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jeudi 28 juillet 2016

Cancer : La cie Merck encore dans la mire !




On nous le répète depuis fort longtemps : il faut appliquer de la crème solaire afin de se protéger du cancer et du vieillissement prématuré de la peau. Or, des études réalisées par des chercheurs démontrent que les ingrédients contenus dans les produits solaires seraient néfastes, voire même dangereux pour notre santé. Que faire dans ce cas? La question se pose !

Une récente étude de l’Environmental Working Group (EWG) affirme que plus de 80 % des écrans solaires ne respectent pas leur promesse et sont dangereux pour la santé. Pour arriver à cette statistique, l’organisme dédié à la protection de la santé, mais aussi de l’environnement a analysé 1700 produits disponibles aux États-Unis et au Canada.
Certains produits ressortent comme étant plus dangereux, en raison notamment de l’utilisation de l’oxybenzone - un perturbateur endocrinien- et du retinyl palmitate - une forme de vitamine A- instable au soleil. Cependant, On ne peut pas dire que ces produits sont toxiques, puisque Santé Canada n'a pas émis d'avis quant à un de ces ingrédients là.Oui surtout si les Lobby des pharmaceutiques empêche les résultats de sortir au grand jour !
 Toutefois, ces produits (oxybenzone et rétinol de palmitate) causent des controverses et on peut facilement les éviter en choisissant des crèmes solaire qui n'en contiennent pas.»
Des compagnies proposent également des crèmes dont le facteur de protection solaire (FPS) est supérieur à 70. Or, selon l'EWG, aucune étude ne prouve qu’un FPS supérieur à 50 offre une réelle protection supplémentaire. Pire encore, cela peut augmenter le sentiment de sécurité des gens, un FPS plus élevé ne veut pas dire qu'on est mieux protégé . Un FPS de 30 suffit pour la majorité des gens. Pour les gens qui souffrent de problèmes particuliers, on peut se rendre à 50.» Un FPS supérieur à 60 peut devenir dangereux . Les gens croient qu'ils peuvent en mettre une fois seulement et qu'ils sont protégés pour toute la journée. Or, il faut en appliquer aux deux heures, peu importe le FPS utilisé.
Certains produits de marque Neutrogena, Banana Boat et Coppertone, ,sont notamment visés par l'étude réalisée par l'EWG.Un exemple, la crème Coppertone sport approuvée par l'association Canadienne de dermatologie contiennent les ingrédiens douteux comme le retinyl palmitate et de l’oxybenzone,tous deux produit par la cie Schering-Plough Canada inc une filiale de la cie a scandale Merck & Co. inc.
Merck , n'est pas la pour sauver des vies,mais pour faire de l'argent,c'est de la pure médiocrité !

La meilleure marque tablette chez le pharmacien est Hawaiian tropic qui est reconnue aussi par l'association Canadienne de dermatologie et fabriqué par la cie responsable Edgewell personal care Canada.

Nota: Merck était impliqué dans des scandales comme le médicament Vioxx, elle a décidé de verser 4,85 milliards USD pour mettre un terme aux poursuites judiciaires4.Cela après que la Food and Drug Administration ait estimé que le Vioxx est responsable de 88 000 à 139 000 crises cardiaques14,dont 27 785 décès, entre 1999 et 200315.Et pour la Gardasil : selon l'étude clinique de phase III approuvée aux États-Unis par la Food and Drug Administration (FDA), le vaccin Gardasil augmenterait selon cette étude le risque d'avoir des lésions précancéreuses, et donc un risque de développer le cancer, et a donc dans ce cas l'effet inverse de celui voulu5.Des jeunes filles ont développé, à la suite de leur vaccination, une maladie auto-immune comme la sclérose en plaques (SEP), ou le lupus.

Et tous ces médicaments ont été commercialisés même si en laboratoire ,des sujets cobaye en mourraient !
Merck est  financièrement performant mais socialement parlant extrêmement irresponsable !$! C'est ça , la médiocrité $$$




Source.: 

lundi 16 novembre 2015

Comité des 300 : la SEULE hiérarchie de pouvoir organisée du monde qui transcende tous les gouvernements

Le Comité des 300 : révélations sur la hiérarchie des conspirateurs
                                                                                                                                                      de Vlad Petreanu

Nous entendons souvent qu’ « ils » font telle ou telle chose. « Ils » semblent littéralement capables de se sortir même des crimes les plus odieux. „Ils” augmentent les impôts, ils envoient nos fils et nos filles mourir dans des guerres qui n’apportent aucun gain, ils semblent être intangibles, invisibles, très nébuleux lorsqu’il faut prendre des mesures à « leur » égard. Personne ne semble capable des « les » identifier.
Certainement, un nombre appréciable d’entre nous sont conscients du fait que les gens qui nous dirigent ne sont pas ceux qui se trouvent vraiment aux commande des événements politiques et économiques… 

Le fait qu’il s’agisse d’une réelle conspiration ouverte contre Dieu et l’homme, qui inclut l’esclavage de la plupart des êtres humains qui ont survécu aux guerres, aux épidémies et aux génocides, n’est pas très bien caché. Dans la communauté de l’information on apprend que la façon la plus certaine de cacher quelque chose est de la mettre en pleine vue.

Le gouvernement parallèle secret d’un niveau supérieur n’agit pas dans des caves humides et des chambres souterraines secrètes. Ces gens agissent en pleine lumière. Ils sont les serviteurs du Gouvernement Unique du Monde dans le Nouvel Ordre Mondial. De même que le violeur qui arrête la voiture pour emmener sa victime au bord de la route, eux non plus ne semblent pas être des monstres, bien qu’ils le soient. Les vrais monstres portent des costumes élégants et vont au travail dans des limousines. Ils paraissent à la télé sous les aspects les plus « innocents ». Mais nous devons être conscients du fait que rien de ce qu’ils font n’est innocent.

Qui sont les conspirateurs qui servent le grand et le tout puissant Comité des Trois Cent, et quel est leur but final?
Ceux de nos concitoyens les mieux informés savent qu’il existe une conspiration qui fonctionne sous diverses dénominations : les Illuminés, la Franc-maçonnerie, la Table Ronde, le Groupe Milner...

Le problème est que les informations vraiment importantes sur les activités de trahison des membres du gouvernement invisible sont très difficile à trouver. Ce qui fait que le Comité soit occulté est l’incroyable manie du secret qui règne autour de lui. Aucun organe de mass média n’a jamais mentionné cette hiérarchie des conspirateurs, en conséquence, les gens doutent de son existence.

Le Comité des 300 est la SEULE hiérarchie de pouvoir organisée du monde qui transcende tous les gouvernements et les individus, bien qu’ils semblent puissants et sûrs d’eux-mêmes. Il couvre les finances, le domaine de la défense et les partis politiques de toutes les couleurs et orientations. Il n’existe aucune entité que le Comité ne puisse pas détecter et contrôler, y compris les religions organisées du monde. Et la Couronne Britannique est son point de contrôle.

Leur but final est de faire fusionner tous les pays dans un Nouvel Ordre Mondial sans Dieu, avec un Gouvernement Mondial Unique, qui poussera le monde en arrière, dans des conditions beaucoup plus difficiles que celles du Moyen Âge.

Il y a longtemps, le Comité des 300 avait décrété qu’il existera un monde plus petit – beaucoup plus petit – et meilleur, en conformité avec leur vision sur un meilleur monde. Les myriades de consommateurs inutiles qui dévorent les ressources naturelles déclinantes devraient être décimées. Le progrès industriel soutient la croissance démographique. Par conséquent, le commandement de croître et de nous multiplier pour gouverner la Terre, trouvé dans la Genèse, devrait être déconsidéré.

Cette mesure a impliqué une attaque contre le christianisme, sa désintégration lente, mais certaine, des nations-états industrialisées, la destruction de centaines de millions de gens, dénommés par le Comité des 300 „surplus démographique” et l’éloignement de tout leader qui ose se dresser contre dans la voie de la planification globale du Comité pour atteindre les objectifs assumés.

Il existe au moins 40 „bureaux de branche” connus du Comité des 300. Une fois que nous aurons étudié ce système, il nous sera plus simple de comprendre comment un seul corps conspiratif central peut agir avec tant de succès et pourquoi aucun pouvoir sur la Terre ne peut rejeter l’attaque contre les bases les plus élémentaires d’un monde civilisé et progressiste, basé sur la liberté de l’individu. 
 

La guerre perpétuelle planifier au CFR (Council for Foreign Relations) bien avant le 11 septembre 2001


CFR, l’organisation qui contrôle la politique mondiale
(Conseil pour des Relations Externes (CFR - Council for Foreign Relations))

"CFR est sur le point de devenir un organe de ce que C.Wright Mills nommait "L’Élite du pouvoir" – un groupe d’hommes, ayant des intérêts et des conceptions similaires, qui dirigent le cours des événements se trouvant sur des positions intangibles, situées derrière la scène." - Charles Kraft, membre du CFR et de la Commission Trilatérale

La plus part des officiels élus par vote, dans tous les pays démocratiques du monde, viennent et partent. Mais les membres de certains groupements comme la Table Ronde, le groupe Bilderberg, la Commission Trilatérale, le Conseil pour des Relations Externes (CFR - Council for Foreign Relations) n’ont pas besoin d’être élus. Ils demeurent au pouvoir quelle que soit la couleur politique de ceux qui gagnent les élections officielles. Ils n’ont pas besoin d’être élus parce qu’ils se cooptent entre eux, selon le système fermé des sociétés secrètes. Se trouvant derrière la scène, ils manoeuvrent les choses dans des buts totalement différents par rapport aux besoins de la masse des gens sur le dos desquels ils vivent. Ils décident de la guerre et de la paix, ils établissent qui sera le président d’un pays, ils font des lois qui permettent que les multinationales qui les financent obtiennent des profits gigantesques. Ce n’est qu’une petite partie, celle que l’on peut voir, du Gouvernement mondial. Ils se rencontrent quelques fois par an et leurs discussions sont secrètes. La presse officielle qui leur est asservie, parle très peu ou pas du tout de leurs rencontres. Formés des banquiers, d’avocats, d’hommes d’affaires devenus ensuite des politiciens avec de l’influence, ces groupements justifient leur existence, prenant le nom de "think tank" -  clubs ou groupements de débats.

Les membres du CFR conduisent les USA

L’influence du CFR dans la politique américaine est si grande, que Servando Gonzalez, l’auteur du livre "The Nuclear Deception: Nikita Khrushchev and the Cuban Missile Crisis" écrivait à propos des élections de 2004: " lequel des membres du CFR les américains vont élire  et qui contrôlera le gouvernement des USA pendant les quatre ans à venir : ceux qui agissent sous le masque du parti républicain ou ceux du parti démocrate ?"

Les buts officiels de cette organisation ne sont que des prétextes pour conduire de l’ombre: "promouvoir et faciliter la compréhension de la politique extérieure et du rôle des USA dans le monde" et "découvrir et former une nouvelle génération de leaders dans la politique extérieure". En ce qui concerne le deuxième but, il est atteint par le "Programme d’Études David Rockefeller". Une fois choisis et formés dans l’esprit du CFR, les jeunes sont propulsés, toujours avec le support de l’organisation, dans des positions clef dans la politique et les affaires. De même que Skull&Bones, qui recrute ses membres des meilleurs étudiants de l’Université de Yale, le CFR a d’étroites relations avec l’Université de Princeton.

Le Conseil pour des Relations Externes (CFR) a officiellement pris naissance en 1921 à New York, presque simultanément avec son frère jumeau de l’autre côté de l’océan. On dit frère jumeau parce que l’Institut Royal pour des Affaires Internationales – RIIA – est en Grande Bretagne l’autre bras à travers lequel l’organisation de la Table Ronde agit dans le domaine de la politique extérieure.

Le CFR a pris naissance à partir d’un groupe de travail particulier et "discret" (selon sa propre description) constitué en juin 1918 sous la direction d’Elihu Root – l’avocat du milliardaire J.P.Morgan et du colonel Edward House – bon ami et principal conseiller du président des USA, Woodrow Wilson. Ce groupe, nommé "The inquiry" (L’Investigation) s’est constitué autour de l’Université de Princeton où Woodrow Wilson avait longtemps été président. Leur mission était de synthétiser les options que le monde avait – spécialement les USA, après la victoire des Alliés dans la première guerre mondiale. Suite à leur travail ils en est résulté plus de 2500 documents qui analysaient les facteurs économiques, politiques et sociaux qui décrivaient le tableau mondial de l’après-guerre. Ainsi, la stratégie officielle des USA présentée par le président à la conférence de paix en France en 1919 a été en réalité le point de vue de ce groupe. Le document, intitulé "Les 14 points" contient en lui les germes de la globalisation, proposant d’"éloigner les barrières économiques et commerciales entre toutes les nations" et "la constitution d’une association générale des nations".

Une autre organisation occulte : la Table Ronde

Ce qu’on connaît moins est le fait qu’Edward House s’est servi de cette opportunité pour rencontrer à Paris des membres d’une autre organisation extrêmement influente : la Table Ronde (The Round table). Carrol Quigley dans l’ouvrage "Tragedy and Hope" déclare : "À la fin de la guerre il était clair que l’organisation du système devait être élargie. La tâche a été confiée à Lionel Curtis qui a fondé en Angleterre et dans chaque pays du Common Wealth une organisation rideau pour chaque Groupe local de la Table Ronde. En Angleterre, cette organisation paravent était le "Royal Institute of International Affairs", fondé à Londres sur le noyau de la Table Ronde. À New York il était connu comme Council on Foreign Relations, et était un paravent pour J.P. Morgan and Company. En fait, les plans originaux du Royal Institute of International Affairs et du  Council on Foreign Relations sont nés à Paris.”

À la fin du XIX-ème siècle et au début du XX-ème siècle sont nées de nombreuses sociétés et associations, fondations de charité ou groupes de débat – ayant toutes derrières elles des sociétés sécrètes. La Table Ronde et ses organisations paravent ont pris naissance dans les rêves du maçon et milliardaires Cecil Rhodes. Fondateur et membre du groupement secret "Society of the Elect", il avait accumulé une fortune considérable en Afrique dans les mines de diamants et il était puissamment impliqué dans la politique. En Afrique il était un personnage si connu et influent que la Rhodésie – à présent connu comme Zimbabwe –, avait été nommée d’après son nom. En 1877, Rhodes écrivait dans ses mémoires: "Pourquoi ne pas former une société secrète qui ait un seul objectif : perpétuer l’Empire britannique en soumettant tout le monde non civilisé au gouvernement britannique et par la récupération des États Unis pour faire un grand empire de la race anglo-saxonne". "La Table Ronde" est apparue en 1909 ayant pour but "la création d’un gouvernement mondial fédéral". Dans son testament, Cecil Rhodes avait sollicité qu’une partie de sa fortune immense soit destinée à financer ce desideratum. Parmi les modalités utilisées se trouve aussi la création des bourses, et ici il faut dire que Bill Clinton, l’ex-président des USA a "bénéficié" d’une bourse Rhodes.

La plus grande influence dans la constitution du CFR a eu lieu à l’époque de J. P. Morgan qui a financé tout le processus. J.P. Morgan est connu comme un important financier, banquier, collectionneur d’art et philanthrope, mais surtout pour la constitution en 1892 du méga groupe mondial General Electric. Dans le CFR étaient impliquées de nombreuses personnes de l’entourage de J.P.Morgan : avocats, banquiers et ses partenaires d’affaires, ainsi que des personnes clef de ses compagnies. Elihu Root, celui qui a été nommé président du CFR était son avocat.

La famille Rockefeller et le CFR

À côté des intérêts de Morgan, un rôle important est tenu dans le CFR par la famille Rockefeller. Rockefeller actif dans le domaine du pétrole (Standard Oil Company, aujourd’hui Exxon Mobil a longtemps eu le monopole sur ce marché), le domaine bancaire, mais a aussi de nombreuses fondations, détenant aussi des bâtiments gigantesques à New York et même une université. John D. Rockeffeler a donné d’importantes sommes d’argent pour la constitution du CFR et le fait encore à présent. Son successeur, David Rockeffeler est devenu en 1949 le plus jeune directeur que le CFR ait jamais eu, arrivant peu de temps après son président, maintenant il est son président honoraire. Difficile de croire que des gens d’affaires et des corporations tellement orientées vers le gain dépensent des sommes gigantesques seulement pour faciliter de simples débats.

À côté de ces deux méga corporations, d’autres multinationales font aujourd’hui partie du CFR  mais aussi de la section des sociétés situées au top des plus riches et des plus influentes du monde : Chevron, IBM, Merck, Boeing, Citigroup, Shell Oil, Time Warner, Avon Products, Bechtel, Coca Cola, Pepsi Cola, Ford Motor, Hewlett-Packard, Johnson & Johnson, Levi Strauss & Co., Procter & Gamble, Xerox, Yahoo.

Un groupement formé des présidents et de secrétaires d’État, mais "non impliqué dans la création de la politique des USA"

Dans le CFR se trouvent à présent inscrits 3700 membres élus à vie. Le rituel pour que quelqu’un devienne membre ressemble à celui de la maçonnerie. Le "candidat" doit être proposé par un des membres perpétuel, la demande de celui-ci étant obligatoirement accompagnée par des lettres de recommandation de la part de trois autres membres. Nous avons donc à faire avec un groupement fermé et élitiste. Parmi les membres se trouvent des noms connus : des conseillers, des secrétaires d’état, des militaires, des directeurs et des officiers de la CIA, des banquiers, des professeurs, des gens de la presse et même des acteurs. Bon nombre d’entre eux sont devenus des personnes influentes justement grâce à leur appartenance au CFR.

Presque tous les présidents des USA après la deuxième guerre mondiale ont été des membres du CFR : Herbert Hoover, Dwight Eisenhower, Richard Nixon, Gerald Ford, Jimmy Carter, George Bush Senior et Bill Clinton. Il en est de même avec les plus influentes personnes du Département d’État des USA. Elihu Root a même été secrétaire d’état pendant le gouvernement de Théodore Roosevelt.

Une étude réalisée par Laurence Shoup et William Minter a montré que des 502 officiels que le gouvernement des USA a eu entre 1945 et 1972, plus de la moitié ont été des membres du CFR.

À présent, sur la liste des membres du CFR nous retrouvons:
-      Madeleine Albright - Secrétaire  d’état sous Clinton (et la première femme dans cette fonction),
-      Colin Powell – Secrétaire d’État l’administration de Bush jusqu’en 2005 (et le premier afro-américain dans cette fonction). Chef de l’État Major et chef de l’armée américaine pendant la Guerre du Golfe.
-      Henry Kissinger – conseiller pour des problèmes de sécurité nationale et secrétaire d’État sous l’administration de Nixon, secrétaire d’État sous l’administration de Ford, impliqué dans la guerre du Vietnam. Il a reçu le prix Nobel de la paix grâce à sa contribution aux négociations concernant le cessez-le-feu au Vietnam, pourtant celles-ci ont été un échec, la guerre continuant encore quelques années. C’est toujours lui qui a joué un rôle clef dans la campagne de bombardement du Cambodge organisée en secret par les USA, qui a conduit à une sanglante guerre civile.
-      Dick Chenney – vice-président des USA, accusé à présent d’avoir "trompé" les citoyens américains pour justifier la guerre en Irak et d’avoir menacé l’Iran avec une offensive, franchissant ainsi les intérêts de la sécurité nationale des États Unis.
-      Condolezza Rice – l’actuel secrétaire d’État américain.
-      Donald Rumsfeld – conseiller du président Nixon, secrétaire à la défense pendant l’administration de Gérald Ford et pendant l’administration de Bush, ambassadeur des USA à l’OTAN.  Il est intéressant de remarquer Donald Rumsfeld a sollicité que son nom soit effacé de la liste actuelle des membres du CFR.
-      Paul Wolfowitz – ex secrétaire à la défense des USA et jusqu’en mai 2005 président de la Banque Mondiale. La stratégie de sécurité nationale construite par Paul Wolfowitz en 2000 a promu les idées d’un autre think tank formé des membres du CFR, celles du : “Projet pour le Nouveau Siècle Américain”. À côté de Dick Chenney et Donald Rumsfeld, Wolfowitz a établi : la dimension du budget militaire américain à 100 milliards de dollars, le refus de l’utilisation de l’espace cosmique par d’autres nations et l’adoption d’une politique militaire agressive qui permet l’attaque préventive des autres pays sur tout le globe. Il est spécifié dans ces documents: "le processus de la transformation sera probablement long en l’absence d’événements catastrophiques et catalyseurs, comme un nouveau Peal Harbor". La guerre perpétuelle à laquelle ont été conduits les américains et à côté d’eux le monde entier, est le résultat des plans construits dans les laboratoires du CFR bien avant le 11 septembre 2001. Les soi-disantes attaques du WTC ont ensuite offert le prétexte nécessaire pour expliquer l’implémentation de certains plans déjà existants.

Compte tenu de ce qu’on a énuméré plus haut, le CFR continue à soutenir qu’il "n’est pas une organisation engagée dans la création de la politique extérieure des USA".

Le but déclaré, la manipulation de l’opinion publique

Une autre direction clef de ce groupement dévoilée par celui qui a longtemps été son chef - Elihu Root, est "le guidage de l’opinion publique américaine". Du fait que le terme utilisé initialement était trop explicite, il a été remplacé en 1970 par "l’information de l’opinion publique américaine". Quel que soit son nom, la manipulation de l’opinion publique par le CFR est évidente. Parmi ses membres nous trouvons des personnages placés dans des positions clés dans le cadre de nombreuses publications : Washington Post, Association of American Publishers, Business Week, Forbes, USA Today, Wall Street Journal, Los Angeles Times, New York Times, National Geographic, Newsweek ou les canaux de télévision comme ABC, CBS, CNN, Fox News, NBC, RCA et Walt Disney Company. Depuis peut de temps l’actrice Angelina Jolie a été accepté comme membre du CFR.

Arthur Schelsinger écrivait dans un livre sur le président Kennedy: "Cette communauté (CFR, n.n.) est le cœur même de l’administration américaine. Ses divinités préférées sont Henry Stimson et Elihu Root. Ses organisations sont les fondations Rockefeller, Ford et Carnegie. Ses publications sont le New York Times et le Foreign Affairs".  

Ce qu’on a énuméré ci-dessus serait suffisant pour susciter plusieurs points d’interrogation sur cette organisation. Ses membres disent qu’ils se rencontrent seulement pour débattre des problèmes majeurs liés aux affaires extérieures des USA. À première vue rien de plus naturel. Tout le monde a le droit de débattre du sujet qu’il souhaite. Mais nous parlons ici de personnes qui détiennent des positions au sommet de la politique mondiale. Leurs décisions influencent la vie de millions de gens. Sous l’égide du CFR ces personnes se rencontrent en secret, reçoivent des finances de la part des grandes sociétés et comme nous l’avons vu elles ne se limitent à de simples débats. Le résultat de leurs rencontres est concrétisé dans des stratégies nationales ou internationales d’action, qui le plus souvent établissent où et quand sera la paix ou la guerre.

Source.:

lundi 6 juillet 2015

Le disease mongering ou comment inventer des maladies pour les pharmaceutiques

"L’envers de la pilule" par Jean-Claude St-Onge. Le façonnage des maladies: principal moteur du commerce pharmaceutique

L’émission "Indicatif présent" de Radio Canada a réalisé en novembre 2004 une interview avec Jean-Claude St-Onge, auteur du livre 1672201482.jpgL'envers de la pilule. Les dessous de l'industrie pharmaceutique, paru en 2004 aux éditions Ecosociété. Le lien vers l’interview est à la fin de cette page.
Et voici une présentation du livre, avec des exemples de disease mongering. Ce procédé très lucratif consiste à inventer des maladies, par exemple en médicalisant des aspects physiologiques tels la ménopause. Ou en présentant des traits de personnalité tels la timidité comme des pathologies handicapantes. Quel parent résistera à une publicité disant que la timidité - érigée en "phobie sociale" ou "anxiété sociale" - risque de gâcher la vie de son enfant, alors que "des solutions existent" ?


Jean-Claude Saint-Onge professeur de philosophie au collège Lionel-Groulx est l'auteur de L'envers de la pilule. Les dessous de l'industrie pharmaceutique.

La part du budget de la santé consacré aux médicaments augmente de façon incroyable. Elle représente le double de l'ensemble des dépenses de santé.

«Les compagnies pharmaceutiques font beaucoup de publicité pour vendre le plus de médicaments possible. Elles médicalisent les évènements normaux de la vie d'un individu», explique le professeur. «Par exemple, on a redéfini la timidité comme phobie sociale, et on soigne maintenant la timidité chez les jeunes avec des antidépresseurs. De sorte qu'au Canada, la consommation d'antidépresseurs chez les 6 à 12 ans a augmenté de 142 % en 4 ans.»

L'industrie pharmaceutique est fleurissante depuis les années 1990. «Il y a énormément de concurrence à l'intérieur de l'industrie pharmaceutique. On essaie donc de maximiser les profits en mettant constamment en marché de nouveaux médicaments pour chaque petits nouveaux malaises», résume Jean-Claude Saint-Onge.
Les succès de l’industrie pharmaceutique ne doivent pas nous fermer les yeux sur des pratiques devenues injustifiables. Que faut-il penser quand nous apprenons qu’un fabricant:
  • supprime volontairement les données sur les effets indésirables de son produit ou embellit les résultats d’une étude; - continue de commercialiser un produit qu’il sait à l’origine de nombreux décès;
  • tente de bâillonner des chercheurs dont les découvertes mettent en question l’efficacité et la sécurité de son médicament; - verse le prix fort à des médecins et des pharmaciens pour faire la promotion d’un produit;
  • et engrange, bien sûr, chaque année des milliards de profits sans payer sa juste part d’impôts?

La situation est d’autant plus inquiétante que le retrait de produits potentiellement dangereux est en hausse depuis les années 1980 et 1990 et que la part des budgets consacrée au remboursement de médicaments est en train d’entamer sérieusement la portion qui reste pour payer médecins et infirmières. À petites doses, on finit par digérer ces faits. Mais, mis bout à bout, la pilule devient difficile à avaler.

Dans L’envers de la pilule, nouvelle édition revue et augmentée, J.-Claude St-Onge dresse un portrait aussi clair qu’inquiétant de l’industrie pharmaceutique et de notre rapport au médicament.

De sa plume cynique et alerte, il présente des analyses plus affolantes les unes que les autres: de l’invention de pathologies aux essais cliniques en passant par les vitamines, le Vioxx, le Prozac et autres... Il nous guide au sein de l’empire du médicament et de ses fabricants où la surconsommation et la rentabilité sont reines. 

À l’heure où le Québec laisse de plus en plus de place au privé dans notre système de santé, J.-Claude St-Onge montre avec éloquence que les moyens financiers pour soigner la population ne sont pas entre les bonnes mains...

«Une recherche très fouillée qui aide à comprendre comment des cas comme celui du Vioxx peuvent encore se produire au XXIe siècle.»
- Julie Gobeil, Bulletin de Santé publique

«La plume de Jean-Claude St-Onge est lapidaire. L’essayiste jette […] les bases d’une réflexion urgente et nécessaire»
- Ulysse Bergeron, Le Devoir



Source.: