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jeudi 30 septembre 2021

Agression sexuelle: la victime alléguée d’un ex-policier livre un récit poignant

 

Agression sexuelle: la victime alléguée d’un ex-policier livre un récit poignant

 

Un ex-policier de la Sûreté du Québec (SQ) est accusé d’une agression sexuelle qui serait survenue il y a plus de 30 ans à sa pourvoirie située à La Tuque.

« Monsieur est un ex-policier de la SQ, moi j’ai 16 ans. Là je me dis que de l’accuser [...] c’est comme David contre Goliath. J’ai pas de poids moi, vu que lui il a de la notoriété dans la communauté », a laissé tomber en larmes la plaignante, qui témoignait vendredi au procès de Michel Scalzo.

On ne peut identifier celle-ci en raison d’un interdit de publication qui vise à protéger son identité. 

Cette dernière a livré un récit émotif dévoilant ce qu’elle aurait subi aux mains de celui qu’elle considérait comme une sorte de « figure paternelle ». Elle a, notamment, raconté comment elle a sombré dans l’enfer des drogues et de l’alcool après les événements allégués.

Elle a porté plainte en 2019, entre autres inspirée par le mouvement #MeToo.

Demande d’aide

Elle a indiqué être entrée en contact avec lui en 1989, alors qu’elle vivait des difficultés familiales. 

« La seule et unique fois dans ma vie que j’ai demandé de l’aide, c’est à lui, et au lieu de m’aider il en a profité pour m’agresser », a difficilement articulé la femme. 

Elle a relaté que lors de cette soirée, M. Scalzo lui aurait préparé à souper et lui aurait offert du vin, qu’elle a bu. Ils ont discuté et à un moment, il lui a demandé de s’asseoir sur ses genoux. 

Mal à l’aise, elle a refusé au début, mais a fini par céder face à son insistance. Au bout d’un court laps de temps, elle a décidé d’aller se coucher, a-t-elle indiqué au juge Simon Ricard.

Mais plus tard, elle a dit s’être fait réveiller par M. Scalzo, qui était alors nu. 

« Il disait : “Laisse-toi faire, je te ferai pas mal” », a sangloté la présumée victime. 

Pas dormi de la nuit

L’accusé aurait alors agrippé ses parties génitales et ses seins, tandis que la jeune femme se serait ardemment débattue pour se sortir de son emprise. 

Il serait finalement tombé du lit après plusieurs coups de pied. 

La plaignante a ensuite affirmé qu’elle n’avait pas été capable de fermer l’œil de la nuit, de peur qu’il tente de nouveau de l’agresser. 

Le lendemain, il serait allé la reconduire en lui mentionnant de ne parler à personne de ce qui serait arrivé. 

« Je voudrais l’entendre qui s’excuse, parce que ça a vraiment “scrapé” ma vie », a mentionné la femme.On verra le 25 Octobre ?


REF.:

mercredi 14 juillet 2021

Comment un policier vous traque pour une contravention de vitesse ou d'arrêt obligatoire ?

 

 

 Comment un policier vous traque pour une contravention de vitesse ou d'arrêt obligatoire ?

Vieux truc,......mais amélioré,car aujourd'hui les auto-patrouilles scannent les voitures par numéro de licence pour vous repérer,mais aussi par les panneaux de détermination de vitesse et de caméra au feux de circulation pour les arrêts obligatoires installées a un feux de circulation ou d'arrêt stop !

Alors,la traque s'installe et l'info se transmet au policiers municipaux qui de paire avec la SQ ,se stationne dans des stationnements de stations services ou ailleurs pour regarder votre itinéaire, allez et retour de votre travail et se placer pour vous coller un billet a des points comme les arrêts stop ou les zones scolaires avec passage piétonnier.Pour ce qui est de la municipalité ,le réseau routier de la ville ajoute des one way et des dos d'âne ainsi de des pots de fleurs en ciment dans les ruelle pour vous désister a emprunter ces trajets,les zones a plantation d'arbres aux intersections,les panneaux de vitesse avec poteaux a chaque 100 pieds dans le centre de la rue rétrécissant la largeur de cette rue,sans compter les rues et ruelles désignées pétonnes pour la saisons de l'été !

Moralité,regarde en arrière pour ta sécurité,.......on sait jamais s'il n'y a pas de cons a écraser!

REF.:unmirroirçaXist.comm

 

mardi 4 février 2020

Un enquêteur du SPVM,mit sur la glace !

Un enquêteur du SPVM,mit sur la glace !

Une bonne police:

 



police, policier a l'envers des autres, policier blanchis, Polichier, politicaillerie,




REF.: Patrick Lagacé


Un message, vendredi matin, un flic : « Septimus Neverson : coupable sur toute la ligne. Tu sais qui a rendu sa capture possible ? »
J’ai échappé un « Yessss » bien senti en apprenant la condamnation de Neverson. J’avais presque oublié son procès, qui est un peu passé sous le radar ces derniers mois.
Septimus Neverson est pourtant une authentique crapule, un fou furieux : une douzaine de violations de domicile avec agression, un meurtre, trois tentatives de meurtre, une traque qui s’est étirée sur des années.
Il entrait chez les gens, exigeait argent et bijoux. Et quand ses victimes hésitaient ou résistaient, il tirait.
Neverson a frappé de 2006 à 2009, en deux vagues distinctes. La violence du suspect inquiétait la police de Montréal, qui menait l’enquête.
Mais le plus inquiétant, c’est que la police n’avait à peu près pas d’indices pour le coincer.
Pendant longtemps, la police a couru après une ombre encagoulée à l’accent anglais des Antilles.
***
En 2010, j’ai fait le récit dans La Presse de la fois où la police avait failli le coincer, dans Côte-des-Neiges. Il s’en était sorti en prenant un enfant de 10 ans en otage.
Ce fantôme que la police traquait était d’un sang-froid et d’une efficacité qui étonnaient les enquêteurs. Il agissait seul, alors que les violations de domicile avec agression sont souvent le fait de petits groupes de truands.
À l’époque, un superviseur aux crimes majeurs du SPVM m’avait dit ceci : « C’est un gars d’un calme incroyable, même dans les situations tendues. C’est le style de gars qui pourrait avoir été mercenaire : il n’y a rien à son épreuve. »
Il a fini par être attrapé, heureusement. En 2015, avec Vincent Larouche, nous avons raconté ce que nous savions de la traque qui a permis de l’arrêter à Trinité-et-Tobago.
***
Un message, vendredi matin, un flic : « Septimus Neverson : coupable sur toute la ligne… »
Je suis allé sur l’appli de La Presse. Neverson, son regard de porc frais, impassible, coiffait l’article de Louis-Samuel Perron : coupable des 54 chefs d’accusation, il risque la prison à vie. J’ai eu une pensée pour Jacques Sénécal et sa famille. M. Sénécal a été tué en 2006 par Neverson…
« … Tu sais qui a rendu sa capture possible ? »
Je savais. Je ne l’avais jamais écrit.
La police a longtemps nagé en plein mystère. Elle n’avait que quelques indices…
L’accent des Antilles, fort probablement de Trinité : une de ses victimes, qui avait parlé avec Neverson, était de Trinité. Cet accent-là était pour elle aussi reconnaissable que pour un Québécois qui entend l’accent du Lac à l’autre bout du monde.
Un autre indice : une échelle, laissée sur place lors de l’attaque de Côte-des-Neiges. Cela a mené la police dans une quincaillerie, où elle a obtenu une photo floue du suspect.
Et cet indice, capital, trouvé grâce à la minutie des techniciens de scène de crime du Service de police de Laval : sur un fil provenant d’un gant de Neverson, la police a trouvé du matériel génétique microscopique. L’ADN du tueur. Mais même cet indice débouchait sur un cul-de-sac : l’ADN du suspect ne se trouvait dans aucune base de données policière.
Quelques indices, donc. Qui ont fini par aider grandement la police. Voyez ces indices comme des dominos, prêts à tomber jusqu’à Septimus Neverson…
Mais il manquait le premier domino, celui qui allait faire tomber les autres.
En 2011, l’équipe de policiers qui traquait le fantôme Neverson s’est mise en dormance. Le suspect avait cessé de frapper. Et l’enquête n’allait nulle part.
Mais en novembre 2013, le déblocage est survenu. Quelqu’un s’est présenté dans un poste de police et il a demandé de parler à un enquêteur en particulier.
Le nom de cet enquêteur est Fayçal Djelidi.
***
Je connais Fayçal Djelidi, je ne peux pas le cacher. L’affaire de mon espionnage du SPVM en 2016, ça part de Djelidi. C’est lui qui a été injustement arrêté avec d’autres policiers en juillet 2016 sous des prétextes qui étaient si stupides et si surréalistes que la cause s’est écroulée devant les tribunaux.
Le fait que Fayçal Djelidi était en contact avec moi, journaliste à La Presse, a été utilisé comme prétexte pour le faire piéger par les affaires internes. Je l’ai dit à plusieurs reprises.
Djelidi, excellent enquêteur, a un talent particulier pour recruter des sources dans le milieu criminel. À l’époque où il œuvrait dans la lutte contre les gangs de rue, c’était une de ses grandes forces : les sources.
Je précise que Djelidi ne m’a jamais donné de secrets d’enquête. Il m’a souvent expliqué « comment ça marche », dans la rue, dans le milieu criminel, dans la police, dans ce métier qu’il adorait…
Fayçal Djelidi était donc « connu » dans la rue pour être un policier fiable, à la réputation « clean » avec ses sources. Et il avait beaucoup de sources, ce qui l’aidait dans ses enquêtes.
Or, quand la source s’est présentée au poste de police, en ce jour de novembre 2013 pour dénoncer Septimus Neverson, Djelidi ne connaissait pas la source.
Mais la source le connaissait, lui, de réputation.
La source a tout balancé : l’identité de Neverson, son modus operandi, les endroits où il avait frappé, l’identité et le quartier de résidence de sa fille habitant à Montréal…
Et un objet volé lors d’un braquage.
De l’état de « dormance », l’enquête policière est passée en cinquième vitesse. On a formé une escouade mixte de Gestion d’enquête de criminel en série (GECS) composée de policiers de la SQ, du SPVM et de Laval pour le traquer. La source de Djelidi a reçu le statut d’ACI, « agent civil d’infiltration », et a participé activement à l’enquête pour capturer Septimus Neverson. Et Fayçal Djelidi s’est joint au GECS.
Un peu plus de deux ans plus tard, Septimus Neverson était arrêté chez lui, à Port of Spain.
***
Entre novembre 2013 et février 2015, la police est donc passée en cinquième vitesse pour monter le dossier et trouver Neverson.
Un travail admirable, où ils ont déployé des trésors d’imagination pour jeter leurs filets…
Un exemple ?
La fille de Neverson habite Montréal. Elle a une petite fille. Pour crédibiliser certaines informations et faire un lien entre Neverson – alias David Munroe, nom figurant sur son faux passeport canadien – et Montréal, il fallait établir si cette femme était en effet la fille de Septimus Neverson.
Comment établir ce lien de filiation ?
Avec l’ADN.
Les policiers ont élaboré un scénario hollywoodien pour obtenir l’ADN de la fille de Neverson et de sa petite-fille sans éveiller les soupçons. Ils se sont déguisés en mascottes et ont inventé un faux concours pour gagner un voyage à Disney…
Et ils ont intercepté les enfants qui passaient sur une rue d’un quartier de Montréal, pour leur faire remplir un formulaire…
Et leur faire boire un petit verre de jus. Ainsi qu’à leurs parents.
Cette mise en scène visait uniquement à recueillir l’ADN de deux personnes soupçonnées d’être la fille et la petite-fille de Septimus Neverson.
La mise en scène a fonctionné. Les policiers ont réussi à faire boire du jus à la fille de Neverson et à sa petite-fille. Les deux verres de plastique ont été conservés dans une poubelle distincte. Et les analyses en laboratoire ont démontré que l’ADN recueilli à Laval sur la scène du meurtre de Jacques Sénécal était indubitablement lié à la femme et à sa petite-fille qui ont bu le jus tendu par les policiers déguisés en mascotte…
Quand j’ai contacté Djelidi ce week-end, il n’avait qu’une seule chose à me dire : « Gros travail d’équipe. »
Gros travail d’équipe sous la direction du commandant Pascal Côté du SPVM, travail qui va vraisemblablement envoyer Septimus Neverson en prison jusqu’à la fin de ses jours.
***
La police a donc travaillé de façon admirable.
Mais chaque indice a fini par former un tout cohérent quand l’enquêteur Djelidi a reçu les confessions d’une source qui avait entendu parler de lui dans la rue. Et qui a fait confiance à Djelidi avec son secret, l’identité d’un dangereux criminel qui n’hésitait pas à tuer.
Mais tragiquement, trois ans plus tard, Djelidi se faisait piéger avec d’autres enquêteurs du SPVM dans une enquête interne si mal ficelée qu’elle est devenue une crise politique qui a fini par déboucher sur une commission d’enquête et la démission du directeur du SPVM.
L’enquête contre Djelidi et ses coéquipiers était politiquement dirigée, menée par les inspecteurs Gadget des Affaires internes du SPVM, ces incompétents qui ont menti éhontément dans des mandats de perquisition si puants que la Couronne a fini par retirer les accusations…
D’où l’immense ironie de la culpabilité de Septimus Neverson aux 54 chefs d’accusation qui pesaient contre lui : Fayçal Djelidi, décoré pour son travail dans cette enquête, n’est à ce jour toujours pas réintégré comme enquêteur au sein du SPVM.
Juste avant d’envoyer ce texte à La Presse, j’ai envoyé un texto à Djelidi, si durement éprouvé par l’incompétence des enquêteurs des Affaires internes, je lui ai parlé comme ils se parlent entre eux…
Je lui ai dit : Oublie jamais que t’es une bonne police.

REF.:

mardi 14 mars 2017

SPVM 168 Pommes pourrites: Sur la controversée Division des affaires internes




Beaucoup d’enquêtes, peu de résultats

(NDLR: Le problême est en haut ,très haut de la pyramide!)

Quatre policiers sur cinq visés par une enquête criminelle des affaires internes du SPVM ne sont jamais accusés. Et plus de la moitié de ceux qui doivent comparaître devant un juge seront finalement acquittés.
Ces données pour le moins surprenantes sur la performance de la controversée Division des affaires internes, et dont Le Journal a pris connaissance, sont compilées dans le rapport annuel de 2016 du SPVM.
On y apprend notamment qu’entre les années 2012 à 2015, inclusivement, les affaires internes ont ouvert des dossiers d’enquêtes pour des allégations criminelles impliquant 168 policiers du SPVM.
Seulement 32 d’entre eux — soit 19% — avaient dû faire face à des accusations au palais de justice.
Au moment où le rapport a été produit, soit au printemps 2016, onze de ces 32 policiers avaient été déclarés coupables, tandis que 12autres ont reçu des verdicts d’acquittement.
LA BONNE FOI
C’est donc dire que les affaires internes ne «jouent» même pas pour une moyenne de ,500 devant les tribunaux.
Parallèlement à ces dossiers criminels, les affaires internes ont aussi ouvert des enquêtes disciplinaires concernant 299 de leurs quelque 4600 policiers durant cette période. Les sanctions imposées au terme de ce processus de discipline totalisaient 183 journées de suspension.
Dans son rapport annuel de 2009, le SPVM expliquait par écrit qu’il gérait la discipline «dans l’esprit d’un bon père de famille». Et que sa «philosophie d’intervention» en la matière «met l’accent sur la bonne foi» des policiers.
«Le leadership provincial du SPVM en matière de traitement des affaires internes permet de maintenir une équité dans le traitement de la Loi sur la police et, surtout, de mettre en place des mécanismes pour éviter à ses ressources humaines de se placer dans des situations risquées», peut-on lire dans ce rapport.
Il y a fort à parier que le SPVM ne se doutait pas que huit ans plus tard, tout le Québec, le gouvernement et cinq autres corps de police s’intéresseraient autant aux pratiques de ses «ressources humaines» à l’intérieur même de sa Division des affaires internes.


 A l'émissiopn JE:
Au SPVM, fuites,faux rapports,campagne de salissage,le SPVM est ébranlé plus que jamais.
On discrédite des policiers avec de faux rapports.La Mafia s'est infiltré dans les affaires minicipales(on se croirait en italie ou au Brésil),a ce moment est dans une crise sans précédent. c'était le début de la commission Charbonneau ,le SPVM

On a su que le policier Ian Davidson (La Taupe ?)avait tenté de vendre toute la liste des informateurs de police, a la Mafia.Règne alors au SPVM un climat de terreur et de règlements de comptes. Une guerre de clan fait rage !

En Janvier 2012,une voiture va chercher un policier du SPVM,Pietro Poletti,il est au coeur de cette affrontement. On l'amène au 20 ième étage de l'Hôtel Intercontinentale du vieux-Mtl ,chambre 2020
loué par Nicodemo Milano le 19-01-2012.
A l'intérieure,les hommes les plus influent de la province:
Marc Parent directeur du SPVM,Jacques Duchesnau Chef de l'unité Anticollusion qui tire beaucoup de ficelle,Nicodémo Milano enquêteur spéçialisé dans les affaires Mafieuses et Pietro Poletti. Il y a deux clans dans cette rencontre:
Ceux qui veulent blanchir Poletti d'allégations criminels dans ce qui serait contenu dans un faux rapport ,rédigé par un clan adverse.Un faux rapport c'est grave et c'est pas la seule fois ou ça se serait produit. Et ceux qui ont dénoncé ce faux rapport,ce sont les agents sonneurs d'alarme: Giovanni Di Feo et Jimmy Cacchione.Ils ont été patrouilleurs,agents doubles,responsables d'enquêtes sur les Hell Angels et la Mafia, les deux ont plus de 57 ans aux total en expérience.Selon eux ça commencé en 1990,ils étaient catalogués comme des gars de la Mafia par les policiers et même par les câdres du SPVM.
Ça vraiment commancé en 2012,lorsqu'ils ont dit que un certain policier était corrompu et que la GRC les auraient mit sur écoute pendant ce temps la.La GRC avait intercepté des communications avec le policier Correti et le scandale de BCIA qui aurait des pratiques douteuses(racculé des compteurs automobile,engager des policiers retraités avec méthodes douteuses ,...).
Correti avait été accusé de fraude avec BCIA,mais les procédures contre lui ont été abandonnées.
L'ex-policier Claude Aubin aurait écrit le 16-10-2014,au Journal de Mtl que Di Feo aurait souvent accompagné le fils de Correti a la sortie de l'école,alors que dans les faits Correti n'a pas d'enfant !(NDLR On devine dans quel Clan est Au-bain). Pourquoi ça ? ........................Parce que Cacchione et Di Feo l'avait (Claude Aubin)fait accusé d'avoir vendu des renseignements au crime organisé ,il y a 15 ans, il a plaidé coupable (Claude Aubin)!Ensuite Di Feo et Cacchione divulguent que : Des policiers recevaient de l'argent du crime organisé,anomalies dans le traitement des sources etc...
Un matin de Juin,ils sont convoqués au SPVM et sont congédiés ,aucune accusations criminels,12 accusations disciplinaires,aucune destitution(ce que voulait le SPVM),ça se termine avec 50,000$ de frais d'avocats et un règlement a l'amiable,dont les termes sont confidentiels,un règlement qui annule toutes les procédures disciplinaires.Dans les déclarations assermentatées: les noms de Michael Ward,Pierre Brochet,Dominic Werotte,Michel Guillemette , apparaisse.
 L'ingérence de la direction du SPVM dans les enquêtes: Ils y a de la fabrication d'allégations,par lesquels on commance des enquêtes dans le but de museler des gens qui ont des choses a dire. Et que les directeurs adjoints du SPVM , connaissent cette façon de faire !!!

L'ancien enquêteur Roger Larivière ,le 09-10-2014 est attablé au Restaurant Eldorado de l'avenue Mont-Royal avec le commantateur Stéphane Berthomet(les Média). Ce que Larivière lui a dit ,c'était la même chose que la lettre sans réponse qu'il avait envoyé au Chef Marc Parent ,que les policiers des enquêtes internes du SPVM ne fesaient pas leur job . Le SPVM avait essayé de prouver que Larivière était un gars instable psychologiquement ,sans preuve. On enquête sur Larivière ,car il aurait eu accès a des documents d'enquêtes confidentielles et peut être transmis ces documents.

Un Policier haut dans la hyérarchie au SPVM(non identifié)aurait dit:
Le sort réservé,lorsqu'ont fait des allégations criminelles ou disciplinaires est variables,selon qu'ont soit ami du parti, c.a.d. dans les bonnes grâces du Chef ou l'inverse ! C'est dégeullase de la façon dont les enquêtes sont bâclées ,afin de satisfaire le désir de vengance des hauts dirigeants. Les enquêtes internes fonctionnent encore comme ça ,comme dans les années 50 , en trouvant un suspect qu'ont veut se venger puis ont tente d'arranger ou de trouver des preuves pour l'accuser.

Le 10-11-2015,un policier porte plainte contre un haut gradé du SPVM ,pour une affaire d'entrave a la justice sur fond d'ingéreance politique. Le 19Nov ont déclanche une enquête sur le policier qui a porté plainte ,on retrouve que son collègue ,F. Djelidi planterait de l'héroine dans les poches de revendeur de drogue afin de les faire chanter pour recevoir de l'information;Alors que l'information avait déja été fourni en Septembre 2015(2 mois avant) par une source codé du SPVM (cette source avait des épisodes un peu  parano selon le SPVM),étrage !

Le SPVM a essuyer plusieurs revers avec les policiers: J. Cacchione,Di Feo,Tony Bianco,Mario Lambert,Roger Larivière, André Thibodeau, toutes des enquêtes dont les suspects ont été blanchis.
Selon Philippe Bensimon,Docteur en criminologie : tout est politique , rendu a un certain niveau.

Deux noms reviennent souvent: Costa Labos et Normand Borduas, enquêté par la SQ, ils seraient en lien avec la Mafia(NDLR: ou manipulé par la Mafia) , et c'est par eux qu'arriva le scandale d'espionnage des journalistes Patrick Lagacé et cie, ont voulait savoir qui était les sources des fuites journalistiques(NDLR: Giovanni Di Feo et Jimmy Cacchione).

La question: Est-ce que le SPVM fabriquerait de la preuve  ? ...................... On connait déja la réponse dans le public !)

mardi 21 février 2017

Le SPVM fabrique de la preuve afin de faire taire ses employés !

Enquête publique au SPVM: Une Pétition pour une enquête sur le SPVM.

À la suite des révélations faites par «J.E.», le directeur du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) Philippe Pichet demande à la Sûreté du Québec (SQ) de revoir des enquêtes menées par les Affaires internes du SPVM.
M. Pichet s’est dit «très préoccupé» par les allégations formulées par des anciens employés du corps de police montréalais selon lesquelles le SPVM fabrique de la preuve afin de faire taire ses employés.


«Il y a certains faits troublants aussi quand on regarde l’émission, toutes sortes de rencontres, a-t-il déclaré. Je vous dirais que tout de suite après l’émission, j’ai parlé à M. Martin Prud’homme, directeur général de la SQ, et question de transparence, je lui ai demandé de revoir toutes les enquêtes. Au moins les trois, celles de monsieur Di Feo, celles de M. Cacchione et celles de M. Roger Larivière, parce que les autres sont devant les tribunaux présentement. Je lui ai demandé de revoir toutes les enquêtes et aussi d’y inclure les faits nouveaux qu’on pourrait rapporter.»
Par le fait même, le directeur du SPVM invite les intervenants qui ont participé au reportage de «J.E.» et qui souhaitent transmettre des informations à contacter la SQ «à partir de maintenant».

Pétition pour une enquête sur le SPVM

De leur côté, les policiers du SPVM réclament une enquête publique sur leur propre corps de police. Une pétition «réaffirmant que les policiers ont les mêmes droits fondamentaux» que les citoyens circule d’ailleurs dans bon nombre de postes de quartier.
Selon une source, «c’est l’émission «J.E.» dans laquelle plusieurs témoignages démontraient la façon de faire des Affaires internes du SPVM lors d’enquête sur les policiers qui a déclenché le mouvement».
Le document déjà signé par plusieurs policiers dans une dizaine de commissariats et dans trois centres d’enquête de la police de Montréal fait état d’une «inquiétude grandissante» au sein des 4600 policiers du SPVM.

Intervention demandée

«Nous demandons au ministre Martin Coiteux et au gouvernement du Québec d'intervenir en déclenchant une enquête publique visant le SPVM et ses dirigeants, particulièrement les affaires internes ainsi que les enquêtes spéciales...» peut-on y lire.
Les signataires de la pétition dénoncent:
- les multiples fouilles intrusives dans la vie privée des policiers
- l’utilisation du Code criminel pour enquêter sur le disciplinaire
- la manipulation des faits dans les affidavits
- les enquêtes internes instiguées par esprit de vengeance
- la chasse aux sorcières pour trouver les sources journalistiques
- l’ingérence malsaine de l'administration municipale

Accusations graves

Lors de l’émission «J.E.», notre Bureau d’enquête a recueilli, pour une première fois, le témoignage à visage découvert de trois ex-employés de la police de Montréal.
Ceux-ci affirment que le deuxième plus grand service de police municipal au pays fabrique de la preuve afin de faire taire ses employés. Le directeur de la police montréalaise a nié avec force ces allégations.
Les instigateurs du mouvement allèguent qu’«à la lumière des nombreuses sorties médiatiques récentes à ce sujet, il est légitime de douter de l'impartialité avec laquelle nos membres sont enquêtés et accusés par le personnel des enquêtes spéciales"
Ils enjoignent le ministre de la Sécurité publique à «réviser les dossiers d’accusations contre nos (les) policiers au cours des dernières années» et «à trouver les responsables de toute irrégularité et prendre toutes les mesures nécessaires pour rétablir la justice.»

Paul Arcand du 98,5FM a dit que des Policiers du Poste 22 s'organisaient et créaient des billets d'infractions et que les 2 pommes pourrites de ce stratège avait été dernièrement ,relocalisées ensemble au même endroit !

 Source.:

SPVM: Le détective Normand Borduas sait ce qui justifie le déclenchement du Projet Escouade

Les Enquêtes bizarres du SPVM ;-)


Une enquête qui dure sept mois et qui vise des policiers de Montréal : cinq policiers sont arrêtés. Du lot, deux policiers sont accusés, notamment de parjure et d'abus de confiance. C'est une bombe qui éclate en juillet 2016. C'est le Projet Escouade.
Les deux policiers sont des enquêteurs, Fayçal Djelidi et David Chartrand, qui traquent les gangs de rue dans la région Ouest de l'île. C'est dans le cadre de cette enquête que le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) obtient le droit - inusité, controversé - de m'espionner.
Le Projet Escouade naît donc à la fin de 2015 et est mené par les Enquêtes spéciales du SPVM, puisqu'il vise des policiers. Tout commence quand un informateur fait l'objet d'une vérification aléatoire par le Module de contrôle des informateurs (MCI).
Cet informateur donne au MCI des renseignements troublants : un policier du nom de «Fayçal» mettrait de la drogue dans les poches de suspects pour les forcer à collaborer avec lui.
Une information explosive.
Mais...
***
Avant d'aller plus loin, clarifions les termes.
«Informateurs» : la police de Montréal a des milliers d'informateurs. Ils sont fichés. Certains sont payés pour informer la police. Cela peut mener à des arrestations de personnes, à des saisies de drogue. Exemple : 1000 $ pour une info menant à la capture d'un fugitif recherché.
Plus les renseignements d'un informateur portent leurs fruits, plus ses indices mènent à des succès policiers - arrestations, saisies -, mieux il est payé.
L'inverse est vrai : un informateur qui fournit des renseignements peu utiles est peu payé. Ou pas payé du tout.
Le MCI, lui, gère les procédures selon lesquelles les policiers de Montréal interagissent avec leurs sources.
Le MCI peut faire des contrôles aléatoires de sources. Au hasard, donc, il communique avec la source A pour vérifier si le policier B lui a bel et bien remis une somme de X, à la date Y. Et pour vérifier si la source A a bel et bien refilé au policier B les informations W et Z contenues dans le rapport dudit policier.
Sans ces informateurs, sans ces dollars refilés aux informateurs, le travail de la police de Montréal serait beaucoup plus difficile.
***
L'information sur ce «Fayçal», sur Djelidi, était explosive, disais-je plus haut.
Pensez : un policier «planterait» de la drogue dans les poches de suspects pour les forcer à collaborer. Si c'est vrai, c'est un crime; un piratage de justice.
J'ai aussi dit ceci : «mais...»
Mais permettez que je cite le document soumis à la cour par le détective Normand Borduas au sujet de cette source présumée fiable qui n'est pas nommée :
«L'informateur n'a jamais été rémunéré [...] l'informateur a "des épisodes paranoïaques en lien avec sa sécurité, présentement il se sent suivi par des policiers"...»
Bref, ce qui lance une enquête de sept mois, ce sont les allégations d'une source paranoïaque dont les informations n'ont jamais été assez bonnes pour lui valoir un sou du SPVM.
Bizarre...
Je cite un ancien enquêteur du SPVM à propos de la «qualité» de la source qui lance le Projet Escouade, il a lu la description faite de la source : «C'est de la merde. Une bonne source est une source rémunérée [...] C'est pas assez pour partir une enquête.»
Bizarrerie no 2 : à la fin de 2015, une plainte a été portée à l'interne contre un policier du MCI pour une insulte lancée à propos de Djelidi. Peu après cet incident, boum, le MCI fait ce contrôle aléatoire d'un informateur... Qui incrimine ce «Fayçal».
Bizarrerie no 3 : pourquoi perdre du temps à contrôler une source qui n'a jamais donné de renseignements assez fiables pour lui valoir une récompense?
Bizarrerie no 4 : parmi les cinq policiers arrêtés se trouve un policier, Denis B. : celui-ci a écrit une lettre pour se plaindre de l'ingérence d'un membre haut placé du SPVM, quelqu'un de la garde rapprochée du chef Philippe Pichet, dans une enquête criminelle, fin 2015. Un hasard, sûrement : peu après cette plainte de Denis B., l'enquête Projet Escouade est lancée, dans laquelle il sera arrêté (mais la Couronne refusera de l'accuser).
On décrypte trois choses des cinq premiers mois du Projet Escouade en lisant les déclarations sous serment soumises par l'enquêteur Borduas à des juges :
1) Djelidi fréquente des salons de massage érotique (une infraction pénale, et non pas criminelle) ;
2) Djelidi a des contacts téléphoniques avec un journaliste de La Presse : moi ;
3) Il est aussi question de matériel informatique utilisé de façon non réglementaire par Djelidi.
Selon plusieurs policiers à qui j'ai parlé depuis l'été dernier, pour cinq mois d'une enquête impliquant de l'écoute électronique, de la filature, de l'interception de métadonnées et du monitorage par GPS : c'est mince, comme bilan du Projet Escouade, au printemps 2016.
Ce qui nous amène à la bizarrerie no 5 : l'histoire de la drogue supposément plantée par Djelidi ne revient jamais dans les déclarations sous serment signées par l'enquêteur Borduas, au fil de son enquête.
C'est pourtant ce qui justifie le déclenchement du Projet Escouade. Qu'a-t-on fait pour établir la véracité de cette information qui constitue la genèse du Projet Escouade?
Seul l'enquêteur Borduas le sait.
Et il n'a pas répondu à ma demande d'entrevue, hier.
***
Après cinq mois d'enquête aux maigres résultats, on finit par envoyer un agent double de la GRC dans les pattes du groupe d'enquêteurs, pour les appâter : l'agent double affirme qu'il sait où la police peut trouver une importante cargaison de drogue. C'est Denis B. qui est ciblé par la manoeuvre.
L'agent double de la GRC donne des détails sur la drogue aux policiers du groupe de Djelidi et Chartrand. Disons les détails A, B et C : où, quand, comment trouver la dope.
Les accusations de parjure et d'abus de confiance déposées contre Djelidi et Chartrand tiennent à ceci : ils sont soupçonnés d'avoir pesé fort sur le crayon en demandant leur mandat de perquisition... D'avoir ajouté, disons, un D aux A, B, et C de l'agent double de la GRC.
Est-ce vrai?
On verra si ça tient en cour.
Mais on est loin, très, très, très loin de l'information initiale qui voulait qu'un «Fayçal» plantait de la drogue dans les poches de suspects, tel que l'affirmait un informateur anonyme qui a des «épisodes paranoïaques», dont la qualité des infos ne lui a jamais valu un dollar du SPVM et qui a été contrôlé par le MCI, dont un des policiers est visé pour des insultes à l'endroit de Fayçal Djelidi.
Bizarre, encore.
***
Finalement, cinq policiers ont été arrêtés dans le Projet Escouade. Mais la Couronne n'a accepté de déposer des accusations que pour deux d'entre eux, Djelidi et Chartrand.
C'est à l'image du bilan de plusieurs dossiers majeurs lancés par les Enquêtes spéciales et les Enquêtes internes - toutes deux dirigées jusqu'à récemment par le commandant Costa Labos -, quand elles ont ciblé des policiers du SPVM, ces dernières années.
Ces policiers visés par des enquêtes d'envergure ont ceci en commun, qu'ils soient cadres ou syndiqués : ils n'ont jamais été reconnus coupables.
Je répète : jamais.
Ils s'appellent Philippe Paul, Mario Lambert, Joe Di Feo, Jimmy Cacchione, Tony Bianco, André Thibodeau, Annie Lavoie, Roger Larivière. Et trois policiers de la section des agents d'infiltration.
Autant d'enquêtes en forme de montagnes qui ont accouché de souris en forme de suspension ou de départ à la retraite ou d'acquittements en cour.
Ce soir à l'émission J.E., le journaliste Félix Séguin présente un reportage sur les Enquêtes spéciales du SPVM. Selon ce que j'en sais, le matériel colligé par Félix Séguin est explosif. Si j'étais le ministre de la Sécurité publique Martin Coiteux, je programmerais mon enregistreur numérique pour 19h30, à TVA.
La police de Montréal est le plus important corps de police au Québec, et ses enquêtes ont des ramifications provinciales. Ces dernières années, le SPVM a été secoué par des scandales terribles, je pense notamment aux taupes Ian Davidson et Benoit Roberge, deux policiers qui ont trahi la police au profit du crime organisé.
Mais les enquêtes remplies de bizarreries - et d'échecs - menées par les Enquêtes spéciales du SPVM constituent un autre de ces scandales qui minent le SPVM, un scandale dont on commence à deviner les contours.
Ces scandales regorgent de questions...
Les Enquêtes spéciales constituent-elles le bras armé de la direction du SPVM pour régler des problèmes politiques qui pourraient l'éclabousser?
Pendant le Projet Escouade, des policiers qui n'avaient rien à se reprocher ont vu leurs conversations interceptées quand ils parlaient avec les cibles de l'enquête. Les paroles de certains de ces policiers ont été utilisées dans un cadre disciplinaire parce qu'ils ont critiqué le SPVM dans des conversations (qu'ils croyaient) privées. Pourquoi?
Plusieurs des policiers arrêtés au fil des années par les Enquêtes spéciales étaient réputés avoir de très bonnes sources dans le crime organisé. Ils ont tous été embêtés par leur propre service de police. Je ne pose pas de question, ici. Je note.
Les policiers des Enquêtes spéciales enquêtent sur les policiers du SPVM : qui enquête sur les policiers des Enquêtes spéciales?
Tant de questions...(NDLR: quand on a trop de question on est porté a penser a un État Politisé,la GRC et la Mafia)

Source.:

lundi 15 décembre 2014

Police: Un sergent-détective du SPVM a proféré des menaces de mort envers un ministre ?

Menaces contre Moreau: le policier de retour en cour


MONTRÉAL - Le policier du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) qui a proféré des menaces de mort envers le ministre Pierre Moreau était de retour en cours au palais de justice de Saint-Jérôme, vendredi, afin de subir son enquête sur remise en liberté.
Le sergent-détective de 44 ans fait face à sept chefs d'accusation, dont menaces de mort, harcèlement et voies de fait.
Un seul chef d'accusation concerne toutefois le ministre, les six autres étant liés à de la violence conjugale présumée envers sa femme et ses enfants et les faits reprochés se seraient déroulés entre 2005 et 2014. L'enquête sur remise en liberté se déroule donc sous ordonnance de non-publication.
L'homme aurait tenu des propos violents en parlant du ministre des Affaires municipales entre les mois de septembre et décembre 2014. Ces menaces auraient toutefois été indirectes.
La Couronne s'oppose à la remise en liberté de l'accusé, en raison des risques de récidive.

Source.:

mardi 4 novembre 2014

Des fonctionnaires désillusionner du travail a cause des Sociétés Secrètes




Un policier (SQ) parle des Sociétés Secrètes du Québec , Rock Larochelle

,lui et 100 autres policiers de la SQ ont dénoncé que l'ont vie pas dans un gouvernement ,mais dans une corporation (loi de la police etc...)et toute les institutions appartiennent a la corporation qui elle de forme pyramidale,sont dirigées selon les directives des sociétés secrètes.Ces policiers sont payés a rien faire et le gouvernement ,leurs patrons les caches !

La loi et la justice n'est pas possible au Québec et ailleurs !Tout ceci rapporté en 2012 a un Serge semble t'il Ménard de l'UPAC. Serge Ménard; c'est lui qui a dit: «À la Sécurité publique, j'ai fait une réforme complète des forces policières, il y a toujours quelques petits accrocs, mais je suis fier de dire que nous avons, au Québec, l'un des meilleurs corps policiers au monde, l'un des plus honnêtes et des plus efficaces.»

A partir du 30ième degré de la Franc-maçonnerie ils sont tous hypnotisés ! 

M.Couillard cache les sociétés secrètes.

Toute la désinfo a propos de JFK est une autre preuve.Le 911 ,et la chasse aux Terroristes,tout ceci cache quelque chose,.................de secret.

Personnalités franc-maçonnes:

De très nombreuses personnalités ont appartenu à la franc-maçonnerieN 18. Pour n'en présenter que dix parmi les plus connues et les plus souvent citées, on peut mentionner Benjamin Franklin, Voltaire, initié quelques semaines avant sa mort, Frédéric II, Goethe, Mozart, George Washington, Jules Ferry, Théodore Roosevelt, Simón Bolívar ou le duc de Kent.

 Qui fait parti des Skull & Bones:

A part les présidents (George Bush Junior par exemple, et son père, et son grand père avant lui), il existe une grande variété de bonesmen qui ont travaillés en tant qu’officier de cabinet, espion, juge, avocat, capitaine d’industrie, chef des médias. Et très souvent leurs fils, et très récemment leurs filles aussi, font parti de Skull & Bones et ont donc du passer le rituel d’initiation (voir plus bas).
Exemple de George H Walker Bush et de son fils George Walker Bush Junior (Père et fils), tous les deux sont membre de la fraternité de la mort (Brotherhood of Death en anglais)..

Si ceci se passe au niveau des fonctionnaires et qui gangrène le gouvernement,tout comme les sociétés secrètes le font depuis très longtemps.
Le peuple Américain le fait actuellement contre son propre gouvernement,ont risque d'assister a l'implosion des États-Unies d'Amérique !



 

 

 

 

 


 

 

 

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 Découvrez Rock Larochelle, un policier Québécois qui n’a pas froid aux yeux et nous parle des sociétés secretes et des réseaux pédocriminels organisés.

 

Conclusion:

Ces personnes qui décroche du système Capitaliste ou des gouvernements,ne peuvent se transformer dans des postes tablette,car ils en savent trop ,il sont nuisibles, donc a l'opposé du système de sélection naturel de la mafia,ils doivent simplement fermer leurs bouches.Alors que dans le fond, pour les autres personnes qui embrasse les Corporations  ,les sociétés secrètes, le 666,le Démon,l'appât du gain $ ,ils ont tord ,ils écoute la petite voix dans leurs têtes ,le péché original ! 

 45% des russes croient qu'un groupe occulte contrôle l'humanité "Le monde est dirigé par une sorte d'entité globale qui tire les ficelles des gouvernements partout dans le monde".

 Les jeunes sont de plus en plus séduits par les théories du complot Conspirations, mensonges et sociétés secrètes: les professeurs sont de plus en plus souvent confrontés à la remise en cause de leurs enseignements par des élèves convaincus d’être au coeur d’un grand complot. Selon le site Conspiracy Watch, un observatoire des théories du complot, le phénomène est difficilement quantifiable.

Selon les tenants de la théorie du complot, les Illuminati auraient infiltré, à l’échelle mondiale, les coulisses du pouvoir : les banques, les industries, la politique et même le show-business. Les crises financières, les attentats terroristes, le développement de la pornographie, le commerce de la drogue, l’appauvrissement de pans entiers de la population.

 

L'argent,$$$$$$$$$,tout est basé sur ça:Le groupe Bilderberg,en mai 1954 une soixantaine d’hommes influents provenant du domaine de la politique, de la finance et de l’élite aristocratique européenne se réunit à l’Hôtel de Bilderberg à Oosterbeek en Hollande.

La famille Rothschild qui est une famille d'origine juive allemande et aux nationalités multiples (allemande, française, britannique, israélienne, etc.)
Les Rothschild se sont fait connaître depuis le XVIIIe siècle dans les domaines de la banque et de la finance. La fortune de cette famille est colossale. D'après le blog financier Celebrity Networth, elle serait la seconde plus grande fortune de tous les temps1.Rothschild Frères était la banque historique de la branche française de la famille Rothschild. Fondée en 1817 à Paris, elle est devenue Banque Rothschild en 1967 puis Compagnie européenne de Banque à sa nationalisation en 1982. Cédée dans un premier lieu au Crédit commercial de France (CCF), elle a été revendue en 1991 à la banque Barclays.La prétendue "dette" de la France est une gigantesque arnaque,
et il n’est pas question de la "rembourser" ! Si les USA peuvent imploser,la France aussi.Détroit a déja implosé(industrie de l'automobile),les pays du tiers monde sont souvent refinancer par les Banques ou certains pays aide a payer leurs dettes ,on aide le Brésil, le Mexique etc....,car on a tous besoin d'eux !

Alors c'est que l'Égo de l'homme attire l'argent,le gain,(Cain et Abel) la récompense,parce que personne n'aide personne,on est devenu une société de service , les emplois actuels a temps partiels sont dans ce crénau ! Et si tout ça n'est que les conséquences ou le karma que l'argent produit ?

Sociétés secrètes ou pas ,.........................le résultat est le même ! Si la conspiration et l'argent s'éteint,il n'y a plus rien de tangible,sauf ,...............l'égo qui en n'a besoin , le péché original ! Donc faîtes disparaître l'argent(Banques)et remplacer le ,par le service et l'entraide , le TROC, on se dirige vers l'intangible et l'invisible,on sort des 5 sens,pour aller vers le 6ième sens,......de l'Amour des autres et de soi ! Le donner et le pardonner et non le recevoir et la rancune ou la guerre ! 

Vous avez adorez l'argent,vous avez fait éduquer vos enfants par les autres,vous avez sortie des églises,et vous n'avez jamais su construire votre Temple ? Tant pis, le karma est construit ,vous aurez a subir les conséquences,pour vous ramener vers l'essentiel ,..............le rien,le néant,Vous !

 

REF.:

dimanche 2 novembre 2014

Un peloton d’exécution au Michigan : Suspect armé d’un couteau tué par 46 tirs de 8 policiers ?

Entouré de 8 policiers, il essuie 46 tirs


Il s’agit d’une vidéo choc, nul doute.
L’Union américaine pour les libertés civiles vient de dévoiler la vidéo d’une fusillade survenue à Saginaw, au Michigan, en 2012.
Dans la vidéo, Milton Hall, 49 ans, armé d’un couteau, se montre menaçant envers les policiers.
Il est entouré de 8 agents et un chien et il est sommé de déposer son arme.
Lorsqu’il s’avance vers les agents, il essuie 46 tirs.
Il est atteint de 14 projectiles et meurt.
La vidéo suivante vient d’une voiture de police.
Le son est celui du téléphone cellulaire d’un témoin.



La UCLA a soumis cette vidéo à un comité de l’Organisation des États américains (OEA) qui se penche sur la fusillade.
En février, le ministère américain de la Justice, qui avait révisé l’affaire, avait conclu qu’il n’existait pas assez d’éléments pour conclure à une inconduite grave et délibérée des officiers.
La UCLA estime que la vidéo montre que les policiers se sont comportés comme s’ils se trouvaient dans un peloton d’exécution.
L’association espère que sa démarche auprès de l’OEA mènera le ministère de la Justice à se pencher sur la fusillade à nouveau.

Source.:

vendredi 11 juillet 2014

Taxi: Le SPVM ne peut rien contre les chauffeurs mafieux

La livraison de poudre et autre dérivés hallucinogène se fait depuis loingtemps par taxi.

La protection des chauffeurs de taxi se fait par des fier-à-bras ,qui font de l'intimidation social.

La collusion avec l'industrie des pièces auto ,le vol d'auto,le vol de catalyseur , se fait par eux.

Ils en mène de plus en plus large.

 Des agressions sexuelles dans leurs taxis , et ça a Montréal ! (lisez ça !)Le SPVM souligne qu'il n'y a pas de recrudescence des agressions dans les taxis depuis l'an dernier. En 2013, 29 agressions sexuelles se sont produites dans les taxis et trois chauffeurs ont été arrêtés. On compte 17 agressions pour le moment cette année.Mais ,on en parle que depuis 2014 seulement ? Allez Robert et Denis MauditeEstrie !
La question de la sécurité dans les taxis, celle des chauffeurs et celle des clients, est aussi revenue au-devant de l'actualité dans les derniers mois.Et après, le Bureau du taxi vient nous dire que si on permet à UberX d’opérer à Montréal (tout chauffeur d’auto qui s’inscrit peut prendre des clients), on permettra du coup à n’importe qui d’embarquer n’importe qui!
UberX, je tiens à le préciser, qui oblige tous les chauffeurs à subir une telle vérification des antécédents criminels!UberX se targue d’offrir des tarifs en moyenne 30 % moins élevés que le taxi conventionnel.Crise économique oblige ;-)Jean-Nicolas Guillemette décrit le service comme du « covoiturage citoyen » qui présente des avantages économiques, écologiques et sociaux.


Plusieurs clients en taxi adapté,se font agresser autant physiquement que psychologiquement,si ce client est non verbale ;Zone grise ? pourquoi ? Parce que personne en parle, MauditeEstrie !C'est la, que les attouchements commence,car souvent aucun accompagnateur n'est présent !(ce que personne sait,c'est que la STM donne a contrat a une des cies de taxi ,le transport des handicapés physique ou mental et que la STM qui est politisé n'a pas de protecteur du citoyen,donc ses clients d'organisme gouvernementaux ne peuvent même pas se plaîndre,il y a une zone grise dans le système du transport adapté a Mtl .)

Vous ne faîtes que crétiquer le service et personnes du département des plaîtes vous écoute,ils n'ont même pas un ombudsman du citoyen .

Les contrôleurs du Métro n'ont même pas pattes blanche a la STM,......syndiqué endurci,droit acquis,personnes intouchables,toutes ces réponses sont bonnes.

Le réseau de la STM incluant le Métro de Mtl et des cie de Taxi a contrat  avec la STM est pourri de l'intérieur !

Beaucoup de monde savent que les chauffeurs syndiqués pur et dur ,ayant pas pattes blanches,font encore le beau temps,dans les autobus! Le plus drôle,c'est qu'ils sont transférés souvant dans les cabines a payage du métro de Mtl,........alors vous voyez le décor,.........envoi les pas chier,car lorsqu'ils vont vous apostropher ,vous allez surement voir leurs tatouages bien typique du milieu carcéral, sur leurs mains,les autres ce sont des "hangaround" pas de tatouage !

La collusion avec le milieux policier se fait depuis longtemps.

C'est sure et certain que le SCRS est sur des pistes depuis 2 - 3 ans !

Personne ne fait rien !

Personne ne se plaint.

Des photos circule sur le web ,concernant certains fautif,ont attend celui des policier ,maintenant !

Faîtes circuler Anonymousement !


 

Conclusion:
Depuis le 16 Nov ,les antécédents judiciaires des chauffeurs de taxi seront dorénavant vérifiés. C'est ce qu'ont annoncé aujourd'hui le ministre des Transports Robert Bob Poëti et le maire de Montréal Denis Dédé Coderre. 
Pour les nouveaux chauffeurs, la mesure entrera en vigueur le 1er décembre. Pour ceux qui détiennent déjà un permis, c'est au moment du renouvellement, à partir du 1er janvier, qu'ils devront se soumettre à cette nouvelle démarche.
La procédure touchera environ 11 000 taxis à Montréal et quelque 6000 autres dans le reste de la province.Donc en janvier 2015 ,plusieurs visages disparaîtront !
Voulez-vous savoir ce qui arrivera en 2015,.................c'est pas rose ;-)



REF.:bougeDelaw,scrsHarpeur a l'écoute,

lundi 30 décembre 2013

Affaire Villanueva: Pour une fois le Gun Taser aurait été utile ?

Affaire Fredy Villanueva: la police n'est pas blâmée

Quoi c'est tu le citoyen qui va se prémunir du Taser gun contre autrui ?

 -Richard Dupuis a aussi relevé la suggestion du coroner destinée au ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, en recommandant d’apprendre aux jeunes du secondaire comment réagir en cas d’arrestation policière.

La formation des policiers doit être améliorée à plusieurs égards, estime le coroner André Perreault dans son rapport sur les événements ayant mené à la mort du jeune Fredy Villanueva en août 2008, à Montréal-Nord.
Dans son rapport publié mardi, le coroner critique aussi le jugement du policier Jean-Loup Lapointe, qui a blessé mortellement le jeune homme en ouvrant le feu dans sa direction. Il estime que le policier Lapointe aurait pu gagner du temps et demander des renforts avant d'intervenir physiquement auprès du frère de la victime, ce qui a déclenché la série d'événements.
«En ce sens, le contact physique initié par l'agent Lapointe paraît précipité, observe-t-il. Disons toutefois que le comportement de Dany Villanueva (qui s'agitait) n'avait pas de quoi faciliter les choses.»
AUSSI SUR CANOE.CA
Il soutient aussi que le policier a eu tort de sentir que sa vie était menacée, bien qu'il comprenne que Lapointe «n'avait pas le bénéfice de pouvoir considérer a posteriori des éléments de preuve abondants». Le coroner refuse cependant de qualifier le policier d'assassin et ne croit pas qu'il devrait perdre son emploi.
M. Perreault critique aussi le travail de la police de Montréal et de la Sûreté du Québec à la suite des événements, estimant que son enquête a été «complexifiée par des lacunes au niveau de l'application des mesures prévues à l'occasion d'un décès survenu à la suite d'une opération policière».
Ces «manquements» ont représenté «des obstacles à la découverte de la vérité», affirme-t-il. Le coroner questionne notamment la façon dont ont été interrogées les différentes personnes impliquées.
En contrepartie, M. Perreault souligne le bon travail de la partenaire de l'agent Lapointe, Stéphanie Pilotte, indiquant que «si chacune des personnes impliquées avait fait preuve d'autant de pondération que l'agente Pilotte ce soir-là, Fredy Villanueva serait encore vivant.»
Finalement, le coroner écorche Dany Villanueva pour sa résistance excessive aux agissements du policier Lapointe. «Si Dany Villanueva estimait avoir une bonne raison de contester l'infraction qu'on lui reprochait, il ne servait à rien de crier, de s'agiter et de refuser d'établir son identité, quels que soient les motifs pour lesquels il le faisait», écrit-il.

«CIRCONSTANCES DE NATURE HUMAINE»

Le 9 août 2008, les policiers Jean-Loup Lapointe et Stéphanie Pilotte sont appelés à intervenir auprès de jeunes qui jouaient aux dés dans le stationnement du parc Henri-Bourassa, à Montréal-Nord.
Lorsque le frère de Fredy, Dany Villanueva, refuse de s'identifier, la police tente de le maîtriser. Fredy se joint à la mêlée et est atteint par trois coups de feu. Il meurt des suites de ses blessures.
La tragédie est le «résultat d'une multitude de circonstances de nature humaine qui, chacune prise isolément, ne saurait justifier logiquement ce résultat», estime le coroner, qui a examiné les témoignages de 47 personnes.
«Des milliers d'infractions aussi banales que celle de jouer aux dés dans un parc font l'objet chaque année d'interventions policières qui se déroulent bien, même lorsque la police et le citoyen ne s'entendent pas sur la question de savoir si l'infraction a bel et bien été commise», indique M. Perreault.

AMÉLIORER LA FORMATION

Dans son rapport, le coroner émet une vingtaine de recommandations à l'endroit du ministère de la Sécurité publique, la Ville de Montréal, le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), l'École nationale de police du Québec, la ministre de l'Éducation du Loisir et du Sport ainsi que le ministre de la Santé et des Services sociaux.
André Perreault recommande notamment au SPVM de veiller à ce que les policiers reçoivent une formation relative à l'intervention auprès de personnes issues de minorités ethnoculturelles. Il incite également le corps de police à rendre publiques les données relatives aux indicateurs de performance du Plan stratégique en matière de profilage racial et social.
L'École nationale de police du Québec devrait quant à elle améliorer la formation des patrouilleurs pour faire face à un groupe de gens qui résistent à leur arrestation. Les policiers devraient apprendre à se désengager et à appeler du renfort plutôt que d'entrer en contact physique avec les suspects lorsque l'intervention concerne une infraction mineure.
Il demande aussi que le ministère de la Sécurité publique s'assure de doter les policiers d'armes à feu dont la séquence de tir est moins rapide, pour éviter qu'un policier ne tire plus de coups de feu que nécessaire.
Le coroner suggère également à la Ville de Montréal de mettre sur pied un plan d'action relatif à la lutte à la pauvreté et à l'exclusion sociale des personnes et des communautés qui composent la population de Montréal-Nord.
Au lendemain du décès de Fredy Villanueva, de violentes émeutes avaient éclaté dans Montréal-Nord. La police avait procédé à des dizaines d'arrestations. Quatre mois plus tard, le Directeur des poursuites criminelles et pénales avait annoncé que les policiers impliqués étaient blanchis de toute accusation.


REF.:

vendredi 7 juin 2013

Policier blanchi: abus de pouvoir,force excessive,fellation,agression sexuelle,suspendu,réembauché ?

Justice - Policier accusé d'agression sexuelle acquitté
Le policier était soupçonné d'avoir agressé une jeune femme en 2010 
Photo Fotolia

Justice

Policier accusé d'agression sexuelle acquitté

Accusé d'agression sexuelle sur une jeune femme de 20 ans, l'agent Jeffrey Greetham, du Service de police de Gatineau, a été acquitté mardi après-midi, presque deux ans jour pour jour après le début des procédures judiciaires.

Le policier de 45 ans était soupçonné d'avoir agressé sexuellement une jeune femme au printemps 2010, mais n'était pas en uniforme au moment des faits allégués.
Il avait d'abord été suspendu sans solde l'automne suivant, puis congédié quelques mois plus tard et ce, même si aucune accusation criminelle n'avait encore été déposée contre lui.
Puis, coup de théâtre en janvier dernier : la Cour supérieure du Québec a ordonné à la Ville de Gatineau de réembaucher immédiatement Jeffrey Greetham, licencié 23 mois plus tôt.

La direction réagit

C'est par le biais d'un communiqué laconique que la direction du Service de police de Gatineau a réagi, mardi après-midi, à l'acquittement de Jeffrey Greetham.
«Bien que cet acquittement mette officiellement fin aux procédures judiciaires en droit criminel, M. Greetham devra demeurer en retrait administratif tant que les démarches disciplinaires ne seront pas terminées. La Ville de Gatineau est en demande de révision judiciaire de la décision du tribunal administratif du Québec qui obligeait la Ville à réintégrer M. Greetham au travail jusqu'à ce que son procès criminel soit terminé. La révision sera entendue le 5 février 2014 devant la cour du Québec», peut-on lire dans le communiqué.
Puisque le processus de révision judiciaire est toujours en cours, la direction du corps policier gatinois s'est refusé à tout commentaire concernant ce dossier.

Passé trouble

Les récents démêlés judiciaires de l'agent Greetham embarrassent inévitablement le Service de police de Gatineau. D'autant plus que Jeffrey Greetham n'en est pas à ses premières frasques depuis qu'il a joint les rangs de ce corps policier.
En 1999, le comité de déontologie policière du Québec avait recommandé sa destitution pureet simple, après qu'il eut été surpris, en uniforme, durant ses heures de travail, se faisant faire une fellation par deux femmes dans un bar du secteur de Buckingham.
En appel, la cour du Québec avait toutefois changé la sentence de destitution pour une suspension de 40 jours, et la police de Gatineau avait dû réembaucher Greetham.
Quelques années plus tard, en 2003, le comité de déontologie policière avait reproché à l'agent Greetham d'avoir «manqué de jugement et fait preuve d'une ignorance inacceptable» pour avoir abusé de son pouvoir en arrêtant un jeune homme avec une force excessive sans motif raisonnable.





Il avait alors été suspendu sans solde pour une période de 23 jours.


jeudi 23 mai 2013

Harcèlement a la GRC

GRC - Une sergente dit avoir été agressée et traînée dans le crottin
 
Photo Agence QMI / Archives


OTTAWA - Une sergente de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) a déposé une poursuite de plusieurs millions de dollars contre 13 anciens collègues après avoir été agressée sexuellement, harcelée et intimidée alors qu'elle faisait partie du Carrousel du corps policier, il y a plus de 25 ans.
Caroline O'Farrell, 52 ans, a été soumise à plusieurs traitements dégradants durant son entraînement, puis son travail au sein de la formation équestre de spectacle en 1986 et 1987, selon les documents de la Cour Supérieure de l'Ontario.
Mme O'Farrell réclame plus de 8 millions $ en dommage au ministre de la Justice et Procureur général du Canada ainsi qu'à 13 officiers. Plusieurs des officiers visés par la poursuite sont toujours en poste à la GRC et occupent des positions stratégiques.
L'ex-mari de la plaignante et ses deux enfants sont aussi nommés comme plaignants et réclament des dommages de 300 000 $.
Parce qu'elle était «une fille sur la piste», la requérante a été encerclée par un groupe de collègue, qui l'ont aspergé d'eau glacée puis l'ont traînée face contre terre dans l'urine et le crottin de cheval.
Mme O'Farrell a affirmé avoir demandé à ses superviseurs «est-ce que c'est cela que je dois endurer pour faire partie du carrousel?» après le premier incident du genre.
Elle, qui, petite, rêvait de faire partie de la GRC, s'est fait répondre qu'elle devait changer son comportement.
Le premier incident s'est produit en avril 1986. Le second, trois mois plus tard, lors de son enterrement de vie de jeune fille. Des collègues lui ont retiré sa combinaison de force pour ensuite lui verser de l'eau froide sur le corps.
Par la suite, des collègues l'ont enfermée dans une sellerie. Ils ont alors tenu un procès fictif, costumés en juge, procureur et avocat de la défense, et lui ont demandé de retourner ses sous-vêtements.
Le harcèlement a continué lorsque ses collègues ont lancé un «pool» de suicide, pariant sur le fait qu'elle allait sûrement se tuer.
D'autres incidents sont survenus, comme ses bottes qui ont été remplies de crottin, des railleries répétées et des vidéos de harcèlement.
Mme O'Farrell a fini par être transférée, car ses supérieurs «ne pouvaient plus garantir sa sécurité».
La femme s'est fait indiquer que sa plainte pour mauvais traitement «avait permis de lancer la plus importante enquête interne jamais conduite à Ottawa», ayant mené à la mise au jour de plus d'une centaine de cas d'harcèlement, mais la poursuite affirme que la GRC «n'a pas posé d'actions significatives contre les harceleurs».
Mme O'Farrell a indiqué que sa carrière à la GRC en a souffert et que son mariage a éclaté.
Aucune des allégations n'a été prouvée en cour.


lundi 1 avril 2013

La taupe de la GRC ira en prison

Condamnation - La taupe de la GRC ira en prison
Angelo Cecere, 59 ans, travaillait comme traducteur à la GRC depuis 26 ans quand il a été arrêté pour avoir coulé des informations à un proche de la mafia en 2007.  
Photo Archives / Agence QMI

MONTRÉAL - L'année que devra passer en prison la taupe aveugle de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) risque d'être longue et difficile, mais elle est nécessaire pour dissuader quiconque voudrait ­l'imiter, a conclu un juge hier.
Cette taupe de la GRC, a trahi ses patrons pendant de longues années.


mercredi 27 mars 2013

Trois-Rivières Autre cas de brutalité policière?

Trois-Rivières - Autre cas de brutalité policière?
 
Photo Archives / Agence QMI


TROIS-RIVIÈRES - Quelques semaines après le cas d'Alexis Vadeboncoeur, les policiers de la Ville de Trois-Rivières sont de nouveau pointés du doigt pour une histoire de présumée brutalité. Cette fois, trois d'entre eux sont traduits devant les tribunaux dans une poursuite totalisant un million de dollars.
Sébastien Tremblay, un homme paraplégique reconnu coupable en juillet dernier de voies de fait contre les policiers, d'entrave et de conduite avec les facultés affaiblies par l'alcool, a décidé de poursuivre les trois policiers qui ont procédé à son arrestation.
Il les accuse d'avoir employé une force excessive lors de son arrestation, le 14 octobre 2008.
L'homme avait résisté et s'était retrouvé au sol au cours de l'altercation. Paralysé de la poitrine aux pieds, il était évidemment incapable de se relever.
Les policiers prétendent qu'ils ont voulu l'aider à retourner sur son fauteuil, mais qu'il était tout simplement hors de contrôle.
Pour sa part, la plaignante Isabelle Gasconne,affirme que les policiers l'ont traîné par terre, lui occasionnant différentes blessures aux jambes et au dos.
«Il y a clairement un manque à la déontologie policière, a raconté son avocate, Me Kate Lazard. C'est grave battre quelqu'un, ce l'est encore plus lorsqu'on parle d'une personne handicapée. Je trouve ça aberrant.»
M. Tremblay réclame un million pour atteinte à la dignité humaine, dommages physiques, dommages moraux, arrestation illégale et pour dommages exemplaires et punitifs. Dans sa poursuite, il affirme également qu'on lui a refusé l'accès à un avocat lors de son arrivée en cellule, il aurait aussi demandé d'être transporté à l'hôpital sans plus de succès.
On aurait aussi omis de lui remettre ses médicaments et son cathéter qui lui permet d'uriner.
Le procès s'est ouvert lundi et doit se poursuivre mardi avec le contre-interrogatoire du plaignant.
L'avocate du plaignant a déjà fait savoir qu'elle entendait porter la cause en appel advenant une défaite devant le juge.


vendredi 22 mars 2013

L'impôt sur le revenu, vous arrêtez de payer ça  !



Le mouvement Citoyens souverains, qui considère l'impôt comme illégal, est dans la mire de l'Agence du revenu du Canada et des autorités policières.Quoi ,.........tout pour diaboliser M. Harpeur ? ,........ Le groupe conteste les gouvernements et leurs lois, dont la Loi sur l'impôt. Certains d'entre eux conduisent même sans permis avec des plaques d'immatriculation non conformes.
Jacques-Antoine Normandin est l'une des figures les plus importantes des Citoyens souverains au Québec. Comme la plupart des personnes qui adhèrent à ce mouvement, il est convaincu que les gouvernements n'ont pas le droit de percevoir de l'impôt.
Jacques-Antoine Normandin est l'une des figures les plus importantes des Citoyens souverains au Québec.Jacques-Antoine Normandin est l'une des figures les plus importantes des Citoyens souverains au Québec.
« Il ne faut pas se culpabiliser parce qu'on ne paie pas d'impôt. L'impôt sur le revenu, vous arrêtez de payer ça », lance-t-il en entrevue à Radio-Canada.
L'Agence du revenu du Canada suit à la trace les activités de M. Normandin ainsi que celles d'une cinquantaine d'autres groupes de Citoyens souverains au pays, selon un document provenant des services de sécurité de l'agence, dont Radio-Canada a obtenu copie.
La directrice des enquêtes criminelles à l'Agence, Johanne Charbonneau, a accepté de parler à Radio-Canada, à condition de ne pas être vue à l'écran pour des questions de sécurité.
« Les renseignements qu'on a, c'est que, oui, il faut être à l'affût de ça et garder certaines précautions. Il y a certains d'entre eux [des membres de Citoyens souverains] qui promeuvent une certaine violence envers les gens avec autorité. » — Johanne Charbonneau, directrice des enquêtes criminelles, Agence du revenu du Canada
Les Citoyens souverains rencontrés par l'équipe de Radio-Canada se disent pacifiques. Ils sont toutefois prêts à tenir tête à un système qu'ils jugent illégal.
Du côté de l'Agence du revenu, le message est clair. « Ne pas payer ses impôts, c'est un crime », souligne Mame Charbonneau;)
Selon l'Agence, le mouvement Citoyens souverains est en pleine expansion et compterait 4000 adeptes au Canada.
Le mouvement s'étend en Estrie
Plusieurs figures de proue des Citoyens souverains se retrouvent en Estrie dont Jacques-Antoine Normandin, de Cowansville. Ce dernier utilise plusieurs identités (Jacques Normandin, Jacques-Joseph-Pierre-Antoine Normandin, Jacques-Antoine Lagassé-Normandin). « Mon nom d'Être humain, c'est mon nom de baptême, c'est ce qu'on retrouve dans l'Acte de baptême. Mon nom, c'est Jacques-Joseph-Pierre-Antoine. Normandin, c'est la lignée, c'est un nom juridique. Notre numéro d'assurance sociale est attaché à notre nom de famille et non pas à l'Être humain, à notre nom de baptême », explique-t-il.
Réjean Dubois et de son fils Jean-François, qui vivent à La Patrie, sont convaincus que la Constitution ne s'applique pas au Québec et que les lois sont invalides. « On ne peut pas continuer à payer une cenne d'impôt. C'est fini! Enrichir le système, enrichir le Barreau du Québec qui se fait des lois pour se donner de l'ouvrage, c'est assez! », dénoncent-ils.
Les actions des Citoyens souverains ont aussi joué un rôle dans la saga entourant la vente du Club de golf de l'Estrie. L'ancien directeur général de l'endroit, Luc Bergeron, a été congédié en 2007, mais la propriétaire du club de golf refusait de payer les sommes qui restaient à son contrat, ce qui représentait une somme de 66 000 $. Selon ce qu'a appris Radio-Canada, les Citoyens souverains, et plus particulièrement Jacques-Antoine Normandin, ont joué un rôle dans ce dossier.
Luc Bergeron s'est retrouvé envahi de documents volumineux provenant des Citoyens souverains. « On a commencé à recevoir des documents. Le premier contenait 14 pages et on n'en comprenait pas 10 %, ni mon avocat. Mon avocat commençait à être sur le nerf chaque fois qu'il voyait le postier arriver avec des documents. Il savait que c'était encore un paquet de cochonnerie qu'il était obligé de lire. »
Selon l'avocat constitutionnaliste et ancien ministre de la Justice, Benoît Pelletier, les arguments des Dubois ne tiennent pas la route. Les Tribunaux ont également tous rejeté les arguments des Citoyens souverains.

Le mouvement Citoyens souverains, qui considère l’impôt comme illégal, est dans la mire de l’Agence du revenu du Canada,.....ça veut tu dire qu'on est près a se séparer du Canada et rapatrier notre assurance chomage et mettre dehors le Sénat et la Reine ? trudeau s'est déja retourné debord dans sa tombe ! Le mouvement de frénisie a la sauce  Oklahoma City est inscrusté dans notre code génétique,il est trop tard,vous devez sortir de la Matrice!


La journaliste Brigitte Bureau et la réalisatrice Sylvie Robillard présentent un reportage complet sur le mouvement Citoyens souverains et sa doctrine, jeudi soir, à 21 h, à l'émission « Enquête » de Radio-Canada.