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lundi 17 juillet 2023

LA SANTÉ PHYSIQUE, PAR L’ALIMENTATION CRUE-VIVANTE

 

LA SANTÉ PHYSIQUE, PAR L’ALIMENTATION CRUE-VIVANTE

Bref résumé/synthèse tiré du livre : L’Humain : un crudivore frugivore végétalien de nature

Établissons d’abord la notion de «l’aliment originel», c’est-à-dire celui qui n’a

jamais été hybridé par l’humain et dont la croissance «normale» se réalise en pleine

terre vivante biologique avec des composts végétaux exempts de toxicités chimiques

pour les micro-organismes du sol participant principalement à la culture de la plante.

Donc, ce principe conceptuel va bien au-delà de celui de l’aliment agrochimique

toxique, c’est-à-dire celui à «croissance forcée par les engrais chimiques» dans une

terre conséquemment devenue presque morte de ses micro-organismes naturels.

Donc, une culture biologique réalisée via les artifices non-naturels des engrais

chimiques, et par la suite des pesticides et herbicides nécessaires à la fragile survie des

plantes cultivées. Cette culture agrochimique rend ainsi les aliments «artificiellement

beaux en apparence», mais reste qu’ils sont malades parce qu’ils contiennent peu de

vitalités et cela est «inapparent» comme par exemple, lorsque que l’on regarde une

personne souffrante de leucémie et qui, en fait, est potentiellement mourante.

Pas surprenant alors, que l’individu manque d’énergie vitale en se nourrissant de

tels aliments agrochimiques et qu’il s’empoisonne progressivement à cause de tous les

éléments chimiques que les plante ont absorbées.

CAPSULES PSY # 64

DE

PSYCHOLOGIE NOUVELLE

ÉVOLUTIONNAIRE

Armand Desroches

PARAPSYCHOLOGUE

ÉVOLUTIONNAIRE

http://www.use-quebec.ca

2

La cuisson des aliments crée une dénaturation alimentaire qui produit des

molécules de structures étrangères que le système digestif ne reconnaît pas et,

malheureusement, qu’il n’arrive pas à parfaitement métaboliser et qui l’intoxiquent

détruisant la santé cellulaire par une ou certaines des multiples maladies que génère

cette malsaine façon alimentaire de se nourrir. Mais il est étonnant que de nos jours, ce

principe destructeur ne préoccupe à peu près pas les médecins, pourtant bien

intentionnés, de la Médecine Traditionnelle. Trois fois par jour pourtant et durant des

décennies de vie de ce manège ignoré «progressivement suicidaire», l’être humain

consomme des aliments cuits dénaturés qui graduellement l’intoxiquent et dégradent

la qualité vivifiée de son organisme, et ce qui l’achemine incontournablement vers une

«mort prématurée». Nous sommes les seuls animaux de La Nature à procéder à

la cuisson toxique des aliments crus-vivants pour s’en nourrir, et ainsi cela nous rend

malades et nous tue progressivement à notre insu conscient.

Le corps humain physique offre donc une «inadaptation génétique» ou

«métabolique» à cette alimentation dénaturée par la cuisson, un fait qui est

totalement «négligé» par la Médecine Traditionnelle. «La santé dépend de ce dont est

nourri le corps physique !» et c’est ce qu’avançait l’illustre Hippocrate, mais la

Médecine Traditionnelle ne s’en préoccupe plus. Il y a donc un lien évident entre cette

malnutrition culinaire et la maladie sous toutes ses formes sournoises.

Lorsqu’un aliment cru-vivant subit la cuisson, ordinairement à la fréquence

d’un triquotidien, la haute température alors transforme la structure des molécules

originelles en des molécules non-originelles, non-progénétiques, dénaturées,

étrangères, qui n’existent évidemment pas dans La Nature et que le corps humain

physique n’est pas en mesure de parfaitement métaboliser. C’est-à-dire que le

métabolisme n’a pas la capacité, via une saine digestibilité, d’en extraire les

nutriments naturels vivifiants pour en nourrir adéquatement le système cellulaire de

l’organisme humain.

3

Ces molécules dénaturées destructrices posent alors de graves problèmes aux

enzymes digestives du corps en nombre seulement suffisant dans l’intestin grêle pour

parfaitement suffire à une saine digestion crue-vivante. Étant alors incapables, à elles

seules, de métaboliser cette ingestion toxique de cuisson, l’organisme en survie doit

aller puiser dans les banques enzymatiques immunitaires pour en transformer un

grand nombre qui vont aller s’ajouter aux enzymes digestives de l’intestin grêle pour

finaliser la digestion toxique. Sinon, c’est le corps physique qui va mourir d’une

indigestion aigüe. En conséquence, c’est le métabolisme naturel qui graduellement

s’appauvrit, et c’est l’immunité et la santé en général de l’organisme qui devient

pathologique, donc d’évolution morbide maladive menant graduellement au

vieillissement et ainsi à une mort prématurée. Il est à rappeler qu’à chaque repas de

cuisson, les globules blancs interviennent en grand nombre pour neutraliser ces intrus

toxiques et cela est anormal, alors que cela n’est pas le cas observé avec l’alimentation

crue-vivante.

L’alimentation cuite-morte est dénaturée, polluante et toxique pour la santé et,

conséquemment, dégénérescente pour le corps physique. De plus, elle affaisse le taux

de la vitalité, de la lucidité intellectuelle et de la performance créative. Elle détruit

graduellement, le système immunitaire et rend le corps physique vulnérable aux

maladies. Et ce qui le fait vieillir avant son temps et rend flasques ses chairs et qui,

finalement, l’assassine à coup sûr.

Alors qu’une alimentation crue-vivante est énergétique, régénérative,

vivifiante, tonifiante, curative pour la santé physique. Elle rajeunit conséquemment

l’organisme humain, augmentant conséquemment en flèche la lucidité intellectuelle

et la créativité imaginative.

L’alimentation cuite-morte est un processus culinaire homicide allant à

l’encontre d’une métabolisation normale digestive des aliments crus-vivants devant

journellement vivifier et régénérer le système cellulaire du corps physique.

4

De par son ignorance de ces principes élémentaires, la vision de la Médecine

Traditionnelle est presque exclusivement tournée vers le principe de la prothèse :

1- prothèse chimique : pilules chimiques pour tenter de suppléer aux fonctions

défaillantes du corps

2- prothèse psychologique : avec des pilules chimiques utilisées comme des

tranquillisants, des somnifères, etc. Sans compter leurs effets secondaires, qui

soulagent passagèrement comme les drogues de la rue, qui engourdissent et qui

produisent des défaillances intellectuelles, donc des pertes de concentration ou de

lucidité pour l’étude, le travail ou la créativité, et ce qui diminue ainsi la conscience de

vie. Donc, des pertes de performance intellectuelle et de lucidité résultant en une

médiocrisation de l’esprit de l’individu, tout en l’intoxiquant de molécules étrangères

non-originelles à la vie.

3- Prothèse matérielle : cœur artificiel, etc.

4- Prothèse génétique : répression des symptômes pour amener au silence des

organes défectueux.

Tous les animaux se nourrissent d’aliments crus-vivants, à part l’animal humain

qui fait la cuisson destructive de ses aliments crus-vivants ignorant que, ce faisant, il

se produit des effets biochimiques néfastes. Conséquemment, ce sont des substances

dénaturées, «étrangères» à La Nature, qui résultent ainsi des produits dérivés de la

cuisson et qui n’existent donc pas dans aucun aliment cru naturel. L’Humain ne voit

pas à l’œil nu, ce qui se passe à l’échelle moléculaire suite à la cuisson de ses

aliments. Une matière nouvelle dénaturée a donc remplacé la précédente originelle,

la chaleur élevée ayant fait entrer en collision un nombre incalculable de molécules en

présence. Conséquemment, elles formeront des molécules nocives d’une espèce

chimique étrangère dont la «programmation digestive» de l’organisme ne reconnaîtra

pas ces milliards de substances anormales devant être digestivement métabolisées

pour ne pas que le corps physique en crève. Et reste, que les produits dénaturés les

plus toxiques n’apparaissent pas nécessairement aux températures les plus élevées.

Sont ainsi très cancérigènes dans l’alimentation cuite dénaturée : les

édulcorants, les colorants, les émulsionnants, les adjuvants, les artifices culinaires.

Mais les industries agroalimentaires, agrochimiques ou pharmacologiques, toutes trois

occultement associées derrière dans l’anonymat de leur concours complice, n’ont

«d’intérêts économiques» à promouvoir le cru-vivant biologique originel. C’est que

de phénoménaux profits sont réalisés à travers un processus chimique alimentaire qui

détruit progressivement la santé, pour ensuite chercher à faire perdurer la vie des

humains malades avec une pharmacopée chimique qui ne peut réussir à curativement

les guérir. Ça, ils le savent et ils ne dévoileront pas non plus les méfaits de la cuisson

meurtrière…

5

La cuisson a donc des effets néfastes sur l’organisme humain en minant

progressivement les artères avec toute la lenteur insidieuse de l’artériosclérose qui

s’installe graduellement par exemple, et rendu au seuil de la mort on «interprètera

erratiquement» que ce qui l’a produit fut la vie émotionnellement douloureuse de

l’individu, le surmenage dû au travail, l’effet naturel de la vieillesse et, finalement,

la fatalité de la vie. Comment l’être humain ordinaire, vacant à survivre dans

l’improvisation psychologique de la vie, peut-il alors «deviner» ce que les

scientifiques «refusent» de voir ?

Lorsque l’on mange cru-vivant, plein de maladies ne surviennent pas.

Par exemple plus de rhume, de toux, de sinusites, de congestion des muqueuses,

d’éternuements, de reniflements répétés, de mauvaise haleine à cause d’une digestion

toxique incomplétée, plus de selles acides, d’incontinences, d’hémorroïdes et autres,

mais un organisme humain qui devient de plus en plus en bon état. Pour le tester par la

suite, il ne s’agit que de faiblir en volonté et absorber, le soir, une boisson gazeuse et

pour le lendemain matin de se voir expectorer des mucus par le nez et devoir ainsi se

moucher démontrant par là une réaction normale du corps à l’évacuation de cette

toxicité. Corolairement, la cuisson des aliments crus-vivants provoque une pollution

par l’intérieur du corps, donc d’innombrables réactions chimiques toxiques qui font

entrer dans le corps une pléthore de molécules hétéroclites nocives dont on ne peut

prévoir les effets néfastes.

Mais surviendront subtilement sur l’écran-mental psychique, des mémoires

anciennes liées à des plaisirs alimentaires gustatifs issus des plats de cuisson du passé

et qui vous «harcèleront mentalement» en projections imaginatives succulentes de

toutes sortes excitant alors les papilles gustatives. Ces projections seront donc

semblables aux mémoires d’aliments cuits déjà expérimentées, et il y a de bonnes

chances que vous finissiez par «casser» ou par «céder» à ces incitations mémorielles

homicides. Il faut pour ainsi dire, considérer ces pensées comme antihumaines

puisqu’elles détruisent la santé.

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Lorsque nous sortons de la domination des aliments cuits dénaturés

traditionnels, il faut s’en abstenir assez longtemps pour retrouver le plaisir normal des

aliments crus naturels originels. Cela nécessite d’abord un effort de discipline pour y

arriver, mais interviendra aussi en support la raison intelligente de discernement

intégré. Il faut lutter contre la tentation, contre la supercherie de la pensée, donc

contre le «harcèlement mental» des mémoires anciennes agissant tels des désirs

sensuels inassouvis et conséquemment sur les papilles gustatives, et de façon à se

sortir du gouffre de la maladie. Face donc aux aliments cuits dénaturés, souvent les

«bonnes intentions» perdent leur puissance originelle et la barrière instinctive ne

fonctionne plus. Donc dès que l’on cède en volonté, on devient pris au piège de la

cuisson et esclave de nouveaux plaisirs gustatifs qui tassent toute volonté pourtant

«intelligente» se dressant pour combattre. Il faut donc véritablement «se saisir» d’une

science vulgarisée de la santé, telle que la présente par exemple, pour

«intelligemment» s’opposer aux petits démons suggestifs qui cherchent à nous

«récupérer» via le phénomène de la pensée.

La drogue provoque une jouissance qui devient disponible par «l’artifice» et

c’est exactement comme le fait la jouissance gastronomique de l’aliment de cuisson.

L’alimentation crue-vivante est rédemptrice de la santé du corps physique en

quelque sorte, et la démarche est issue de prises-de-conscience qui opposent

«l’intelligence de la raison» aux plaisirs dégénérescents. Remettre en question notre

façon de se nourrir signifie de risquer de perdre certains plaisirs du palais, alors que

différents plaisirs charnels, tirés des 5 sens, seront souvent compensatoires pour les

carences encourues, c’est-à-dire les autres besoins demeurés inassouvis. Les différents

plaisirs sont le moteur de l’existence et vont au hasard des «illusions des sens», même

s’ils sont destructeurs. Les victimes de l’art culinaire se comptent par milliards…

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Avec l’alimentation crue vivante :

a) les organes internes demeurent silencieux, donc pas de gargouillements

intestinaux, pas de ballonnements ventraux, pas de rots, pas de pets, pas de symptômes

gazeux démontrant une mal-digestion toxique, ni lourdeurs, ni malaises, ni haleine

fétide de fonds de poubelle.

b) non plus, d’essoufflements dus à des palpitations d’un cœur qui bât à régime

trop élevé parce que les divers organes sont sursollicités à devoir absolument achever

une digestion toxique anormale

c) ni d’altération de la lucidité intellectuelle puisqu’une somnolence et une

perte de conscience s’installent lorsque l’organisme, sursollicité par la nécessité d’une

digestion toxique, doit débrancher au maximum ses activités mentales d’éveil pour

amener le corps en sommeil pour compléter ainsi la digestion. Ceci, de façon à utiliser

toutes ses énergies vitales pour le support d’un travail digestif excessif à accomplir à

cause de l’ingestion d’aliments de cuisson, sinon surviendra une indigestion aigüe et

le corps va en mourir. Et c’est à cause de la destruction de l’activité vitale des

enzymes alimentaires qui étaient contenues dans les aliments crus-vivants puisque

celles-ci sont mortes à la cuisson, alors qu’au contraire l’alimentation crue-vivante

enzymatique complète une saine digestion et pour le système cellulaire d’entretenir

une vivacité enthousiaste et, conséquemment, survient une lucidité créative d’esprit

dont le corps se réjouit de son état de bien-être permanent.

Il est presque impossible à la science actuelle de savoir exactement tout ce qui

se réalise phénoménalement dans l’organisme, car sa complexité biologique dépasse

l’entendement actuel. Quant à la nutrition crue vivante, il a été répertorié qu’elle

contient plus de 2000 types d’enzymes alimentaires en service qui sont, par

elles-mêmes, des phénomènes particuliers incompris. Le microscope fait découvrir

chaque jour des mécanismes complexes aux propriétés curatives inattendues des

aliments crus-vivants biologiques, ceux-ci comportant donc une science stratégique

inhérente d’action synergique curative qui épate phénoménalement.

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Mais survient aussi le phénomène du renoncement du système immunitaire :

C’est dans la nature des protéines du lait par exemple, de mettre en échec le

système digestif de l’organisme humain. Donc, des protéines produites par la vache

ou autres mammifères risquent de passer à travers la paroi intestinale pour entrer

dans le sang et tout en conservant leur structure moléculaire, donc étrangère à

l’organisme humain. Ainsi le lait et tous produits laitiers sont destructeurs quant à la

santé humaine et n’oubliez pas qu’après 6 ans d’âge, le corps physique ne produit plus

les enzymes lactiques nécessaires à la digestion du lait maternel et pas étonnant que le

lait cru de vache ne soit pas naturellement métabolisé.

Dans le cas des aliments dénaturés par la cuisson, les protéines déformées ou

liées à d’autres composants de même nature pourront aussi échapper à la vigilance du

système digestif et passer à travers la paroi intestinale pour entrer finalement dans le

sang et dans nos organes en conservant des structures étrangères. On connaît les

intolérances au lait ou au gluten du blé par exemple, mais elles finissent par ne pas

durer longtemps, car au bout d’un certain temps l’organisme RENONCE À

RÉAGIR. C’est que le système immunologique entre dans ce que les spécialistes

appellent «un état de tolérance» et c’est le moment où les mamans se réjouissent,

à tort, que le bébé s’est «adapté» au lait de vache. Mais en réalité, c’est là que

commence le danger, car l’organisme NE SE DÉFEND PLUS et les protéines

étrangères peuvent désormais s’infiltrer partout dans le corps et créer des maladies.

Elles pourront alors se dissoudre dans les graisses, se fixer sur les membranes

cellulaires, entrer dans le plasma, aller traquer l’ADN dans le noyau de la cellule.

Un mot en passant sur l’alimentation carnée

Tuant donc massivement ces animaux pour nous en alimenter d’une façon

barbare, nous écourtons drastiquement leur espérance de vie, mais aussi sans se douter

que nous écourtons la nôtre. Ainsi nous les humains, si nous n’avons rien de carnivore,

d’herbivore, de granivore, n’étant pas omnivore non plus, des études scientifiques

(Désiré Mérien, Éditions Nature et vie) ont démontré que nous sommes des

crudivores frugivores végétaliens de nature.

(Genèse 1) : «Je vous donne, par toute la Terre, toutes les plantes qui portent

leurs semences et tous les arbres qui ont des fruits portant semences. Ils seront,

en abondance, votre nourriture !».

9

Mot de la fin

Ces quelques pages ne vous présentent qu’un avant-gout de ce que vous pourriez

découvrir dans le 7ième livre de l’auteur Armand Desroches :

L’humain : un crudivore frugivore végétalien de nature

http://www.use-quebec.ca

REF.: https://www.use-quebec.ca/download/Capsule-psy-64.pdf

mercredi 11 janvier 2012

Nous produisons plus d’aliments que nous ne pouvons en manger

NOURRIR SON MONDE......
 
  À l’échelle mondiale, nous produisons plus d’aliments que nous ne pouvons en manger. Malgré cela, des millions de personnes ne mangent pas à leur faim.La nourriture est mal réparti sur le globe et mal distribuer ,tout en créant une rareté qui fait augmenter son prix! Or, il est possible d’alléger ce fardeau en misant sur la sensibilisation et l'entraide. Nourrir, mais avant tout instruire, voilà le défi qu’il faut relever. C'est ce que démontrent, chaque jour, Jean-François Archambault (Montréal), Joyce Rock (Vancouver) et les déchétariens de la région de Montréal.


REF.:   Artisans du changement III,