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mardi 29 juillet 2014

Génération mal au pouce ?.........ou le "RTFM syndrom" ?$?

Comment pourrait t'on concevoir que l'opérateur de l'autoclave et stérélisation ne pouvait pas savoir que son manuel (RTFM=read the friendly manual) et plan ,ne correspondait pas a son modèle de rétracteur de foie ? Et comment ne pas faire une deuxième examen ou un autre poste de vérification ,concernant un appareil servant au sidatique ne doit pas même servir pour d'autre opération que les sidatique ?$$$? Au Fédéral comme au Provinchiale, on gère la pauvreté (ça on le savaient), et maintenant la médiocrité !

Lisez l'histoire d'horreur:

Environ 150 patients de l'hôpital Lachine ont récemment été avisés qu'ils risquaient d'avoir contracté une infection incurable telle qu'une hépatite ou le VIH après avoir subi une chirurgie bariatrique, a appris le journal .
L'hôpital Lachine, l'un des deux centres d'excellence dans ce type d'intervention, assure avoir pris les mesures appropriées pour corriger cette situation «possiblement dangereuse». Bien que l'établissement n'ait détecté aucun cas de transmission, il demeure à la recherche de patients à risque manquant toujours à l'appel.

Stérilisation «sous-optimale»

En février dernier, l'hôpital a acheminé une lettre à tous les patients ayant subi une chirurgie bariatrique entre la fin 2012 et le début 2014.
«Nous avons constaté que le processus de nettoyage d'un des instruments utilisés lors de votre chirurgie aurait possiblement été inadéquat. Malgré la stérilisation appliquée par la suite selon les normes, il est possible que cette dernière ait été sous-optimale», peut-on lire dans le document.
L'instrument en question, un rétracteur de foie, est exclusivement utilisé pour ce type d'opération. Il s'agit d'un outil «extrêmement difficile à nettoyer», selon une source bien au fait du dossier.

Risque d'infection réel

Le directeur médical de la prévention des infections du CUSM, Dr Charles Frenette, reconnaît qu'il ne s'agit pas d'un instrument «commun». Il affirme que celui-ci aurait dû être démonté pour le nettoyage, mais que cela n'a pas été fait de façon systématique.
«Le manuel d'instruction qu'on avait se référait à l'ancien modèle qui lui ne se démontait pas. (...) On s'est aperçu qu'il y avait une accumulation de débris. Comme il y a un léger danger qu'ils aient été contaminés, on a écrit une lettre à tous les patients pour qu'ils subissent des tests pour les maladies transmises par le sang», indique-t-il.
La missive indique que «le risque de transmission d'infection est très faible», mais la source interne précise que le risque est «bel et bien réel» puisqu'au moins un patient était déjà atteint de l'hépatite avant même l'opération, fait qu'a reconnu Dr Frenette.

Patients introuvables

Ce dernier tient d'ailleurs à préciser qu'aucun nouveau cas de transmission n'a été détecté chez les patients testés jusqu'à présent. Cependant, 11% des patients concernés demeurent toujours introuvables.
«Le risque n'est pas plus élevé pour eux que pour les autres patients. C'est peut-être plus rassurant pour eux de savoir qu'on n'a trouvé aucun nouveau cas», soutient Dr Frenette.
Ce dernier estime que la situation est maintenant sous contrôle, puisque l'établissement procède dorénavant au démontage systématique du rétracteur de foie avant le nettoyage et la stérilisation.


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