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jeudi 3 février 2022

Les 7 choses à ne pas dire à vos enfants d’après les psychologues

 

 

Les 7 choses à ne pas dire à vos enfants d’après les psychologues



Dans les premières années de leurs vies les enfants sont entièrement dépendants de leurs parents.

Ces derniers doivent tout leur apprendre, leur apprendre à manger, parler, marcher, lire et compter et doivent en même temps leur apporter amour et protection. Au niveau du développement affectif et psychologique les parents ont un rôle déterminant et les actes ou les paroles que l’on prononce peuvent marquer en bien ou en mal ses enfants pour le restant de leurs vies.

Concernant l’avenir et la stabilité émotionnelle et psychologique beaucoup de choses se décident dans l’enfance. Pour le bien-être des enfants il y a des expressions à ne jamais dire, d’ailleurs voici les 7 choses à ne pas dire à vos enfants d’après les psychologues.


1- Tu es une mauvais(e) garçon/fille

 


Laisser votre enfant penser qu’il est un mauvais enfant et pas digne de vous, voire une personne très toxique.

Même s’il a commis des erreurs, votre enfant a le droit à l’erreur à condition qu’il essaie de faire mieux la prochaine fois. Il faut pardonner nos propres erreurs mais aussi les erreurs des autres.

2- Tu m’as vraiment déçu

 


Faites attention à ce que votre enfant pense, surtout s’il pense qu’il est une honte pour vous et qu’il ne fait pas assez bien pour vous.

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En effet sur le long terme cela peut le marquer à vie et lui faire penser que vous ne l’estimez pas ou que vous ne l’avez jamais aimé.

Alors, essayez de les comprendre les choses calmement sans les affecter psychologiquement.

3- SILENCE! Arrêtez de pleurer

 


Si vous punissez ou grondez votre enfant et que celui-ci se mette à pleurer, vous devez le laisser témoigner sa tristesse et sa colère et ne pas l’empêcher d’exprimer ses sentiments.

Au cas où vous lui intimiez l’ordre de cesser ses larmoiements, celui-ci va penser que dans la vie il faut refréner ses émotions pour ne pas apparaître stupide.

Dans cette situation le mieux était d’attendre qu’il cesse de pleurer de lui-même et lui expliquer que son comportement n’est pas bon.

Dans la plupart des cas, attendre que le calme soit revenu est la meilleure solution.

4- Tu es un grand maintenant, tu ne dois plus avoir peur

 


La peur est un sentiment naturel, une part de notre instinct et nous sert à nous protéger des dangers extérieurs.

En culpabilisant votre enfant par rapport à sa propre peur vous ne faites que plus de dégâts. Vous rajoutez un sentiment de honte à la peur elle-même.

Préférez opter pour une explication rationnelle pour lui prouver qu’il n’a aucune raison d’avoir peur.

Ne gérez pas ses émotions à sa place.

5-  Tout ce que je fais c’est pour toi

Tout donner pour ses enfants est une chose normale lorsqu’on a choisi d’avoir des enfants, mais vous ne devriez jamais le dire.

Car vos enfants ne vous doivent rien et n’ont aucune dette envers vous. Il n’y a pas de réciprocité ni de relation donnant-donnant, vos enfants sont sous votre responsabilité.

En revanche vous pouvez les faire participer à certaines activités ou leur confier certaines tâches (tondre la pelouse, sortir les poubelles) pour le responsabiliser et lui apprendre l’autonomie.

6- Tu n’es pas assez bien

 


En effet on ne peut pas choisir un enfant sur catalogue et une fois qu’on l’a, on ne peut pas retourner au SAV pour en changer, on doit faire avec.

Avoir de trop grandes attentes de la part d’un enfant peut laisser des traces indélébiles sur votre enfant.

Faites-lui comprendre au contraire que vous l’acceptez comme il est. Votre rôle consiste simplement à l’aider à faire mieux et à apprendre de nouvelles choses.

Attention à ne pas ruiner sa confiance en lui. Car l’estime de soi détruite met beaucoup de temps pour revenir.

7- Tu n’es pas beau, tu es trop gros

 

Peu importe l’apparence de vos enfants, ils sont la chair de votre chair et vous ressemblent quoi qu’on en dise.

S’ils ne sont pas aussi beaux que les enfants des publicités à la télé et qu’ils ont pris un peu d’embonpoint, pas la peine de leur faire remarquer et encore moins de vous moquez d’eux.

En effet à cet âge dans la cour de récréation les autres enfants sont cruels et peuvent se moquer de votre enfant. S’il rentre à la maison et subit à nouveau des moqueries il risque de se sentir extrêmement mal et devrait plutôt voir son domicile comme un lieu lui apporte le calme, la sécurité et le soulagement.

Au lieu de vous moquer faites en sorte qu’il se nourrisse correctement et la perte de poids surviendra très vite. Faites-lui pratiquer une activité physique.

 

REF.:   https://mamanly.com/les-7-choses-a-ne-pas-dire-a-vos-enfants-dapres-les-psychologues/?fbclid=IwAR31QVBowo9y4-_4BFvTADTrB4XbNQbfTp73XVjhDssRD8plF4b9FJR2StI

jeudi 11 mars 2021

Apprendre une deuxième langue très tôt peut avoir des effets tout au long de votre vie

 

 

Apprendre une deuxième langue très tôt peut avoir des effets tout au long de votre vie

Des études montrent que les adultes qui ont grandi dans un environnement bilingue conservent certaines compétences cognitives acquises pendant leur enfance.


Être bilingue jeune aurait quelques avantages cognitifs. Les enfants qui grandissent dans un environnement bilingue sont capables de prêter plus d’attention au monde qui les entoure ainsi que de traiter plus d’informations. Une étude récente laisse entendre que ces avantages pourraient durer jusqu’à l’âge adulte. Dans un même temps, cette étude fait la lumière sur de nombreuses facettes de l’apprentissage des langues.

Apprendre jeune ou apprendre plus tard

Les chercheurs derrière cette étude, publiée dans Nature en janvier dernier, ont trouvé que les personnes bilingues depuis leur plus jeune âge sont plus rapides dans leurs analyses que les personnes ne pratiquant qu’une seule langue. « Nous voulions simplement voir chez l’adulte si les résultats obtenus sur les mêmes tâches persistaient, » explique Dean D’Souza, un chercheur en psychologie à l’université Anglia Ruskin à Cambridge, en Angleterre.

L’expérience a été menée sur 127 adultes, bilingues ou non. Les chercheurs ont trié les personnes bilingues en fonction du temps qu’il leur a été nécessaire pour acquérir leur deuxième langue après la langue maternelle. Les groupes ont été classés de 0, pour une personne née dans un foyer bilingue, à 28 ans.

Cette intelligence artificielle clone votre voix et vous fait parler dans une autre langue

Le test s’est effectué en deux parties. Dans la première, les chercheurs ont affiché une image au milieu d’un écran, puis ont mesuré le temps de réaction à l’apparition d’une autre image sur le bord de l’écran. Dans la seconde, ils ont affiché deux images, changeant l’une d’entre elles progressivement pour mesurer la rapidité avec laquelle le sujet réalisait le changement.

Lors des deux tests, les bilingues précoces, qui ont appris leur deuxième langue très jeune, ont noté les changements avant les bilingues plus tardifs, laissant entendre que l’apprentissage dès le plus jeune âge permettait un conditionnement cognitif leur permettant de changer leur attention plus facilement.

La vie de famille et les erreurs peuvent en être la clé

Dean D’Souza pense que ces différences découlent de la complexité de l’environnement d’apprentissage de l’enfant. Plus il y a de langue parlée autour de lui, plus il sera exposé à des sons et des mots différents. De plus, si tous les interlocuteurs ne parlent pas couramment, l’enfant peut également entendre des erreurs. L’apprentissage se renforce lorsque l’erreur est corrigée par la suite puisque l’information donnée est en contradiction avec l’image mentale qu’il se forge, déclenchant la mémorisation si l’écart n’est pas trop grand.

« L’idée, alors, est que cela pousserait le nourrisson à rechercher d’autres sources d’information juste pour leur apporter une aide supplémentaire, » ajoute Dean D’Souza. Ces informations pourraient provenir d’indices visuels. Les enfants peuvent essayer de suivre les lèvres d’un orateur, observer les expressions faciales ou suivre son regard. La recherche de tels indices peut les inciter à être plus audacieux et explorer davantage du regard leur environnement. Les monolingues, de leur côté, ne montrent pas autant de flexibilité dans ce genre de capacité.

Corriger l’œil paresseux de votre enfant en lui faisant regarder la TV

Imaginez que l’on montre une pomme et une poire à un enfant. « Si je dis pomme, mais que je regarde la poire, les enfants bilingues vont plus facilement regarder la poire alors que les autres regarderont majoritairement la pomme, » déclare Vanessa Diaz, chercheur à l’université de Virginie, qui n’a pas participé à l’étude.

Si cette étude est une indication, il semblerait que ces effets cognitifs persistent à l’âge adulte. Par la suite, les chercheurs veulent explorer quels aspects de la vie d’un enfant bilingue contribuent à créer cet effet. Ils s’intéressent au nombre de langues parlées et par ce qui, dans l’environnement d’un jeune, pourrait influencer sa croissance et son cerveau.

jeudi 19 janvier 2017

Voici 5 blessures émotionnelles de l’enfance qui persistent à l’âge adulte


Voici 5 blessures émotionnelles de l’enfance qui persistent à l’âge adulte

Nous avons tous été des enfants avant de grandir et devenir adultes. L’environnement familial dans lequel nous avons évolué et l’enfance que nous avons eue conditionnent immanquablement notre vie d’adulte.
Les problèmes rencontrés durant cette période de notre existence ont une influence capitale sur notre façon d’affronter les vicissitudes de la vie. Ils prédisent en quelque sorte la qualité de notre vie d’adulte.
La personnalité d’un adulte est souvent déterminée par 5 blessures émotionnelles ou expériences douloureuses vécues pendant l’enfance :

1.  La peur de l’abandon

Un enfant qui a été abandonné dans son enfance développera à l’âge adulte une grande peur de la solitude. De peur d’être abandonné, il partira et laissera tomber un partenaire ou un projet en cours de route. C’est sa défense ; il quitte avant d’être quitté.
La peur du rejet pour ce type de personnes est permanente et définit leur comportement face aux gens et aux aléas de la vie. Ces personnes devront travailler cette peur de la solitude et du rejet. Tant que l’idée d’être seul provoquera une panique, elles ne seront pas guéries de leur blessure.

2.  La peur du rejet

Le rejet est une blessure profonde lorsqu’il a été vécu dans la petite enfance. Cette blessure conditionne le comportement de la personne qui en a souffert au point qu’elle se considère comme quelqu’un d’indigne d’affection. Croyant cela et de peur d’être rejetée, elle finit par s’isoler dans son vide intérieur.
Les adultes qui ont souffert de rejet étant enfants sont insaisissables et doivent absolument prendre des risques et des décisions par eux-mêmes.
Le jour où ils ne seront pas dérangés par l’éloignement de certaines personnes de leur vie, ils auront réussi à affronter cette peur.
blessures-émotionnelles (2)
Blessures émotionnelles

3.  L’humiliation

Lorsque des parents traitent leur enfant de stupide ou bête, ils ne réalisent pas qu’à ce moment-là ils sont en train de détruire son estime de soi. Quand un enfant est traité ainsi, il est persuadé qu’on le désapprouve et qu’on le critique. À l’âge adulte, il se retrouvera avec une personnalité dépendante. Il se peut même qu’il développe un mécanisme de défense en humiliant à son tour les autres et en devenant tyrannique et égoïste.
Pour se débarrasser de la peur de l’humiliation, il est recommandé de travailler sur la compréhension des besoins et des peurs et d’œuvrer pour l’indépendance et la liberté.

4.  L’injustice

Un enfant qui a grandi avec des parents froids et autoritaires, qui exigent beaucoup de lui en dépassant souvent les limites, se retrouve accablé par un sentiment d’impuissance et d’inutilité. Ce sentiment qui naît dès l’enfance persiste jusqu’à l’âge adulte.
Les personnes qui ont souffert de ce type de comportements sont facilement détectables par leur rigidité mentale et leur soif de pouvoir. Elles sont incapables de prendre des décisions en toute confiance et sont obsédées par l’ordre et le perfectionnisme.
Il est nécessaire pour ces adultes de travailler sur leur rigidité et méfiance afin de pouvoir faire confiance aux autres et gagner en flexibilité.

5.  La trahison ou la peur de faire confiance

Les parents ont souvent tendance à promettre certaines choses à leurs enfants. Lorsque ces promesses ne sont pas réalisées, l’enfant se sent trahi et indigne de ce qui lui a été promis. Ces sentiments négatifs développent une personnalité manipulatrice, à fort caractère, qui veut tout et bien contrôler.
Les personnes qui ont subi ce genre de problèmes durant l’enfance manquent de tolérance, de patience et de savoir-vivre. Elles doivent travailler sur ces 3 axes et apprendre aussi à déléguer leurs responsabilités.
La connaissance de ces cinq blessures de l’âme capables d’affecter notre personnalité, notre santé et notre vie peut aider à corriger un trait de caractère, ou mieux, pousser les parents à corriger leur façon de faire avec leurs enfants.

Tiré et inspiré du livre de Lise BOURBEAU

« LES 5 BLESSURES QUI EMPECHENT D’ ETRE SOI MEME ».
RÉSUMÉ : Avez-vous parfois l’impression de tourner en rond dans votre cheminement personnel ? vous arrive-t-il de voir resurgir un problème que vous pensiez avoir résolu ? peut-être ne cherchez-vous pas au bon endroit.
Ce livre de lise bourbeau, aussi concret que les précédents, démontre que tous les problèmes d’ordre physique, émotionnel ou mental proviennent de cinq blessures importantes : le rejet, l’abandon, l’humiliation, la trahison et l’injustice.
Grâce à la description très détaillée de ces blessures et des masques que vous avez développés pour ne pas les voir, les sentir et surtout pour ne pas les connaître, vous arriverez à identifier la vraie cause d’un problème précis dans votre vie. ces masques vous donneront également des réponses sur l’extrême maigreur ou grosseur des gens.
Ce livre vous permettra d’entreprendre la bonne démarche de guérison, celle qui mène au résultat recherché : être vous-même.

Lise bourbeau vous propose, comme toujours, une solution pratique à la fin de ce livre pour arriver à transformer vos problèmes quotidiens en tremplin pour grandir et pour redevenir conscient que vous êtes un dieu créateur.


Source.:

dimanche 29 mai 2016

Voici 5 blessures émotionnelles de l’enfance qui persistent à l’âge adulte







Nous avons tous été des enfants avant de grandir et devenir adultes. L’environnement familial dans lequel nous avons évolué et l’enfance que nous avons eue conditionnent immanquablement notre vie d’adulte.Les problèmes rencontrés durant cette période de notre existence ont une influence capitale sur notre façon d’affronter les vicissitudes de la vie. Ils prédisent en quelque sorte la qualité de notre vie d’adulte.La personnalité d’un adulte est souvent déterminée par 5 blessures émotionnelles ou expériences douloureuses vécues pendant l’enfance :

1.  La peur de l’abandonUn enfant qui a été abandonné dans son enfance développera à l’âge adulte une grande peur de la solitude. De peur d’être abandonné, il partira et laissera tomber un partenaire ou un projet en cours de route. C’est sa défense ; il quitte avant d’être quitté.La peur du rejet pour ce type de personnes est permanente et définit leur comportement face aux gens et aux aléas de la vie. Ces personnes devront travailler cette peur de la solitude et du rejet. Tant que l’idée d’être seul provoquera une panique, elles ne seront pas guéries de leur blessure.

2.  La peur du rejetLe rejet est une blessure profonde lorsqu’il a été vécu dans la petite enfance. Cette blessure conditionne le comportement de la personne qui en a souffert au point qu’elle se considère comme quelqu’un d’indigne d’affection. Croyant cela et de peur d’être rejetée, elle finit par s’isoler dans son vide intérieur.Les adultes qui ont souffert de rejet étant enfants sont insaisissables et doivent absolument prendre des risques et des décisions par eux-mêmes.Le jour où ils ne seront pas dérangés par l’éloignement de certaines personnes de leur vie, ils auront réussi à affronter cette peur.blessures-émotionnelles (2)Blessures émotionnelles

3.  L’humiliationLorsque des parents traitent leur enfant de stupide ou bête, ils ne réalisent pas qu’à ce moment-là ils sont en train de détruire son estime de soi. Quand un enfant est traité ainsi, il est persuadé qu’on le désapprouve et qu’on le critique. À l’âge adulte, il se retrouvera avec une personnalité dépendante. Il se peut même qu’il développe un mécanisme de défense en humiliant à son tour les autres et en devenant tyrannique et égoïste.Pour se débarrasser de la peur de l’humiliation, il est recommandé de travailler sur la compréhension des besoins et des peurs et d’œuvrer pour l’indépendance et la liberté.

4.  L’injusticeUn enfant qui a grandi avec des parents froids et autoritaires, qui exigent beaucoup de lui en dépassant souvent les limites, se retrouve accablé par un sentiment d’impuissance et d’inutilité. Ce sentiment qui naît dès l’enfance persiste jusqu’à l’âge adulte.Les personnes qui ont souffert de ce type de comportements sont facilement détectables par leur rigidité mentale et leur soif de pouvoir. Elles sont incapables de prendre des décisions en toute confiance et sont obsédées par l’ordre et le perfectionnisme.Il est nécessaire pour ces adultes de travailler sur leur rigidité et méfiance afin de pouvoir faire confiance aux autres et gagner en flexibilité.

5.  La trahison ou la peur de faire confianceLes parents ont souvent tendance à promettre certaines choses à leurs enfants. Lorsque ces promesses ne sont pas réalisées, l’enfant se sent trahi et indigne de ce qui lui a été promis. Ces sentiments négatifs développent une personnalité manipulatrice, à fort caractère, qui veut tout et bien contrôler.Les personnes qui ont subi ce genre de problèmes durant l’enfance manquent de tolérance, de patience et de savoir-vivre. Elles doivent travailler sur ces 3 axes et apprendre aussi à déléguer leurs responsabilités.La connaissance de ces cinq blessures de l’âme capables d’affecter notre personnalité, notre santé et notre vie peut aider à corriger un trait de caractère, ou mieux, pousser les parents à corriger leur façon de faire avec leurs enfants.-


Source.: http://sain-et-naturel.com/voici-5-blessures-emotionnelles-de-lenfance-qui-persistent-a-lage-adulte.html#sthash.NRrok4sy.dpuf
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Blessures émotionnelles

Voici 5 blessures émotionnelles de l’enfance qui persistent à l’âge adulte

Nous avons tous été des enfants avant de grandir et devenir adultes. L’environnement familial dans lequel nous avons évolué et l’enfance que nous avons eue conditionnent immanquablement notre vie d’adulte.
Les problèmes rencontrés durant cette période de notre existence ont une influence capitale sur notre façon d’affronter les vicissitudes de la vie. Ils prédisent en quelque sorte la qualité de notre vie d’adulte.
La personnalité d’un adulte est souvent déterminée par 5 blessures émotionnelles ou expériences douloureuses vécues pendant l’enfance :

1.  La peur de l’abandon

Un enfant qui a été abandonné dans son enfance développera à l’âge adulte une grande peur de la solitude. De peur d’être abandonné, il partira et laissera tomber un partenaire ou un projet en cours de route. C’est sa défense ; il quitte avant d’être quitté.
La peur du rejet pour ce type de personnes est permanente et définit leur comportement face aux gens et aux aléas de la vie. Ces personnes devront travailler cette peur de la solitude et du rejet. Tant que l’idée d’être seul provoquera une panique, elles ne seront pas guéries de leur blessure.

2.  La peur du rejet

Le rejet est une blessure profonde lorsqu’il a été vécu dans la petite enfance. Cette blessure conditionne le comportement de la personne qui en a souffert au point qu’elle se considère comme quelqu’un d’indigne d’affection. Croyant cela et de peur d’être rejetée, elle finit par s’isoler dans son vide intérieur.
Les adultes qui ont souffert de rejet étant enfants sont insaisissables et doivent absolument prendre des risques et des décisions par eux-mêmes.
Le jour où ils ne seront pas dérangés par l’éloignement de certaines personnes de leur vie, ils auront réussi à affronter cette peur.
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Blessures émotionnelles

3.  L’humiliation

Lorsque des parents traitent leur enfant de stupide ou bête, ils ne réalisent pas qu’à ce moment-là ils sont en train de détruire son estime de soi. Quand un enfant est traité ainsi, il est persuadé qu’on le désapprouve et qu’on le critique. À l’âge adulte, il se retrouvera avec une personnalité dépendante. Il se peut même qu’il développe un mécanisme de défense en humiliant à son tour les autres et en devenant tyrannique et égoïste.
Pour se débarrasser de la peur de l’humiliation, il est recommandé de travailler sur la compréhension des besoins et des peurs et d’œuvrer pour l’indépendance et la liberté.

4.  L’injustice

Un enfant qui a grandi avec des parents froids et autoritaires, qui exigent beaucoup de lui en dépassant souvent les limites, se retrouve accablé par un sentiment d’impuissance et d’inutilité. Ce sentiment qui naît dès l’enfance persiste jusqu’à l’âge adulte.
Les personnes qui ont souffert de ce type de comportements sont facilement détectables par leur rigidité mentale et leur soif de pouvoir. Elles sont incapables de prendre des décisions en toute confiance et sont obsédées par l’ordre et le perfectionnisme.
Il est nécessaire pour ces adultes de travailler sur leur rigidité et méfiance afin de pouvoir faire confiance aux autres et gagner en flexibilité.

5.  La trahison ou la peur de faire confiance

Les parents ont souvent tendance à promettre certaines choses à leurs enfants. Lorsque ces promesses ne sont pas réalisées, l’enfant se sent trahi et indigne de ce qui lui a été promis. Ces sentiments négatifs développent une personnalité manipulatrice, à fort caractère, qui veut tout et bien contrôler.
Les personnes qui ont subi ce genre de problèmes durant l’enfance manquent de tolérance, de patience et de savoir-vivre. Elles doivent travailler sur ces 3 axes et apprendre aussi à déléguer leurs responsabilités.
La connaissance de ces cinq blessures de l’âme capables d’affecter notre personnalité, notre santé et notre vie peut aider à corriger un trait de caractère, ou mieux, pousser les parents à corriger leur façon de faire avec leurs enfants.
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mardi 15 janvier 2013

Quand deux autistes se rencontre ?

Ils vivent au présent,sont fidèles,sont loyales,et sont près a vous écouter, a vous servir !

Troubles qualitatifs de la communication verbale et non-verbale,
Altérations qualitatives des interactions sociales réciproques[précision nécessaire],
Comportements présentant des activités et des centres d'intérêt restreints, stéréotypés et répétitifs.
 
 
  Pas de différence entre l'enfant et l'animal,ni aux yeux du créateur!
  Je vous souhaites,............................... tous, un autiste a la fin de vos jours ,c'est le seul moyen d'entrer au ciel par la grand porte d'en avant ;-)
REF.:

dimanche 19 juin 2011

Quand l'Humain a mal aux mains ;)


Garderies - «On n'a rien à cacher»
Même s'il existe un «noyau dur» de garderies délinquantes, la qualité des services de garde demeure «exceptionnelle» au Québec, selon l'Association des garderies privées.
©Archives
Ça donne des problêmes,comme ci-dessous,............................et c'est surtout que personnes veut laver,frotter,et si c'est brun et que sa pue c'est pire,alors quand tout le monde dit que c'est pas sont tour et qui sont pas payés pour nettoyer..............ça donne de beau gâchis.

Accusant les inspecteurs du ministère de la Famille de vouloir «nuire» aux garderies par des inspections trop sévères, l'Association des garderies privées du Québec (AGPQ) prépare une vaste offensive, pour «rétablir sa crédibilité» aux yeux des parents.
Sans avoir obtenu l'accord préalable de Québec, l'AQPE commencera dans les prochaines semaines à publier sur son site Web des versions «commentées» des rapports d'inspection, afin de démontrer son mécontentement à l'égard du travail effectué par les inspecteurs du ministère de la Famille.
«Je suis tanné des rapports d'inspection négatifs qui font passer les propriétaires de garderies pour un gang d'incompétents. On a fini de faire rire de nous autres», rage le président de l'AGPQ, Sylvain Lévesque.
Au lendemain de la parution d'une compilation effectuée par le Journal sur les garderies les plus négligentes en matière de propreté et de sécurité, ce dernier tient à mettre les pendules à l'heure.
«Ça va faire. Ça existe des garderies à but lucratif debonnequalité.Oui, ilyadesendroits horribles qui font l'objet de plaintes à répétition, mais ce n'est pas généralisé», soutient M. Lévesque, qui compte indiquer sur les rapports qu'il rendra publics les faits qu'il considère comme étant «erronés».
Des dizaines de garderies outrées
Depuis novembre 2009, les parents peuvent accéder à un sommaire des rapports d'inspection réalisés dans des Centres de la petite enfance (CPE) et garderies, par l'entremise du site Internet du ministère de la Famille.
Ces sommaires contiennent les manquements faits à la Loi sur les services de garde, mais ne sont pas accompagnés de justifications. C'est justement ce qui met en rogne les garderies privées.
«Il y a beaucoup de place à l'interprétation, si on n'explique pas pourquoi tel ou tel règlement a été enfreint», croit Sylvain Lévesque.
«Par exemple, si l'inspecteur passe le doigt sur un rebord d'une fenêtre que j'ai époussetée il y a deux jours, c'est sûr qu'il va trouver de la poussière, poursuit ce dernier. Ça ne veut pas dire pour autant que je n'époussette jamais ma garderie. Or, dans le rapport d'inspection, il sera écrit que je suis malpropre.»
Des inspecteurs zélés
Selon le directeur général de l'AGPQ, Jean-François Belleau, l'association recevrait chaque semaine les doléances de dizaines de garderies, «paniquées» à l'idée que leur rapport d'inspection leur fasse mauvaise presse auprès des parents.
«On constate présentement une recrudescence dans la sévérité des inspections, en raison du nombre élevé de nouveaux inspecteurs sur le terrain», affirme-t-il.
«On voit des cas ridicules. Par exemple, dans une garderie, la solution de désinfectant à jouet (spray) est rangée dans la salle de bain du personnel, qui est verrouillée en tout temps. Une éducatrice a laissé une fois son sac à main sur la même tablette», raconte-t-il.
«L'inspectrice a donné un manquement à la garderie puisque : «la bouteille pourrait tomber sur le sac à main, se vider dans celui-ci, contaminer un éventuel paquet de gomme à mâcher, et lorsque l'éducatrice prendrait une gomme, elle pourrait s'intoxiquer.» C'est ridicule !»
Les inspections de permis ont généralement lieu dans les six mois suivant l'émission d'un permis, ainsi qu'au cours des deux années précédant le renouvellement du permis.
À la suite d'une inspection, les services de garde fautifs doivent produire un «plan d'action » qui permet généralement de corriger les irrégularités constatées.