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mardi 26 septembre 2017

La où on retrouve le plus haut taux de suicide au monde chez les jeunes

C'est impossible de réparer ce qu'on a fait a un être humain,
après l'avoir traumatisé a ce point.
Les compensations monétaires n'aideront pas.
L'expérience et les conseils n'aideront pas.
Quand ont inflige de tels dommages a une société,
ça continue de faire des ravages pendant des générations.
Jusqu'a ce qu'on s'arrête pour y faire face.
Je ne perds pas des gens a cause du suicide.
Je perds des gens a cause des pensionnats,de l'assimilation,
parce qu'ils ne savent ni qui ils sont,ni ce qu'ils veulent devenir,
pas pour leurs grands-parents ,mais pour leurs enfants.






REF.: Aux  150,000 inuits de l'Amérique.

dimanche 12 février 2012

Faut investir 17 millions $ pour contrôler l'intimidation chez les "Y

En Effet la génération Y , a des probl^mes de comportement! Des caméras dans les bus de la STM,au caméras dans le belle ville de Montrèal, et j'en passe!
Maintenant c'est :

Le gouvernement Charest a annoncé dimanche de nouvelles mesures contre l'intimidation dans les écoles.

Il débloquera 3 millions $ pour mettre sur pied une nouvelle campagne nationale de publicité diffusée notamment à la télévision et sur le web.
Quebecor et Télé-Québec ont déjà manifesté leur intention de participer à la cause et devraient diffuser trois messages d'une minute, sur le thème «l'intimidation, c'est fini. Moi, j'agis».
La ministre de l'Éducation Line Beauchamp a également confirmé la poursuite du plan d'action instauré en 2008 visant à instaurer un système de monitorage de la violence dans les écoles. Le programme qui a coûté 17 millions $ depuis son instauration continuera d'être financé à la hauteur de 6 millions $ par année.
Un appel à la mobilisation
Cette campagne est «un appel à tous les Québécois, afin de faire disparaître un phénomène qui existe depuis toujours, mais que nous ne pouvons plus tolérer», a déclaré dimanche Jean Charest.
Le premier ministre a tenu à rappeler que les efforts ne se feraient pas seulement dans les cours d'écoles, mais aussi auprès des parents des victimes d'intimidation. La sensibilisation concernera aussi les jeunes intimidateurs.
Line Beauchamp a invité les membres du personnel scolaire, les députés, les élus municipaux, les chefs syndicaux et d'organismes sociaux à signer la Déclaration québécoise d'engagement contre l'intimidation et la violence. Ce document appelle les signataires à intervenir directement lorsqu'ils sont témoins d'intimidation.
« Des études sur le sujet ont révélé que neuf fois sur 10 les actes d'intimidation se font devant un public et que les deux tiers du temps, il est possible d'arrêter ce phénomène s'il y a intervention immédiate », a affirmé la ministre.
Le ministre de la Sécurité publique Robert Dutil et le ministre de la Santé et des Services sociaux Yves Bolduc ont tous deux fait connaître leur volonté de faire front commun pour sensibiliser et informer la population québécoise.
Une nouvelle législation
La ministre Beauchamp a aussi annoncé son intention de déposer, dès la reprise des travaux parlementaires à l'Assemblé nationale, un projet de loi afin de modifier la Loi sur l'instruction publique et la Loi sur l'enseignement privé afin d'établir des balises et d'intégrer une notion d'obligation d'intervention en cas d'intimidation. Le contenu de la loi devrait être révélé la semaine prochaine.


Un pas vers la solution Les réactions ont rapidement déferlé à la suite de l'annonce de la nouvelle stratégie de lutte contre l'intimidation à l'école du gouvernement Charest.
C'est un pas vers la solution, ont reconnu la présidente de l'Association québécoise des directions d'écoles du Québec, Danielle Boucher et le président de l'Association montréalaise des directions d'établissement scolaire, Gaétan Neault.
«Nous sommes prêts à travailler avec ces outils proposés, et nous sommes persuadés que l'ajout de nouvelles ressources nous permettra de lutter contre l'intimidation et la violence à l'école», a affirmé Danielle Boucher.
«Ces mesures permettront de mieux faire prendre conscience aux jeunes que cette violence mine la réussite de tous les élèves et qu'elle affecte ces jeunes pour la vie», a ajouté M. Neault.
La Fédération québécoise des directions d'établissement d'enseignement (FQDE) a salué les bonnes intentions du gouvernement, mais a émis des réserves sur les répercussions attendues. «Sans ressource directe dans l'école, la stratégie ne sera qu'un nouveau vœu pieux du gouvernement», a lancé Chantal Longpré, présidente de la FQDE.


Un roman pour contrer l'intimidation
Dominique Hardy / Agence QMI Une auteure du Lac-Saint-Jean s'est inspirée de 120 témoignages de victimes d'intimidation pour écrire son nouveau roman, «Les coulisses de l'intimidation», visant à contrer ce fléau qui laisse des traces durant la vie adulte.
«J'ai vécu l'enfer», confie Chantale Potvin, elle-même victime de ce phénomène amplement dénoncé ces derniers mois. Lorsqu'elle était jeune, ses camarades de classe se moquaient de sa tache de vin au visage en plus de la comparer à sa sœur jumelle. Par chance, elle avait son grand frère pour veiller sur elle. Mais tout le monde n'a cependant pas cette chance.
«Le but du roman, c'est de dire aux gens comment ça laisse des traces toute une vie, l'intimidation», explique-t-elle. L'histoire tourne autour d'un personnage fictif, Michel, âgé dans la cinquantaine, qui tente de reconstruire sa vie après avoir été victime d'intimidation dans sa jeunesse.
«Depuis le début de l'écriture, il y a un an, je me suis rendu compte que tout le monde est concerné par ça, souligne Chantale Potvin, aussi enseignante au secondaire. On a beau ne pas en avoir vécu, on en a été témoin, on en a fait subir», selon elle.
Elle a été touchée par le témoignage d'un homme de 32 ans qui a plus tard mis fin à ses jours, incapable de chasser les marques de l'intimidation dans son enfance.
«J'espère qu'un réalisateur de film se penchera aussi sur la question», souhaite-t-elle. «Les coulisses de l'intimidation» est notamment disponible sur le site web de l'auteure www.chantalepotvin.com.


REF.: