Cet outil permet ainsi à Whisper de trouver tous les messages envoyés depuis le Pentagone ou Gantanamo, explique notre confrère.
Et Whisper ne se contente pas de géolocaliser ses utilisateurs. Les équipes conservent nombre de données, dont des messages, depuis le lancement de l’appli. Certains utilisateurs sont même suivis de près. Des employés de Disney, Yahoo! et même du Capitole auraient ainsi fait l’objet d’une surveillance plus intense.
Le message d'un militaire américain.
agrandir la photo
Les équipes de l’appli ont également déjà fourni des informations à plusieurs services gouvernementaux en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis, parce qu’il y a eu « des menaces de mort », insiste Whisper. Elle a aussi collaboré avec le département américain de la Défense pour lui fournir des données sur la fréquence de l’utilisation du mot suicide dans les messages envoyés depuis des bases américaines « pour faire baisser le taux de suicide », ajoute fièrement les équipes de Whisper.
Mais The Guardian de poursuivre que, d’après des experts en sécurité, Whisper fournit plus facilement des informations aux autorités que d’autres entreprises du monde high-tech. L’entreprise vient d’ailleurs de lancer une version chinoise de l’appli acceptant les demandes des autorités locales, dont l’interdiction de certains mots.

Whisper a modifié ses conditions d'utilisation

Cette page a été mise à jour il y a quelques jours.
agrandir la photo
Le journal britannique qui étudiait la possibilité de développer un partenariat avec l’entreprise américaine, a pu pendant plusieurs jours accéder à ses outils et a découvert ces informations tout de même « embarrassantes » pour une appli qui se veut « l’endroit le plus sûr d’Internet ». Ayant appris que The Guardian allait publier cette histoire, les équipes de Whisper ont tenu à préciser qu’en aucun cas elles ne violaient la vie privée des utilisateurs.
Néanmoins, les conditions d’utilisation ont été modifiées. Alors qu’elles indiquaient que l’utilisateur pouvait choisir d’être géolocalisé, il est désormais précisé que « même si vous avez désactivé le service de localisation, nous pouvons toujours déterminer votre ville, région et pays sur la base de votre adresse IP (mais pas votre localisation exacte) ». Une autre phrase a également été ajoutée pour indiquer que « la fonction de géolocalisation peut permettre à des tiers de découvrir votre identité ». Enfin une page sur la vie privée, et son respect, a également été créée.
 
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mardi 6 novembre 2012

La Fête du 5 novembre ne sera jamais anonyme ?


Des Anonymous célèbrent Guy Fawkes par des piratages

Sécurité - Des Anonymous célèbrent Guy Fawkes, dont la conspiration échoua un 5 novembre, à leur façon. Différents piratages ont déjà été revendiqués, dont celui de PayPal. D’autres devraient suivre.
Personnage historique anglais, Guy Fawkes est l’origine d’une conspiration dont l’issue fut un échec le 5 novembre 1605. Pour les Anonymous, qui arborent un masque de Guy Fawkes, le 5 novembre a donc une valeur symbolique.
Et certains membres du collectif ont manifestement décidé de commémorer ce jour à leur manière comme le signale un compte Twitter Anonymous :Anonymous Press. Est en effet annoncée une série d’attaques informatiques.
Des attaques sans fondements 
Anonymous revendique ainsi le vol de données de salariés de PayPal et Symantec et l’intrusion dans des sites du gouvernement australien. Mais les principales cibles visées seront en lien avec des systèmes de surveillance comme TrapWire et INDECT est-il annoncé.
Quoi qu’il en soit, des attaques informatiques ont déjà commencé comme semblent en témoigner différents comptes Twitter d’Anonymous. Mais il faut parfois chercher la justification politique.
Plusieurs sites visés n’ont en effet a priori aucun lien avec la motivation politique avancée précédemment de lutte contre la surveillance. C’est notamment le cas du site de fans de Lady Gaga, de NBC.com ou encore de GiftNow.


mardi 7 août 2012

83 millions d'utilisateurs fantômes sur Facebook

Doutes - Facebook estime à 83 millions le nombre d'utilisateurs fantômes
Capture d'écran d'un compte Facebook du chat Felix. 
Photo courtoisie Facebook

WASHINGTON - Le site internet communautaire Facebook évalue à 83 millions, soit 8,6 % de ses utilisateurs, le nombre d'internautes inscrits plus ou moins douteux, qu'il s'agisse de comptes dupliqués, de pages ouvertes au nom d'animaux de compagnie, ou d'émetteurs de pourriels.
Dans un document boursier officialisant ses résultats trimestriels communiqués une semaine plus tôt, Facebook explique qu'il y a «des difficultés inhérentes» à mesurer le nombre d'utilisateurs fantômes de son site, «en dépit de nos efforts pour repérer et arrêter ce genre de comportement».
La semaine dernière, Facebook avait revendiqué 955 millions d'utilisateurs actifs par mois, un chiffre en progression de 29% sur un an.
Facebook estime que 4,8 % des utilisateurs actifs repérés pourraient être des comptes dupliqués par une même personne. Quelque 2,4 % seraient des comptes ouverts pour une société ou «une entité non humaine comme un animal domestique», et 1,5 % probablement des «comptes indésirables» susceptibles de fonctionner avec des intentions malveillantes.
«Nous pensons que le pourcentage de comptes faux ou dupliqués est nettement plus bas dans les marchés développés comme les États-Unis ou l'Australie et plus élevés dans des marchés en développement comme l'Indonésie ou la Turquie», a précisé Facebook.
Le calcul du nombre d'utilisateurs est un élément crucial pour mesurer la popularité d'un site internet et son attractivité pour des annonceurs.
L'action Facebook chutait de 4,55 % à 19,93 $, s'approchant d'un cours qui ne représenterait que 50 % de celui de son introduction en Bourse le 18 mai, à 38 $.


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lundi 16 juillet 2012

La SQ cible une Twitte ?


Ciblée par la SQ pour avoir cité Anonymous sur Twitter

Une jeune femme de Joliette qui est une grande utilisatrice du réseau social Twitter affirme avoir reçu la visite de deux enquêteurs de la Sûreté du Québec (SQ), mercredi, la soupçonnant «d'incitation à la désobéissance civile» après qu'elle eut repris des billets initialement publiés par des membres du réseau informatique Anonymous.
Employée de soir au soutien technique de Vidéotron, Patricia Paquette se doutait que quelque chose clochait quand son téléphone a sonné plus tôt qu'à la normale, à 10h30, mercredi matin. Elle n'aurait cependant pas pu deviner que c'était lié à l'arrestation, le mois dernier, de neuf membres du réseau Anonymous, dont six au Québec. Ils sont notamment soupçonnés d'avoir attaqué certains sites web gouvernementaux en France et au Québec, dont celui de la Direction centrale du renseignement intérieur français et du ministère québécois de la Sécurité publique.
«Une série de tweets que j'ai faits il y a environ un mois et demi les intéressait tout particulièrement. Ils m'ont expliqué que c'était à la limite de l'encouragement à la désobéissance civile et m'ont même montré la loi qui indique ce que ça signifie. Ils m'ont ensuite dit que la prochaine fois que je publierai des billets de ce genre sur Twitter, ce serait à un juge que je parlerais», raconte Mme Paquette.
Manifestement à l'aise avec les technologies internet, la femme de 35 ans explique qu'elle a repris ces messages sur son propre compte Twitter dans le cadre d'une recherche qu'elle faisait pour rendre service à un journaliste de la chaîne TVA. En mai dernier, Anonymous avait déclaré vouloir s'en prendre à des sites web gouvernementaux en soutien à la manifestation étudiante contre la hausse des droits de scolarité.
Elle ajoute que si elle ne les aidait pas à identifier la photo d'un de ses collègues qu'ils lui ont ensuite présentée, les deux enquêteurs allaient montrer à son employeur d'autres messages tirés de son compte Twitter. Ceux-là révélaient publiquement les détails d'un problème technique interne qui a empêché l'envoi de certains courriels par les clients de Vidéotron, à la fin du mois de mai.
Une menace plutôt maladroite, estime-t-elle, car les messages en question ont été publiés, à l'origine, par le compte même de Vidéotron sur Twitter. «Ça m'a surtout donné l'impression qu'ils allaient à la pêche, sans trop savoir ce qu'ils allaient tirer de mon entrevue», conclut celle qui, le lendemain, twittait de plus belle.
Un porte-parole joint a pour sa part indiqué que la Sûreté du Québec ne faisait «pas de commentaire sur une enquête en cours».
Diffamation par proximité?
En octobre dernier, la Cour suprême du Canada a décrété unanimement que le fait de publier un hyperlien menant à des déclarations diffamatoires n'était pas un acte diffamatoire en soi, et que la personne renvoyant au message ne pouvait être tenue responsable du message. Même si elle a été faite dans un contexte différent, cette déclaration vaut aussi dans le cas de Twitter et de Mme Paquette, estime Vincent Gautrais, professeur à l'Université de Montréal spécialiste du droit des technologies de l'information.
«Le fait de retwitter quelque chose, même si ce quelque chose est diffamatoire ou illicite, ne peut être considéré au premier abord comme une participation à l'action, explique-t-il. Dans ce cas-ci, on ne peut pas vraiment dire qu'il y ait eu incitation» de la part de Mme Paquette.
Les gens qui, comme cette dernière, craignent pour leur liberté d'expression sur les réseaux sociaux sont donc protégés par la loi. Cependant, «dans le cadre d'une enquête, il se peut très bien que des policiers questionnent une personne à propos d'une autre personne. C'est ce qui semble être le cas ici», conclut M. Gautrais.

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mercredi 13 juin 2012

Anonymous: 2 vs SPVM: 0

Anonymous - La caisse Desjardins des policiers piratée
Le groupe Anonymous a piraté le site internet www.caisse-police.ca, le lundi 11 juin 2012. 
Photo Capture d'écran

La caisse Desjardins des policiers piratée

MONTRÉAL - La caisse Desjardins des policiers et policières du Québec a visiblement été victime d'une attaque informatique, lundi en soirée.
Sur le site www.caisse-police.com, Anonymous rend disponibles les adresses courriel personnelles de dizaines de policiers qui seraient membres de cette institution financière.
Toutefois, il n'a pas été possible de savoir si ces adresses étaient hébergées sur le site caisse-police.com, ou si elles avaient été obtenues sur un site Internet différent.
Sur la page principale du site Internet, il est également possible de visionner une vidéo d'Anonymous, qui elle est hébergée sur YouTube depuis le 25 mai dernier.
Dans la vidéo, le groupe Anonymous dénonçait les «violences policières» lors des manifestations qui se passent un peu partout au Québec depuis le début de la grève étudiante.
Un manifeste, truffé de fautes, y a également été placé :
«Je me souviens, de vos attaques contre la presse... De vos chiens qui ne méritent en aucun cas le titre de policiers, ces agents du désordre qui s'attaque aux caméras. Je me souviens de votre petite fête, où le peuple ne fut pas convié. Je me souviens de ces voitures qui défilaient autant que les arrestations politiques. Gouvernement terroriste du Québec, je me souviens. Bientôt, je me souviendrais, du peuple québécois qui n'aurait imaginé... jusqu'où ce moment clef de l'histoire pourrait aller. Je me souviendrai du peuple regagnant sa liberté, ignorant les abrutissements et les coups de ceux que vous employez. Je me souviendrai des journaux enfin libres de parler sans crainte de la corruption mise à jour. Je me souviendrai de votre défaite, parce qu'elle est promise et inéluctable. Je me souviendrai du procès : Anonymous pour protéger le peuple, le peuple seul juge et maître de son destin et un gouvernement entier pour accusé.»
Une autre signature est également visible sur le site Internet : celle du poney.
Celle-ci avait également été observée lors de l'attaque perpétrée contre le site Internet de la Ville d'Alma.


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vendredi 8 juin 2012

Anonymous 1 et le SPVM o ?

Le groupe de pirates informatiques Anonymous maintient la pression sur les corps policiers. Depuis samedi, ce sont les coordonnées professionnelles de policiers qui sont diffusées en ligne.
Sur la page en question, qui porte la signature d'Anonymous, les pirates demandent aux policiers de Montréal de reprendre la «véritable fonction de leur poste au lieu de s'attaquer lâchement au peuple.»
(Crédit: Agence QMI) Une capture d'écran du site sur lequel sont transmises les informations piratées par Anonymous.
Les noms de centaines de policiers québécois provenant de l'ensemble des services de police de la province sont par la suite diffusés, de même que leur adresse courriel professionnelle.
Pour l'instant, on ignore d'où proviennent les informations qui sont enregistrées via le site Internet Paste HTML, un site qui permet de diffuser de l'information rapidement et de façon anonyme.
La Sûreté du Québec et le Service de police de la Ville de Montréal ont refusé de commenter cette affaire.
Le site Internet de l'Association des policiers provinciaux du Québec et celui de l'Association des directeurs de police du Québec étaient inaccessibles samedi après-midi, mais rien n'indique pour le moment qu'Anonymous en soit la cause.


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vendredi 1 juin 2012

A l'Anonymité les Québécois souhaite la bienvenue a Anonymous !

Ils ont fait tomber les sites web du Parti libéral du Québec, du ministère de l'Éducation et de la Ville d'Alma. Ils ont diffusé des images privées de la famille Desmarais. Ils menacent le Grand Prix de Montréal.
Ces cyberpirates, qui se posent en défenseurs virtuels du plus grand nombre, se réunissent sous le nom d'Anonymous. Fait rare, l'un d'eux a accepté de parler à La Presse.
Avertissement: ce cyberpirate anonyme n'est pas un porte-parole du groupe. Anonymous n'est une organisation ni structurée ni hiérarchisée. N'en déplaise à ceux qui la présentent comme telle, Anonymous n'est simplement pas une entreprise privée.
«Les gouvernements et les médias font généralement cette erreur. N'importe qui peut s'impliquer dans une opération et dire qu'il ou elle fait partie d'Anonymous. Nous avons une certaine philosophie et une marque de commerce, mais n'importe qui peut se les approprier», explique notre interlocuteur. Voilà pour la Ville d'Alma, où les fonctionnaires se demandaient bien pourquoi elle était la cible de pirates aux visées internationales.
Le Québec est loin d'être l'unique terrain de jeu du groupe. Outre leur opposition à la loi spéciale (78) et leur lettre ouverte menaçant le Grand Prix, des membres d'Anonymous donnent aussi un coup de pouce aux opposants au projet de loi C-11, qui resserre les pratiques du droit d'auteur au Canada.
Ailleurs dans le monde, on a vu le principal symbole d'Anonymous, le masque de Guy Fawkes, opposant à la monarchie anglaise du XVIIe siècle, apparaître durant le Printemps arabe en Égypte et en Tunisie, l'an dernier. Dans le mouvement Occupy Wall Street également. En fait, Anonymous remonte jusqu'à WikiLeaks; c'est dans ce contexte que le mouvement est réellement sorti de l'ombre.
«Je dirais qu'opération Québec [contre la loi d'exception] a vu le jour de la même façon qu'opération Égypte: Anonymous s'oppose à la brutalité policière contre des protestataires pacifiques et à un gouvernement limitant la liberté d'expression des assemblées et des citoyens. C'est le genre de contexte qui fait rapidement consensus au sein de nos membres: nous aidons ceux qui désirent défendre leurs droits civiques.»
Sans impact négatif, mais quand même...
Un consensus qui se fait sur «IRC», un canal de communication qui est la fondation même du réseau internet et qui est en bonne partie anonyme: Anonops, Voxanon, Anonnet sont leurs points de ralliement.
Tout internaute n'a qu'à pointer son fureteur vers ces serveurs et il participe au mouvement. Difficile, dans ce contexte, de repérer le ou les responsables d'une attaque contre un site web en particulier. Cela complique le travail des autorités. Cela attire les pirates de tous les horizons.
Malgré cela, et malgré les menaces contre la F1, le mouvement se défend bien de s'en prendre à des cibles qui affecteront négativement le grand public. Cela rassurera les portails financiers et les principaux sites d'information...
Quand même. Cette assurance ne devrait pas empêcher les organismes ayant pignon sur le web de renforcer la sécurité de leur site. Malgré l'attaque subie à mi-mai, la Ville d'Alma n'a toujours pas corrigé les failles dans son système. Ailleurs sur l'internet, les autres municipalités canadiennes, le gouvernement et nombre d'entreprises présentent la même sécurité défaillante, nous indique un expert en cybersécurité.
Autrement dit, ce ne sont pas les cibles de choix qui manquent sur le grand réseau. Situation idéale pour l'émergence d'un regroupement d'internautes désireux de faire du grabuge. L'équivalent virtuel, en quelque sorte, de taper sur des casseroles en pleine rue. Seulement, les casseroles d'Anonymous, ce sont des sites web.


dimanche 27 mai 2012

Hackers: Anonymous lance un message au gouvernement

Conflit étudiant - Anonymous lance un message au gouvernement
 
Photo: Agence QMI / Archives

MONTRÉAL – Le collectif d'activistes informatiques Anonymous a diffusé une nouvelle vidéo, vendredi, sur YouTube, dans laquelle il demande au gouvernement du Québec de faire cesser toutes violences policières envers les manifestants pacifiques. Dans cette vidéo, intitulée « Police et Violence », le collectif indique qu'il « a été particulièrement choqué et horrifié par l'extrême violence de la répression des manifestations pacifiques, organisées par les étudiants québécois ».
À LIRE ÉGALEMENT:
32e manif: concert de casseroles La ministre Courchesne optimiste
Le «Libération» parle des étudiants québécois
Anonymous exige du gouvernement du Québec de mettre un terme immédiat à la répression, et de ne faire recours en aucun cas aux violences policières à l'encontre des manifestants pacifiques.
Samedi dernier, le collectif avait également lancé sur YouTube « Opération Québec », une vidéo dans laquelle Anonymous exprimait son désaccord envers la loi 78 en plus d'accuser le gouvernement « d'assassiner le droit de manifester ».
Récemment, le collectif a fait de nombreuses actions de perturbations, notamment en bloquant certains sites internet du gouvernement du Québec.
En début d'après-midi lundi, les sites du ministère de la Sécurité publique et de Déontologie policière du gouvernement du Québec ont été les cibles d'Anonymous.


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dimanche 20 mai 2012

Nous n'oublions pas, nous ne pardonnons pas, redoutez-nous !

Loi 78 - Anonymous lance un avertissement
En début de journée samedi, Anonymous a revendiqué une attaque informatique sur le site internet de l’Assemblée nationale qui a été piraté dans la nuit de vendredi à samedi. 
© Valery Hache / AFP PHOTO
Loi 78

Anonymous lance un avertissement


Le mouvement international de contestation Anonymous a lancé samedi sur YouTube l'« Opération Québec », dans laquelle il dénonce la loi 78 adoptée par le gouvernement du Québec et demande expressément à celui-ci de laisser le peuple québécois s'exprimer.
À LIRE ÉGALEMENT:
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« Le Gouvernement du Québec assassine le droit de manifester en adoptant une loi d'urgence visant à faire taire les manifestations contre la hausse des droits de scolarité », peut-on entendre sur la bande audio de l'extrait.
Le message d'une durée de 1m 45 prévient le gouvernement que les actions menées par les citoyens sont légitimes et justifiées. Il réitère que la population a le droit de manifester et demande au gouvernement de « laisser le peuple québécois dire ce qu'il souhaite vous faire entendre ».
Le tout se termine par la signature du mouvement : « Nous sommes Anonymous, nous sommes légions, nous n'oublions pas, nous ne pardonnons pas, redoutez-nous! »
En début de journée samedi, Anonymous a revendiqué sur son compte Twitter une attaque informatique sur le site internet de l'Assemblée nationale qui a été piraté dans la nuit de vendredi à samedi.


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