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mercredi 15 novembre 2017

Rencontrez Sweetie, la fille qui attrape les prédateurs en ligne




Des chercheurs hollandais disent que 1 000 hommes du monde entier ont pris contact avec une fillette de 10 ans aux Philippines au cours d'une enquête de 10 semaines, dont beaucoup voulaient la payer pour enlever ses vêtements devant une webcam.

L'organisation des droits de l'enfant Terre des Hommes a mis en place le faux profil d'une fille nommée Sweetie dans un forum de discussion en ligne et ses chercheurs spécialement formés ont été stupéfaits par l'avalanche de réponses.

Un chercheur l'a décrit comme «pétrifiant», mais il a déclaré que le véritable problème était le nombre de filles de pays en développement qui avaient accès à Internet et que les parents et les criminels essayaient de gagner de l'argent.

Les informations recueillies au cours de l'enquête seront transmises à Interpol.

Angus Crawford de la BBC a été invité dans un endroit secret pour voir comment le travail est effectué.






REF.:

vendredi 5 mai 2017

Pédophilie: A l'abri, les chercheurs s'infiltrent dans le The Deep Web




C'est ce qu'elle trouve:


The Deep Web n'est pas The Dark Web. The Dark Web est le réseau crypté qui existe entre les serveurs Tor et leurs clients. The Deep Web est simplement le contenu des bases de données et d'autres services Web qui ne peuvent être indexés par les moteurs de recherche conventionnels. Vous ne pouvez accéder qu'à 0,03% d'Internet via les moteurs de recherche; Le reste est ce qui constitue The Deep Web utilisé principalement par les pédophiles.
La source de Cracked, "Pam", a passé des mois sous couverture dans une communauté en ligne d'agresseurs d'enfants, apprenant leur jargon et étudiant leurs façons dans le cadre d'un projet de recherche de premier cycle. Elle partage certaines de ses horribles expériences de visite du côté obscur de l'Internet ...
# 5. Le Web sombre a une "communauté" pédophile entière
Les pornographes enfants ont leur propre Wikipedia, accessible via Tor, nommé "Hard Candy". Il existe également un forum de discussion appelé 3DBoys, qui est plein d'art érotique; Cependant, il n'y a pas de po * rn réel sur 3DBoys. Il existe également un site appelé 7axxn, essentiellement le Mos Eisley Cantina pour les pornographes pour enfants. Étant donné que ses membres étaient fortement restreints, la seule façon d'entrer dans 7axxn était d'obtenir une invitation d'un membre actuel et de gagner leur confiance, il faudrait enfreindre la loi. Cette attitude «incriminer vous-même à l'intérieur» était commune chez les pédophiles de The Deep Web. Pam a eu de la chance cependant; Quelqu'un l'a invitée au troisième jour et elle était. Plus elle a eu, plus les conséquences de ses recherches sont terrifiantes.
# 4. Il y a des "amants des enfants" Et ensuite, il y a "Molesters pour enfants"
7axxn est une communauté de plus de 90 000 utilisateurs enregistrés, remplis de gigaoctets après un gigabyte de pornographie juvénile. La plupart des utilisateurs sont juste là pour le po * rn, mais des centaines d'entre eux contribuent également à un ensemble animé de forums de discussion. Il y a même des sondages, qui aboutit à la popularité de choses comme "Hurtcore", qui est le terme abrégé de la pornographie mettant en vedette la violence physique des enfants. Au sein de la «communauté», il y a des personnes qui agressent sexuellement les victimes incapables de donner leur consentement (véritable viol) et ceux qui ont des relations sexuelles «mutuelles» avec les enfants (réel se * x).
# 3. C'est une entreprise familiale
Pam a trouvé un modérateur sur 7axxn avec le moniker sarahthecunt, qui prétend avoir été molesté par son père en tant que jeune fille et l'a aimé tellement qu'elle a grandi en devenant fier de son identité de pédophile. Elle a trois enfants que elle et son mari «font du pedo» (son mari est également membre). C'est une autre façon de dire qu'ils violent leurs enfants et les convainquent qu'ils l'apprécient. Elle publie des vidéos qu'elle fait et son mari; Selon elle, les enfants sont des participants disposés (évidemment ils ne peuvent pas l'être). Voici, dans les propres mots de sarahthecunt, les règles qu'ils fixent pour leurs enfants:
# 2. Les frappeurs d'enfants ont un manuel
Comment gère-t-elle de rester caché aux yeux de la loi depuis si longtemps? Parce que les gens comme elle ont un manuel qui inclut des bits sur les justifications argumentatives pour la pédophilie. Entre autres choses, il conseille aux acheteurs d'enfants de faire leurs affaires à Bitcoin et enseigne aux lecteurs "... comment avoir se * x avec des enfants et le cacher à un autre". Le manuel inclut également les pédophiles newbie dans des astuces utiles telles que l'utilisation de l'acronyme CP de l'abréviation, au lieu de taper à l'écran "pornographie juvénile". Un autre terme utilisé par la communauté pour éviter les soupçons est «les jeunes amis», qui se réfère aux enfants qu'ils ont abusés ou voulu abuser. La communauté se protège davantage en effectuant toute sa communication anonymement sur Tor et en gardant des modérateurs vigilants.
#1. Ils sont très bons à rester incognito
Un jour, Pam a découvert un fil sur la meilleure façon de prendre des médicaments pour les enfants (une citation: "[Le nom du médicament supprimé] fait des merveilles. Très doux et détend les muscles aussi ... Btw [enlevé] ne les fatigue et ne léthargique. Pas un bon choix pour Un sommeil léger à moins d'être mélangé avec etoh (alcool). Faites attention. "). Assez, ces messages étaient juste à côté de ceux qui insistent pour que les enfants adorent se * x.
Pam a cherché des preuves admissibles du tribunal, des données de localisation, des informations d'identification ... mais elle n'a rien trouvé. Les gens de The Deep Web sont très ouverts à propos de ce qu'ils veulent faire aux enfants, mais aussi très prudent de ne pas mentionner où ils se trouvent. Et le crédit est accordé à Tor - c'est pourquoi il est presque impossible d'arrêter la propagation de l'enfant p * rn à travers les limites cachées d'Internet.


Source.:

mercredi 3 décembre 2014

Facile de porter plainte contre lui pour attouchements ?

Encore a la mode ?
Mise à jour: 05/03/2010, mais encore le même pattern en 2014 !$$$$$
Après les implants... elle exigeait 100 000 $
 

QUÉBEC - Une femme de 24 ans, qui s'est fait payer des implants mammaires par un parent éloigné, a tenté de le faire chanter par la suite en le menaçant de porter plainte contre lui pour attouchements si elle ne recevait pas 100 000 $.
Catherine Rochette a plaidé coupable vendredi au palais de justice de Québec pour extorsion. Selon le récit de la Couronne, la jeune femme avait déjà reçu beaucoup d'argent de la victime dans cette affaire (de façon tout à fait volontaire) avant que les choses ne s'enveniment. L'octogénaire lui payait déjà sa voiture, son loyer et même ses prêts étudiants.
L'homme avait au surplus défrayé les coûts d’une augmentation mammaire, évaluée à 11 000 $, en août 2008. Insatisfaite du résultat et invoquant une «opération ratée», elle lui a réclamé un montant supplémentaire de 10 000 $, ce qu'il a refusé. L'accusée s'est mise à pleurer et a quitté son domicile.
Plus tard, Mademoiselle Rochette lui aurait offert de voir ses implants mammaires, ce qu'elle nie, affirmant plutôt que c'est lui qui «s'est offert». L'homme de 86 ans aurait touché ses seins et les aurait même embrassés à cette occasion. Il a ensuite refusé de lui verser des sommes d'argent, à l'exception de ses paiements mensuels pour la voiture.
La jeune femme est revenue à la charge quelques semaines plus tard et a exigé dans une série de courriels un paiement immédiat de 1000 $ et quatre-vingt-dix-neuf autres versements de 1000 $, sans quoi elle allait révéler les gestes à connotation sexuelle qu'il aurait commis.

Puis en 2014:
 Une ancienne réalisatrice de CBC, qui affirme avoir été harcelée sexuellement au travail par l'ex-animateur Jian Ghomeshi, révèle son identité : Kathryn Borel raconte son histoire au journal anglais The Guardian.
Mais jusqu'ou va les condamnations et le vrai du faux ? Qui croire,qui dit vrai,...............sinon un bon avocat vous faire retourner la situation en faveur de la femme ?

La délation est érigée en système,c'est la chasse a l'Homme ? 

 

-Je commencerai par dire que je n’ai jamais violé personne, je trouve que ça se place bien dans la conversation ces jours-ci. Reste que je suis un homme, et comme homme, je suis un violeur potentiel, oui madame, c’est comme ça qu’on disait dans les années 70-80, violeur potentiel. Marilyn French, Judith Lewis Herman, Susan Brownmiller dans Against Our Will : Men, Women and Rape : « de tout temps le viol est le moyen par lequel tous les hommes ont maintenu toutes les femmes dans un état de peur et d’asservissement ».
Pour Brownmiller, qui a été dans les années 70-80 la Simone de Beauvoir américaine, il y a deux sortes d’hommes : les violeurs et ceux qui sont farouchement contre le viol, mais ceux-là sont peut-être encore pires, ils défendent ce qu’ils considèrent comme leur propriété exclusive, le vagin de leur (s) femme (s).
Ce qu’il y avait de pratique avec les féministes de ces années-là, c’est qu’elles ne dénonçaient personne en particulier, elles fourraient tous les hommes dans le même grand panier et rabattaient le couvercle. On y était au chaud et solidaires, on continuait comme si de rien n’était à faire nos jokes d’épais, les épais n’ont jamais été aussi épais qu’à cette grande époque de féminisme radical.
Ce qui est beaucoup plus embêtant sur Twitter et Facebook ces jours-ci, c’est qu’on y dénonce aussi les hommes, mais un par un. Mon oncle. Mon père. Mon prof. Mon coach. Mon mari. Mon boss. Le type dans le métro. L’animateur de Toronto. Les deux députés libéraux. Au fait, sait-on ce qu’ils ont fait, ces deux-là ? Des beaux salauds, anyway. Tolérance zéro. Une main baladeuse ? Qu’on la coupe.
C’est ce climat un peu « Allemagne de l’Est » qui me fait revenir sur le sujet de l’heure même si, après les douloureuses affaires DSK et Polanski, je m’étais juré : plus jamais. J’ai résisté jusqu’à ce que j’entende à la radio un extrait d’une confession sur Twitter qui disait : « j’ai été agressée par quelqu’un de très connu ». Précisément ce genre de déballage qui me tue. Exactement ce genre de confusion entre dénonciation (d’une situation) et délation (la dénonciation d’une personne).
Mais plus que de la délation. On parle ici d’un système, d’un mouvement, d’une thérapie collective ayant pour ressort la délation.
Ce n’est pas le coup de téléphone aux flics pour dénoncer un voisin qui fait pousser du pot, c’est un appel à tous, thérapeutique : dénoncez, dénoncez, cela vous fera du bien.
Chaque fois que la délation est érigée en système, chaque fois elle sert à de tragiques règlements de comptes.
Combien de fausses accusations d’agressions dans les divorces ? Plus des trois quarts des profs accusés d’agressions sexuelles, aussitôt suspendus et mis au ban de la société, sont, à la fin de l’enquête, complètement blanchis, et complètement détruits même si ce sont les enfants qui mentaient.
Pour les féministes de mon temps, le viol était l’ « acting out » d’une attitude commune à tous les mâles, la suite logique du regard que tous les hommes portaient sur la fille qui passe. Depuis, on est rentré dans le détail. Qu’est-ce qu’un viol ?
Le mari rentre émoustillé de son party de bureau, sa femme endormie dit non. Il dit oui pareil. C’est un viol.
Sauf que le plus souvent, elle ne dit pas non. Elle dit rien même si elle n’a pas envie. Une agression sexuelle ?
J’ai connu une fille qui couchait de temps en temps avec un ministre. Il l’appelait quand il avait un moment. Telle heure, telle chambre. Des années plus tard, j’ai entendu la fille (qui était une collègue) rationaliser que c’était un rapport d’autorité entre un homme de pouvoir et la pauvre petite oie blanche qu’elle était à l’époque… C’était pas faux. Je me suis permis de l’envoyer chier quand même.
J’ai connu une étudiante qui a épousé son (vieux) prof, ils ont eu un de ces divorces tumultueux qui font revoler les gros mots, as-tu dit viol, ma chérie ? T’oublies que j’étais là.
Tu comprends pas.
Mais si. Très bien. Il t’a séduite du haut de sa chaire de prof, du haut de son autorité, de l’aura de sa réputation, c’est toi qui as sauté dessus, mais c’est lui qui t’a violée, tu parles que je comprends.
Vous allez hurler. Je connais une fille que son mononcle taponnait, un bien grand désagrément, résume-t-elle, mais un traumatisme ? Pas vraiment. Sauf le traumatisme de… de ne pas avoir été traumatisée.
Vous me faites penser, j’en connais une autre qui n’en faisait pas un plat non plus (ni un plaisir), vous la connaissez aussi, Marguerite Yourcenar, son oncle aussi, je crois…
Où je veux en venir ? À quelques vérités qui n’en sont pas. Non, l’émancipation ne passe pas par une grande chasse à l’homme. Non, on ne guérira pas du viol sur Facebook et Twitter. On en guérira avec le temps qui, en ce domaine comme en tant d’autres, avance à tout petits pas, d’autant plus petits qu’on a coupé dans les cours d’éducation sexuelle.
Si cela fait du bien de parler à une majorité de femmes, d’autres qui n’ont pas envie de raconter leur histoire ne sont pas sans courage pour autant. N’y en aurait-il qu’une seule que cette grande lessive rebute, une seule qui s’étant reconstruite pendant des années dans le secret du cabinet de son psy s’est sentie bousculée – allez, parle, nom de Dieu, parle – une seule, cette chronique est pour elle.

Source.:

jeudi 13 novembre 2014

La délation est érigée en système,c'est la chasse a l'Homme ?


PIERRE FOGLIA

La chasse à l’homme



La Chasse a l'Homme:.....a quand la chasse a la Femme ?

-Je commencerai par dire que je n’ai jamais violé personne, je trouve que ça se place bien dans la conversation ces jours-ci. Reste que je suis un homme, et comme homme, je suis un violeur potentiel, oui madame, c’est comme ça qu’on disait dans les années 70-80, violeur potentiel. Marilyn French, Judith Lewis Herman, Susan Brownmiller dans Against Our Will : Men, Women and Rape : « de tout temps le viol est le moyen par lequel tous les hommes ont maintenu toutes les femmes dans un état de peur et d’asservissement ».
Pour Brownmiller, qui a été dans les années 70-80 la Simone de Beauvoir américaine, il y a deux sortes d’hommes : les violeurs et ceux qui sont farouchement contre le viol, mais ceux-là sont peut-être encore pires, ils défendent ce qu’ils considèrent comme leur propriété exclusive, le vagin de leur (s) femme (s).
Ce qu’il y avait de pratique avec les féministes de ces années-là, c’est qu’elles ne dénonçaient personne en particulier, elles fourraient tous les hommes dans le même grand panier et rabattaient le couvercle. On y était au chaud et solidaires, on continuait comme si de rien n’était à faire nos jokes d’épais, les épais n’ont jamais été aussi épais qu’à cette grande époque de féminisme radical.
Ce qui est beaucoup plus embêtant sur Twitter et Facebook ces jours-ci, c’est qu’on y dénonce aussi les hommes, mais un par un. Mon oncle. Mon père. Mon prof. Mon coach. Mon mari. Mon boss. Le type dans le métro. L’animateur de Toronto. Les deux députés libéraux. Au fait, sait-on ce qu’ils ont fait, ces deux-là ? Des beaux salauds, anyway. Tolérance zéro. Une main baladeuse ? Qu’on la coupe.
C’est ce climat un peu « Allemagne de l’Est » qui me fait revenir sur le sujet de l’heure même si, après les douloureuses affaires DSK et Polanski, je m’étais juré : plus jamais. J’ai résisté jusqu’à ce que j’entende à la radio un extrait d’une confession sur Twitter qui disait : « j’ai été agressée par quelqu’un de très connu ». Précisément ce genre de déballage qui me tue. Exactement ce genre de confusion entre dénonciation (d’une situation) et délation (la dénonciation d’une personne).
Mais plus que de la délation. On parle ici d’un système, d’un mouvement, d’une thérapie collective ayant pour ressort la délation.
Ce n’est pas le coup de téléphone aux flics pour dénoncer un voisin qui fait pousser du pot, c’est un appel à tous, thérapeutique : dénoncez, dénoncez, cela vous fera du bien.
Chaque fois que la délation est érigée en système, chaque fois elle sert à de tragiques règlements de comptes.
Combien de fausses accusations d’agressions dans les divorces ? Plus des trois quarts des profs accusés d’agressions sexuelles, aussitôt suspendus et mis au ban de la société, sont, à la fin de l’enquête, complètement blanchis, et complètement détruits même si ce sont les enfants qui mentaient.
Pour les féministes de mon temps, le viol était l’ « acting out » d’une attitude commune à tous les mâles, la suite logique du regard que tous les hommes portaient sur la fille qui passe. Depuis, on est rentré dans le détail. Qu’est-ce qu’un viol ?
Le mari rentre émoustillé de son party de bureau, sa femme endormie dit non. Il dit oui pareil. C’est un viol.
Sauf que le plus souvent, elle ne dit pas non. Elle dit rien même si elle n’a pas envie. Une agression sexuelle ?
J’ai connu une fille qui couchait de temps en temps avec un ministre. Il l’appelait quand il avait un moment. Telle heure, telle chambre. Des années plus tard, j’ai entendu la fille (qui était une collègue) rationaliser que c’était un rapport d’autorité entre un homme de pouvoir et la pauvre petite oie blanche qu’elle était à l’époque… C’était pas faux. Je me suis permis de l’envoyer chier quand même.
J’ai connu une étudiante qui a épousé son (vieux) prof, ils ont eu un de ces divorces tumultueux qui font revoler les gros mots, as-tu dit viol, ma chérie ? T’oublies que j’étais là.
Tu comprends pas.
Mais si. Très bien. Il t’a séduite du haut de sa chaire de prof, du haut de son autorité, de l’aura de sa réputation, c’est toi qui as sauté dessus, mais c’est lui qui t’a violée, tu parles que je comprends.
Vous allez hurler. Je connais une fille que son mononcle taponnait, un bien grand désagrément, résume-t-elle, mais un traumatisme ? Pas vraiment. Sauf le traumatisme de… de ne pas avoir été traumatisée.
Vous me faites penser, j’en connais une autre qui n’en faisait pas un plat non plus (ni un plaisir), vous la connaissez aussi, Marguerite Yourcenar, son oncle aussi, je crois…
Où je veux en venir ? À quelques vérités qui n’en sont pas. Non, l’émancipation ne passe pas par une grande chasse à l’homme. Non, on ne guérira pas du viol sur Facebook et Twitter. On en guérira avec le temps qui, en ce domaine comme en tant d’autres, avance à tout petits pas, d’autant plus petits qu’on a coupé dans les cours d’éducation sexuelle.
Si cela fait du bien de parler à une majorité de femmes, d’autres qui n’ont pas envie de raconter leur histoire ne sont pas sans courage pour autant. N’y en aurait-il qu’une seule que cette grande lessive rebute, une seule qui s’étant reconstruite pendant des années dans le secret du cabinet de son psy s’est sentie bousculée – allez, parle, nom de Dieu, parle – une seule, cette chronique est pour elle.

REF.:

vendredi 11 juillet 2014

Taxi: Le SPVM ne peut rien contre les chauffeurs mafieux

La livraison de poudre et autre dérivés hallucinogène se fait depuis loingtemps par taxi.

La protection des chauffeurs de taxi se fait par des fier-à-bras ,qui font de l'intimidation social.

La collusion avec l'industrie des pièces auto ,le vol d'auto,le vol de catalyseur , se fait par eux.

Ils en mène de plus en plus large.

 Des agressions sexuelles dans leurs taxis , et ça a Montréal ! (lisez ça !)Le SPVM souligne qu'il n'y a pas de recrudescence des agressions dans les taxis depuis l'an dernier. En 2013, 29 agressions sexuelles se sont produites dans les taxis et trois chauffeurs ont été arrêtés. On compte 17 agressions pour le moment cette année.Mais ,on en parle que depuis 2014 seulement ? Allez Robert et Denis MauditeEstrie !
La question de la sécurité dans les taxis, celle des chauffeurs et celle des clients, est aussi revenue au-devant de l'actualité dans les derniers mois.Et après, le Bureau du taxi vient nous dire que si on permet à UberX d’opérer à Montréal (tout chauffeur d’auto qui s’inscrit peut prendre des clients), on permettra du coup à n’importe qui d’embarquer n’importe qui!
UberX, je tiens à le préciser, qui oblige tous les chauffeurs à subir une telle vérification des antécédents criminels!UberX se targue d’offrir des tarifs en moyenne 30 % moins élevés que le taxi conventionnel.Crise économique oblige ;-)Jean-Nicolas Guillemette décrit le service comme du « covoiturage citoyen » qui présente des avantages économiques, écologiques et sociaux.


Plusieurs clients en taxi adapté,se font agresser autant physiquement que psychologiquement,si ce client est non verbale ;Zone grise ? pourquoi ? Parce que personne en parle, MauditeEstrie !C'est la, que les attouchements commence,car souvent aucun accompagnateur n'est présent !(ce que personne sait,c'est que la STM donne a contrat a une des cies de taxi ,le transport des handicapés physique ou mental et que la STM qui est politisé n'a pas de protecteur du citoyen,donc ses clients d'organisme gouvernementaux ne peuvent même pas se plaîndre,il y a une zone grise dans le système du transport adapté a Mtl .)

Vous ne faîtes que crétiquer le service et personnes du département des plaîtes vous écoute,ils n'ont même pas un ombudsman du citoyen .

Les contrôleurs du Métro n'ont même pas pattes blanche a la STM,......syndiqué endurci,droit acquis,personnes intouchables,toutes ces réponses sont bonnes.

Le réseau de la STM incluant le Métro de Mtl et des cie de Taxi a contrat  avec la STM est pourri de l'intérieur !

Beaucoup de monde savent que les chauffeurs syndiqués pur et dur ,ayant pas pattes blanches,font encore le beau temps,dans les autobus! Le plus drôle,c'est qu'ils sont transférés souvant dans les cabines a payage du métro de Mtl,........alors vous voyez le décor,.........envoi les pas chier,car lorsqu'ils vont vous apostropher ,vous allez surement voir leurs tatouages bien typique du milieu carcéral, sur leurs mains,les autres ce sont des "hangaround" pas de tatouage !

La collusion avec le milieux policier se fait depuis longtemps.

C'est sure et certain que le SCRS est sur des pistes depuis 2 - 3 ans !

Personne ne fait rien !

Personne ne se plaint.

Des photos circule sur le web ,concernant certains fautif,ont attend celui des policier ,maintenant !

Faîtes circuler Anonymousement !


 

Conclusion:
Depuis le 16 Nov ,les antécédents judiciaires des chauffeurs de taxi seront dorénavant vérifiés. C'est ce qu'ont annoncé aujourd'hui le ministre des Transports Robert Bob Poëti et le maire de Montréal Denis Dédé Coderre. 
Pour les nouveaux chauffeurs, la mesure entrera en vigueur le 1er décembre. Pour ceux qui détiennent déjà un permis, c'est au moment du renouvellement, à partir du 1er janvier, qu'ils devront se soumettre à cette nouvelle démarche.
La procédure touchera environ 11 000 taxis à Montréal et quelque 6000 autres dans le reste de la province.Donc en janvier 2015 ,plusieurs visages disparaîtront !
Voulez-vous savoir ce qui arrivera en 2015,.................c'est pas rose ;-)



REF.:bougeDelaw,scrsHarpeur a l'écoute,

jeudi 12 septembre 2013

Sexe: les femmes de 40 ans et plus font l'amour 1 fois sur 5

Une sexualité forcée finit par se dégrader, par jeter de l’ombre entre les partenaires
En réalité elle sont bien 4 fois sur 5 ,si ont les entoure de tendresse!
Et les organes reproducteurs servent uniquement pour la reproduction de l'espèce,et non pour ;-)

Même si la situation – 40 ans après la révolution sexuelle – a beaucoup changé, il existe encore des moments où, sous la couverture, tout se joue comme un devoir conjugal… Les croyances ont la vie dure et l’impression de devoir avoir une vie sexuelle active (même si elle est vécue difficilement) pour préserver son bonheur de couple passe, pour de nombreuses femmes, par le «sacrifice» de soi. En 2013. Hé oui! Pourquoi? Que faire?
Avoir une vie sexuelle épanouie, divertissante et stimulante demande du temps, des efforts, une bonne connaissance de soi et de l’autre et une grosse dose de respect mutuel. Dans les cas où les femmes n’osent pas dire non sexuellement à leur partenaire, le respect mutuel se consomme à dose homéopathique… c’est-àdire, très peu à la fois.
On croit que l’amour est fort, que tous les couples font des compromis et que tout doit aller de soi: erreur monumentale! Les mondes si différents dans lesquels évoluent les hommes et les femmes les placent souvent devant des situations potentiellement problématiques. Le bonheur c’est de savoir se parler et conjuguer avec les différences, mais il faut être honnête, c’est beaucoup plus facile à dire qu’à faire.
LA POSITION DE L’ÉTOILE
Alors pour « acheter » la paix, pour éviter les conflits ou les chicanes, plusieurs femmes acceptent de faire la position de l’étoile ( c’est- à- dire d’être passive et de se laisser faire) pour vivre une relation sexuelle.
Natalia, une femme de 34 ans, en relation avec son chum depuis six ans et nouvellement arrivée au Québec nous dit: «Je vis beaucoup d’anxiété depuis que j’habite Montréal. Ce n’est pas la ville, mais plutôt mon chum qui me met une pression. Je suis retournée aux études ici donc je ne travaille pas, j’en ai plein les bras et il le sait. L’adaptation n’est pas évidente. Il subvient à tous mes besoins financiers et en retour, il s’attend de moi à ce que je le “sexe” comme il me dit souvent. Ses paroles sont: la moindre des choses, c’est que tu me sexes deux ou trois fois par semaine, ça vaut au moins ça. Je sais, c’est complètement macho, mais j’ai l’impression que je lui dois du sexe. C’est vrai qu’il en fait beaucoup pour moi. Alors pour avoir la paix et surtout pour éviter les coups de gueule, je fais l’étoile et il se sert. Je vous l’écris et en l’écrivant je réalise l’horreur de mes paroles. Mais une chose est certaine, j’aime mon homme, c’est pour cette raison que j’accepte de le faire.»
Pour être tranquilles, pour éviter les conflits, les sautes d’humeur et pour éviter qu’il soit tenté d’aller voir ailleurs, plusieurs femmes sont prêtes à franchir cette limite: celle de s’oublier pour se conformer au diktat du plaisir de l’autre.
LA LIGNE EST MINCE
Certaines femmes interviewées m’ont avoué avoir l’impression d’être dans une relation «pute/client». Il pourvoit, elle livre le sexe. C’est du moins l’expression de Suzanne, une femme de 53 ans en couple avec son mari depuis 28 ans. «Je n’ai jamais osé lui dire non sexuellement. Sachez que je ne le fais pas toujours contre mon gré. Il m’arrive aussi d’en avoir envie. Mais il serait juste de mettre l’équation à une fois sur cinq. Donc une fois sur cinq, j’ai le goût et ça va super bien, mais les autres fois, je le fais pour lui, uniquement pour lui. Parce que je dois vous avouer, je n’ai jamais aimé lui faire des fellations ou me faire sodomiser. Mais ça l’excite et ensuite, les jours qui suivent, il est super attentionné et très disponible dans la maison, ça m’aide beaucoup. C’est un sacrifice que je suis prête à faire. Mais je réalise que ça n’a pas beaucoup de bon sens, ma fille de 29 ans m’a demandé conseil à ce sujet et je lui ai dit comment je fonctionnais avec son père et elle m’a dit: “la ligne est mince entre la prostitution et ce que tu fais m’man”. Un choc. Je l’ai donc encouragé à dire non à son mari dans ce cas-là. On va voir.»

Même si ce sont pour toutes les raisons invoquées ci- haut, aucune femme ( ni aucun homme) ne devrait en arriver à vivre des situations de contraintes sexuelles. Apprendre à dire non, c’est apprendre à se respecter et à s’affirmer. Aller chercher de l’aide professionnelle au besoin, car une sexualité forcée finit par se dégrader, par jeter de l’ombre entre les partenaires et à détruire les individus.


REF.:

dimanche 30 septembre 2012

Ricidive des agresseurs sexuels ?


Une constante existe: tous tiennent mordicus à leur droit de savoir qui sont les abuseurs et où ils se trouvent.
RÉCIDIVE
Les avis sont partagés sur les résultats d’une telle pratique sur les taux de récidive. Il semble que des études du département correctionnel du New Jersey montrent que ça ne réduit pas les récidives.
Ainsi, selon le Public Defender Michael Buncher, le registre public ne fait que créer un faux sentiment de sécurité chez les parents.
Aussi, selon le criminologue Jean Proulx, qui a travaillé avec des agresseurs pendant 20 ans à l’institut Philippe-Pinel, le fait de rendre leurs identités publiques leur créera davantage de problèmes et contribuera à la récidive.
Selon lui, les approches plus moralisatrices sont peu efficaces : on doit miser davantage sur la réhabilitation que sur les sentences.

lundi 7 novembre 2011

Des cybermilitants s'attaquent aux pédophiles


Pornographie juvénile - Des cybermilitants s'attaquent aux pédophiles
 
© Archives / Agence QMI

Anonymous, un groupe de cybermilitants, a annoncé le mois dernier qu’il avait fait «planter» des sites de pornographie juvénile et dénigré ceux qui avaient fréquenté ces sites.
La semaine dernière, le groupe Anonymous a diffusé les adresses IP de près de 200 visiteurs de sites de pornographie juvénile en utilisant des renseignements récoltés sur les sites que le groupe avait fermés. Une adresse IP est la combinaison unique utilisée par chaque appareil qui se branche à internet.
Selon le site msnbc.com, ces cybermilitants ont relevé les adresses IP des visiteurs de sites de pornographie infantile en leur offrant de télécharger une fausse mise à jour du logiciel Tor, qui peut servir à cacher l’identité d’un utilisateur.
Cette fausse mise à jour redirigeait les internautes vers un serveur contrôlé par Anonymus qui enregistrait les adresses IP entrantes et leurs destinations.
Les cybermilitants ont ensuite envoyé un message aux visiteurs de sites pornos qu’ils avaient démasqués: «À vous pédophiles, à la lumière des preuves que nous, Anonymus, avons récoltées, vous n’avez plus besoin de fouiller sur internet, d’accord? Nous avons mis la main sur vos adresses IP, malgré le "mythe de l’anonymat" du logiciel Tor. Nous avons piraté vos sites préférés.»
«Si vous utilisez des noms d’emprunt pour vos activités perverses, sachez qu’en prison, on vous en donne de différents.»

REF.:

mardi 20 septembre 2011

80 % des prêtres et religieuses ont eu des écarts de conduite par rapport à leur voeu de chasteté.


Religion - La chasteté est un mythe
«Ce livre peut choquer, mais il n’a pas été écrit dans ce but. Il a été mis en œuvre pour démontrer l’inacceptable», affirme la religieuse et sexologue Marie-Paul Ross. 
© Jean-CLaude Tremblay / Agence QMI


QUÉBEC | Le mouton noir des soeurs Missionnaires de l'Immaculée-Conception, la religieuse et sexologue Marie-Paul Ross, y va de révélations-chocs dans son livre à paraître le 22 septembre prochain. Selon elle, plus de 80 % des prêtres et religieuses ont eu des écarts de conduite par rapport à leur voeu de chasteté.
À lire:
Quand le «Faites attention» ne suffit plus
Dans le livre Je voudrais vous parler d'amour... et de sexe, l'auteur Marie-Paul Ross s'attaque à des tabous comme la sexualité des prêtres.
"À force de pratiquer la politique de l'autruche, certains chefs ecclésiastiques vacillent sur leur piédestal. Un grand nombre de leurs membres naviguent entre leur engagement et leur difficulté à orienter adéquatement leurs pulsions sexuelles", écrit-elle dans l'ouvrage à paraître jeudi aux éditions Michel Lafon.
En entrevue au Journal, la religieuse de 64 ans affirme que ce constat est le reflet d'observations faites sur le terrain au cours de ses nombreuses années de clinicienne.
"Tout est caché. C'est ça le problème!" dit-elle.
La religieuse est reconnue pour ne pas avoir la langue dans sa poche. Dans une société en perte de valeurs, on pourrait penser que l'Église échappe aux pratiques d'une société d'hyperconsommation sexuelle, ce qui est totalement faux, selon elle.
Prêtres pédophiles
Dans son ouvrage, Marie-Paul Ross condamne les prêtres pédophiles et invite les victimes à les dénoncer.
"Le plus insupportable est de voir que l'autorité ecclésiale, au lieu de porter secours aux victimes de ces prêtres et à ces derniers, se contente de présenter de simples excuses", exprime-t-elle.
Beaucoup de prêtres souffrent parce qu'ils sont incapables de vivre leur célibat, ajoute la soeur.
"Il serait avantageux de faire le ménage dans sa propre maison avant de s'ingérer dans celle du voisin."
Contrairement à ce que plusieurs laïcs pensent, permettre le mariage des prêtres n'est pas la solution.
"Un prêtre pédophile fera un mauvais mari et un piètre père de famille. Pour une raison simple: il est un malade dangereux que l'on doit soigner!"
Des religieuses violées
L'auteur relate également des épisodes où elle a été témoin d'échanges de baisers et de caresses entre des religieuses et des prêtres. Pendant une retraite fermée, elle affirme avoir vu des soeurs sortir du bureau du prédicateur en vêtement de nuit à 6 heures du matin.
Pis encore, Mme Ross a recueilli les confidences de religieuses, à Québec, violées par des prêtres au cours de rituels sectaires où elles étaient placées nues sur un autel avant d'être livrées toute une soirée au bon plaisir de l'assistance masculine.
Si l'auteur lève le voile sur ces pratiques scandaleuses, c'est dans l'unique but de faire rayonner la vérité. Pour ne pas l'oublier, le silence est l'arme privilégiée du crime sexuel.
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Extraits du livre Je voudrais vous parler d'amour... et de sexe
"Quant au directeur de conscience, il a le beau rôle. Comme il n'a pas la formation professionnelle du psy pour entendre des aveux aussi personnels, la confession le transforme en voyeur, ce qui a pour conséquence de l'exciter sexuellement"
"Dans une institution religieuse, personne n'est à l'abri: il s'en est fallu de peu pour que je tombe, pour ma part, dans le piège d'un exégète pervers..."







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