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dimanche 15 décembre 2019

Vol de données: départ de deux hauts dirigeants de Desjardins

Vol de données: départ de deux hauts dirigeants de Desjardins



banques, fin $ ou fin des Banques, les banques vont manger des crouttes, faille, hackers, vol de donnés

« C’est clairement des congédiements. Il n’y a pas d’autres façons de le dire », commente Claude Garcia, ex-président de Standard Life et administrateur de sociétés.
La crise liée à la fuite de renseignements personnels au Mouvement Desjardins entraîne le départ de deux membres de la garde rapprochée du PDG Guy Cormier.


Denis Berthiaume, premier vice-président exécutif et chef de l’exploitation du Mouvement Desjardins, et Chadi Habib, premier vice-président, technologies de l’information, ne font plus partie de l’organisation.
La décision a été prise après « quelques mois de vérifications internes » entourant la fuite de données révélée en juin, a indiqué la coopérative dans un communiqué. Au final, les données personnelles des 4,2 millions de particuliers membres de Desjardins ont été dérobées.


« La confiance que j’accorde aux membres de mon comité de direction est essentielle, a commenté Guy Cormier dans le communiqué de mardi. Les événements des derniers mois m’amènent à la conclusion qu’il faut apporter des changements dans la composition de la haute direction du Mouvement Desjardins. »
Il n’a pas été possible de parler à Guy Cormier pour obtenir plus de détails sur la réorganisation de son équipe. « Nous n’accorderons pas d’entrevue et ne ferons pas de commentaires », a fait savoir la porte-parole Chantal Corbeil.
« C’est clairement des congédiements. Il n’y a pas d’autres façons de le dire », commente Claude Garcia, ex-président de Standard Life et administrateur de sociétés. « Guy Cormier veut leur faire porter le fardeau du problème », ajoute-t-il.
« Ils [Denis Berthiaume et Chadi Habib] vont avoir de la difficulté à se trouver un autre emploi de même niveau. Quand vous êtes à ce niveau-là, les gens disent qu’ils sont bien payés, mais ils avaient de grandes responsabilités. C’est normal qu’ils assument ces responsabilités si effectivement ils sont responsables. Je n’ai pas de raison de douter de la bonne foi de Guy Cormier et du conseil d’administration », affirme Claude Garcia.
Pour cet observateur avisé du monde des affaires, il ne fait aucun doute que Guy Cormier a dû convaincre le conseil d’administration qu’il fallait faire ce geste. « Car le conseil doit être certain que ce n’est pas une façon pour lui de se sortir du trou. Il a fallu que Guy Cormier monte un dossier pour montrer que ces deux personnes-là étaient vraiment responsables. C’est une question de gouvernance. »


Pour Claude Garcia, les événements des derniers mois chez Desjardins démontrent qu’il y avait de « grosses faiblesses » au sein de l’organisation et que de « graves erreurs » ont été commises.
Le vol de données des clients de Desjardins aurait été commis par l’entremise d’une simple clé USB sur laquelle on a téléchargé les fichiers. 
À la Standard Life, dit-il, des cas de fraude « pas mal plus sophistiqués » ont été découverts alors qu’il était dirigeant. « On avait engagé une firme dont le mandat était de défoncer notre système. Ils finissent toujours par défoncer. Mais une fois que c’est fait, tu en corriges, des affaires. »
À ce compte-là, le départ de Chadi Habib n’est pas étonnant, selon lui. « Ça ne me surprend pas. »

Des dirigeants choisis par Guy Cormier

 

 

Denis Berthiaume et Chadi Habib avaient spécifiquement été choisis par Guy Cormier pour faire partie du comité de direction après son élection à la tête du Mouvement Desjardins, il y a trois ans. Il avait nommé Denis Berthiaume premier vice‐président exécutif et chef de l’exploitation avec pour mandat de superviser l’ensemble des opérations du Mouvement. M.Berthiaume cumulait une vingtaine d’années de service chez Desjardins.
À titre de premier vice-président, technologies de l’information, Chadi Habib assumait notamment le co-leadership de la transformation numérique, un virage visant à faire évoluer les services offerts aux membres et clients de Desjardins. Il travaillait chez Desjardins depuis huit ans et il relevait directement de Denis Berthiaume.
L’ancien patron du Mouvement Desjardins Alban D’Amours s’est dit très surpris quand La Presse lui a appris la restructuration. « Guy Cormier est en mesure de prendre les mesures qui s’imposent », a-t-il ajouté sans toutefois vouloir commenter davantage.
Réal Bellemare, qui occupait le poste de premier vice-président exécutif finances, trésorerie, administration et chef de la direction financière, est désigné pour prendre la relève de Denis Berthiaume. Il assurera aussi, par intérim, les responsabilités de premier vice-président technologies de l’information.
Réal Bellemare aura aussi comme responsabilité de mettre en place un Bureau de la sécurité pour notamment mettre en œuvre des stratégies en matière de sécurité, assurer la protection des membres et clients, de leurs actifs et de leurs renseignements personnels, et mettre en place un processus de reddition de comptes sur la sécurité, aligné sur les meilleures pratiques.
Il n’a pas été possible d’obtenir des commentaires de MM. Berthiaume et Habib hier.
L’enquête policière sur le vol de données chez Desjardins se poursuit toujours. Les autorités n’ont toujours effectué aucune arrestation. 

La crise des données personnelles en quelques dates

JEUDI 20 JUIN 2019

 

 

En conférence de presse, le président du Mouvement Desjardins, Guy Cormier, annonce le vol dans ses systèmes informatiques de renseignements personnels concernant 2,9 millions de membres-clients du géant financier coopératif.
Desjardins avait été informé de ce vol massif de données, attribué à un employé à l’interne, par la police de Laval à la suite de son enquête sur une transaction suspecte qui lui avait été signalée à la fin de 2018.

VENDREDI 5 JUILLET 2019

Le président du Mouvement Desjardins, Guy Cormier, fait part publiquement de son insatisfaction envers la firme de dossiers de crédit Equifax, qui a été mandatée pour fournir un service de surveillance et de protection des dossiers de crédit des membres de Desjardins touchés par le vol de renseignements personnels.

LUNDI 15 JUILLET 2019

Afin de « diminuer le niveau d’inquiétude » chez les membres touchés par la fuite de renseignements personnels, le Mouvement Desjardins bonifie les mesures de protection contre les transactions frauduleuses par vol d’identité parmi l’ensemble de ses 4,9 millions de membres particuliers et de ses 300 000 membres entreprises.


LUNDI 12 AOÛT 2019

Dans ses résultats de deuxième trimestre, le Mouvement Desjardins comptabilise une charge spéciale de 70 millions pour couvrir les premiers coûts liés à la fuite massive de renseignements de 2,9 millions de membres des caisses populaires. La fuite de renseignements avait été divulguée par Desjardins à 10 jours de la terminaison comptable de son deuxième trimestre au 30 juin.

VENDREDI 1er NOVEMBRE 2019

À la stupéfaction générale, le Mouvement Desjardins annonce que c’est l’ensemble de ses 4,2 millions de membres particuliers qui ont été victimes de la fuite de renseignements. « C’était important pour nous d’informer nos membres le plus rapidement possible », dira le président Guy Cormier, quelques minutes avant de prononcer un discours devant la Chambre de commerce de Montréal.

MARDI 3 DÉCEMBRE 2019

 

 Le Mouvement Desjardins remanie sa haute direction et justifie son geste par le vol massif de renseignements personnels ayant touché ses 4,2 millions de membres particuliers. Denis Berthiaume, qui était numéro deux en tant que premier vice-président exécutif et chef de l’exploitation, ainsi que Chadi Habib, qui était premier vice-président des technologies de l’information, partent. « La confiance que j’accorde aux membres de mon comité de direction est essentielle », fait valoir le président, Guy Cormier, dans un communiqué.

 

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vendredi 16 août 2019

Une banque américaine annule les dettes de cartes de crédit de ses clients canadiens



Une banque américaine annule les dettes de cartes de crédit de ses clients canadiens

La Presse canadienne
Libellés
fin $ ou fin des Banques, les banques vont manger des crouttes, banques, cartes crédits
Une banque américaine a décidé d'annuler toutes les dettes de cartes de crédit de ses clients canadiens dans le cadre d'un retrait de ce marché.
La banque Chase, établie à New York, a annoncé qu'elle annulait toutes les dettes impayées par les utilisateurs de ses deux cartes de crédit au Canada.
Dans le cadre de sa sortie du marché canadien des cartes de crédit, Chase a fermé tous les comptes Marriott Visa et Amazon l'an dernier, et a récemment décidé d'absorber les pertes.
La société a déclaré que les utilisateurs ayant un solde impayé en juin n'auraient pas à effectuer les versements.
Je suis stupéfait, pour être honnête. Voilà une chose de moins dont je dois me préoccuper.
Paul Adamson, client de Chase
Chase n'a pas voulu chiffrer le montant lié à sa décision ni le nombre de clients canadiens concernés.
Elena Jara, directrice de l'organisme sans but lucratif Credit Canada, affirme que la décision de la banque peut indiquer qu'elle a la capacité d'effacer les pertes qu'elle enregistrera.
Elle aurait pu le faire autrement, mais elle aurait dû y consacrer plus de temps et plus d'efforts pour y parvenir. En fin de compte, ce n'aurait pas été une bonne chose "pour l'entreprise". Il y a aussi la possibilité que les pertes soient couvertes par une compagnie d'assurance.
L'institution financière, propriété de J.P. Morgan Chase & Co, a décidé de quitter le marché canadien des cartes de crédit en mars 2018, après 13 ans dans ce marché.


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mardi 12 décembre 2017

Message a l'Élite financière et nos Politiciens :

Vous économiserez des milliards $$$,......si vous investissez dans nos enfants,mais tout pays confondus !

Car,si nous appliquons les résultats de l'étude de Dunedin ,nous arriverons a un monde meilleur.
Dunedin a démontré que sa plus longue étude sur le développement d'une population occidentale est le meilleur retour sur investissement pour nos dirigeants politiques !

Cette étude a commencé en 1975, les chercheurs ont fait une évaluation sur le développement de 1037 enfants de 3 ans, soit la plupart des enfants nés à Dunedin (+ de 90%) entre avril 1972 et mars 1973. Suite à cette évaluation il a été décidé de les suivre tout au long de leur vie. Cette étude réalisée par étapes dans le temps a donné lieu à de multiples publications et à une série de films documentaires réalisées en 2015 par Paul Casserly: "Qui sommes-nous? La grande expérience".

Cette expérience cherche donc à "comprendre ce qui fait de nous qui nous sommes". Les scientifiques qui l'ont initiée ont mis en place pour cela une méthodologie ambitieuse. Tout d'abord les personnes suivies le sont dans la plus grande confidentialité quelle que soit leur situation. Ce qui permettrait de créer une vraie confiance pour s'exprimer librement.
Les évaluations se sont faites de façon périodique entre 3 ans et 32 ans. La dernière a donc été réalisée en 2012, pour les 38 ans des personnes suivis, et la prochaine aura lieu dès cette année à partir du mois d'avril 2017.

À chaque étape de l'étude ils participent à Dunedin à des entrevues, des tests, des examens médicaux et à des enquêtes où ils sont évalués sur leur santé ainsi que sur leur vie personnelle et professionnelle. Actuellement 96% des personnes, en vies, suivies depuis leur naissance participent toujours à cette étude. Ce taux record de suivi dans une étude longitudinale serait dû à la fois au cadre de confiance et d'intérêt créé, mais aussi aux moyens financiers et humains mobilisés pour l'étude. Les nombreuses personnes qui ne vivent plus sur place (2/3) ont leur voyage et leur séjour pris en charge par l'étude où qu'ils soient dans le monde. Les chercheurs et enquêteurs suivent leur migration pour pouvoir rester en contact avec eux. Et si les personnes ne peuvent pas venir à Dunedin ce sont eux qui se déplacent pour les rencontrer.

Cette étude unique au monde a mis en avant de multiples éléments. L'information la plus emblématique de cette enquête a remis sur la table le débat entre l'inné et l'acquis chez l'Homme. Effectivement l'étude démontrerait que le tempérament d'un enfant de 3 ans serait d'une façon générale le même à l'âge adulte. Des éléments aussi importants et déterminants pour l'avenir se jouant aussi jeune, les scientifiques recommandent de miser sur les politiques publiques de la petite enfance pour développer des parcours équilibrés. L'apprentissage de la maîtrise de soi dès l'enfance serait la solution pour construire sa réussite personnelle, professionnelle et une meilleure santé.

Lorsque les jeunes entrent en maternelle, ils ont donc déjà leurs propres personnalités, classées en cinq types auxquels ils ne dérogeront plus: les équilibrés, les réservés, les affirmés, les inhibés et les indisciplinés. Aux trois premiers types, on promet santé, prospérité, amour et bonheur, au contraire des 17 % d’inhibés et d’indisciplinés. Colériques, asociaux, anxieux et toujours trop rigides, ils connaîtront les maladies cardiaques, le chômage, la criminalité et les dépendances, et bon nombre d’entre eux se retrouveront en prison, à moins qu’on trouve un moyen de les encadrer dès l’apparition des premiers «symptômes».
On a également établi que le nombre d’heures de sommeil influe directement sur le poids et l’anxiété d’un individu, et que les enfants qui «voient des choses» sont souvent à un stade précoce de schizophrénie, ce qui a permis aux médecins d’adopter une nouvelle approche concernant la détection de la maladie.La Schizophrénie et la psychose, commence a se développer surtout vers l'âge de 11 ans, à cause de problêmes de vascularisation sanguine au cerveau.


 L'étude analyse aussi les causes de la délinquance juvénile, l'impacte de la télévision sur les résultats scolaires, le manque de sommeil sur l'obésité et bien d'autres choses. Mais l'étude de Dunedin, comme beaucoup d'études, soulève des controverses et particulièrement quand cette recherche révèle que les violences conjugales seraient dues tout autant à l'homme qu'à la femme. La différence d'impact se porterait sur les différentes constitutions des deux sexes. 




Il s’agit de l’une des plus importantes études jamais effectuées sur les liens entre le mauvais traitement pendant la petite enfance et la santé à l’âge adulte. L’étude a révélé que des expériences négatives pendant la petite enfance, incluant la violence faite aux enfants et le dysfonctionnement familial, sont statistiquement liées à une plus grande incidence de problèmes de santé mentale, d’accoutumance, d’obésité, de diabète de type 2, d’hypertension artérielle et de coronaropathie à l’adolescence et à l’âge adulte.


 


 En plus de découvrir que la durée de la période passée en orphelinat est liée à un quotient intellectuel (QI) plus faible et à des problèmes de comportement, les chercheurs ont signalé que l’adversité en début de vie touchait les chromosomes des enfants et entraînait le vieillissement rapide de leurs cellules et augmentait probablement le risque de souffrir du cancer et de maladies du coeur à l’âge adulte.


 
Les données longitudinales représentent un outil scientifique comportant des marqueurs génétiques et environnementaux qui prédisent des troubles de l’humeur, des comportements antisociaux et criminels, de la psychose et de la toxicomanie à long terme.


La manière dont s’exprime le gène de la monoamine-oxydase (MAO) a une influence sur le taux d’enzyme et les processus biologiques. Les hommes qui ont été maltraités pendant l’enfance sont plus susceptibles d’être antisociaux si l’activité de la MAO est faible. Toutefois, les hommes dont l’activité de la MAO est faible mais qui n’ont pas été maltraités et les hommes dont l’activité de la MAO est élevée mais qui ont été maltraités ne sont pas devenus plus antisociaux.Les gens demandent souvent si nous naissons mauvais ou si nous le devenons. Aucun des deux « , résume-t-il. C’est une combinaison d’un gène et d’une expérience vécue.

L’étude longitudinale de Dunedin a également révélé que les individus ayant un gène de petite taille ou un allèle participant à la production de sérotonine étaient plus susceptibles d’être dépressifs ou suicidaires s’ils devaient faire face à l’adversité en début de vie. Les autres individus faisant face aux mêmes types d’adversité, mais qui possédaient deux longs allèles ou types de gène, étaient résilients et moins susceptibles d’être dépressifs.


 Fumer du cannabis régulièrement à l'adolescence peut provoquer une baisse des capacités intellectuelles à l'âge adulte, montre une étude publiée lundi par une revue scientifique américaine.


 


 Malgré des controverses cette recherche est devenue une référence mondiale. Elle aurait même participé à la lutte pour l'abolition de la peine de mort des mineurs aux États-Unis. Alors demain peut-être la politique de la petite enfance deviendra la grande priorité dans les programmes politiques ainsi que dans les actions des gouvernements. Savoir contrôler ses émotions, comme sa colère, permet de persévérer dans l’adversité. C’est l’une des compétences les plus importantes dans la vie « , explique Richie Poulton. Or, le self-control peut s’apprendre dans la petite enfance, notamment à travers des jeux. C’est aux premières années de la vie, quand le cerveau est le plus malléable, qu’il faudrait consacrer l’argent public  » afin d’avoir le meilleur retour sur investissement « , plaident les chercheurs de Dunedin.


 


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mercredi 9 novembre 2016

Élection: Trump,.... "The show must go 0ff " !




Présidentielle américaine 2016: Quels défis pour ce prochain mandat?

ETATS-UNIS Relations avec la Russie ou la Chine, dette fédérale ou régulation de la vente d’armes pourraient s’imposer comme les enjeux majeurs du prochain mandat américain…


Fini le gros show,maintenant on fait face a la réalité des pauvres gens !
Trump et les républicains contrôle  le Sénat et la Chambre des représentants,ce que ne pouvait faire Obama,mais si Trump veut donner plus au peuple il faudra qu'il arrive a contrôler les Banques et de s'attaquer a la dette du pays! Comme son idole Ronald Reagan ,il devra nous donner un bon show ,
comme un bon gestionnaire et un justicier ! Il est temps que la corruption quitte la Maison Blanche,on ne veut plus de retour d'ascenseur ,de Paradis fiscaux, de pétrole ,de guerre,de faillite; en somme les Banque$ cause tout ces problêmes de fuite de capitaux eux-même ,par leurs intérêts aux profits !Le monde hispaniques est en train de montrer par leurs votes a Trump qu'ils devra donner aux pauvres ! Si on creuse encore le faussé
entre la pauvreté et la richesse , les USA devront imploser économiquement et socialement ! 
La question est de savoir si Trump est la pour s'enrichir ou enrichir le peuple ? Le paradis c'est pas pour mettre de l'argent,mais pour mettre toute votre Foi ! Si j'était un Américain ,je ne resterait pas dans un édifice Trump,car les Terroristes l'ont déja dans la mire .Trump a tout ce qu'il faut pour réaliser l'implosion de l'impérialisme américain et préparer l'âge d'or ésotérique , le fera-t'il !
        
  
 

  • Une diplomatie sous tension

Révolutions arabes, guerre en Syrie, annexion de la Crimée… Depuis la première investiture de Barack Obama en janvier 2009, les relations diplomatiques de la première puissance économique mondiale ont profondément évolué. « Les tensions au Moyen-Orient et les relations avec la Russie seront déterminantes dans les années à venir, analyse Jean Eric Branaa maître de conférences à l’université Paris-Assas, et auteur de Qui veut la peau du parti républicain (Ed.de Passy), Donald Trump estime qu’il faut travailler avec les Russes alors que Clinton veut replacer les USA au centre du jeu diplomatique. Sur la guerre en Syrie, la candidate démocrate a affirmé à plusieurs reprises qu’elle souhaitait agir dans le cadre d’une vaste coalition et produire davantage 'd’intelligence', c’est-à-dire mettre l’accent sur le renseignement ».

 Même constat pour Vincent Boucher, chercheur en résidence à l’Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand de l’Université du Québec à Montréal : « La lutte contre le terrorisme arrive en seconde position des préoccupations des Américains. Depuis le 11 septembre 2001, cette question s’est imposée comme enjeu incontournable de la politique intérieure et extérieure des US. Clinton plaide pour un sursaut en matière d’utilisation du renseignement, une position semblable à celle d’Obama. Trump lui est dans un autre registre (…) et se positionne comme soutien de Vladimir Poutine qu’il a qualifié de 'grand leader'. Sur la question de la lutte contre Daesh, Clinton est encline à la poursuite des frappes aériennes mais reste réticente à collaborer avec la Russie et ne cache pas sa méfiance quant aux revendications territoriales de Poutine ».

Les relations avec la Chine, accusée de manipulation monétaire par Trump, et soucieuse de conserver son ascendant militaire dans la région, pourraient également marquer ce mandat.
  • Régulation des armes et immigration

Pour Jean-Eric Branaa, la question de la régulation des armes pourrait s’imposer rapidement dans le débat politique, une fois l’investiture passée : « Aucun des deux candidats ne va limiter le 2nd amendement sur le port d’arme. On a tendance à penser que Clinton veut s’en débarrasser or c’est faux. Elle veut limiter la circulation des armes d’assaut, notamment les AK47, et restreindre le droit d’achat dans les foires aux armes.

 Autre thématique récurrente de la campagne, l’immigration, défi majeur de la politique intérieur américaine. « Ce peut être la grande réforme de Clinton là où Barack Obama a échoué avec le Dream Act puisque le Sénat n’a jamais voulu voter en faveur de ces mesures et a été contraint d’agir par décret », détaille Jean-Eric Branaa.



  • Un gouvernement fédéral endetté

Dernier point susceptible de peser lors de la prochaine mandature : l’équilibre budgétaire du gouvernement fédéral. Si le marasme de 2008 semble déjà loin - le mois dernier, l’économie américaine a créé 161.000 nouveaux emplois et le taux de chômage a reculé à 4,9 % - l’augmentation de la dette publique se poursuit. « On continue d’augmenter le plafond de la dette et ce plafond est constamment dépassé or cela peut nuire aux Etats-Unis à long terme. C’est un spectre qui plane au-dessus de chaque nouveau Président », précise Vincent Boucher.
En février dernier, la dette nationale des Etats-Unis a dépassé le cap symbolique de 19 mille milliards de dollars, ou 19 « trillions » de dollars. Pour l’heure, les Etats-Unis empruntent à des conditions extrêmement favorables auprès des marchés financiers mais un défaut partiel pourrait avoir des conséquences imprévisibles sur le coût de son financement. A l’été 2011, un précédent blocage sur le plafond de la dette avait conduit l’agence de notation Standard and Poor’s à priver les Etats-Unis de leur « triple A », gage de solvabilité maximale auprès des investisseurs.




jeudi 13 octobre 2016

Politique: Un double discours face aux banques




Les banquiers au pouvoir


Pour ceux qui seraient surpris d’apprendre qu’Hillary Clinton tient un double discours face aux banques, ne le soyez pas. Obama aussi était très gentil avec les banquiers, tout comme Trump le serait probablement s’il devenait président. En fait, cela me rappelle un texte que j’avais rédigé en 2009:
Le phénomène Obama – entretenu largement par nos journalistes groupies – est un ballon qui a dégonflé plutôt rapidement. Mais son passage aura montré une chose : peu importe le discours qu’il tient ou l’image qu’il représente, le président américain est toujours redevable à divers degrés aux grosses entreprises qui ont financé sa campagne, notamment les grandes banques.
On peut difficilement blâmer Barack Obama pour le bordel économique qui a régné aux États-Unis suivant la crise de 2008. Mais ce qui a déçu nombre d’Américains, c’est aussi la relation un peu trop copain-copain que l’administration Obama a entretenu avec les banquiers de Wall Street. Et à ce titre, il n’est pas très différent des présidents qui ont passé avant lui.
En plus des centaines de milliards versés aux banques, cette administration a presque officialisé la politique too big to fail, qui garantit aux banques que l’État les sauvera en cas de nouvelle gaffe. En 2009, elle a changé les règles comptables pour permettre aux banques de maquiller leurs états financiers, en surévaluant leurs actifs. Et en ce moment, l’administration Obama donne à peine une tape sur les doigts des banques, qui ont pourtant saisi des milliers de maisons illégalement dans le scandale du « foreclosuregate ».
Pour le spectacle, Obama a prononcé quelques beaux discours anti-Wall Street. Mais comme l’écrivait Paul Krugman du New York Times, la politique économique de Washington — autant sous Bush que sous Obama — se résume ainsi : soyez gentils avec les banquiers (go easy on the bankers).
Les amis d’Obama
Cela ne devrait surprendre personne. Pendant la campagne présidentielle, Obama a reçu beaucoup plus d’argent des grandes entreprises — et des banques — que son adversaire républicain John McCain. La banque Goldman Sachs a versé à Obama quatre fois plus d’argent qu’à McCain. Près d’un million $ contre 230 095 $. Neuf des dix industries ayant le plus donné aux politiciens pendant la campagne ont versé plus à Obama qu’à tout autre candidat. Incluants banques et promoteurs immobiliers.
Même les grandes pétrolières ont misé sur Obama. Exxon Mobil lui a donné autant que ce qu’elle a donné à George W. Bush en 2000 et 2004… combinés! (On peut vérifier ces chiffres sur le site non partisan  www.opensecrets.org, et dans le livre Obamanomics, du journaliste d’enquête Tim Carney.)
Une fois au pouvoir, Obama s’est entouré d’anciens lobbyistes, certains provenant de Goldman Sachs. Qui est conseiller économique d’Obama? Larry Summers, principal artisan de l’abrogation de la loi Glass-Steagal en 1999. Loi qui séparait les activités de dépôt et les activités de « casino » des banques. Une déréglementation qui a amplifié la crise économique.
Dans son livre Bought and Paid For, le journaliste Charles Gasparino raconte qu’Obama s’est fait, lui et son équipe, manipulés par Wall Street. Président inexpérimenté – surtout en économie –, Obama demandait conseil auprès de Jamie Dimon, de la banque JP Morgan. Et dans une moindre mesure, auprès de Loyd Blankfein, PDG de Goldman Sachs.
Un caniche édenté
Cela explique en partie pourquoi Obama a accouché d’une réforme bancaire qui mord Wall Street avec la force d’un caniche édenté. Surtout après que les banquiers et leurs lobbyistes auront passé au travers, et affaibli les mesures qui leur déplaisent.
Je ne suis pas de ceux qui croient qu’Obama est de mauvaise foi, ou qu’il poursuit un « agenda socialiste ». C’est juste un politicien. Qui doit se plier aux mêmes règles que les autres pour accéder au pouvoir, et y demeurer.

Source.:

samedi 14 novembre 2015

Les banques et Desjardins ne veulent pas témoigner à la commission sur les paradis fiscaux

Le racolage journalistique et le banquier



La flagornerie, ça va faire
Me semble que la première qualité de tout journaliste devrait être son indépendance d’esprit puis son sens critique, son éthique, son professionnalisme et sa quête incessante de la vérité dans sa description des événements, dans ses entrevues, dans son évaluation des politiques gouvernementales, etc. Pour quiconque est de bonne foi et a les talents, le métier de journaliste est motivant au plus haut point et a une portée grandiose dans les enjeux de société. Mais aujourd’hui, la profession de journaliste n’est hélas plus ce qu’elle était. Voilà pourquoi malheureusement certains empruntent la profession journalistique principalement par esprit opportuniste afin de s’en servir comme tremplin vers une autre carrière plus lucrative et plus «glamour» comme joindre éventuellement un parti politique ou se dénicher une job en communication ou en relations publiques dans le privé. Ce ne sont pas les cas probants qui manquent, mes amis. Par exemple, la firme de relations publiques National emploie d’ex-politiciens comme l’ex-député du Bloc québécois Yvan Loubier qui, comme François Blais du PLQ, s’affichait à titre de progressiste, de social-démocrate et de gauche.
Émilie Laperrière de La Presse: un exemple parmi d’autres
Mettons une chose au clair. Ce n’est pas parce que je critique souvent La Presse et ses représentants que je ne les aime pas. Mais, il y a toujours ben une limite à faire fi de ses responsabilités journalistiques et de verser dans la flatterie qui s’apparente à ce que j’appelle de l’infopub, surtout lorsqu’il est question de gens très très importants provenant de grosses, riches et puissantes compagnies. Je sais bien que ces entreprises sont de gros publicitaires à ne pas perdre, mais il y a quand même un boutte à toute! À titre d’exemple, l’entrevue du 12 septembre 2015 que la journaliste Émilie Laperrière de La Presse a réalisé avec le dirigeant de la Banque de Montréal, L. Jacques Ménard est remplie de questions que je jugeais doucereuses, que n’importe qui aimerait se faire poser. Le préambule était aussi absolument édifiant: «Vous êtes exceptionnellement engagé au sein de la communauté, particulièrement auprès des jeunes, de même qu’en culture et en éducation. Considérez-vous que cette implication fait partie de votre rôle de président?» Juste le titre de son article faisait peu de doutes sur le type de texte que la journaliste allait pondre: «savoir faire émerger les bonnes idées». Mais rien sur l’évasion fiscale, sur les hausses de frais bancaires, etc.
Évasion fiscale et arnaque du cartel banquier canadien
C’est toujours le même désolant pattern. Plusieurs grandes entreprises détournent chaque année des milliards de dollars dans les paradis fiscaux afin d’éviter de payer leurs impôts dus au Québec et au Canada, arnaquent les consommateurs et tiennent régulièrement en otage les gens en raison de leur puissance économique et politique issue de leur situation de quasi-monopole au pays (confirmées pour nos banquiers par la revue anglaise The Economist) comme augmenter en chœur, et au même taux, les tarifs bancaires des consommateurs captifs: «Des frais bancaire en hausse» (TVA nouvelles, 25 avril 2015); transfèrent des emplois canadiens en sous-traitance dans les pays en voie de développement afin de payer ces travailleurs à un salaire de misère, ne paient pas leurs employés d’ici pour les heures supplémentaires accomplies et versent honteusement des millions en salaires à leurs dirigeants sachant qu’au pays, pour diriger une banque, absolument pas besoin d’être une 100 watts. Ça, c’est le comportement réel de nos banques canadiennes et de plusieurs entreprises que certains comiques appellent nos fleurons. Pour être qualifié de «fleuron» et de «joyaux» faut que ça soit obligatoirement une entreprise privée, et en aucun cas une société d’État ou des biens et services collectifs. Des fleurons aussi qui font dans la corruption et le criminel comme SNC-Lavalin ou qui siphonnent des milliards en fonds publics que leurs élus leur octroient malgré une performance et une gestion pitoyable comme Bombardier.
Jouer la carte du bienfaiteur afin de camoufler
Alors, après avoir détourné des milliards de dollars dans les paradis fiscaux, augmenter récemment, sans motif sérieux, les frais bancaires et autres tarifs, après avoir sous-traité des employés à l’étranger et après avoir versé des millions en salaires aux patrons, rien de mieux pour leurrer et berner la population que de s’acheter des articles de journaux, des reportages à la radio et à la télévision et se payer des firmes de relations publiques et des élus afin de faire passer ces affairistes pour des gens débonnaires, plein de compassion, qui ont à cœur la réussite des jeunes, qui veulent supposément combattre les inégalités économiques, etc. La majorité du  temps, ils versent des sous qui ne sont pas à eux, mais à la compagnie qu’ils ne détiennent pas.
Attention, ce sont ces bienfaiteurs d’entreprises et individuels qui vont choisir, avec dans les faits notre argent, les bonnes causes et les bons groupes à financer (déductibles d’impôts) que ce soit en culture, en sport, au niveau communautaire, en éducation, auprès des jeunes, etc. Ils donnent aussi beaucoup d’argent à des universitaires et leurs chaires qui sont du bon côté. Pour recevoir leur appui, faut évidemment que les représentants de ces bonnes causes soient reconnaissants envers leur philanthrope, qu’ils ne critiquent pas négativement leurs donateurs et surtout qu’ils ne remettent aucunement en question le système capitaliste aux sources de la classe dominante. Faut absolument montrer patte blanche. Ah, j’oubliais, faut aussi que ce soit une «cause» qui leur permet de se faire voir souvent et partout, pour que le reste ne suscite pas d’intérêt.
Comme nos gouvernements se désistent du financement des organismes communautaires, ces derniers pour survivre doivent obligatoirement faire appel au privé, mais subventionnés par des fonds publics, auquel ils deviennent alors tributaires et tenus d’adopter les mêmes idéaux.
Absence à la commission parlementaire sur les paradis fiscaux
C’est drôle, mais L. Jacques Ménard, sa Banque de Montréal, le Mouvement Desjardins, les autres banques canadiennes et les gros bureaux d’avocats et de comptables, dont KPMG, le chaperon gouvernemental à la Commission scolaire de Montréal, ont refusé de comparaître et de venir se faire entendre à la récente commission parlementaire provinciale sur les paradis fiscaux dont ils sont pourtant les maîtres d’œuvre. Carrément un affront à la population, à nos institutions politiques et au gouvernement: «Les banques et Desjardins ne veulent pas témoigner à la commission sur les paradis fiscaux» (Le Journal de Montréal, 1er octobre 2015). Allô démocratie. Martin Coiteux, Jacques Daoust et Carlos Leitao, en bons ex-banquiers qu’ils sont ne leur font aucun reproche en guise de solidarité. Eh oui, L. Jacques Ménard, que l’étincelant chroniqueur à La Presse, le seul et unique Jean-Philippe Décarie, a qualifié le 1er septembre 2012 de: «Philanthrope et engagé convaincu» brillait lui aussi par son absence à ladite commission parlementaire. Aurait-il, comme ces complices, des choses à cacher? L. Jacques Ménard préfère ergoter et cabotiner sur d’autres sujets accrocheurs avec son fan-club de journalistes qui l’accueillent toujours avec tous les honneurs. Je suppose que c’est pour le bien des jeunes et du bien commun que les banques et autres compagnies et individus s’adonnent à l’évasion fiscale dans les paradis fiscaux? Et puis, pourquoi ne pas avoir convoqué à cette commission, les ministres libéraux actuels Carlos Leitao et Jacques libéraux et l’ex-ministre Clément Gignac tous d’anciens banquiers qui s’y connaissent parfaitement en évasion fiscale dans les paradis fiscaux? Leitao et Daoust parlent toujours avec suffisance de plein de sujets qu’ils ne connaissent pas, mais jamais de thèmes sur lesquels on ne peut douter de leur expertise! Vraiment suspect.


Source.:
CA_LeoPaul_Lauzon

Migrants, «ce n'est pas tant une crise de l'immigration qu'une crise de l'Europe»





Des réfugiés, souvent syriens, à la frontière entre la Grèce et la Macédoine et contenus par les gardes-frontières © Ognen Teofilovski Source: Reuters
Des réfugiés, souvent syriens, à la frontière entre la Grèce et la Macédoine et contenus par les gardes-frontières
Les chiffres parlent d'eux-mêmes: au mois de juillet 2015, l’Union européenne a recensé 107 500 arrivées de migrants soit trois fois plus qu’en juillet 2014. Pour le chercheur François Gemenne, il est temps que l'Europe affronte ses responsabilités.
RT France : Comment jugez-vous l'action de l'Union européenne face à cette question migratoire? 
François Gemenne (F.G.) : Pour le moment, l'action de l'Union européenne est en dessous de tout. Ce qui se passe est une honte à la fois pour le projet et pour l'idéal européen. Ce que nous voyons aujourd'hui est le résultat d'une absence totale de politique européenne en matière d'asile et en matière d'immigration, notamment en matière de critères d'asile harmonisés et centralisés. Cette crise n'est pas tant une crise de l'immigration qu'une crise de l'Europe. Une crise de sa capacité à répondre aux crises extérieures, une crise de sa capacité à formuler une politique commune pour répondre de façon digne et humaine.
RT France : Donc c'est moins une crise en Europe qu'une crise de l'Europe telle qu'elle fonctionne jusqu'à présent?
F.G. : Tout à fait. C'est une crise de l'Europe et du projet européen. Il ne faut pas oublier que l'Union européenne s'est construite sur l'idée de liberté de circulation, d'ouverture des frontières. Mais cet idéal s'est doublé d'un renforcement des frontières extérieures qui a conduit à créer une sorte de forteresse européenne. On a créé un continent de prospérité, de paix et de sécurité réservé à quelques privilégiés et dans lequel les autres n'ont pas le droit d'entrer. C'est une faillite de l'idéal européen!
RT France : Cette question migratoire ne révèle-t-elle pas aussi une double fracture en Europe: évidemment entre les pays du Nord et ceux du Sud mais également entre ceux de l'Ouest et ceux de l'est?
F.G. : Absolument. Il suffit de noter la déclaration du Premier ministre slovaque qui a annoncé qu'il ne souhaite accueillir que des réfugiés chrétiens. Il y a clairement une désunion européenne sur ces questions et dans certains pays, une véritable xénophobie d'Etat, installée par les médias et certains responsables politiques. Dans le même temps, il faut souligner l'action de pays qui prennent leur responsabilité: Angela Merkel en Allemagne ou Matteo Renzi en Italie par exemple. Certains agissent en responsables politiques, d'autres en petits politiciens électoralistes dans une crise pourtant grave.
Au Liban, un habitant sur quatre est un réfugié et la Turquie a accueilli quasiment deux millions de réfugiés syriens
RT France : Pourtant, peut-on comprendre l'inquiétude par exemple d'un pays comme la Bulgarie qui estime que l'afflux de réfugiés peut peser sur la répartition entre les musulmans et les chrétiens orthodoxes de sa population?
F.G. : Oui, on peut entendre cet argument mais la réponse n'est pas de dresser des murs mais de réfléchir ensemble au niveau européen à comment gérer cette question. Est-ce que le Liban où un habitant sur quatre est un réfugié se pose la question. Est-ce que la Turquie où se trouvent quasiment deux millions de réfugiés syriens se pose la question? Ce sont évidemment des inquiétudes légitimes qu'on peut entendre, mais elles me semblent secondaires par rapport à la responsabilité historique et à l'obligation morale pour l'Europe de répondre à cette situation. Mais les problèmes nationaux, les contingences nationales soulignent bien la nécessité à formuler une réponse européenne.


Les Banques la dedans :

 Rothschild veut faire du grand Israël le centre mondial bancaire à Jérusalem qui dominerait la planète où toutes les nations auraient été détruites et un seule entité gouvernerait :l'oligarchie bancaire ; la destruction des états européens est une étape nécessaire pour aboutir à ce nouvel ordre mondial : l'immigration massive est un moyen de l'obtenir ; lesmilliers de terroristes infiltrés de daesh-yankee sioniste viendront dans tous les pays mettre le chaos nécessaire car rockefeler l'a dit ainsi : __""Nous sommes à la veille d'une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est la bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial." David Rockefeller "Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, Time Magazine et d'autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque 40 ans. Il nous aurait été impossible de développer nos plans pour le monde si nous avions été assujettis à l'exposition publique durant toutes ces années. Mais le monde est maintenant plus sophistiqué et préparé à entrer dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d'une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l'autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés." David Rockefeller.



'l'oligarchie bancaire a commandité les guerres fourni par le faux drapeau du 11 sept 2001 au world trade center créé par les états unis eux mêmes pour déclencher 7 guerres dont l’Afghanistan l’Irak la Libye la Syrie ( voir sur youtube les déclarations du général américain wesley clark ou français le général desportes ) ; l'oligarchie a aussi bien créé al qaida que boko aram daesh(CIA mossad) qui ne sont autres que des yankees-sionistes déguisés en noir pour créer le GRAND ISRAEL des Rothschild (DAESH N'A JAMAIS MIS LES PIEDS EN ISRAËL SINON POUR S'Y FAIRE SOIGNER / LES Blessés DE DAESH SONT Soignés à TEL AVIV :faire une recherche sur internet et youtube ) pour cela les yankees sionistes veulent la peau de bachar de syrie qui entrave les plans du camp yankee-sioniste et invente son gaz sarin balancé par al nostra les amis de fabius " qui font du bon boulot " selon ses propres termes ; la Turquie a "stocké" des milliers de migrants que l'oligarchie bancaire destinait à envahir l'europe ; un image de propagande de l'enfant mort au bord de l'eau fut un montage pour attendrir les opinions européennes afin d'accepter les migrants ) or dans cette migration destinée à détruire les civilisations européennes par métissages forcés il y a 4 ou 5000 combattants de daesh-yankees drogués (tueurs des programmes DE CONTRÔLE MENTAL MK ultra de la CIA ; lef al baghdadi de l'état islamique a séjourné dans oles prisons américaines et c'est un agent du mossad) dont le but sera sur le sol de l'union européenne des séries d'attentats , de viols , de décapitations , de bombes afin d'aboutir au nouvel ordre mondial des banquiers rothschild -rockefeller mis en place depuis des décennies ( selon les plans dévoilés depuis 1985 par serges monast et le père archimbalt : lisez leurs révélations et leurs prédictions sur tout y compris cette immigration massive sur youtube )


Source.:

jeudi 5 novembre 2015

Pourquoi les Banques doivent augmenter leurs profits ?

Par leurs pertes d'investissement et aussi les cybervols !
Comme,celui-ci:
 Les pirates siphonner 31 millions $ provenant de comptes bancaires britanniques.

Les pirates ont volé plus de 20 millions de £ (31 millions $) à partir de comptes bancaires en ligne britanniques utilisant des logiciels hostiles et intrusifs qui a repêché les connexions d' utilisateurs en détails.
Agence nationale de la criminalité au Royaume-Uni a établi un partenariat avec le FBI et européenne Europol agence du crime pour enquêter sur la violation, qui disent-ils a été perpétré à l'aide de logiciels malveillants appelé Dridex, détecté pour la première autour de Novembre 2014(la mise a jour des Banques dâte de quand ??? Ta
bar.......k). 
Une fois un ordinateur a été infecté par Dridex, les pirates peuvent accéder et voler les coordonnées bancaires du propriétaire. L'argent peut alors être siphonné lentement d'un compte sur une base mensuelle.
Le mardi, l'Agence nationale de la criminalité a averti les utilisateurs d'Internet au Royaume-Uni à être vigilants, en particulier les personnes utilisant des ordinateurs exécutant le logiciel Windows.
Seuls les comptes bancaires britanniques ont été touchés jusqu'à présent, mais les institutions financières à travers le monde ont été ciblés par Dridex. Le fichier a été créé par les cybercriminels très habiles d'Europe orientale, les agences de criminalité dit, et a été conçu pour passer inaperçu. Cela rend les pirates eux-mêmes extrêmement difficile à traquer.
Attaques de logiciels malveillants visant à épingler les coordonnées bancaires de personnes ont été autour depuis l'avènement de la banque en ligne. Mais ils ont augmenté de 9 pour cent l'année dernière, selon le chercheur en sécurité de Kaspersky Labs. Avant Dridex, il y avait Cridex, et avant Cridex il y avait beaucoup d'autres types de logiciels malveillants. Comme les consommateurs poussent de plus en plus sage d'attaques de logiciels malveillants, les pirates deviennent de plus en plus accompli à les déguisant.
"Ceux qui commettent la cybercriminalité sont très souvent hautement qualifiés et peut être opérant à partir de différents pays et continents," Robert Anderson, directeur exécutif adjoint du FBI, a déclaré dans un communiqué. "Ils peuvent et vont déployer de nouveaux logiciels malveillants et nous, avec nos partenaires, sont conscients de cette menace et sont constamment conçoivent de nouvelles approches pour lutter contre la cybercriminalité."
Cyberattaques par des pirates professionnels ciblent généralement les individus en les incitant à cliquer sur un lien qui télécharge des logiciels malveillants sur leurs appareils, souvent à leur insu. Les attaquants peuvent ensuite utiliser le malware soit voler à partir d'un appareil, ou de prendre le contrôle à distance de celui-ci.
Quand les ordinateurs sont pris en charge comme cela ils sont utilisés pour former un botnet - efficacement un réseau d'ordinateurs un attaquant peut contrôler et utiliser pour propager des virus et du spam à d'autres. L'Agence nationale de la criminalité et le FBI mènent actuellement des opérations simultanées de «Doline», à travers lequel ils tentent de couper la communication entre les pirates et les botnets qu'ils utilisent pour faire circuler Dridex.
Selon l'Agence nationale de la criminalité, il a "rendu une grande partie du botnet inoffensive" et est "maintenant initier une activité d'assainissement pour protéger les victimes". Les services de police de plusieurs pays ont également coordonné pour garantir un arrêt «significatif».
"Ceci est une forme particulièrement virulente de logiciels malveillants et nous avons travaillé avec nos partenaires de l'application des lois internationales, ainsi que des partenaires clés de l'industrie, afin d'atténuer les dommages qu'il cause", a déclaré Mike Hulett, les opérations se dirigent au Cyber ​​national de l'Agence nationale de la criminalité Crime Unit. "Notre enquête est en cours et nous nous attendons à de nouvelles arrestations à [être] fait."
Source.:  Sécurité

jeudi 8 octobre 2015

Si on saurait la valeur de la valeur ?


L'enfant ici, né dans l'extrême pauvreté n'aura droit qu'a un maigre 456,25 $/année, s'il survie et travail durant 365 jours/année !

 Le problême se situe au-dessus des Banques ? Si tu décide de remettre plus que tu as emprunté,il y a un problême,et si tu met une valeur que tu quantifie a ce qui est réellement sans valeur, c'est que tu l'as virtuellement créer pour contrôler ton entourrage, dans un monde ou le vide est réellement plein a l'infini ! La valeur se situe dans le vide ! Dans cette image ,le vautour ne sait même pas qu'il se mange lui-même !

Si pour certains, un vautour mange un vautour c'est pas grave; alors un vautour qui mange un Humain, ça c'est plus grave ! La vie ,c'est l'amour que vous portez aux autres et ça n'a pas de prix !


Source.: taconsciencedotcomme

vendredi 26 juin 2015

L’Islande a laissé ses banques faire faillite, et jeté des banquiers en prison. Et voici ce qui s’est produit



L’Islande a laissé ses banques faire faillite, et jeté des banquiers en prison. Et voici ce qui s’est produit
L’Islande, l’une des nations les plus touchées par la crise bancaire, semble avoir complètement surmonté ses problèmes, et cette année, elle devrait être le premier pays du monde frappé par la crise de 2008 à dépasser le PIB le plus élevé qu’il avait atteint avant cette crise, rapporte ZeroHedge. Le pays est parvenu à ce résultat sans sacrifier son système social et les dépenses du gouvernement. Il y a encore quelques années, l’Islande est arrivée au bord de la faillite lorsque ses banques, qui au fil des ans s’étaient montrées bien trop audacieuses, se sont trouvées en situation de quasi-effondrement.
Selon le Fonds monétaire international (FMI) l’Islande a réussi à se remettre totalement de la crise, sans avoir compromis son modèle social qui prévoit la gratuité des frais de santé et d’éducation. Le pays, qui ne fait pas partie de l’Union Européenne, n’a pu compter que sur lui-même pour se relever, et pour se faire, il a opté pour une approche très originale mais efficace.
A la différence des autres pays heurtés par la crise, l’Islande a laissé ses banques faire faillite, ne préservant que les comptes des ménages résidents. Les étrangers qui avaient placé leur argent dans les banques du pays ont tout perdu lorsque ces banques ont fait faillite. Ailleurs, dans le reste de l’Europe, de nombreuses banques ont été nationalisées car il n’était pas concevable qu’elles puissent faire faillite.
Le pays a également imposé des contrôles de capitaux. Par conséquent, les Islandais ne pouvaient plus investir ou placer librement leur argent à l’étranger, ce qui était, selon de nombreux économistes, contraire aux règles du marché libre. De plus, le pays n’est pas intervenu pour empêcher la dévaluation de la couronne islandaise, et il a toléré l’inflation. Celle-ci a provoqué une hausse des prix domestiques, mais elle a aussi eu pour effet de stimuler les exportations. Les pays de la zone euro ne pourraient tolérer une telle dévaluation ; celle-ci renchérirait les dettes nationales des différents Etats-membres.
Mais le plan semble avoir fonctionné. La dette nationale de l’année dernière ne représentait que 82% du PIB du pays, comparativement à 95% il y a quatre ans. À la fin de cette décennie, la dette devrait même continuer à baisser pour atteindre 54% du PIB. Le chômage a également baissé de façon spectaculaire, et actuellement, le taux de chômage s’établit à 4%, contre près de 8% en 2009.
De tels résultats soulèvent la question de la pertinence des politiques économiques qui ont été menées dans le reste de l’Europe ou aux États-Unis en réponse à la crise. Les banques n’auraient-elles pas dû supporter elles-mêmes les conséquences de la crise qu’elles avaient causée? D’après Zéro Hedge cette réussite contredit de nombreux économistes, notamment keynésiens, qui affirmaient que le soutien de l’économie était nécessaire pour sortir de la crise.
En outre, l’Islande a fait condamner les administrateurs de Kaupthing, l’une des principales banques de la nation, non seulement à des amendes, mais à des peines de prison allant de quatre à cinq ans. Lors de leur procès, le procureur spécial islandais Olafur Hauksson s’était posé la question de la responsabilité :
Pourquoi devrions-nous tolérer qu’une partie de notre société ne soit pas soumise à la règle de droit ou qu’elle puisse échapper à ses responsabilités? Il serait dangereux de laisser quelqu’un devenir trop gros pour devenir l’objet d’une enquête. Cela laisserait l’impression qu’il existe un refuge sûr ».
http://news360x.fr/lislande-a-laisse-ses-banques-faire-faillite-et-jete-des-banquiers-en-prison-et-voici-ce-qui-sest-produit/

mercredi 20 mai 2015

Scandale financier: Les banques risquent de payer plus de 40 milliards de dollars d'amendes

Etats-Unis : 5,8 milliards de dollars d'amendes pour 6 grandes banques mondiales


JP Morgan Chase, Citigroup, Barclays et RBS plaident coupable dans l'affaire de manipulation des taux de change.
 
 Des charges sont aussi retenues contre UBS et Bank of America.
 
Pour la première fois depuis des décennies, des banques américaines sont forcées de reconnaître leur culpabilité devant la justice pénale. Mercredi, JP Morgan et Citigroup ont admis que des traders qu’elles employaient s’étaient entendus pour manipuler le marché des devises à leur avantage... et au détriment de leurs clients. Les traders , qui auraient dû être concurrents, se surnommaient eux-mêmes « le cartel », la « mafia » et « les mousquetaires». Les banques admettent n’avoir pas empêché leurs pratiques, malgré les avertissements de lanceurs d’alerte et les plaintes de certains clients. JP Morgan et Citigroup ne sont pas les seules dans ce cas : mercredi, ce sont pas moins de six banques (JPMorgan, Citigroup, Bank of America, RBS, Barclays et UBS) qui ont passé un accord amiable avec le ministre de la Justice américain, la Réserve fédérale et des régulateurs new-yorkais. Elles vont payer plus de 5,8 milliards de dollars d’amendes au total, qui s’ajoutent aux 3,4 milliards déjà versées pour la même affaire l’an dernier aux autorités britanniques, suisses et américaines.

Lourdes répercussions

Les amendes ont beau être très importantes, elles ne sont pas le plus intéressant dans cette affaire. La grande nouveauté est que des banques américaines soient contraintes de plaider coupable. Certains établissements étrangers l’ont déjà fait avant elles -on se souvient notamment de BNP Paribas l’an dernier . Mais les juges américains n’y avaient encore jamais forcé les banques américaines, de peur certainement de fragiliser des champions nationaux et de détruire des emplois aux Etats-Unis. Le cas « Arthur Andersen » a longtemps refroidi leurs ardeurs : le cabinet de conseil avait dû supprimer 28.000 postes après avoir reconnu sa responsabilité dans l’affaire Enron.
Les aveux de culpabilité de mercredi constituent une grande victoire pour les pourfendeurs de Wall Street, qui pensent que les amendes ne suffisent pas à changer les comportements. Plaider coupable peut avoir de lourdes répercussions : cela oblige les banques à faire acte de contrition, ce qui constitue un aveu très embarrassant vis à vis de leurs gros clients. Certains d’entre eux peuvent être contraints, pour des raisons éthiques ou réglementaires, de cesser leur collaboration avec la banque. Un risque particulièrement fort en gestion d’actifs.
Plus grave encore, le plaider coupable peut provoquer la perte de licences professionnelles, menaçant des pans entiers d’activités. Il n’y a guère de risque en Amérique, où les banques sont de grands pourvoyeurs d’emplois. Mais dans de nombreux pays, les licences bancaires sont conditionnées à l’absence de condamnations pénales. Le « plaider coupable » pourrait donc ouvrir une période d’incertitude pour ces banques, qui devront s’entendre avec des dizaines de régulateurs pour continuer à opérer localement.

Le feuilleton n’est pas fini

Les autorités américaines sont loin d’en avoir fini avec cette affaire. A en croire un rapport publié par Citigroup, les banques risquent de payer plus de 40 milliards de dollars (32 milliards d’euros) pour solder ce scandale financier. Deutsche Bank, qui a miraculeusement échappé aux sanctions pour l’instant, est la plus menacée à long terme : elle pourrait acquitter 6,5 milliards de dollars d’amendes au total, devant Barclays (4,8 milliards), indique Citigroup. Si les banques échappent aux poursuites pénales grâce aux accords amiables, elles ne protègent pas leurs salariés d’une éventuelle condamnation en justice. Des traders du forex sont actuellement poursuivis aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Les peines de prison restent toutefois extrêmement rares...
Lire aussi

  Source.:

jeudi 7 mai 2015

L'implosion de la Matrice:

Lorsque vous verrez le système judiciaire, libérer des accusations et des poursuites les criminels ceux-ci ,........................c'est que la Machine Humaine aura été trop loin !

C'est a partir de la que l'implosion commencera !
Vous y participerez tous,car les Banque$ vous ont eut !

Loin de Dieu,loin de la lumière ,.........................qui vous fait vivre,ou survivre !





Résultat de recherche d'images pour "matrice judiciaire"


Est-ce la Ville qui est insatisfaite de Marc Parent? Ou Marc Parent qui est insatisfait de la Ville? Ou encore aucune de ces réponses ? Le chef du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) quitte ses fonctions.


 Oui, le juge Michel Girouard a été soupçonné de s’être procuré des stupéfiants alors qu’il était avocat de la défense.






Source.:
ici,

mercredi 22 avril 2015

L'itinérance nous on connait ça : Au MEQ et a Revenu Québec


 Suivez-nous,.............Non c'est pas a vous de nous suivre ?.................Changez votre façon,car la nouvelle génération vous suivra pas !

Personne ne choisit de devenir itinérant.
Mais nous ont vous ignore,et on vous aide a le devenir!
Si vous nous appelez, écouter notre message répondeur: "Bonjour,votre argent est important pour nous !"
Car le Ministère de la Santé a visiblement manquer sa campagne publicitaire concernant le phénomène de l'itinérance au Quebec.
Personne n'est à l'abri de l'itinérance. Les personnes qui vivent dans cette situation ne sont pas nées itinérantes, elles le sont devenues. Consultez les pages suivantes pour en connaître davantage sur ce phénomène.

Et si personne n'aide les futurs étudiants et travailleurs du Québec , oui il y aura plus d"itinérance !


Si le Ournement donne des Prêts et bourses aux étudiants,et que pendant ce temps,les cie ne remboursement pas leurs prêts ? Pourquoi les cie du Plan Nord ,détruise nos ressources et notre environnement ,en partant sans rembourser leurs dettes ?
Pourquoi les Gouvernements cautionne les Paradis Fiscaux des Banques ?
On voit très bien c'est qui , qui mène !
Ou que les riches (le 1%)ne payent pas leurs impôts ?

En effet, Près de 450 contribuables gagnant plus de 250 000 $ par année ne payent aucun impôt, dénonce Québec solidaire, qui invite le gouvernement à mettre fin à cette «injustice fiscale».
La formation de gauche a interpellé vendredi le ministre des Finances, Carlos Leitao, sur la question des avantages fiscaux qui, selon elle, profitent principalement au 1 % des Québécois les plus fortunés.
S’appuyant sur le rapport «Statistiques fiscales des particuliers» publié par Revenu Québec, QS soutient que sur les 40 000 contribuables qui ont déclaré des revenus supérieurs à 250 000 $ en 2011, plus de 450 n’ont payé aucun impôt.


À la lumière de son rapport annuel 2014, qu’elle vient de publier, la Caisse de dépôt et placement du Québec continue d’investir dans des sociétés et des fonds d’investissement qui sont enregistrés dans des paradis fiscaux, comme les îles Cayman, les Bermudes, le Luxembourg, etc.
On parle de placements dont l’ordre de grandeur dépasse quelques milliards de dollars.
Éviter les impôts
Si la Caisse reste «active» dans les paradis fiscaux, sachez que c’est effectivement dans le but d’esquiver l’impôt, et ce, pour le bien-être de notre portefeuille! Voilà en gros comment je perçois les explications que la Caisse m’a transmises au sujet de ses placements dans les paradis fiscaux.
Ne criez pas au scandale! Pas tout de suite, à tout le moins. Le porte-parole de la Caisse, Maxime Chagnon, m’a expliqué que la Caisse, en tant que gestionnaire du bas de laine des Québécois, ne paie aucun impôt sur ses revenus de placement. Et ce traitement de faveur fiscal vaut non seulement pour le Canada, mais également aux États-Unis et en Australie, en vertu d’ententes fiscales entre les trois pays. Par ricochet, il en est de même pour les caisses de retraite américaines et australiennes.




Conclusion:
Donc ,un étudiant devrait faire payer ses impôts ,ses prêts et bourses par une cie ou sa propre cie,dont il ne serait pas responsable ! Pauvre Anik Dorval;-(


REF.:


dimanche 29 mars 2015

Pourquoi les cie ne paient pas d'impôt ?




Le Documentaire: 

"Le prix à payer"

Version en français
v.o.a. : The Price We Pay
v.o.a.s.-t.f. : Le prix à payer
Le film peut être vu sans risque par des personnes de tout âge.

Durée

1h33

Genre

Documentaire

Origine

  • Canada

Date de sortie au Québec

13 mars 2015

Synopsis

À une époque où les inégalités sociales entre les riches et les pauvres n'ont jamais été aussi prononcées, l'évasion fiscale est pointée du doigt. Plusieurs experts parlent de cette réalité d'ordre mondial dont la pierre d'assise se trouve dans le quartier financier de Londres. Depuis le démantèlement de l'État-providence au courant des années 80, un flou juridique permet à des entreprises de s'enrichir en payant peu ou pas d'impôts. Une tendance qui s'est accentuée avec l'avènement de l'Internet et qui menace la démocratie. Quelques citoyens proposent toutefois des pistes de solutions pour contrer ce phénomène avant qu'il ne soit trop tard.


REF.:

jeudi 26 mars 2015

Pourquoi il ne faut surtout pas rembourser la dette publique

Dans cette courte vidéo, Etienne Chouard et Jean-Baptiste Bersac nous parlent de ce qui arrive à chaque fois qu’un État essaye de rembourser sa dette publique :





Source.:

dimanche 8 mars 2015

Comment crée-t-on l’argent ?




Comment crée-t-on l’argent ?
Comment crée-t-on l’argent ?
Si le peuple comprenait notre système bancaire et monétaire, il y aurait une révolution avant demain. »-Henry Ford

La planche à billets ?

Pour la plupart des personnes, l’image ci-dessus représente la création d’argent. Les gens se disent que l’Etat, ou toute autre organisation, imprime des billets pour créer toute la monnaie nécessaire.
Il n’en est rien !
En fait, seulement 5% de la masse monétaire (tout l’argent sur terre) se trouvent être des pièces ou des billets. Les 95% restants sont des écritures informatiques, dit « argent scripturale ». Ces écritures, pour simplifier, disent par exemple : Mme X est à +10 000 € sur son compte, le FC Barcelone est à – 500 millions d’euros.
Vous avez déjà du entendre que si tout le monde retirait l’argent de son compte, le système s’effondrerait, en voici l’une des raisons : l’ensemble de l’argent n’existe pas matériellement !!!
Il est aussi facile de comprendre que, lorsque vous payez par carte bancaire au supermarché, votre compte sera débité de 150 € par exemple et que le compte du supermarché va passer de 300 000 € à 300 150 €. Pourtant, aucun échange de billet ou de pièce n’a été effectué, seules les écritures informatiques ont changées. De même que vous ne recevez jamais votre salaire en billets et pièces (ce qui est plus pratique) et que de plus en plus de transactions s’informatisent (traites, virements bancaires…).
« FAIT N°1 : 95% de l’argent sur Terre est informatique. Les 5% restant sont les pièces et billets que nous connaissons tous. »

La création monétaire par le crédit

Voici la partie sûrement la plus difficile à comprendre. Il est impératif de bien en cerner les subtilités. Prenez votre temps pour lire ce qui suit. Si le phénomène reste encore flou après explication, nous vous encourageons à relire ce passage une fois de plus :
La plupart des personnes pense que les banques ne prêtent que l’argent qu’elles possèdent.
Il n’en est rien !
En fait, la loi permet aux banques de prêter plus que ce qu’elles ont dans leurs comptes. Les « réserves obligatoires » représentent la partie d’argent que la banque se doit de garder pour accorder un prêt plus important.
N.B. : vous n’y croyez peut-être pas, mais cela est un fait ! Dans l’Union Européenne par exemple, les banques doivent seulement garder 8 € pour pouvoir en prêter 100 ! (Taux de réserve de 8%, c’est la loi !)
« FAIT N°2 : les banques peuvent prêter plus d’argent qu’elles n’en possèdent. Elles créent donc de l’argent en accordant un crédit ! »
Si vous pensez encore le contraire, rappelez-vous que 95% de l’argent sur la Terre est scriptural. Cette informatisation des échanges permet donc aux banquiers de réaliser le petit tour de passe-passe suivant :
Imaginez que Mr. Robert emprunte à une banque, 200 000 €, afin d’acheter sa maison. Que se passe-t-il ? La banque va uniquement changer les écritures du compte de Mr. Robert.
    7-1.jpg8.jpg
Par ce jeu d’écritures, 200 000 € s’affichent sur le relevé de compte de Mr. Robert ! Bien sûr, la banque vérifie si elle pourra être remboursée. Mais remarquez qu’aucun billet n’a été imprimé, seules les écritures informatiques ont changé !
Son banquier doit bien sûr garder 4 000 € (taux de réserve de 2%). Mais le fait est que la banque vient de créer 196000 € ! Cet argent arrivera sur le compte d’une autre banque lorsque Mr. Robert payera le constructeur de sa maison. La banque du constructeur pourra alors créer 192 080 € Et ainsi de suite… Les 192 080 € arriveront dans une autre banque qui pourra créer 188 238 €…etc… C’est donc l’ensemble des banques qui crée l’argent. Une banque seule ne pourrait se le permettre. Avec 10 % de taux de réserve et un dépôt initial de 1 000 € les banques peuvent créer 5 513 € en seulement 9 prêts. Les accords de Bâle régissent la valeur de ce taux.
Par la suite, et suivant une échéance bien réglée, Mr. Robert doit rembourser ses dettes. Il pourra le faire, car il touche un salaire. De la même façon, ces dettes sont effacées sans échange de pièces et de billets.
En fait l’argent disparaît au fur et à mesure que le prêt est remboursé. La banque crée une somme et l’emprunteur la rembourse avec l’argent qu’il aura gagné. Il échange du temps de travail contre de l’argent, et tout cela de façon informatique. La banque prête par rapport à la richesse potentielle de l’emprunteur.
Le système de création monétaire par le crédit est un système que nous pensons idéal ! Sans lui, aucune entreprise ne pourrait subsister et aucune nouvelle construction ne serait lancée par manque d’argent ! Cette création de monnaie reste le système le plus perfectionné à ce jour afin de motiver l’Homme pour investir dans le futur. En fait, la monnaie ne devrait servir qu’à fluidifier les échanges. Malheureusement, notre système est légèrement différent.    
Les banquiers demandent des taux d’intérêt…

La création monétaire par le crédit avec taux d’intérêt

 « FAIT N°3 : Les banquiers vous prêtent de l’argent qu’il n’ont pas et vous demandent un loyer dessus!  (Taux d’intérêt) »
Mr. Robert : « Je veux une maison… »
- Son banquier : « Pas de problème, voilà, je viens de créditer votre compte de 200 000 €, je ne les ai pas, mais la loi me le permet, je vais donc créer 200 000 €. Attendez, j’entre juste ça dans l’ordinateur… 200 000 € pour vous… Vous nous devez maintenant 343 739 € (taux de 4% / an) que vous rembourserez pendant 30 années. »
Trouvez-vous cela juste ? Si mon voisin me prête un billet de 100 €, il est normal que je paye un loyer et que je lui rende 104 €. Car il ne peut plus se servir de son billet. Je lui paye donc 4 € pour le service qu’il me rend. Mais les banques quant à elles, n’ont pas l’argent. Cela revient à se faire payer pour une chose qu’elles ne possèdent pas, qu’elles peuvent créer à partir de rien !
Nous l’avons vu, lorsqu’une banque accorde un prêt, elle rend disponible de l’argent qui ne l’était pas. Pour bien comprendre ce mécanisme, il faut imaginer que l’économie mondiale est une baignoire. La monnaie est donc l’eau qui la remplit.
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Lorsque la banque accorde le crédit à son client, elle crée cette somme d’argent à partir de rien. La baignoire se remplit donc du montant du prêt, 100 €.
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Voilà donc que la totalité de l’argent sur Terre vient d’augmenter de 100 € ! En contrepartie, lorsque l’emprunteur paye ses dettes, l’argent va disparaître. Mais comme la banque lui demande des intérêts, 104€ vont être demandés. La baignoire se vide donc plus vite (-104 €) qu’elle ne se remplit (+100 €) !
« FAIT N°4 : Lorsqu’un banquier crée (à partir de rien !!) 100€, il en demande 104 €. L’argent des intérêts n’a donc jamais été créé ! Les banquiers demandent plus d’argent qu’ils n’en créent ! »
 C’est pourquoi l’ensemble des banquiers mondiaux doivent constamment accorder de nouveaux prêts afin de remplir la baignoire ! Cette technique a cependant 2 limites :
 1)  Le marché est très moutonnier : par exemple, lorsque la confiance règne, les crédits vont et viennent comme jamais, tous les acteurs du marché suivent la même direction. De l’argent est créé en continu. Mais lorsqu’elle est altérée, la confiance va aussi très vite dans le sens inverse. Et si elles ont peur de ne pas se faire rembourser, les banques vont arrêter d’accorder des prêts afin d’être sûr d’être les premières à être remboursées. La baignoire se vide alors au fur à mesure que les prêts se remboursent. Lors de la crise de 2007, les banques se sont arrêtés de prêter, nous avons tous vu le résultat : le chômage commence à augmenter, plus d’argent, plus d’investissement.
2) Lorsque des personnes stockent de grandes quantités d’argent sans la réinvestir dans l’économie, une partie de l’eau de la baignoire reste indisponible !
Et lorsque que ces deux limites sont atteintes celui qui ne trouve plus d’argent peut-être :
- La personne qui vit seule et qui ne peut plus rembourser son emprunt auto, elle reçoit alors la visite d’un huissier.
– Le patron d’entreprise qui ne trouve pas assez d’argent et doit soit délocaliser soit fermer son entreprise. Dans les 2 cas, cela entraîne une augmentation du nombre de chômeurs.
– L’État qui, lorsqu’il ne peut pas rembourser ses dettes, doit réemprunter (donc augmenter encore ses frais d’intérêt à payer) afin de pouvoir payer sa dette !
Par essence, la création monétaire ex nihilo (à partir de rien) que pratiquent les banques est semblable, je n’hésite pas à le dire pour que les gens comprennent bien ce qui est en jeu ici, à la fabrication de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement réprimée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents » - Maurice Allais, Prix Nobel de Sciences Economiques
Rémi Mathieu (extrait du livre Comprendre la monnaie)