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lundi 12 octobre 2020

Jean Charest poursuit le gouvernement du Québec , Ha ha ha !

 

Jean Charest poursuit le gouvernement du Québec, Ha ha ha ! 

 

 L’ancien premier ministre Jean Charest poursuit le gouvernement du Québec pour violation de sa vie privée dans la foulée des fuites entourant l’enquête de l’Unité permanente anticorruption (UPAC) sur le financement du Parti libéral. Il réclame un million de dollars.

 

REF.: Vincent Larouche
La Presse

« C’est à contrecœur que je dépose aujourd’hui une poursuite contre le gouvernement du Québec pour violation de ma vie privée », écrit M. Charest dans un communiqué.

La Presse a obtenu copie de la poursuite, dont l’existence avait d’abord été révélée par Cogeco Nouvelles.

La poursuite concerne précisément les documents d’enquête interne de l’UPAC obtenus par le groupe Québecor et publiés à partir d’avril 2017. On y retrouvait notamment des informations sur les voyages de M. Charest et un organigramme où apparaissait la photo de l’ancien premier ministre. Les informations provenaient du projet Mâchurer, une enquête qui est toujours ouverte sur le financement du PLQ, mais qui n’a mené à aucune accusation à ce jour.

« Au cours des dernières années, des informations confidentielles sur ma privée ainsi que sur ma famille ont fait l’objet de plusieurs fuites médiatiques. Ces fuites sont illégales et constituent de surcroît une entrave à la justice », plaide Jean Charest dans son communiqué.

La poursuite fait état de la « frustration » et de « l’embarras » ressentis par l’ancien politicien et sa famille. Le texte s’attaque même au nom de code choisi pour l’enquête.

« L’UPAC, qui mène l’enquête “Mâchurer”, et le gouvernement dont elle relève sont responsables de cette violation de ma vie privée », ajoute-t-il. Dans sa poursuite, l’ancien premier ministre indique qu’il a offert au gouvernement de participer à un processus de médiation pour régler l’affaire le 15 septembre dernier, sans succès. Il dit qu’il était prêt à renoncer à sa poursuite en échange d’excuses publiques du gouvernement, mais que son offre a été refusée.

M. Charest souligne que la date de prescription pour déposer une poursuite dans cette affaire était fixée au 10 octobre 2020 et qu’il devait donc aller de l’avant dès maintenant.

Une enquête

L’UPAC a interrogé de nombreux témoins dans le cadre du projet Mâchurer. En 2017, plusieurs des personnes interrogées avaient raconté à La Presse que les enquêteurs s’intéressaient au train de vie de M. Charest et posaient des questions sur la possibilité que des entreprises lui aient consenti un « pont d’or » pour qu’il prenne la tête du Parti libéral en 1998. À ce jour, rien de concret n’est ressorti de ces rencontres de témoins.

Les fuites de documents du projet Mâchurer ont mené à bien des problèmes pour l’UPAC. Le corps policier a d’abord arrêté le député Guy Ouellette, qu’elle disait lié à ces fuites, avant de libérer sans accusations et de voir ses mandats de perquisition invalidés. Plusieurs dirigeants de l’UPAC ont ensuite quitté l’organisation.

Récemment, les fuites de matériel d’enquête ont aussi mené à l’arrêt des procédures criminelles intentées contre l’ancienne vice-première ministre Nathalie Normandeau et l’ancien ministre Marc-Yvan Côté.

 

REF.:

mardi 4 février 2020

Un enquêteur du SPVM,mit sur la glace !

Un enquêteur du SPVM,mit sur la glace !

Une bonne police:

 



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REF.: Patrick Lagacé


Un message, vendredi matin, un flic : « Septimus Neverson : coupable sur toute la ligne. Tu sais qui a rendu sa capture possible ? »
J’ai échappé un « Yessss » bien senti en apprenant la condamnation de Neverson. J’avais presque oublié son procès, qui est un peu passé sous le radar ces derniers mois.
Septimus Neverson est pourtant une authentique crapule, un fou furieux : une douzaine de violations de domicile avec agression, un meurtre, trois tentatives de meurtre, une traque qui s’est étirée sur des années.
Il entrait chez les gens, exigeait argent et bijoux. Et quand ses victimes hésitaient ou résistaient, il tirait.
Neverson a frappé de 2006 à 2009, en deux vagues distinctes. La violence du suspect inquiétait la police de Montréal, qui menait l’enquête.
Mais le plus inquiétant, c’est que la police n’avait à peu près pas d’indices pour le coincer.
Pendant longtemps, la police a couru après une ombre encagoulée à l’accent anglais des Antilles.
***
En 2010, j’ai fait le récit dans La Presse de la fois où la police avait failli le coincer, dans Côte-des-Neiges. Il s’en était sorti en prenant un enfant de 10 ans en otage.
Ce fantôme que la police traquait était d’un sang-froid et d’une efficacité qui étonnaient les enquêteurs. Il agissait seul, alors que les violations de domicile avec agression sont souvent le fait de petits groupes de truands.
À l’époque, un superviseur aux crimes majeurs du SPVM m’avait dit ceci : « C’est un gars d’un calme incroyable, même dans les situations tendues. C’est le style de gars qui pourrait avoir été mercenaire : il n’y a rien à son épreuve. »
Il a fini par être attrapé, heureusement. En 2015, avec Vincent Larouche, nous avons raconté ce que nous savions de la traque qui a permis de l’arrêter à Trinité-et-Tobago.
***
Un message, vendredi matin, un flic : « Septimus Neverson : coupable sur toute la ligne… »
Je suis allé sur l’appli de La Presse. Neverson, son regard de porc frais, impassible, coiffait l’article de Louis-Samuel Perron : coupable des 54 chefs d’accusation, il risque la prison à vie. J’ai eu une pensée pour Jacques Sénécal et sa famille. M. Sénécal a été tué en 2006 par Neverson…
« … Tu sais qui a rendu sa capture possible ? »
Je savais. Je ne l’avais jamais écrit.
La police a longtemps nagé en plein mystère. Elle n’avait que quelques indices…
L’accent des Antilles, fort probablement de Trinité : une de ses victimes, qui avait parlé avec Neverson, était de Trinité. Cet accent-là était pour elle aussi reconnaissable que pour un Québécois qui entend l’accent du Lac à l’autre bout du monde.
Un autre indice : une échelle, laissée sur place lors de l’attaque de Côte-des-Neiges. Cela a mené la police dans une quincaillerie, où elle a obtenu une photo floue du suspect.
Et cet indice, capital, trouvé grâce à la minutie des techniciens de scène de crime du Service de police de Laval : sur un fil provenant d’un gant de Neverson, la police a trouvé du matériel génétique microscopique. L’ADN du tueur. Mais même cet indice débouchait sur un cul-de-sac : l’ADN du suspect ne se trouvait dans aucune base de données policière.
Quelques indices, donc. Qui ont fini par aider grandement la police. Voyez ces indices comme des dominos, prêts à tomber jusqu’à Septimus Neverson…
Mais il manquait le premier domino, celui qui allait faire tomber les autres.
En 2011, l’équipe de policiers qui traquait le fantôme Neverson s’est mise en dormance. Le suspect avait cessé de frapper. Et l’enquête n’allait nulle part.
Mais en novembre 2013, le déblocage est survenu. Quelqu’un s’est présenté dans un poste de police et il a demandé de parler à un enquêteur en particulier.
Le nom de cet enquêteur est Fayçal Djelidi.
***
Je connais Fayçal Djelidi, je ne peux pas le cacher. L’affaire de mon espionnage du SPVM en 2016, ça part de Djelidi. C’est lui qui a été injustement arrêté avec d’autres policiers en juillet 2016 sous des prétextes qui étaient si stupides et si surréalistes que la cause s’est écroulée devant les tribunaux.
Le fait que Fayçal Djelidi était en contact avec moi, journaliste à La Presse, a été utilisé comme prétexte pour le faire piéger par les affaires internes. Je l’ai dit à plusieurs reprises.
Djelidi, excellent enquêteur, a un talent particulier pour recruter des sources dans le milieu criminel. À l’époque où il œuvrait dans la lutte contre les gangs de rue, c’était une de ses grandes forces : les sources.
Je précise que Djelidi ne m’a jamais donné de secrets d’enquête. Il m’a souvent expliqué « comment ça marche », dans la rue, dans le milieu criminel, dans la police, dans ce métier qu’il adorait…
Fayçal Djelidi était donc « connu » dans la rue pour être un policier fiable, à la réputation « clean » avec ses sources. Et il avait beaucoup de sources, ce qui l’aidait dans ses enquêtes.
Or, quand la source s’est présentée au poste de police, en ce jour de novembre 2013 pour dénoncer Septimus Neverson, Djelidi ne connaissait pas la source.
Mais la source le connaissait, lui, de réputation.
La source a tout balancé : l’identité de Neverson, son modus operandi, les endroits où il avait frappé, l’identité et le quartier de résidence de sa fille habitant à Montréal…
Et un objet volé lors d’un braquage.
De l’état de « dormance », l’enquête policière est passée en cinquième vitesse. On a formé une escouade mixte de Gestion d’enquête de criminel en série (GECS) composée de policiers de la SQ, du SPVM et de Laval pour le traquer. La source de Djelidi a reçu le statut d’ACI, « agent civil d’infiltration », et a participé activement à l’enquête pour capturer Septimus Neverson. Et Fayçal Djelidi s’est joint au GECS.
Un peu plus de deux ans plus tard, Septimus Neverson était arrêté chez lui, à Port of Spain.
***
Entre novembre 2013 et février 2015, la police est donc passée en cinquième vitesse pour monter le dossier et trouver Neverson.
Un travail admirable, où ils ont déployé des trésors d’imagination pour jeter leurs filets…
Un exemple ?
La fille de Neverson habite Montréal. Elle a une petite fille. Pour crédibiliser certaines informations et faire un lien entre Neverson – alias David Munroe, nom figurant sur son faux passeport canadien – et Montréal, il fallait établir si cette femme était en effet la fille de Septimus Neverson.
Comment établir ce lien de filiation ?
Avec l’ADN.
Les policiers ont élaboré un scénario hollywoodien pour obtenir l’ADN de la fille de Neverson et de sa petite-fille sans éveiller les soupçons. Ils se sont déguisés en mascottes et ont inventé un faux concours pour gagner un voyage à Disney…
Et ils ont intercepté les enfants qui passaient sur une rue d’un quartier de Montréal, pour leur faire remplir un formulaire…
Et leur faire boire un petit verre de jus. Ainsi qu’à leurs parents.
Cette mise en scène visait uniquement à recueillir l’ADN de deux personnes soupçonnées d’être la fille et la petite-fille de Septimus Neverson.
La mise en scène a fonctionné. Les policiers ont réussi à faire boire du jus à la fille de Neverson et à sa petite-fille. Les deux verres de plastique ont été conservés dans une poubelle distincte. Et les analyses en laboratoire ont démontré que l’ADN recueilli à Laval sur la scène du meurtre de Jacques Sénécal était indubitablement lié à la femme et à sa petite-fille qui ont bu le jus tendu par les policiers déguisés en mascotte…
Quand j’ai contacté Djelidi ce week-end, il n’avait qu’une seule chose à me dire : « Gros travail d’équipe. »
Gros travail d’équipe sous la direction du commandant Pascal Côté du SPVM, travail qui va vraisemblablement envoyer Septimus Neverson en prison jusqu’à la fin de ses jours.
***
La police a donc travaillé de façon admirable.
Mais chaque indice a fini par former un tout cohérent quand l’enquêteur Djelidi a reçu les confessions d’une source qui avait entendu parler de lui dans la rue. Et qui a fait confiance à Djelidi avec son secret, l’identité d’un dangereux criminel qui n’hésitait pas à tuer.
Mais tragiquement, trois ans plus tard, Djelidi se faisait piéger avec d’autres enquêteurs du SPVM dans une enquête interne si mal ficelée qu’elle est devenue une crise politique qui a fini par déboucher sur une commission d’enquête et la démission du directeur du SPVM.
L’enquête contre Djelidi et ses coéquipiers était politiquement dirigée, menée par les inspecteurs Gadget des Affaires internes du SPVM, ces incompétents qui ont menti éhontément dans des mandats de perquisition si puants que la Couronne a fini par retirer les accusations…
D’où l’immense ironie de la culpabilité de Septimus Neverson aux 54 chefs d’accusation qui pesaient contre lui : Fayçal Djelidi, décoré pour son travail dans cette enquête, n’est à ce jour toujours pas réintégré comme enquêteur au sein du SPVM.
Juste avant d’envoyer ce texte à La Presse, j’ai envoyé un texto à Djelidi, si durement éprouvé par l’incompétence des enquêteurs des Affaires internes, je lui ai parlé comme ils se parlent entre eux…
Je lui ai dit : Oublie jamais que t’es une bonne police.

REF.:

lundi 13 janvier 2020

SNC-Lavalin: Corruption: est-ce la fin ou le début?

SNC-Lavalin: Corruption: est-ce la fin ou le début?





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Un yacht de 25 M$ pour le fils du dictateur Kadhafi. Un spectacle privé du rappeur 50 Cent. Des escortes et des bouteilles de vin à plusieurs milliers de dollars.
SNC-Lavalin n’a pas lésiné sur les moyens pour corrompre le régime libyen à partir du début des années 2000.
Notre Bureau d’enquête a montré cette semaine les pratiques d’affaires nauséabondes de ce fleuron québécois de l’ingénierie et de la construction dans cette dictature du Moyen-Orient.
Nos reportages ont été possibles parce que notre journaliste Jean-François Cloutier a passé des semaines à assister à l’enquête préliminaire qu’a subie l’entreprise, l’an dernier.
Il a aussi pu éplucher des centaines de pages de documents judiciaires.
Ce travail demande beaucoup de temps, mais nous croyons que l’investissement en vaut la chandelle pour dévoiler ce que certains riches et puissants aimeraient vous cacher.
Le PDG Jacques Lamarre, par exemple, était en copie dans des courriels qui décrivaient des paiements douteux.
À table avec le dictateur
Le patron de SNC International, Michael Novak (mari de l’ex-ministre libérale Kathleen Weil), quant à lui, a signé au moins cinq contrats permettant le transfert de fonds pour payer les pots-de-vin.
Les deux hommes n’ont fait face à aucune accusation et ont assuré qu’ils ignoraient toute fraude.
À la suite de notre reportage, l’ex-premier ministre y est allé d’une brève déclaration écrite dans laquelle il assure n’avoir reçu aucune rémunération pour ce service et n’avoir eu « aucun autre contact » avec le fils de Kadhafi.
Mais Philippe Couillard n’a pas donné suite à notre demande d’entrevue.
S’il nous rappelle, nous lui demanderons si, en 2008, il avait entendu parler des soupçons qui pesaient contre le régime libyen d’avoir commandité deux attentats à la bombe contre des avions à la fin des années 1980, qui ont fait des centaines de morts.
La pointe de l’iceberg
Ces trouvailles ne sont-elles que la pointe de l’iceberg ? Y aura-t-il d’autres accusations à venir ?
En surface, 2019 s’achève avec la fin de la saga judiciaire de SNC-Lavalin--. Sami Bebawi passera plusieurs années au pénitencier. L’entreprise a accepté de payer une amende de 280 M$, et ne s’inquiète plus pour son avenir, puisqu’elle pourra continuer à obtenir des contrats publics fédéraux.
Mais nous verrons en 2020 si SNC et ses ex-dirigeants en ont vraiment fini avec la justice.
Jean-Louis Fortin, Directeur du Bureau d’enquête


jeudi 19 décembre 2019

Politique et justice: La vengance de Jean Charest

Politique et justice: La vengance de Jean Charest




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L'ancien premier ministre du Québec Jean Charest songe à la possibilité de se porter candidat à la chefferie du Parti conservateur du Canada.......un bon test !
Jean Charest le Libéral et ancien conservateur  se vange, en revenant en politique,ça va bien entrer dans sa future biographie lol !

Il veut se refaire une image, a l'opposé du livre du journal de montreal "PLQ inc", a l'opposé de la commission Charbonneau,qui a laissé des cicatrices.
Il se montrera blanc comme neige face au Québécois qui ne se souviennent plus(estrie de licence a marde dla Saaq)et il sera réélu ,parce que la politique ,et la justice (c'est un avocat strie!),c'est comme la lutte ,c'est arrangé. Surtout venant d'un avocat,la profession ou il y a le plus de crosse !

 Il va surement rire ,quand il va voir que le monde vont voter pour son discours et pour sa future pension ,une job c'est une job ,quand tu ne peu fitter ailleurs ,tu reviens a tes sources(la politique),sauf que ça va prendre plus de garde du corps! A un moment donné , un peuple s'écoeure yf@! On ne pourra pas démolir un ancien premier Ministre ,tel un phenix il renaît de ses cendres ,que ce soit Charest,Trump,le plaisir est le même.Comme remboursé une partie de l’hypothèque de la maison de son ancien chef ,Petit Jean C. à Westmount, avant de lui verser un salaire de 75 000$.

Les bâtisseurs du Québec seront toujours épargnés,et c'est ce qui est en train d'advenir avec SNC Lavalin.On ne peut pas démolir un Chef politique et encore moins démolir des ingénieurs véreux d'SNC Lavalin.Parce que dans les hautes sphères de la justice ,entre deux portes closes ,ils s'entendent pour nous cacher la vérité au Québécois,simplement en plaidant coupable pour fraude.

Le titre SNC-Lavalin a bondi en Bourse de plus de 25 % après l'annonce du règlement du dossier.Mais le problême c'est que la corruption n'est pas prouvable au Québec (welcome mafiosi mafiosa)tout comme ailleurs.

Bienvenue en enfer,vous êtes tous protégés par Belzébut ! Ici ,il n'y a pas de place pour la vérité ,vous êtes tous coupable ,les uns les autres. L'argent et la gloire vous gardera jusqu'a votre mort !
Belzébut se chargera de soupoudré de la poudre d'orgueil sur votre Égo.Sauf, si jamais un jour par l'entremise de Lucifer ,le pardon venait a votre esprit ,pour enfin vraiment aider votre prochain.




REF.:






vendredi 19 octobre 2018

La naissance du New World Order





La naissance du New World Order



élection ou érection, politicaillerie, Politichienne ou Politichien, NSA, NSC,

Ronald Regan : Janvier 1981 a la maison blanche, et ancien acteur.
Il est un adepte du Kitchen cabinet c.a.d. une réunion d'un petit groupe informel ,dans les cuisines de la maison blanche.
James Baker en fait parti ,celui qui deviendra chef d'état major puis son ministre.
Alexander Haig,aux affaires étrangères (survécu a 6 administrations différentes).
Robert Mc Farlane, ancien commandant des marines ,au conseil de sécurité national.
Richard Perle,expert en stratégie nucléaire ,est nommé secrétaire adjoint pour la politique étrangère.
Nancy Regan,l'influençait et était au courrant de tout les dossiers ,car James Baker lui ouvre toutes les portes ,tous les dossiers . Donc, Nancy va co-diriger le pays avec son mari Ronald.

Le 30 Mars 1981 ,ont a tiré sur le président Regan. Le vice-président Bush est en vacance et pas rejoignable . Alexander Haig , a ce moment a prit les commande et pour un lapse de temps ,il s'est prit pour le président des USA. Plus tard Haig donna sa démission ,car avec Regan ça n'allait pas bien. Il fut remplacé par George Shultz ,comme secrétaire d'état. Il y avait des fuites d'information sur les diverses opérations secrètes a la CIA. Alors Regan ordonna a William Webster(directeur de la CIA)de faire passer ses hommes au détecteur de mensonge ,ainsi que les ministres,(c'était le même problême avec Nixon).

Le scandale de l'Irangate ,commença quand Mc farlane négociait avec l'Iran pour vendre des armes ,secrètement ,ou d'échanger des armes contre des otages. Et Regan niait ,le tout.
L'argent de la vente d'armes a l'Iran ,ont obtenait la libération des otages au Liban et avec le profit ,ont pouvait ,soutenir au Nicaragua le renversement du régime communiste au pouvoir. appelé les contras au Nicaragua . Mais c'était illégale d'utiliser de cette argent ,si le congrès ne l'avait pas autorisé. North et Mc Farlane étaient les seuls au courant de ça. Selon l'astrologue de Nancy Regan ,Ronald Regan et ses astres étaient favorable a ce qu'il s'explique devant les américains sur les Contras et l'Irangate. Et que Regan a dit qu'il n'était pas au courant des Contras . Et qu'il reconnaissait l'erreur de son gouvernement. Schulz et Winberger étaient au courant de ça et ils sont quand même rester au gouvernement. Le vice-président Geaoge Bush sénior nit tout et dit qu'il n'est pas lier a l'Irangate . Mais c'était faux ,et il était la quand toute les décisions ont été prises(selon Shultz et Mc Farlane). Mais, Bush était candidat aux présidentielles et que ça aurait nuis a son élection,comme président des USA. Et Bush fut le président sortant ,remplaçant Reagan.
Bush senior forma sont gouvernement, avec James Baker comme secrétaire d'état ,Brent Scowcroft prend la tête de la sécurité nationale ,Laurence eagleberger sera son conseillier personnel, William Webster était directeur de la CIA (formé pas Bush lui-même),Bush sénior avait été directeur de la CIA en 1973. Webster remettait a chaque matin un journal sur les activités de la CIA dans le monde.Le mur de Berlin (Nov 1989)tomba et la chute de l'union soviétique s'effondra. En 1990 les Irakiens(Saddam Hussein) envahissent le Koweit . Et lors de cette événement le personnel de la maison blanche se réunirent au sous-sol dans la 'situation room' ,avec le Pentagone . Et Bush intervena en 1991 avec l'armé. Il a laisser les militaires contrôler la guerre.

La guerre froide est finit et la politique étrangère n'est plus considéré importante. Le NSA a prit le pas sur le NSC. La CIA et le Pentagone est en perte de vitesse. Puisqu'aucun adversaire ne peut menacer leurs intérêts vitaux et que les enjeux ,les guerres ne sont seulement qu'économiques. tout n,est plus qu' économie de marché et tout le monde sait qu'il vaut mieux posséder a la fois l'économie et le marché. C'est le début d'un nouvel ordre mondiale exportable. Le conseillier commerçiale du président est devenu un poste principale de l'état.

Jamais au court du 20 ième siècle un pays n'a exercé une influence aussi décisive,une hégémonie aussi absolue !






*Note sur les élections de Regan en 1981


Sur l'affaire de la libération des otages américains en Iran , en 1981: Laurence Terne ,du Washington Post a déclaré que "l'administration Régan avait en plus des armes militaires(que l'Iran avait déja payé),versé plus de 3 milliards $ aux ravisseurs Iraniens." Selon william Quandt du conseil de sécurité nationale : au moment ou les otages quittaient l'Iran , un autre avion quittait Israel avec des armes destinées aux Iraniens . Ils se sont croisées au-dessus de l'Iran .

 L'avion des otages quittait le 20 janvier 1981 Téhéran et un avion quittait Israel avec a son bord du matériel militaire américain. Ce n'était pas une coincidence ,car Robert Mc Farlane (conseillier national sécurité)du président Ronald Regan ,est contacté par un inconnu qui lui propose de retarder la libération des otages afin de ruiner les chances de Carter d'être élu et d'aider la victoire de Regan.
Les négotiations comme tel furent conduite par Warren Christopher (secrétaire d'état) ,selon les dire de Richard Perle ,secrétaire adjoint au département d'état . C'est ça de la politicaillerie.

REF.:

Ronald Regan : Les hommes de la Maison Blanche



Ronald Regan : Les hommes de la Maison Blanche




élection ou érection, politicaillerie, Politichienne ou Politichien

Ronald Regan : Janvier 1981 a la maison blanche, et ancien acteur.
Il est un adepte du Kitchen cabinet c.a.d. une réunion d'un petit groupe informel ,dans les cuisines de la maison blanche.
James Baker en fait parti ,celui qui deviendra chef d'état major puis son ministre.
Alexander Haig,aux affaires étrangères (survécu a 6 administrations différentes).
Robert Mc Farlane, ancien commandant des marines ,au conseil de sécurité national.
Richard Perle,expert en stratégie nucléaire ,est nommé secrétaire adjoint pour la politique étrangère.
Nancy Regan,l'influençait et était au courrant de tout les dossiers ,car James Baker lui ouvre toutes les portes ,tous les dossiers . Donc, Nancy va co-diriger le pays avec son mari Ronald.

Le 30 Mars 1981 ,ont a tiré sur le président Regan. Le vice-président Bush est en vacance et pas rejoignable . Alexander Haig , a ce moment a prit les commande et pour un lapse de temps ,il s'est prit pour le président des USA. Plus tard Haig donna sa démission ,car avec Regan ça n'allait pas bien. Il fut remplacé par George Shultz ,comme secrétaire d'état. Il y avait des fuites d'information sur les diverses opérations secrètes a la CIA. Alors Regan ordonna a William Webster(directeur de la CIA)de faire passer ses hommes au détecteur de mensonge ,ainsi que les ministres,(c'était le même problême avec Nixon).

Le scandale de l'Irangate ,commença quand Mc farlane négociait avec l'Iran pour vendre des armes ,secrètement ,ou d'échanger des armes contre des otages. Et Regan niait ,le tout.
L'argent de la vente d'armes a l'Iran ,ont obtenait la libération des otages au Liban et avec le profit ,ont pouvait ,soutenir au Nicaragua le renversement du régime communiste au pouvoir. appelé les contras au Nicaragua . Mais c'était illégale d'utiliser de cette argent ,si le congrès ne l'avait pas autorisé. North et Mc Farlane étaient les seuls au courant de ça. Selon l'astrologue de Nancy Regan ,Ronald Regan et ses astres étaient favorable a ce qu'il s'explique devant les américains sur les Contras et l'Irangate. Et que Regan a dit qu'il n'était pas au courant des Contras . Et qu'il reconnaissait l'erreur de son gouvernement. Schulz et Winberger étaient au courant de ça et ils sont quand même rester au gouvernement. Le vice-président Geaoge Bush sénior nit tout et dit qu'il n'est pas lier a l'Irangate . Mais c'était faux ,et il était la quand toute les décisions ont été prises(selon Shultz et Mc Farlane). Mais, Bush était candidat aux présidentielles et que ça aurait nuis a son élection,comme président des USA. Et Bush fut le président sortant ,remplaçant Reagan.
Bush senior forma sont gouvernement, avec James Baker comme secrétaire d'état ,Brent Scowcroft prend la tête de la sécurité nationale ,Laurence eagleberger sera son conseillier personnel, William Webster était directeur de la CIA (formé pas Bush lui-même),Bush sénior avait été directeur de la CIA en 1973. Webster remettait a chaque matin un journal sur les activités de la CIA dans le monde.Le mur de Berlin (Nov 1989)tomba et la chute de l'union soviétique s'effondra. En 1990 les Irakiens(Saddam Hussein) envahissent le Koweit . Et lors de cette événement le personnel de la maison blanche se réunirent au sous-sol dans la 'situation room' ,avec le Pentagone . Et Bush intervena en 1991 avec l'armé. Il a laisser les militaires contrôler la guerre.

La guerre froide est finit et la politique étrangère n'est plus considéré importante. Le NSA a prit le pas sur le NSC. La CIA et le Pentagone est en perte de vitesse. Puisqu'aucun adversaire ne peut menacer leurs intérêts vitaux et que les enjeux ,les guerres ne sont seulement qu'économiques. tout n,est plus qu' économie de marché et tout le monde sait qu'il vaut mieux posséder a la fois l'économie et le marché. C'est le début d'un nouvel ordre mondiale exportable. Le conseillier commerçiale du président est devenu un poste principale de l'état.

Jamais au court du 20 ième siècle un pays n'a exercé une influence aussi décisive,une hégémonie aussi absolue !






*Note sur les élections de Regan en 1981


Sur l'affaire de la libération des otages américains en Iran , en 1981: Laurence Terne ,du Washington Post a déclaré que "l'administration Régan avait en plus des armes militaires(que l'Iran avait déja payé),versé plus de 3 milliards $ aux ravisseurs Iraniens." Selon william Quandt du conseil de sécurité nationale : au moment ou les otages quittaient l'Iran , un autre avion quittait Israel avec des armes destinées aux Iraniens . Ils se sont croisées au-dessus de l'Iran .

 L'avion des otages quittait le 20 janvier 1981 Téhéran et un avion quittait Israel avec a son bord du matériel militaire américain. Ce n'était pas une coincidence ,car Robert Mc Farlane (conseillier national sécurité)du président Ronald Regan ,est contacté par un inconnu qui lui propose de retarder la libération des otages afin de ruiner les chances de Carter d'être élu et d'aider la victoire de Regan.
Les négotiations comme tel furent conduite par Warren Christopher (secrétaire d'état) ,selon les dire de Richard Perle ,secrétaire adjoint au département d'état . C'est ça de la politicaillerie.

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mardi 21 février 2017

Des Policiers déchus du SPVM parlent: Les cadres du SPVM corrumpus



D'anciens policiers accusent le SPVM de fabriquer de la preuve

D’ex-policiers montréalais affirment que le deuxième plus grand service de police municipal au pays fabrique de la preuve afin de faire taire ses employés. Au banc des accusés: la section des Affaires internes du SPVM.
Pour la première fois depuis leur fin de carrière abrupte, le 17 juin 2013, les hauts gradés Jimmy Cacchione et Giovanni Di Feo brisent le silence dans une entrevue qui sera diffusée à l’émission J.E. ce soir, à l’antenne de TVA.
Au début de l’année 2012, l’inspecteur Cacchione, affecté à l’aéroport de Montréal, et l’inspecteur-chef Di Feo, responsable des services à la communauté, allèguent avoir trouvé des cas de corruption au sein des forces de l’ordre.
«Nous étions pour préparer une lettre au ministère de la Sécurité publique ainsi qu’aux médias, afin de dévoiler des cas de corruption à l’intérieur du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM)», affirme Jimmy Cacchione dans une entrevue accordée à notre Bureau d’enquête.



D’ex-policiers accusent le SPVM de fabriquer de la preuve

D'ex-policiers montréalais affirment que le deuxième plus grand service de police municipal au pays fabrique de la preuve afin de faire taire ses employés. Au banc des accusés : la section des Affaires internes du SPVM.
Pour la première fois depuis leur fin de carrière abrupte, le 17 juin 2013, les hauts gradés Jimmy Cacchione et Giovanni Di Feo brisent le silence dans une entrevue qui sera diffusée dans l’émission «J.E.» ce soir à l’antenne de TVA.
Au début de l’année 2012, l’inspecteur Cacchione, affecté à l’aéroport de Montréal, et l’inspecteur-chef Di Feo, responsable des services à la communauté, allèguent avoir trouvé des cas de corruption au sein des forces de l’ordre.
«Nous étions pour préparer une lettre au ministère de la Sécurité publique ainsi qu’aux médias, afin de dévoiler des cas de corruption à l’intérieur du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM)», affirme Jimmy Cacchione dans une entrevue accordée à notre Bureau d’enquête.

Écoute électronique

Ce que les deux collègues ne savaient pas, c’est qu’alors qu’ils discutaient de l’inaction de leur employeur dans cette affaire, ils faisaient l’objet d’écoute électronique de la Gendarmerie Royale du Canada.
La direction du SPVM les soupçonnait d’entretenir des fréquentations douteuses, entre autres avec le controversé Luigi Coretti, de l’agence de sécurité BCIA. Coretti a été accusé de fraude dans cette affaire, puis les procédures contre lui ont été abandonnées.
À ce jour, les deux ex-policiers, qui cumulent 58 ans d’ancienneté dans la force constabulaire, n’ont toujours pas reçu la preuve qui leur a valu un congédiement (annulé par la suite par une entente confidentielle).
Le duo de policiers qui se décrit comme «des lanceurs d’alerte» croit toutefois après avoir consulté certains documents que la section des affaires internes du SPVM a fabriqué de la preuve afin de les faire taire.

Fabrication

«Aujourd’hui il y a de la fabrication d’allégations et à partir de ça on initie des enquêtes afin de museler les gens qui ont des choses à dire», raconte M. Cacchione.
À titre d’exemple, selon les documents consultés par notre Bureau d’enquête, le SPVM allègue que Giovanni Di Feo est le parrain du fils de Luigi Coretti. Or, lorsque joint au téléphone, ce dernier nous a affirmé ne pas avoir d’enfant.
«Les directeurs adjoints qui sont en place connaissent cette façon de faire», estime Di Feo.
Dans le cadre du reportage diffusé à 19h30 ce soir à TVA, trois autres cas similaires sont abordés.
Le directeur du SPVM, Philippe Pichet, nous a accordé une entrevue afin de justifier les pratiques controversées des Affaires internes du SPVM.
«Nos policiers ne fabriquent pas de preuve, pas à ma connaissance» a-t-il affirmé. «Si j’en avais la preuve, je référerais tout de suite le dossier à un autre corps de police pour qu’il y ait enquête là-dessus», a assuré le chef de police.(Allo GRC ?)
 

 

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jeudi 10 novembre 2016

La haute direction de l'UPAC , joue une game politique


La haute direction de l'UPAC « joue une game politique », accuse Lino Zambito

La haute direction de l'Unité permanente anticorruption (UPAC) « joue une game politique » qui a une incidence directe sur la conclusion d'enquêtes policières, accuse l'ancien témoin-vedette de la commission Charbonneau, Lino Zambito.
Radio-Canada avec La Presse canadienne
Dans des entrevues accordées jeudi à Radio-Canada à l'occasion de la publication de son livre intitulé Le témoin, l'ancien entrepreneur en construction déplore les « relations malsaines » que l'UPAC entretient avec le bureau du premier ministre du Québec.
Après quatre ans de collaboration avec l'UPAC, et 35 rencontres avec ses enquêteurs, M. Zambito dit avoir longtemps espéré que la haute direction de l'UPAC « ferait [sa] job correctement », avant de déchanter.
[Mon livre] est une façon polie de dire aux dirigeants de l'UPAC qu'ils ont le mandat clair de faire le ménage dans l'industrie de la construction et dans le financement politique des partis provinciaux. Je trouve qu'ils ne le font pas. C'est une façon polie de leur dire de se réveiller et d'assumer leurs responsabilités.

Lino Zambito
« Je me suis aperçu que les enquêtes étaient mises sur des bureaux et qu'elles ne débouchaient pas », explique-t-il. « La seule façon de donner ma version et de poser des questions [...], c'est d'écrire les faits dans un livre. »
Les enquêteurs de l'UPAC font un « excellent travail », précise M. Zambito, mais « la haute direction de l'UPAC [...] décide de finaliser certains dossiers et de ne pas amener des accusations dans d'autres dossiers. »
La haute direction de l'UPAC [...] joue une game politique. Il y a des relations malsaines avec le bureau du premier ministre. On décide de temps en temps d'accuser une personne [...] On tente de faire baisser la pression médiatique. [...] Ils ont la preuve pour arrêter beaucoup plus de monde qu'ils ne l'ont fait.

Lino Zambito

Le commissaire de l'UPAC, Robert Lafrenière, le jour de l'arrestation de sept personnes dont Nathalie Normandeau
Le commissaire de l'UPAC, Robert Lafrenière, le jour de l'arrestation de sept personnes dont Nathalie Normandeau   Photo : Ryan Remiorz
M. Zambito soutient par exemple qu'un enquêteur de l'UPAC dans un dossier lié à la Ville de Boisbriand lui a confirmé lors de son passage à la commission Charbonneau que ses supérieurs avaient fait pression pour qu'il soit arrêté. « Lui a tout le temps voulu me rencontrer, et on lui a dit : "non, tu vas l'arrêter" », relate-t-il
« Quand il y a nécessité, ils sont prêts à frapper », poursuit-il, en disant tenir pour preuve l'arrestation de l'ex-ministre libérale Nathalie Normandeau, survenue en mars dernier, alors que le patron de l'UPAC, Robert Lafrenière, sollicitait un nouveau mandat.
L'enquête s'est faite en deux mois, ça pressait. Il y avait urgence. J'ai été rencontré le 23 décembre, le 5 janvier. Ils sont venus chez nous, [déclaration assermentée] KGB, notaire. [...] J'ai dit aux enquêteurs sur le terrain : "votre boss a besoin de renouveler sa job?". Ils se sont mis à sourire.

Lino Zambito
L'UPAC affirme pour sa part que cette arrestation résulte de la fusion des opérations Joug et Lierre, ouvertes en 2014, avant d'être fusionnées.
Couillard nie toute ingérence
À l'Assemblée nationale, le premier ministre Philippe Couillard a nié toute ingérence de son cabinet dans les enquêtes de l'UPAC. « Jamais, jamais il n'y a quelque communication entre mon cabinet et les forces policières au sujet de l'enquête », a-t-il dit. « Il y a, comme c'est normal que ce soit le cas, des contacts pour les vérifications de sécurité qui entourent les nominations de membres du Conseil des ministres, ce qui est tout à fait régulier, normal. »
M. Couillard répondait à une question du chef péquiste, Jean-François Lisée, qui réclamait que des vérifications soient faites. Dans un point de presse tenu plus tôt en journée, M. Lisée disait être « énormément troublé » par les allégations de M. Zambito sur ces liens. M. Lisée disait espérer que l'UPAC ne soit pas sous influence politique, mais soutenait que les dires de M. Zambito « ouvrent des pistes que c'est peut-être pas le cas ». 
Quand la commission Charbonneau fait l'impasse sur le financement politique
M. Zambito soutient également que la commission Charbonneau a effectué du bon travail pour débusquer des rouages des systèmes de collusion et de corruption mis en place au niveau municipal, mais pas en ce qui concerne le financement politique.
Il dit cependant avoir été surpris de constater que l'ancien grand argentier libéral Marc Bibeau et l'ex-premier ministre Jean Charest n'aient pas été appelés à témoigner.
« Pourquoi on ne l'a pas fait? Pour des raisons politiques? », lui a demandé l'animateur Alain Gravel, jeudi matin, à son émision de radio. « Je ne vois pas d'autre raison. [...] La question se pose sur pourquoi on ne l'a pas fait », répond M. Zambito.
Il déplore du coup qu'un ancien conseiller de M. Charest, Alain Lauzier, ait agi comme conseiller de la commission. « J'ai un problème avec ça », dit-il, en rappelant qu'il y avait un « problème flagrant » avec le financement du PLQ. « Comment voulez-vous qu'on aille au fond de ce sujet-là? »
On veut faire des exemples avec des personnes ciblées, mais les responsables, le système de financement politique au Parti libéral, c'est Bibeau qui le pilotait. Et il avait un chef qui était Jean Charest. Et ces gens-là semblent être protégés par l'UPAC.

Lino Zambito
L'influence de Marc Bibeau

Dans la mire de l'UPAC, Marc Bibeau, est décrit par les dénonciations liées aux mandats de perquisition comme étant « le grand argentier du PLQ ».
Dans la mire de l'UPAC, Marc Bibeau est décrit par les dénonciations liées aux mandats de perquisition comme étant « le grand argentier du PLQ ».
L'ex-entrepreneur soutient avoir été frappé de constater l'influence qu'avait Marc Bibeau dans un évènement politique tenu à Laval en 2009. M. Zambito lui avait alors demandé de l'aider à faire débloquer un projet d'infrastructures à Boisbriand.
L'argentier libéral aurait accepté sans détour, étant donné que M. Zambito lui avait précédemment rendu un service en participant à convaincre la Commission scolaire de la Seigneurie-des-Milles-Îles de reconduire un bail qu'elle avait dans un édifice lui appartenant.
M. Bibeau aurait alors appelé le chef de cabinet de Jean Charest, Dan Gagnier, au grand étonnement de M. Zambito. Le contrat qu'il souhaitait faire débloquer était d'une valeur de 4 millions de dollars, ce qui ne justifiait pas d'appeler au bureau du premier ministre, selon lui.
L'affaire aurait été réglée en « cinq minutes », et le dossier aurait effectivement été débloqué quelques semaines plus tard.
Marc Bibeau lui aurait alors lancé : « Quand on forme un Conseil des ministres, on est cinq dans le war room. Je suis un des cinq et les ministres le savent. J'ai du poids. Quand on a besoin qu'un dossier se règle, ils sont mieux de bouger ».
M. Zambito n'est guère surpris que Marc Bibeau ait d'ores et déjà nié avoir tenu ces propos. « Écoutez, ça fait six ans qu'il nie tout ce qu'il fait, tout ce qu'on révèle sur lui », laisse-t-il tomber.
La mairesse de Boisbriand dans la ligne de mire

La mairesse de Boisbriand, Marlène Cordato
La mairesse de Boisbriand, Marlène Cordato (archives)
Lino Zambito a lui-même plaidé coupable à six chefs d'accusation de fraude, de complot et de corruption, après avoir admis avoir illégalement financé le parti de l'ex-mairesse de Boisbriand Sylvie St-Jean en échange de contrats pour sa firme, Infrabec. Il a écopé d'une peine de deux ans moins un jour à purger dans la collectivité.
En entrevue à Gravel le matin, il a expliqué qu'il venait tout juste de purger sa première année, au cours de laquelle il ne pouvait sortir de chez lui sans prévenir un agent de probation. Depuis minuit, et pour la prochaine année, il peut maintenant sortir librement pendant le jour, mais demeure soumis à un couvre-feu entre 22 h et 6 h.
L'ancien entrepreneur en construction se prépare aujourd'hui à donner des conférences pour inciter la population à s'engager dans la lutte contre la corruption et « à talonner le gouvernement Couillard pour qu'on fasse le ménage correctement ».
Il dénonce notamment que la mairesse de Boisbriand, Marlène Cordato, soit toujours en poste, bien que son rôle dans les histoires de corruption touchant sa municipalité soit consigné dans une déclaration conjointe des faits acceptés dans le cadre du procès de l'ex-mairesse, Sylvie St-Jean.
« Dans cette déclaration-là, la Couronne accepte que Cordato en 2006 a [pris] part à un système de corruption à Boisbriand. Elle a favorisé la firme d'ingénieurs Genivar et le bureau d'avocats Dunton Rainville. C'est écrit blanc sur noir. Et il y a un juge qui a accepté ça. »
« C'est inacceptable que cette dame-là soit encore à la tête d'une ville », dénonce M. Zambito « Faut que la population se prenne en main, que la population réagisse. Faut faire changer ces mœurs au Québec. »
Cette déclaration n'implique cependant pas une reconnaissance des faits de la part de la mairesse, qui nie avoir participé à un système de collusion. En entrevue à La Presse, elle accuse M. Zambito d'agir par vengeance parce qu'elle l'a dénoncé à la police.

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mercredi 9 novembre 2016

Élection: Trump,.... "The show must go 0ff " !




Présidentielle américaine 2016: Quels défis pour ce prochain mandat?

ETATS-UNIS Relations avec la Russie ou la Chine, dette fédérale ou régulation de la vente d’armes pourraient s’imposer comme les enjeux majeurs du prochain mandat américain…


Fini le gros show,maintenant on fait face a la réalité des pauvres gens !
Trump et les républicains contrôle  le Sénat et la Chambre des représentants,ce que ne pouvait faire Obama,mais si Trump veut donner plus au peuple il faudra qu'il arrive a contrôler les Banques et de s'attaquer a la dette du pays! Comme son idole Ronald Reagan ,il devra nous donner un bon show ,
comme un bon gestionnaire et un justicier ! Il est temps que la corruption quitte la Maison Blanche,on ne veut plus de retour d'ascenseur ,de Paradis fiscaux, de pétrole ,de guerre,de faillite; en somme les Banque$ cause tout ces problêmes de fuite de capitaux eux-même ,par leurs intérêts aux profits !Le monde hispaniques est en train de montrer par leurs votes a Trump qu'ils devra donner aux pauvres ! Si on creuse encore le faussé
entre la pauvreté et la richesse , les USA devront imploser économiquement et socialement ! 
La question est de savoir si Trump est la pour s'enrichir ou enrichir le peuple ? Le paradis c'est pas pour mettre de l'argent,mais pour mettre toute votre Foi ! Si j'était un Américain ,je ne resterait pas dans un édifice Trump,car les Terroristes l'ont déja dans la mire .Trump a tout ce qu'il faut pour réaliser l'implosion de l'impérialisme américain et préparer l'âge d'or ésotérique , le fera-t'il !
        
  
 

  • Une diplomatie sous tension

Révolutions arabes, guerre en Syrie, annexion de la Crimée… Depuis la première investiture de Barack Obama en janvier 2009, les relations diplomatiques de la première puissance économique mondiale ont profondément évolué. « Les tensions au Moyen-Orient et les relations avec la Russie seront déterminantes dans les années à venir, analyse Jean Eric Branaa maître de conférences à l’université Paris-Assas, et auteur de Qui veut la peau du parti républicain (Ed.de Passy), Donald Trump estime qu’il faut travailler avec les Russes alors que Clinton veut replacer les USA au centre du jeu diplomatique. Sur la guerre en Syrie, la candidate démocrate a affirmé à plusieurs reprises qu’elle souhaitait agir dans le cadre d’une vaste coalition et produire davantage 'd’intelligence', c’est-à-dire mettre l’accent sur le renseignement ».

 Même constat pour Vincent Boucher, chercheur en résidence à l’Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand de l’Université du Québec à Montréal : « La lutte contre le terrorisme arrive en seconde position des préoccupations des Américains. Depuis le 11 septembre 2001, cette question s’est imposée comme enjeu incontournable de la politique intérieure et extérieure des US. Clinton plaide pour un sursaut en matière d’utilisation du renseignement, une position semblable à celle d’Obama. Trump lui est dans un autre registre (…) et se positionne comme soutien de Vladimir Poutine qu’il a qualifié de 'grand leader'. Sur la question de la lutte contre Daesh, Clinton est encline à la poursuite des frappes aériennes mais reste réticente à collaborer avec la Russie et ne cache pas sa méfiance quant aux revendications territoriales de Poutine ».

Les relations avec la Chine, accusée de manipulation monétaire par Trump, et soucieuse de conserver son ascendant militaire dans la région, pourraient également marquer ce mandat.
  • Régulation des armes et immigration

Pour Jean-Eric Branaa, la question de la régulation des armes pourrait s’imposer rapidement dans le débat politique, une fois l’investiture passée : « Aucun des deux candidats ne va limiter le 2nd amendement sur le port d’arme. On a tendance à penser que Clinton veut s’en débarrasser or c’est faux. Elle veut limiter la circulation des armes d’assaut, notamment les AK47, et restreindre le droit d’achat dans les foires aux armes.

 Autre thématique récurrente de la campagne, l’immigration, défi majeur de la politique intérieur américaine. « Ce peut être la grande réforme de Clinton là où Barack Obama a échoué avec le Dream Act puisque le Sénat n’a jamais voulu voter en faveur de ces mesures et a été contraint d’agir par décret », détaille Jean-Eric Branaa.



  • Un gouvernement fédéral endetté

Dernier point susceptible de peser lors de la prochaine mandature : l’équilibre budgétaire du gouvernement fédéral. Si le marasme de 2008 semble déjà loin - le mois dernier, l’économie américaine a créé 161.000 nouveaux emplois et le taux de chômage a reculé à 4,9 % - l’augmentation de la dette publique se poursuit. « On continue d’augmenter le plafond de la dette et ce plafond est constamment dépassé or cela peut nuire aux Etats-Unis à long terme. C’est un spectre qui plane au-dessus de chaque nouveau Président », précise Vincent Boucher.
En février dernier, la dette nationale des Etats-Unis a dépassé le cap symbolique de 19 mille milliards de dollars, ou 19 « trillions » de dollars. Pour l’heure, les Etats-Unis empruntent à des conditions extrêmement favorables auprès des marchés financiers mais un défaut partiel pourrait avoir des conséquences imprévisibles sur le coût de son financement. A l’été 2011, un précédent blocage sur le plafond de la dette avait conduit l’agence de notation Standard and Poor’s à priver les Etats-Unis de leur « triple A », gage de solvabilité maximale auprès des investisseurs.




vendredi 4 novembre 2016

Politicaillerie : Le nouveau Parrain du Québec était Jean Charest ;-)




La SIQ, « c'est une gang de pas bons » - Monique Jérôme-Forget





EXCLUSIF - En toute franchise, Monique Jérôme-Forget a admis en entrevue que la Société immobilière du Québec dont elle avait la responsabilité n'était pas sa priorité au gouvernement. Elle se fiait au pdg et aux membres du conseil d'administration pour lesquels elle n'avait toutefois pas une grande estime.
Un texte de Marie-Maude DenisTwitterCourriel et Gaétan PouliotTwitterCourriel d'Enquête « Sincèrement, ça ne m'intéressait pas. Peut-être que ça aurait dû m'intéresser. Moi, Monique Jérôme Forget, la SIQ ne m'intéressait pas », nous a avoué l'ex-ministre libérale rencontrée dans sa demeure de Montréal cet été.
Bien qu'au moment de l'entrevue elle n'ait pas été au courant des détails de l'enquête de l'Unité permanente anticorruption (UPAC) sur de graves allégations de fraude, elle nous a dit avoir collaboré avec les policiers pour les aider dans leurs recherches sur la Société immobilière.
Cette société d'État était sous sa responsabilité. Mme Jérôme-Forget a été présidente du Conseil du trésor de 2003 à 2008 et ministre des Finances de 2007 à 2009 dans le gouvernement de Jean Charest.
C'est durant cette période que des collecteurs de fonds du Parti libéral du Québec (PLQ) et l'ex-pdg de la SIQ se seraient partagé d'importantes sommes d'argent en marge de transactions immobilières effectuées par le gouvernement.
Allégations de fraude impliquant des collecteurs de fonds du PLQ Pour assurer la bonne gouvernance de l'institution, Monique Jérôme-Forget se fiait aux gestionnaires et au conseil d'administration.
Pense-t-elle que des organisateurs politiques libéraux auraient pu contribuer à la nomination des membres du C. A. et peut-être même du pdg de la SIQ lorsqu'elle en était responsable?
« Sincèrement, je ne pourrais pas vous dire », dit-elle, ajoutant que personne de compétent ne souhaitait être administrateur de la SIQ, un poste bénévole.
« Peut-être que je ne devrais pas dire ça, mais aller [au] conseil d'administration de la SIQ, ce n'est pas le plus prestigieux », explique-t-elle.
Elle-même ne voudrait jamais occuper cette fonction.
C'est pas assez prestigieux. Ça n'a pas d'envergure. Aller m'intéresser aux édifices du gouvernement. Voyons. Zéro intérêt.
Monique Jérôme-Forget
Fait troublant, tous les membres du conseil d'administration de la SIQ nommés avec l'arrivée du pdg Marc-André Fortier, en 2003, avaient un lien avec le PLQ (bénévoles, donateurs) ou avec les collecteurs de fonds Charles Rondeau ou Franco Fava.
« Quelqu'un qui connaît la construction, qui connaît la location, etc. Les gens qui sont bons ne voudront pas aller à Québec à la SIQ », ajoute M. Jérôme-Forget.
Résultat, les membres du C. A. de la SIQ étaient des incompétents, à son avis.
C'est une gang de pas bons là-dedans! C'est pas prestigieux.
Monique Jérôme-Forget
Des propos que rejette du revers de la main Claire Boulanger, qui était membre du conseil d'administration à l'époque.
« Nous avons eu le plaisir de la rencontrer peut-être trois minutes à son bureau. Elle n'avait vraiment aucune affinité pour la Société immobilière. Elle ne nous connaissait pas du tout. [...] Alors, je ne sais pas où elle prend ses propos que "c'est une gang de pas bons" », dit Mme Boulanger, ajoutant avoir siégé avec des gens de bonne foi, qui travaillaient fort et prenaient au sérieux leur mandat à la SIQ.
Selon Mme Boulanger, le conseil d'administration a été induit en erreur par Marc-André Fortier lorsqu'il était pdg.
Mise à pied de Marc-André Fortier
Si Monique Jérôme-Forget a embauché le pdg Marc-André Fortier en 2003, c'est aussi elle qui l'a renvoyé.
Marc-André Fortier
Photo : Radio-Canada/Jasmin Simard
En 2008, le vérificateur général informe Mme Jérôme-Forget d'irrégularités dans les comptes de dépenses du pdg de la SIQ. On y retrouve des invitations à des parties de golf et des « dépenses absolument incroyables », se rappelle Mme Jérôme-Forget. Elle le met à pied sur-le-champ.
M. Fortier sera d'ailleurs poursuivi par son ancien employeur pour des dépenses injustifiées. Le tribunal l'a condamné à rembourser 75 000 $.
Lors de son procès, il a déclaré qu'il avait été nommé à la tête de la SIQ après avoir exercé des pressions sur des personnes « pesantes » au PLQ.
« On m'a demandé de le rencontrer. Je n'ai pas été éblouie par M. Fortier, je dois vous avouer candidement », dit Monique Jérôme-Forget, se rappelant sa rencontre avec l'homme après la prise du pouvoir des libéraux en 2003.
Malgré tout, elle confirmera sa nomination qui lui est recommandée par le Secrétariat aux emplois supérieurs, qui relevait du premier ministre de l'époque, Jean Charest.


Radio-Canada a appris que Marc-André Fortier, pdg de la SIQ de 2003 à 2008, et les collecteurs de fonds libéraux William Bartlett, Franco Fava et Charles Rondeau se seraient partagé près de 2 millions de dollars dans le cadre de prolongation de baux.
Plusieurs documents obtenus lors de notre enquête démontrent que la SIQ opte la plupart du temps pour des baux de 10 ans et moins.
Pourtant, en 2004, la société d’État a signé un bail de 17 ans pour la location de presque tous les étages du plus important édifice de la place D’Youville, à Québec. 
Deux mois plus tard, le gestionnaire de l’immeuble aurait donné l’ordre de virer 1,25 million de dollars d’une banque du Liechtenstein à un compte en Suisse.
La majorité de cette somme aurait ensuite pris le chemin de quatre comptes aux Bahamas.
Le manège se serait répété en 2006 lorsque la SIQ a signé des baux de 20 et 25 ans pour deux autres immeubles à Québec.
Cette fois, le gestionnaire aurait versé 2,1 millions de dollars à un consultant en immobilier. L'argent aurait ensuite transité de Montréal vers une banque en Belgique et dans plusieurs autres comptes en Suisse.
Au bout de la chaîne, 902 000 $ auraient été déposés dans un compte de William Bartlett, qui en plus d’être un collecteur de fonds du PLQ est un ancien vice-président de la SIQ.
Il aurait transféré la moitié de cette somme dans une banque des Bahamas. De là, trois traites bancaires auraient été émises aux noms de Marc-André Fortier (170 000 $), de Charles Rondeau (100 000 $) et de Franco Fava (100 000 $).
Les gestionnaires d’immeubles nous ont dit ne pas savoir qui a bénéficié ultimement des sommes d’argent. 




Maxim Martin de la radio Énergie a dit de lui: Que le nouveau Parrain du Québec était Jean Charest ;-)


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jeudi 13 octobre 2016

Politique: Un double discours face aux banques




Les banquiers au pouvoir


Pour ceux qui seraient surpris d’apprendre qu’Hillary Clinton tient un double discours face aux banques, ne le soyez pas. Obama aussi était très gentil avec les banquiers, tout comme Trump le serait probablement s’il devenait président. En fait, cela me rappelle un texte que j’avais rédigé en 2009:
Le phénomène Obama – entretenu largement par nos journalistes groupies – est un ballon qui a dégonflé plutôt rapidement. Mais son passage aura montré une chose : peu importe le discours qu’il tient ou l’image qu’il représente, le président américain est toujours redevable à divers degrés aux grosses entreprises qui ont financé sa campagne, notamment les grandes banques.
On peut difficilement blâmer Barack Obama pour le bordel économique qui a régné aux États-Unis suivant la crise de 2008. Mais ce qui a déçu nombre d’Américains, c’est aussi la relation un peu trop copain-copain que l’administration Obama a entretenu avec les banquiers de Wall Street. Et à ce titre, il n’est pas très différent des présidents qui ont passé avant lui.
En plus des centaines de milliards versés aux banques, cette administration a presque officialisé la politique too big to fail, qui garantit aux banques que l’État les sauvera en cas de nouvelle gaffe. En 2009, elle a changé les règles comptables pour permettre aux banques de maquiller leurs états financiers, en surévaluant leurs actifs. Et en ce moment, l’administration Obama donne à peine une tape sur les doigts des banques, qui ont pourtant saisi des milliers de maisons illégalement dans le scandale du « foreclosuregate ».
Pour le spectacle, Obama a prononcé quelques beaux discours anti-Wall Street. Mais comme l’écrivait Paul Krugman du New York Times, la politique économique de Washington — autant sous Bush que sous Obama — se résume ainsi : soyez gentils avec les banquiers (go easy on the bankers).
Les amis d’Obama
Cela ne devrait surprendre personne. Pendant la campagne présidentielle, Obama a reçu beaucoup plus d’argent des grandes entreprises — et des banques — que son adversaire républicain John McCain. La banque Goldman Sachs a versé à Obama quatre fois plus d’argent qu’à McCain. Près d’un million $ contre 230 095 $. Neuf des dix industries ayant le plus donné aux politiciens pendant la campagne ont versé plus à Obama qu’à tout autre candidat. Incluants banques et promoteurs immobiliers.
Même les grandes pétrolières ont misé sur Obama. Exxon Mobil lui a donné autant que ce qu’elle a donné à George W. Bush en 2000 et 2004… combinés! (On peut vérifier ces chiffres sur le site non partisan  www.opensecrets.org, et dans le livre Obamanomics, du journaliste d’enquête Tim Carney.)
Une fois au pouvoir, Obama s’est entouré d’anciens lobbyistes, certains provenant de Goldman Sachs. Qui est conseiller économique d’Obama? Larry Summers, principal artisan de l’abrogation de la loi Glass-Steagal en 1999. Loi qui séparait les activités de dépôt et les activités de « casino » des banques. Une déréglementation qui a amplifié la crise économique.
Dans son livre Bought and Paid For, le journaliste Charles Gasparino raconte qu’Obama s’est fait, lui et son équipe, manipulés par Wall Street. Président inexpérimenté – surtout en économie –, Obama demandait conseil auprès de Jamie Dimon, de la banque JP Morgan. Et dans une moindre mesure, auprès de Loyd Blankfein, PDG de Goldman Sachs.
Un caniche édenté
Cela explique en partie pourquoi Obama a accouché d’une réforme bancaire qui mord Wall Street avec la force d’un caniche édenté. Surtout après que les banquiers et leurs lobbyistes auront passé au travers, et affaibli les mesures qui leur déplaisent.
Je ne suis pas de ceux qui croient qu’Obama est de mauvaise foi, ou qu’il poursuit un « agenda socialiste ». C’est juste un politicien. Qui doit se plier aux mêmes règles que les autres pour accéder au pouvoir, et y demeurer.

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mardi 28 juin 2016

Les libéraux ont supprimé les résultats de recherche Google menant à Harper



Publication: Mis à jour:


 STEPHEN HARPER JUSTIN TRUDEAU



Le gouvernement libéral de Justin Trudeau a fait supprimer dans les résultats de recherche sur Google toute trace du passage de Stephen Harper au 24, promenade Sussex.

La pratique, qualifiée par les libéraux de mise à jour technique de routine, a choqué la députée conservatrice Candice Bergen. "Le site Internet du premier ministre ne lui appartient pas et il ne peut en disposer comme bon lui semble: il appartient aux Canadiens", a-t-elle lancé jeudi aux Communes.
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Le Bureau du Conseil privé - le "ministère du premier ministre" - a commencé à demander à Google de supprimer des résultats de recherche liés à M. Harper dès l'assermentation du gouvernement Trudeau, le 4 novembre. Il a poursuivi ses requêtes jusqu'en janvier dernier, révèlent des documents demandés par la députée Bergen et déposés aux Communes.
Le Conseil privé explique que les fonctionnaires demandent ces suppressions pour que les recherches sur Internet mènent aux plus récents résultats. Par ailleurs, tous ces documents n'ont pas été détruits ou effacés: ils demeurent accessibles auprès de Bibliothèque et Archives Canada, a assuré aux Communes le président du Conseil du Trésor, Scott Brison.
Personne ne souhaite voir M. Harper sombrer dans l'oubli, a assuré M. Brison, provoquant des éclats de rire au sein des banquettes libérales. Mais "les Canadiens s'attendent à obtenir l'information la plus à jour et la plus exacte possible lorsqu'ils font une recherche sur Internet".
Dans un communiqué, Google indique qu'elle souhaite seulement que les recherches par l'entremise de son moteur mènent aux versions les plus récentes des sites Internet.
Journal vidéo de M. Harper
Les demandes de suppression des résultats de recherche sur Google couvrent notamment les billets publiés quotidiennement par le premier ministre Harper et son journal vidéo, mais aussi les communiqués de presse diffusés dans les deux langues officielles.
Le 9 novembre, le Bureau du Conseil privé a demandé à Google de supprimer de ses index toutes les pages publiées dans le domaine du premier ministre du Canada (pm.gc.ca) avant l'arrivée du nouveau gouvernement, mais l'entreprise n'offre pas ce service. En janvier, d'autres demandes ont été faites pour supprimer année après année le passage de Stephen Harper. Le gouvernement indique aujourd'hui que ces pages n'affichent plus de résultats de recherche concernant l'ex-premier ministre conservateur.
Au total, le Bureau du Conseil privé a demandé 51 fois à Google de supprimer les résultats de recherche liés à M. Harper. Le Bureau du Conseil privé précise encore que ce matériel a été sauvegardé et peut être consulté dans les archives.
"Cette application est disponible depuis avril et un hyperlien a été ajouté au site Internet du Bureau du Conseil privé", a indiqué Raymond Rivet, directeur aux affaires ministérielles et médiatiques du Bureau.
Quelques autres agences ou ministères ont aussi demandé à Google de supprimer certains résultats de recherche. Par exemple, la Gendarmerie royale du Canada a demandé que l'on supprime certains communiqués de presse parce que des accusations avaient été abandonnées ou qu'une ordonnance de non-publication avait été prononcée par le tribunal.

Source.:

jeudi 23 octobre 2014

État Islamique: Les étapes de l'endoctrinement d'un jeune vers le djihad



Il y a quelques mois, le chef du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), Michel Coulombe, indiquait que 130 Canadiens étaient devenus, comme Damian Clairmont et Martin Rouleau, membres de groupes islamistes radicaux. Le ministre Steven Blaney a également indiqué que 80 Canadiens partisans de l'islam radical étaient sous surveillance au pays.

Comme dans l'affaire Michael Zehaf-Bibeau au parlement d' Ottawa.M. Zehaf-Bibeau est né en 1982 et était le fils de Bulgasem Zehaf, un homme d'affaires québécois qui semble avoir combattu en 2011 en Libye, et Susan Bibeau, président adjoint de la division de Commission de l'immigration et du statut de réfugié du Canada. Les deux ont divorcé en 1999.

Dans l'affaire Martin Couture-Rouleau ,les affaires allaient mal et a décidé de mettre un terme aux activités de sa PME.
«Il a pris une débarque, car il avait tout misé là-dessus. Je pense qu'il a été affecté grandement. Il a tout perdu», a confié Kai Chang à La Presse Canadienne en entrevue téléphonique.
  Il a réalisé que ses affaires allaient mal et a décidé de mettre un terme aux activités de sa PME, a-t-il raconté.
Quelque temps après leur mésaventure entrepreneuriale, M. Chang a revu Martin Couture-Rouleau. Il dit l'avoir trouvé complètement transformé physiquement, mais aussi psychologiquement.
«Il avait un turban sur la tête et une barbe. Ce n'était pas le Martin que je connaissais. Il me disait qu'il connaissait le secret du monde, il avait l'air "brainwashé", comme s'il était dans une secte», a confié M. Chang.
Il ne croyait cependant pas qu'il allait se radicaliser. «Quand je le visitais chez son père, ça ressemblait à une famille bien normale. Je n'avais jamais vu de guns ou de trucs du genre.» Il affirme aussi que Martin avait un enfant.
Martin Couture-Rouleau a tué l'un de deux militaires sur lesquels il a foncé. La Gendarmerie royale du Canada (GRC) a affirmé qu'il s'était auparavant fait confisquer son passeport pour éviter qu'il ne se rende à l'étranger afin de combattre aux côtés des djihadistes.Martin Couture-Rouleau a tué l'un de deux militaires sur lesquels il a foncé avec son auto. La Gendarmerie royale du Canada (GRC) a affirmé qu'il s'était auparavant fait confisquer son passeport pour éviter qu'il ne se rende à l'étranger afin de combattre aux côtés des djihadistes.«Ces problèmes relativement importants peuvent dans certains cas prendre forme dans le registre schizo avec une coloration un peu paranoïde», avance l'expert psycholégal.
Fuyant la police, en voiture, Couture-Rouleau aurait appelé le 911 pour dire qu'il agissait au nom d'Allah.
Inquiété par le comportement de son fils, le père de Martin Couture-Rouleau aurait lui-même prévenu les autorités.
Selon,le psychologue Hubert Van Gijseghem«On ne peut pas interner un individu contre son gré [...] Il faut alors tenter de rétablir une communication avec le jeune. Quand un parent voit le jeune dans la pénombre d'un sous-sol brumeux sur son ordinateur durant des heures, une moitié de nuit, et que tout ça se cache rapidement quand le parent se montre le nez, le parent devrait s'inquiéter et solliciter le jeune», a ajouté le psychologue.
Son père lui disait d'aller chercher de l'aide psychologique.
Ce n'est pas une question de terrorisme, juge-t-elle. Il avait besoin de soins mental.

Alors , si les gens se radicalise et deviennent extrémistes par le biais d'une religion,d'une phylosophie pseudo-nouvelle age pour la paix dans le monde ,c'est pas le manque d'amour de ses parents qui a failli.

Oh,Mr Harper pourquoi avez-vous envoyer des F-18 pour contrer l'ET ? Le président Obama vous avait déja mit au courrant des représailles des Djihadistes .L’EI, a déclaré à son tour la guerre à la coalition antijihadiste menée par Washington. Qualifiant les opérations militaires de «guerre contre l’islam» et dénonçant un «axe du mal» dirigé par «le pays des cow-boys», Al-Nusra a annoncé des représailles «dans le monde entier» contre les pays membres de la coalition. «Nous sommes engagés dans une longue guerre» qui «pourra durer des décennies», a déclaré son porte-parole, Abou Firas al-Souri sur une vidéo postée sur YouTube.L'Etat islamique (EI) promet des représailles contre la France et les autres pays participants à la coalition internationale mise en place pour combattre le groupe djihadiste en Irak et en Syrie.Foley et Sotloff ont été exécutés après le lancement des frappes aériennes par les militaires américains contre les positions de l’EIIL en Irak .Le lundi 22 septembre, Abou Mohammed Al-Adnani, le porte-parole de l'EI, dans un message publié en plusieurs langues. « Si vous ne pouvez pas trouver d'engin explosif ou de munition, alors isolez l'Américain infidèle, le Français infidèle, ou n'importe lequel de ses alliés. Ecrasez-lui la tête à coups de pierre, tuez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le dans le vide, étouffez-le ou empoisonnez-le », poursuit-il.
Toutes ces informations vont dans le sens des affirmations du djihadiste canadien Farah Mohamed Shirdon, qui se fait maintenant appelé Abu Usamah Somali, et qui a affirmé plus tôt cette semaine à un réseau d’information internationale que l’«État islamique» planifiait des attentats à New York.
Le jeune homme de Calgary, la grande ville canadienne de l’Ouest réputée être devenue, après Montréal et Toronto, Calgary, un vivier de terroristes, fait partie d’une vingtaine d’Albertains à s’être joints au groupe extrémiste depuis deux ans.

Le combat contre l’État islamique se transporte en Amérique, menacée par les terroristes!

L'Etat Islamique comptaiterait entre 20 000 et 31 500 combattants, dont 2000 Occidentaux et «une dizaine d'Américains».La Gendarmerie royale du Canada (GRC) intensifiera ses efforts pour repérer avant qu'il ne soit trop tard les jeunes au pays qui pourraient être tentés de rejoindre une organisation extrémiste.Et ceci pour garder la main sur le robinet du pétrole,ainsi que la protection des investissements et du marché de l'Or Noir.

Faut tu encore protéger:
La Palestine d'Israel,protéger les Kurdes de la Syrie,protéger la guerre a la paix,protéger les USA de leur implosion,protéger le secret a la vérité,protéger la maladie a la santé,protéger la malpropreté a l'hygiène,protéger les animaux a l'humain,protéger l'exploitation a l'aide humanitaire,protéger les Banques au partage,protéger l'environnement de la pollution Capitaliste,protéger le Nouvel Age de la Religion Humaine,protéger les Catholiques des Protestants,protéger les Français des Anglais,protéger les Noirs des Blancs,protéger l'Argent$ de l'extrême pauvreté,protéger le riche aux pauvres,protéger la Loi a la Liberté,Protéger Barabbas au Nazaréen,protéger les prisons a la réinsertion,protéger le pétrole a l'électrique,protéger le pharmaceutique au naturel,protéger le recevoir de la donation,protéger la médiocrité a l'extraordinaire,protéger la haine au pardon,protéger l'attente a l'action,protéger le gouvernement au peuple,protéger le silence a la parole,protéger l'ancien au nouveau,protéger les prisonniers criminels des citoyens,protéger les politiciens des électeurs,protéger  la vie humaine a l'éternel,C'est ce que vous avez toujours protéger jusqu'ici!


Alors faut pas protéger le péché a la vie Éternel,faut pas protéger votre conscience du mal , du 666, de Lucifer porteur de lumière, de votre Égo porteur de conscience, de votre argent porteur de vous savez quoi $???$,protéger en somme votre choix ? .......................lequel ,............car ne pas choisir ,c'est faire un choix......................La paix est dans votre coeur,elle ne s'impose pas ,......après le chaos du désordre arrive l'apocalyse du nouvel ordre,qui n'est rien d'autre que la Révélation de la réalité en vous.La vibration de l'Univers actuel ,qui passant du 6 au 33 au 11 au 9 se rendra a vous,en faîtes elle est déja la, elle vous attend,..................Il vous attend ! 
Seule l'Homme possède la réponse ,vous avez la réponse,pas les autres,..................... vous ne savez pas que vous étiez le problême, votre propre épreuve !


Le Monde est malade, il est a l'envers !
Il n'y aura jamais assez d'institution et de Loi pour guider l'Homme vers sa destiné ,vers sa Lumière !


Endoctrinement 101:

 Le Centre de prévention contre les dérives sectaires liées à l'islam, fondé par l'anthropologue française Dounia Bouzar, a déterminé les différentes étapes de l'endoctrinement d'un jeune qui bascule vers le djihad:

  1. La rupture avec les amis habituels. Le jeune ne fréquente plus son groupe, n'a plus rien à dire à ses amis, trouve qu'ils ne sont pas «dans le vrai ».
  2. La rupture avec les loisirs. Arrêter les cours de guitare, l'entraînement sportif. Remplacer la musique par des chants religieux.
  3. Rupture scolaire. Le jeune quitte l'école. Cette étape n'est pas obligatoire. Parfois, l'endoctrinement est si rapide que le jeune n'a même pas encore vu baisser ses résultats scolaires avant de partir pour la Syrie.
  4. Rupture familiale. L'autorité du groupe se substitue à l'autorité parentale. Parfois, les jeunes le cachent et continuent à jouer le double jeu. Parfois, ils confrontent leurs parents.
  5. Anesthésie affective. Une fois en Syrie, les jeunes coupent le lien affectif qui les reliait à leurs proches.
  6. La dépersonnalisation. L'identité individuelle s'efface au profit de l'identité du groupe. Chez les filles, ça passe par le port du niqab, qui efface le contour de leur corps et leur permet de se couper de l'extérieur.
  7. Fusion avec le groupe. À travers des comportements clonés, des discours appris par coeur, le refus de consommer des produits «impurs ».

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