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vendredi 13 juin 2014

Aider un chien c'est aider un itinérant aussi ?

Vous aussi si vous auriez le toupette dans face et vivez seul et abandonner comme un itinérant,avec la faubit des foules,appeuré pour un rien, un manque de confiance et de l'anxiété aussi élevé qu'un déficient intellectuel,vous auriez le même problême,vous vous jetteriez en bas d'un pont sans savoir pourquoi ,les voix négatives qui vous envahisse dans votre tête,et que sans jugement ,vous force a allez en enfer !

L'Égo c'est le péché originel dans l'homme qui vous fait avancer vers la lumière,c'est le négatif, et  en même temps que l'air vous oxyde tranquillement vous évoluez vers une meilleur compréhention de votre monde.

Faut juste lui montrer a ce canin,ce DI ou cette Ado ,en lui montrant 2 choix pour qu'il se prenne en main ,le féliciter ,être la avec lui,pour qu'il prenne confiance en soi,l'encadrer dans ses choix ,pour qu'il ne vous demande qu'a l'aider . Avec votre confiance de sauveur,et en lui montrant que tout le monde fait des erreurs ,comme le Nazaréen en a fait, et que pardonner(acte d'amour suprême) est la seule solution ! Pour oublier le passé que l'ont ne pourra jamais changer et vivre avec l' espoir du présent (pas du futur)qui le transformera , pour allez enfin droit dans vos bras et recevoir ce qu'il a toujours manquer l'amour ! C'est ce qu'il y a partout dans l'air ,c'est ce que vous respirez(prana) et lui transmettre(car il viens pas de vous,mais de votre source), il vous attend ! Maintenant, vivez dans le présent,ça sera très facile pour eux,sauf pour l'Homme ,....................pensez-s'y !









REF.:

dimanche 27 avril 2014

Poème pour initiés ? Vivant !

Vivant:

Les jours passent devant ma fenêtre(mon Ordi ?)
Le Monde ralentit comme il se doit
Adieu à la nuit passée
Les amours, perdu de vue
Pouvez-vous pas m'aider à les voir ?
( Ils ne pourront pas m'obtenir le droit)

Aimer chaque minute parce que tu me fais tellement me sentir vivant
Vivant d'aimer chaque minute parce que tu me fais tellement ressentir vivant
Vivant , vivant, être vivant

Se réveiller dans la neige
traçant les marche avec toi
Nageant à travers la fumée
Enveloppé dans un manteau de velours
Pouvez-vous pas m'aider à les voir ?
( Ils ne pourront pas m'obtenir le droit)

Aimer chaque minute parce que tu me fais tellement me sentir vivant
Vivant d'aimer chaque minute parce que tu me fais tellement ressentir vivant
Vivant , vivant, être vivant

Peut-tu me le décrire en moi
Tout le monde que tu vois ?
J'ai besoin de quelqu'un , je suis en attente de ça
La liberté est en toi
Donner nous fait du bien
Bonjour à notre monde
Dites bonjour au futur
La liberté est en toi
Donner nous fait du bien
Bonjour à notre monde
Dites bonjour au futur

Aimer chaque minute parce que tu me fais tellement me sentir vivant
Vivant d'aimer chaque minute parce que tu me fais tellement ressentir vivant
Vivant , vivant, être vivant
Aimer chaque minute parce que tu me fais tellement me sentir vivant
Vivant d'aimer chaque minute parce que tu me fais tellement ressentir vivant
Vivant , vivant, être vivant !






REF.: poème de Zedd,

lundi 4 mars 2013

C’est le travail au noir qui m’a sauvé ?












«Je n’échapperai personne»...


3 mars 2013 16h12 | Pierre Côté Président et fondateur, IRB | Actualités en société
C’est ce qu’a affirmé la ministre Maltais pour rassurer son monde quant aux nouvelles mesures d’incitation à l’emploi pour certaines catégories de bénéficiaires de l’Aide sociale.

Ce n’est pas parce que j’ai été le «Naufragé des villes» que je suis devenu un spécialiste de l’Aide sociale, mais j’y suis sensibilisé et j’ai été confronté à une réalité pas toujours commode.

Sur le principe des mesures annoncées, je suis d’accord. Qui ne le serait pas? Peu importe son statut et le parti politique que l’on appuie, tout le monde souhaite qu’il y ait moins de chômeurs, moins d’assistés sociaux et plus de travailleurs actifs. Cela va de soi.

Sur l’application de ces mesures, j’ai cependant d’énormes réserves. La réalité est beaucoup plus complexe. D’abord, je m’en excuse, mais les employés du ministère qui auront à appliquer ces mesures ne démontrent pas toujours l’empathie, le jugement et le discernement nécessaires pour le faire correctement. Je ne veux surtout par généraliser, mais c’est un fait. Ils sont humains et l’humain n’est pas une machine parfaite.

Ensuite, la notion « d’employabilité » en est une très élastique. Plusieurs qui portent cette étiquette, dans le fond, ne sont pas vraiment employables. Ou du moins, pas pour tous les emplois qui leur seront proposés. Souvent, pour aucun d’entre eux. Pour ceux et celles qui aiment détester les assistés sociaux et « basher » sur leur dos, il faut comprendre et constater l’état de détresse physique et psychologique de plusieurs d’entre eux. L’estime d’eux-mêmes est nulle, la confiance absente. Ils sont isolés de notre monde et vivent un peu en marge, souvent dans des sous-sociétés dans lesquelles ils ont appris à survivre. Je ne m’attarderai pas sur les nombreuses raisons qui les ont amenés là, mais ils y sont et il s’avère, pour un grand nombre d’entre eux, extrêmement difficile, voire souvent impossible de s’en sortir. Une société évoluée et humaine peut peut-être les détester, mais elle a le devoir et la responsabilité de ne pas les laisser crever.

Avant d’accepter un emploi, aussi simple soit-il, ils ont souvent besoin d’aide afin de se rebâtir une confiance minimale qui leur permettra d’abord de croire en eux. Je sais, de telles initiatives existent actuellement, mais elles sont encore limitées.

Et je ne m’attarde pas ici aux nombreux employeurs qui seront très frileux à engager des assistés sociaux. Et je ne les blâme pas. Surtout, justement, les plus âgés. Durant les deux mois de mon expérience de «Naufragé», à 53 ans, je n’ai pu réussir à me dénicher un emploi. C’est le travail au noir qui m’a sauvé.

Je pourrais poursuivre, mais je m’arrêterai ici. Vos mesures, madame Maltais, sont vertueuses, mais la vie ne l’est pas. Dans leurs applications et malgré les possibles bonnes intentions, elles engendreront des drames. Qu’arrivera-t-il aux personnes qui échoueront, malgré leur bonne volonté? Et qu’entend-on par «bonne volonté»? Perdront-ils 129$ par mois alors qu’ils en ont à peine 700$ pour vivre? Je n’ose l’imaginer. Si c’est le cas, ne vous surprenez pas de constater un accroissement du travail au noir, de la délinquance et de l’illégalité.

En affirmant que «vous n’échapperez personne», vous commandez un acte de foi, mais la foi, de nos jours, est plus que vacillante, surtout envers les politiciens et davantage lorsqu’on aborde les sujets des clientèles plus vulnérables. Votre affirmation, vous le savez, relève davantage de la pensée magique.

Mais c’est bien connu. Il n’est jamais payant, politiquement, de défendre les plus démunis. Nettement plus rentable de faire le contraire. Pour s’en convaincre une autre fois, sachez que seulement 34% de la population serait d’accord pour que les prestations de l’Aide sociale soient indexées annuellement en fonction du coût de la vie.

REF.: Pierre Côté
Président et fondateur, IRB
Participant à la série documentaire «Naufragés des villes»
Le 3 mars 2013